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January

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Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
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bonjour

non ,l'histoire en resta là . certaine choses dans la vie non pas de dénouement , enfin , celui que l'on pense être logique . marcel à aussi été gazé avec ses compagnons d'infortune dans une tranchée ou la boue leurs arrivaient jusqu'aux chevilles .

le redoutable gaz d'ypérite ou appelé plus couramment gaz moutarde .il en gardait encore les traces dans ses poumons des dizaines d'années après la fin de cette guerre meurtrière .

je sentait bien que marcel en avait gros sur le cœur et qu'il voulait en parler à quelqu'un qui l'écouterait sans juger .

mais en même temps ,ses souvenirs le faisait souffrir car ,ils lui rappelait la mort de ses camarades , ses frères d'armes qui n'eurent pas la chance de survivre à l'enfer des champs de batailles de cette guerre qui transforma des êtres en chair à canons .

bonne soirée

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  • 3 semaines après...
Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 047 messages
108ans‚ ©,
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La dramatique histoire du pantalon garance

Dès le début de la guerre, des milliers de soldats Français sont fauchés. Victimes d’un souci esthétique meurtrier : la couleur du pantalon des Poilus d’un beau rouge vif...

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/2014/08/30/peronne-la-dramatique-histoire-du-pantalon-garance-540248.html

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 047 messages
108ans‚ ©,
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Montluçon.

Une habitante de Montluçon, dont le mari compte à l'effectif d'un régiment d'infanterie placé sur la ligne de combat, a reçu, ces jours derniers, une lettre bien significative.

Le combattant n'avait sans doute pas pu retenir sa plume et il devait donner à sa femme des détails d'ordre stratégique, car sa lettre était passée à la censure et le résultat de cette visite se traduisait par ces mots: “Votre mari n'est ni mort ni blessé, mais il est trop bavard”, remplaçant la correspondance.

Le Figaro du 10 septembre 1914.

La censure est déjà présente.

Modifié par January
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Membre, 65ans Posté(e)
pila Membre 18 571 messages
Baby Forumeur‚ 65ans‚
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Le Tsar Nicolas II inspecte les troupes. Aussi incapable que Louis XVI de réformer son pays épris de liberté (révolution de 1905), il sera renversé en 1917 et exécuté en 1918 avec sa famille par les communistes.

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 047 messages
108ans‚ ©,
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En marche

Durant la Grande Guerre, les soldats sont souvent acheminés vers leur position par le train. Néanmoins, la marche demeure le mode de transport principal. Il n’est pas rare que les soldats effectuent plusieurs dizaines de kilomètres à pied par jour, chargé de leur barda, qui peut peser jusqu’à 25 kilos. Lorsque les troupes changent de secteur, elles forment des colonnes de marche de plusieurs kilomètres et en fonction de la distance à parcourir, elles peuvent rejoindre leur destination par étapes, en deux ou trois jours.

Pour certains soldats toutefois, la marche n’est pas le seul moyen de locomotion. Ainsi, les escadrons de cavalerie sont encore très nombreux au début du conflit. Toutefois, cette guerre d’un genre nouveau les met peu à peu au second plan, le cheval se cantonnant de plus en plus à un outil de communication ou de logistique (transport de matériel ou de nourriture, par exemple).

Enfin, d’autres soldats encore, les chasseurs cyclistes, se déplacent en bicyclette. Ils peuvent ainsi parcourir de 60 à 100 kilomètres par jour. La « bicyclette Gérard », notamment, a été utilisée par les troupes françaises. Inventé par le capitaine Gérard en 1893, elle a la particularité de pouvoir être repliée et d’être ainsi portée sur le dos de son propriétaire.

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patrickh Membre 12 messages
Baby Forumeur‚
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Ce fut un drame terrible que cette guerre.

Tant de morts, tant de massacres, tant de populations détruites dans la fleur de l'âge.

Je ne peux pas m'empêcher de me souvenir de cette phrase de Clémenceau qui, amèrement, concluait son propos par ceci : "On croit mourir pour sa patrie, et l'on meurt pour des marchands d'armes".

Oui, il était bien désabusé. Peut-être devrait-on le citer davantage, en homme d'état qui avait gouverné, il était très au fait des enjeux qui se tissaient entre les pays.

