L'épigénétique

Alors tout d'abord j'expose où en est la science du vivant:

Il y a quelque temps j'avais lu un article très sérieux, qui nous apprenait que chez le rat, si une femme avait été stressé de façon "définitive" par choc électrique, elle engendrait des petits qui montraient des signes d'angoisse et de stress ou de désaffection sociale, caractéristique d'un strass/angoisse ( puisque les rats sont des animaux sociaux ), et ce que les petits rats soient élevés par elle ou une autre femelle, il y avait donc transmission d'une caractéristique acquise, jusqu'à la troisième génération!

Dernièrement, je viens de lire une nouvelle expérience/découverte, plus précise encore, proche d'une révolution en biologie de l'hérédité. Cette fois on a appris à une souris femelle à fuir/détester/se méfier d'une odeur non naturelle, inconnue du muridé, et les chercheurs ont constater que souriceaux lors de leur premier contact avec cette odeur nouvelle avait la même réaction de peur, contrairement à d'autres pris comme témoins et dont la mère n'y avait pas été confrontée, puis on vérifié le résultat en les faisant sentir une odeur nouvelle mais différente, une autre substance inconnu qui n'a rien avoir avec la première pour le conditionnement, mais il n'y a pas eu de réaction d'effroi, ce qui prouve manifestement que cet apprentissage a été transmis, et ce jusqu'à la encore la troisième génération.

Si l'épigénétique commence à insuffler ce genre de découvertes, on aura tôt fait de montrer que même les changements physiques, biochimique, psychique du vivant d'un individu pourront avoir une chance de se transmettre en dehors du code génétique, ce qui in fine, remettra en quelque sorte les idées de Lamarck sur le devant de la scène! ( sans discréditer ceux de Darwin, car les deux phénomènes sont assez distincts )

Si on extrapole les résultats présents et à venir, cela voudrait dire que nous aurions une influence sur notre progéniture pour l'instant involontaire, mais qui sait, demain on pourra sans doute infléchir quelque peu le "hasard", le résultat, par exemple le sportif surentrainé aura plus de chance d'engendrer un futur sportif, ou du moins les caractéristiques nécessaire pour cela, mais n'est ce pas déjà le cas finalement, pourquoi les Kényans ont des facilités en marathon!?

Tout ceci pourrait apporter des explications sous un nouveau jour, de fait pour l'instant incompris...

La femme du rat ? La votre est peut-être une chienne ?:smile2:Bref. Les petits apprennent dans le ventre de leur mère. Ils sentent la peur de leur mère et y associent l'odeur en question. Leur qualité biologique est inchangée, mais leur culture est influencée. C'est la transmission des sentiments. Ca s'apprend ça aussi.

On se rendre peut etre finir par se rendre compte que la génétique, ca n'a pas tant d'influence que ca

(petite provocation pour les gens qui font les chiens de garde de la "theorie de l'evolution"...)

donc si la femme est fumeuse accro au tabac ! l'enfant risque d’être accro aussi ?

On se rendre peut etre finir par se rendre compte que la génétique, ca n'a pas tant d'influence que ca

(petite provocation pour les gens qui font les chiens de garde de la "theorie de l'evolution"...)

tu es pour le créationnisme ?

La femme du rat ? La votre est peut-être une chienne ?:smile2:Bref. Les petits apprennent dans le ventre de leur mère. Ils sentent la peur de leur mère et y associent l'odeur en question. Leur qualité biologique est inchangée, mais leur culture est influencée. C'est la transmission des sentiments. Ca s'apprend ça aussi.

Lapsus, il fallait lire femelle bien évidemment.

De plus pour la deuxième expérience il s'agit du mâle et non de la femelle.

J'ai dû préciser qu'ils avaient été séparé, justement pour éviter un apprentissage classique, c'est bien une transmission épigénétique!

( http://www.paris-philo.com/article-epigenetique-121573423.html )