À court de cigarettes, il tire au fusil à pompe

extrait :

Oubliez le chien… Ici c’est moi qui monte la garde ! », prévient la plaque illustrée d’une main empoignant un pistolet. Bienvenu chez Cédric Lecomte, Rémois de 40 ans dont l’actualité récente confirme son goût pour les armes.

« C’était dans la nuit de mardi à mercredi, vers 4 heures », témoigne une habitante de la rue Charles-Péguy, au quartier Neufchâtel. « On dormait bien. D’un seul coup, j’ai été réveillée par une grosse détonation. Je me suis dit : il y a des imbéciles qui tirent sur les chats. Ce fut ma première pensée car j’en ai deux. Mon mari s’est rendormi. Je recommençais à piquer du nez quand j’ai entendu un deuxième coup de feu, puis un troisième dans la foulée. »

Fusil et pied-de-biche

D’autres riverains confirment avoir entendu trois détonations. Elles provenaient de la rue Edouard-Herriot où Cédric Lecomte venait de piquer une crise de nerfs. À court de cigarettes, il a demandé à sa concubine d’aller lui en chercher. Il était 4 h 15. La dame a manifesté son mécontentement. Furieux, l’homme reconnaît s’être emparé de son fusil à pompe calibre 12 pour tirer deux coups de feu dans le plafond, pas un de plus, ni ailleurs. Aussi conteste-t-il avoir tiré dehors, alors que les enquêteurs ont pourtant retrouvé le mur d’une maison voisine criblé d’une volée de plombs.

lire en entier sur :

http://www.lunion.presse.fr/accueil/a-court-de-cigarettes-il-tire-au-fusil-a-pompe-ia0b0n238599

Ouais ben j’espère qu'il va pas les garder plus longtemps celui là ses pétoires.

Déjà condamné à seize reprises, l’homme n’a pas échappé à l’audience des comparutions immédiates, mais il a sollicité le renvoi de son procès. « De toute façon, je sais que je vais être incarcéré, alors je préfère un délai pour préparer ma défense. » L’affaire est renvoyée au 18 novembre, Cédric Lecomte placé en détention.

Bah en fait, il devait pas le détenir très légalement son fusil avec 16 condamnations derrière lui.

Ce fait divers me rappelle l'excellent film SHINING dans lequel un homme devient fou et dangereux, sauf qu'au lieu de l'isolement et la neige, c'est un camé en manque de nicotine. Il faut le laisser en tôle jusqu'à ce qu'il soit sevré, sinon ça ne servira à rien et il recommencera. Ils ont les moyens de calmer les excités au mitard !!

Salut.

Comment fait la femme pour rester avec un gars pareil ? Elle n'a pas trouvé mieux ? Les 3 gosses sont mal barrés...

++

psychologiquement, c 'est difficile de quitter le père de ses gosses ! une femme avec un tel connard est trop souvent en fragilité psychologique ! ce n'est pas toujours vrai, je sais car c 'est toujours plus compliqué mais cela reviens souvent !

c 'est peut être la goutte qui va faire déborder le vase ! peut être !

Avec ce genre d'individu il peut aussi y avoir des menaces de mort à l'encontre de la femme ou même des gosses, d'où la nécessité d'un éloignement du responsable des violences, car la femme aura toujours le réflexe de protéger ses enfants en se soumettant aux exigences du type !!

Condamnation ou pas, chacun devrait avoir le droit de détenir une arme chez sois.

psychologiquement, c 'est difficile de quitter le père de ses gosses ! une femme avec un tel connard est trop souvent en fragilité psychologique ! ce n'est pas toujours vrai, je sais car c 'est toujours plus compliqué mais cela reviens souvent !

c 'est peut être la goutte qui va faire déborder le vase ! peut être !

Le "connard" est probablement alcoolique (ou psychologiquement atteint, mais je penche pour un problème d'alcool, la consommation de tabac augmente en conséquence).