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Membre, 91ans Posté(e)
Rasibus Membre 4 080 messages
Baby Forumeur‚ 91ans‚
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N'a-t-il cependant pas fait passer sa notoriété personnelle avant la recherche de la Paix ?

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 047 messages
108ans‚ ©,
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Georges Clémenceau, le poilu de l'Elysée

Animé par une haine de la défaite, le Tigre a livré des combats sans précédent pour permettre à la France de tenir tête à l'Allemagne lors de la Grande Guerre.

georges-clemenceau-premiere-guerre-mondiale-poinca-2322496-jpg_1665990.JPG

http://www.lepoint.fr/histoire/personnages/clemenceau-1841-1929-24-08-2013-1716907_1617.php

Clémenceau, pour la paix

http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/wormser.asp

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  • 2 semaines après...
Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 047 messages
108ans‚ ©,
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Le gaz moutarde

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Le gaz moutarde, ou "ypérite" a été parmi les armes chimiques déployées pendant la première guerre mondiale, l'un des gaz les plus dangereux. Utilisé après Juillet 1917, il a fait de nombreuses victimes notamment dans les troupes anglaises. Les pays belligérants en ont fabriqué des milliers de tonnes en l'espace d'un peu plus d'un an. Il en reste des stocks qui sont progressivement détruits depuis 1997 et qui demandent des traitements et installations spéciales.

LES PREMIERES ATTAQUES CHIMIQUES

Dès 1915, les attaques chimiques à grande échelle furent utilisées par les allemands et les alliés au cours de cette guerre de position où les gaz pouvaient s'infiltrer partout dans les tranchées, les abris, les casemates. On distingue plusieurs types de gaz toxiques qui furent utilisés au cours de la première guerre mondiale :

- Les suffocants (chlore, phosgène) détruisent les alvéoles des voies respiratoires

- Les sternutatoires (dérivés de l'arsine) provoquent éternuements et nausées et forcent les soldats à retirer leur masque à gaz

- Les vésicants (les plus agressifs - ypérite, gaz moutarde) provoquent par contact des brûlures, aveuglent les soldats et attaquent les voies respiratoires.

Historiquement le premier gaz mortel fut le chlore. En avril 1915 les allemands déploient 168 tonnes de chlore au nord d'Ypres. Le nuage vert dérive vers les tranchées françaises tenues par les Martiniquais qui paniquent en laissant une brèche de 7 kilomètres qui ne sera pas exploitée par les allemands, le nuage mortel stagnant.

Assez vite des contre-mesures s'improvisent, des tampons de linge imprégnés d'eau et de bicarbonate de soude vont neutraliser partiellement les effets du chlore.

Le chlore est donc remplacé par le phosgène (inventé par Victor Grignard et produit d'abord par les français avant d'être utilisé par les allemands). On estime qu'il fut responsable de plus de 80 % des tués par arme chimique.

LE GAZ MOUTARDE, OU YPERITE

Le gaz le plus connu et le plus efficace dans l'horreur fut le gaz moutarde employé par les allemands en Juillet 1917, près de Ypres, dont son nom donné par les français "ypérite". C'est un liquide huileux jaune, avec une odeur d'ail ou de moutarde. Il est dispersé en aérosol lors de l'explosion de l'obus qui le contient...

Suite http://centenaire.org/fr/espace-scientifique/societe/le-gaz-moutarde

Autre source http://fr.wikipedia.org/wiki/Gaz_de_combat_de_la_Premi%C3%A8re_Guerre_mondiale

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  • 2 semaines après...
Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 047 messages
108ans‚ ©,
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L'art au service de la guerre - Le camouflage

Aux premiers jours de la campagne de 1914, le peintre Lucien-Victor Guirand de Scévola, alors maréchal des logis du génie, a l'idée de dissimuler le matériel et les hommes (l'armée française est la seule à avoir gardé un uniforme aux couleurs chatoyantes).

Le Général de Castelnau découvrant ses expériences, convaincu de leur bien-fondé, demande à Guirand de Scévola de créer une équipe. Il s'entoure d'artistes de talent dont le peintre et dessinateur humoriste Jean-Louis Forain, alors âgé de soixante-deux ans. <br abp="470">Aux côtés des peintres, des sculpteurs, des graveurs et des décorateurs de théâtre, des ouvriers et des artisans (menuisiers, peintres en bâtiment, teinturiers…) sont chargés de créer le matériel de camouflage.

