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la fameuse peinture de la Joconde serait en réalité une représentation du mythe d'isis


tihaa

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Membre, la blonde chocolatée, 37ans Posté(e)
tihaa Membre 3 766 messages
37ans‚ la blonde chocolatée,
Posté(e)

bonjour les Ffriens et Ffriennes ,

Juste incroyable 500 ans après, Thierry Gallier à découvert le secret de "la Joconde".

Alors que la Joconde est vu par plus de 20000 personnes par jour sans avoir pu décrypter ce qui semble évident, après.

Je voulais partager car l'histoire est assez incroyable le livre explique précisément que la fameuse peinture de Mona Lisa représente le mythe d’Isis déesse égyptienne sœur et femme d’Osiris .

Toute l'histoire est cachée mais belle et bien illustrée dans le tableau de la Joconde et est enfin révélée.

Un ou deux exemples parmi tant d'autres bien dissimulés :

Lorsqu'on regarde la peinture de la Joconde de face et en cachant la moitié du visage a l’arrête du nez on peut apercevoir que la Joconde est représentée avec 5 ans d'écart , la bouche (le fameux sourire) le bras, la posture, la coiffure..

Aussi lorsqu'on retourne la peinture (donc tête en bas) on peut apercevoir qu'un rocher illustre Mona Lisa de profil.

Vous pouvez a la lecture de son livre comprendre que toute l'histoire d'Isis et d’Osiris apparaît bien sur cette peinture si célèbre.

comment le secret a t il été gardé prés de 500 ans en dissimulant dans son oeuvre tout les indices discrètement par anamorphose sans être révélé plus tôt?

Sans doute son talent indéniable, c'est assez stupéfiant!

tihaa

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Membre+, Fervent utopiste, 38ans Posté(e)
mdr Membre+ 5 594 messages
38ans‚ Fervent utopiste,
Posté(e)

C'est intéressant ces choses là, cela me fait penser à un livre d'un historien "alternatif" , Didier Coilhac, qui a fait des découvertes exceptionnelles, et qui ne peuvent être le fruit du hasard tant ça va loin dans le délire.

Le livre en question s'appelle Le secret de François Ier, et s'il y a des forumeurs l'ayant lu je récolterai volontiers vos avis.

Et ce qui m'y fit penser est le rapport au Secret. Le fait de dissimuler des indices que personne ne verra au premier coup d'oeil, sur la première année de vie de l'oeuvre, sur les 100 premières années même, car certaines découvertes permettant la lecture des indices ne furent pas encore dévoilé, ou encore découvert officiellement.

Il s'agit d'un jeu de piste codifié entre les château de Chambord et de Fontainebleau, des informations anachroniques compte tenu de leur époque. Du Nombre d'Or à diverses énigmes, on devine bien vite que les secrets de rois ne sont pas anodins.

Et que François Ier, figure importante de la Renaissance, comptait bien les mettre à profits, avec l'aide de Léonard de Vinci notamment !

Le premier chapitre porte sur le mystère du 8. D'abord sur les tableaux notamment, des motifs en 8 présent sur le pourpoint du roi sur un tableau, croupière de cheval montrant des entrelacs en 8 sur certaines pièces,

Puis à Chambord, l'oeuvre personnelle du roi, un projet pharaonique qui n'a que très peu servi, le roi y séjourna une quarantaine de jour au total. Et l'on peut encore penser que les raisons de son achèvement nous sont parfaitement inconnues, étant donné le lieu marécageux choisi, compliquant le creusement des fondations...

M. Coilhac découvre que d'après un des "Guides Noirs", la collection consacrée à la France mystérieuse, dirigé par René Alleau, ce dernier présente une perception du château intéressante, loin de l'idée reçue d'un Chambord-chef-d'oeuvre-absolu. Voici la description de M Alleau : "si nous considérons l'exécution de l'ouvrage, le détil du dessin, les assemblages des formes, nous tombons de haut. Rien de plus médiocre que cette architecture là. Toutes les volontés du créateur sont contrariées ! sa manière, inconnues dans l'art français, d'ordonner une façade parfaitement symétrique est réduite à peu de chose par des maçons ignares. Le grandiose devient ridicule. Dans les cheminées, l'appareillage des pierres, qui aurait demandé le soin des spécialistes, est partout réduire à l'à-peu-près. Par une corniche, pas un château, pas un pilastre qui soit bien compris, correctement exécuté..."

Pourquoi avoir donné l'oeuvre la plus intellectuelle de l'architecture de la Loire à des Maitres-Maçons si peu compétent ? se demande donc Alleau...

Sachez que François Ier nomme Philibert Babou, sieur de la Bourdaisière, un spécialiste dans le déchiffrage de courriers interceptés, responsable des travaux à Chambord à partir de 1536, avec "plain pouvoir, puissance, autorité et mandement espécial" pour la construction et parachèvement de ses château. Un expert dans l'art du chiffrage... intéressant, non ? !

Tout ceci ne représente qu'une infime parti décrypté dans le bouquin, le plus intéressant venant ensuite, comme l'alignement parfait sur lequel se situent la basilique st Rémi de Reims, le chateau de fontainebleau, Loury et le ruisseau de l'Esse, et le château de Chambord. Comment être parvenu à cet exploit étant donnée la technologie de l'époque ? Savez-vous quelle distance sépare ces lieux ? Il est aussi question d'unité de mesure que l'on utilise aujourd'hui pour faire le lien, mais inexistante à l'époque. L'on suppose donc que certaines unités de mesure étaient déjà connues des rois et de certaines personnes dans la confidence.

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Membre, ...... Phoenix ..... Une cendre déterminée, 53ans Posté(e)
Amazones Membre 13 439 messages
53ans‚ ...... Phoenix ..... Une cendre déterminée,
Posté(e)

Que de sujets intéressants ..... J'y poserai attention très prochainement .... Merci à vous

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Membre, La mauvaise herbe..., Posté(e)
XYparfoisZ Membre 4 674 messages
La mauvaise herbe...,
Posté(e)



Merci, tihaa.
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