L’agriculture en ville : un projet urbain d'avenir ?

    À l’heure où les métropoles occidentales se rêvent en villes vertes et durables, diverses initiatives méritent l’attention des acteurs locaux. C’est en particulier le cas de l’agriculture urbaine, qui représente une réponse locale permettant une exploitation de la nature en ville. Quelles sont alors les conditions pour que cette forme d’agriculture soit valorisée comme un réel projet de territoire ?

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joyeux noel à toi

ce serait une "chouette" idée mais pour que ce soit possible, faudrait arrêter de construire(habitations et autres) , et étendre plus de surface "verte" pour ce faire suis pas vraiment sûre d'être clair)

Je me rappelle avoir étudier l'étalement urbain en géographie comme étant une problématique majeure pour la campagne qui recule de plus en plus. A ce jour, je crois qu'il n'y a pas vraiment de solution à ce phénomène si ce n'est une volonté des pouvoirs publics à ralentir la croissance urbaine et revaloriser la campagne. Ce projet d'intégrer la campagne en ville me parait donc être très révélateur de l'étendu du problème.

L'article est bien détaillé, il vend bien le concept en tous cas. A la fin de sa lecture, je me pose une question : quid, de la pollution ?

Ces temps-ci, on ne cesse de nous rebattre les oreilles avec la pollution, et on voudrait planter en ville ? Oui, j'ai bien compris, "péri-urbain".. Je doute que ce soit "assez" péri-urbain.

Nous avons des soucis ici dans les cultures, et même dans les jardins de particuliers. Il y a des vols. Quid, de la sécurité d'une telle agriculture ?

Les toits de nos immeubles sont des surfaces idéales pour de petites cultures de proximités comme le maraîchage, je ne comprends pas pourquoi ça n'est pas plus exploité que ça.

Envisager un retour de la nature dans les espaces urbain après l'avoir autant exclue paraît louable. Toutefois le problème est pris à l'envers : il n'est nullement question d'arrêter d'empiler les gens les uns sur les autres.

Quoi que certains empilements me conviennent.

Et si l'on construisait les villes à la campagne ?

Et s'il n'y avait pas de ville ?

Ben ça donne Los Angeles et sa banlieue en pire. Le type qui se déplace à pied est un extra terrestre. Un salmigondis de pavillons de banlieue plus ou moins tartes à perte de vue recouvrant la totalité du paysage.

Mais pourquoi pas.

L’avenir de l’agriculture n’est pas à la campagne, qui est une immense perte d’espace et grande source de pollution. Quel gaspillage d’espace que ces immenses champs de tournesols ou de céréales à perte de vue. De plus c’est sans compter la somme colossale d’énergie brulée en transport pour apporter toute cette agriculture de la campagne à la ville où vit plus des 2/3 des consommateurs et de l’humanité.

Non. L’avenir de l’agriculture est en ville dans des ‘’fermes verticales urbaines’’. Sortes de gratte-ciels étagés de terrasses en escalier plein sud pour le maximum d’ensoleillement, ou d’étages tournant autour d’un axe suivant la course du soleil.

Les laitues et salades au deuxième, les carottes, pommes de terre, radis au troisième, des jardins communautaires au quatrième, les lapins au cinquième. Les poules aux sixième, etc… etc… On irrigue en collectant l’eau de pluie qu’on canalise par gravité aux étages inférieurs.

Les consommateurs n’auraient qu’à se rendre dans ces édifices et faire leurs emplettes.

Rien n’interdit d’y installer des garderies pour les enfants des travailleurs de cette agriculture nouveau genre. Et pourquoi ne pas écouter du Pink Floyd tout en cultivant des topinambours… ou du Mozart à l’étage des canards?

Les architectes y travaillent déjà, la technologie existe…et l’espace existe en terrains non construits en ville ou en périphérie suburbaine.

Con testeur.