Dès le 12 février 1915, on trouve le premier document du ministère de la Guerre constituant l'acte de naissance de l'équipe de camouflage. La section camouflage est officiellement créée le 4 août 1915 avec un détachement de cent vingt-cinq réservistes territoriaux venus en renfort.

Les camoufleurs réalisent toutes sortes de trucages: des toiles peintes et des filets pour dissimuler les pièces d'artillerie ou les voies de communication, des faux-arbres blindés, des fausses ruines en trompe l'œil, des fausses vaches, des mannequins… Tous les leurres sont mis en place pour tromper l'ennemi.

http://www.lefigaro.fr/histoire/centenaire-14-18/2014/09/25/26002-20140925ARTFIG00065-l-art-au-service-de-la-guerre-souvenirs-d-un-camoufleur-1915-1918.php

Les camoufleuses parisiennes

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Pour produire le matériel nécessaire à la réalisation de camouflages, plusieurs ateliers sont créés aux Buttes Chaumont à Paris. Celui du 18 passage de l'Atlas regroupe plusieurs centaines de femmes. Les femmes sont employées essentiellement pour des travaux de couture. Le 21 décembre 1917, une pouponnière pour les enfants des «ouvrières camoufleuses» est inaugurée au sein de cet atelier. La pouponnière compte vingt berceaux et le pavillon dédié aux enfants est décoré par divers peintres camoufleurs.

En effet, cet atelier parisien sert aussi de lieu de formation pour les membres de la section: on y trouve par exemple Jacques Nam connu pour ses œuvres animalières, le peintre Charles Dufresne, le sculpteur Charles Despiau, le dessinateur Georges Redon et le directeur de cet atelier n'est autre que le peintre Abel-Truchet.

http://www.lefigaro.fr/histoire/centenaire-14-18/2014/09/26/26002-20140926ARTFIG00066-les-camoufleuses-parisiennes-1917.php

Le camouflage des navires

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Dès 1917, la guerre sous-marine allemande s'intensifie. C'est à cette époque que les recherches sur le camouflage maritime se développent.

En France, on doit beaucoup à l'illustrateur Pierre Gatier qui a participé aux recherches sur le camouflage des navires. Il est d'abord affecté à la section de camouflage de Rochefort puis, en 1917 il part à Londres pour apprendre la méthode mise au point par les Anglais: la «Dazzle Painting».

Les Français vont ensuite perfectionner les techniques anglaises. Il est bien sûr impossible de camoufler entièrement un navire, mais l'on peut en bouleverser les proportions. En masquant les formes exactes des bateaux, on dénature la visibilité de leurs formes, il est ainsi difficile d'estimer la vitesse et la distance des bâtiments.

C'est ainsi que les coques sont bariolées avec des lignes de couleurs dégradées; des cheminées factices ajoutées, l'armement camouflé: l'ennemi est ainsi trompé.

http://www.lefigaro.fr/histoire/centenaire-14-18/2014/09/29/26002-20140929ARTFIG00055-le-camouflage-des-navires-1918.php

Jean-Louis Forain, correspondant de guerre et artiste camoufleur

Lorsque la Première guerre mondiale éclate Jean-Louis Forain ( 1852-1931) a 61 ans. C'est un artiste reconnu qui a mené avec succès une double carrière de caricaturiste et de peintre.

La guerre de 14-18 lui donne une cause à la mesure de sa fougue. À partir du 8 décembre 1915 et jusqu'en février 1917, Le Figaro publie chaque mercredi, un dessin réalisé au crayon ou au fusain qui exalte le patriotisme de ses concitoyens; parmi la centaine de dessins publiés sur le thème de la Grande guerre, seuls quelques-uns sont censurés. La simplicité et la sobriété du graphisme et des légendes rendent le message lisible instantanément: nombreux sont les lecteurs qui les commentent passionnément.

Parallèlement, Forain n'hésite pas à s'engager à 62 ans dans la section de camouflage de l'armée française récemment créée, aux côtés de jeunes artistes comme Dunoyer de Segonzac, Dufresne, Mare, Blondat et Villon. Jean-Louis Forain est nommé inspecteur des équipes de camouflage en 1915 et part sur le front.

http://www.lefigaro.fr/histoire/centenaire-14-18/2014/09/30/26002-20140930ARTFIG00069-jean-louis-forain-correspondant-de-guerre-et-peintre-camoufleur.php

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January Modérateur 62 047 messages
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Bélâbre (Indre). Ses parents avaient demandé que la chambre d’Hubert Rochereau, sous-lieutenant de carrière tué en 1918, reste en l’état. Volonté respectée. Et extraordinaire visite, cent ans après.

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Tout commence en 1935, quand la famille Rochereau décide de quitter cette maison sans doute trop chargée de terribles souvenirs. L'acte de donation serait des plus classiques s'il ne contenait cette clause étonnante : ceux qui prendront possession des lieux, doivent s'engager à ne rien toucher dans la chambre du fils unique trop tôt disparu, pendant une période de 500 ans !

http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre/Actualite/24-Heures/n/Contenus/Articles/2014/10/11/La-chambre-momifiee-du-jeune-officier-2077393

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  • 3 semaines après...
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January Modérateur 62 047 messages
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« BOIRE UN COUP », RESSORT FONDAMENTAL DE L’IDENTITÉ DES POILUS

Le quotidien des poilus est incontestablement construit entre 1914 et 1918 sur des valeurs et des pratiques communes, constitutives d’une identité largement diffusée au sein de l’armée française autour du partage, de la solidarité, de la fraternisation. Si cette identité, articulée autour de la notion d’esprit de corps, est en partie instrumentalisée par le discours officiel, il n’en reste pas moins qu’elle s’inscrit dans des pratiques attestées au front ou à l’arrière. Celles-ci conditionnent, structurent et codifient l’adhésion au groupe à partir d’un certain nombre d’activités collectives dont la consommation d’alcool (vin ou spiritueux) fait manifestement partie. Et, en l’espèce, les occasions de boire ne manquent pas.

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Tout d’abord, le vin agrémente la ration régulière et quotidienne de l’ensemble des soldats mobilisés dans la zone des armées depuis une décision du ministre de la guerre, Alexandre Millerand, en octobre 1914, complétant une instruction du service des militaires d’avril de la même année. En vertu de ces dispositions, chaque soldat reçoit une ration gratuite de 25 centilitres à laquelle est adjointe une ration payée sur les fonds des compagnies, de 25 centilitres également. En 1916, la ration gratuite passe à 50 centilitres et en 1918, la ration statutaire (comprenant la ration gratuite, celle payée par la compagnie et une dernière ration, remboursable à prix modique) atteint 1 litre. Près de 3 millions de soldats reçoivent alors quotidiennement entre 50 centilitres et 1 litre par jour, selon les possibilités du ravitaillement, auxquels s’ajoutent 6,25 centilitres d’eau-de-vie, également distribuée quotidiennement. Cet ordinaire est amélioré par des rations exceptionnelles, fournies par le commandement dans certains cas très précis : montée en première ligne ; travaux pénibles ; célébration ; fête nationale par exemple. Surtout, les soldats peuvent s’approvisionner, sur leurs fonds propres, auprès des débits de boissons qui se multiplient dans la zone des armées et qui, parfois, y pullulent. Un rapport émanant de la seconde division de l’armée britannique indique ainsi en 1915 que, dans certains villages du Nord-Pas-de-Calais, près d’une maison sur cinq a été transformée en estaminet.

Enfin, les soldats peuvent aussi se fournir auprès des structures mises en œuvre par l’armée française au front : camions-bazars à partir de 1915, puis coopératives militaires, dont la généralisation est mise en œuvre par l’état-major à partir de l’automne 1916.

Article complet : http://www.lemonde.fr/centenaire-14-18/article/2014/10/17/boire-et-deboires-pendant-la-grande-guerre_4508005_3448834.html

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Membre, 91ans Posté(e)
Rasibus Membre 4 080 messages
Baby Forumeur‚ 91ans‚
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Voici ce que j'ai lu dans des lettres de mes parents de novembre 1915:

Mon père, simple soldat, se plaignant de la médiocrité de la nourriture, (et encore il faisait partie des plus favorisés) ma mère en a parlé à son père, qui était général.

La réponse de celui-ci m'a sidéré:

" Les soldats ont tout ce qu'ils veulent. Et même, certains ne sont pas pressés de voir la guerre finir, car ils savent qu'ils ne retrouveront pas chez eux des conditions de vie meilleures..."

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