Moi-même alcoolique (abstinent, je déteste ces deux mots, comme tout alcoolique, et les remplace automatiquement par d'autres mots. Whisky > Kyky, ptit jaune, ptite polak, mousse, quille pour bouteille ça fait plus bowling détente et loisirs, bref des mots tous mimis tout doudoux), ayant eu les moyens de boire (encore un mot que je déteste, remplacé par "un pot", ptit apéro, ptit verre...) je t'assure que pour d'autres, ça compte les centilitres (oui, on compte en centilitres, au centilitre près on sait ce qui reste dans le fond d'une bouteille. 10 : 2/3 ptit Kyky, 5 : alerte; etc...), les clopes accompagnent obligatoirement le rituel de la cuite (biiiipppp...encore un mot tabou, à remplacer) chez certains.

J'ai eu la chance dans mon parcours alcoolique d'avoir appris à tenir debout, à parler de façon cohérente et masquer les odeurs (si, ça s'apprend, même avec 1 L de Kyky dans le bide, le flic qui m'a arrêté était surpris de la cohérence de mes propos et de la démarche impec' avec un tel taux d'alcool au volant) et je ne fume pas, mais c'est pas évident.

Je souhaite à ce garçon le "déclic", le "miracle", ou... des soins (vaut mieux le déclic, les soins c'est 1 chance sur XXX).

J'ai eu le déclic, je ne sais par quel miracle (j'ai demandé à Jesus si c'était lui, il m'a pas répondu, j'ai cherché une raison profonde à ce soudain désintérêt, j'ai rien trouvé, et je m'en fous dans le fond), un jour je ne me suis pas arrêté à 12 h 30 (rituel) au bar prendre mes 3/4 double Kyky-glaçons pour commencer ma journée (travail de nuit), j'ai pas été cherché l'amie "Jibé" au Coccinelle du coin (très discret, peu de monde, cher mais discret) je suis rentré ma femme m'a demandé si j'étais "malade", je semblais complétement ailleurs (mon centre de gravité, c'était Kyky), et c'était fini, la maladie est partie, je me suis séparé de Kyky.

Ca sert à rien de lui tirer dans les pattes.

Il est ce Bruce Willis dans 6ème sens qui ne voit que ce qu'il a envie de voir, qui n'entend que ce qu'il a envie d'entendre.

Quand je rendais visite à ma mère, elle ne sortait qu'un fond de bouteille, et je me disais "elle pourrait faire le plein, quand même". En vérité, elle cachait le reste et le gardait planqué.

le flic qui m'a arrêté m'a aussi dit de me soigner; mais je l'ai pas entendu, je n'ai entendu que "je surpris que vous teniez debout" et je m'en gonflais d'orgueil.

Ma femme pleurait et je pensais que c'était autre chose.

Il ne voit que ce qu'il a envie de voir. Je me suis rendu compte que bien après des choses.

Mais c'est sur, pour les proches c'est dur, autant quand ils ont affaire à un alcoolique introverti (je mentais tout le temps, camoufflait tout, je calculais chaque partie de ma journée en fonction de Kyky...) que quand ils ont affaire à un extraverti (bordel, coups et menaces, hurlements, etc...).

Le "connard" est probablement alcoolique (ou psychologiquement atteint, mais je penche pour un problème d'alcool, la consommation de tabac augmente en conséquence).

Moi-même alcoolique (abstinent, je déteste ces deux mots, comme tout alcoolique, et les remplace automatiquement par d'autres mots. Whisky > Kyky, ptit jaune, ptite polak, mousse, quille pour bouteille ça fait plus bowling détente et loisirs, bref des mots tous mimis tout doudoux), ayant eu les moyens de boire (encore un mot que je déteste, remplacé par "un pot", ptit apéro, ptit verre...) je t'assure que pour d'autres, ça compte les centilitres (oui, on compte en centilitres, au centilitre près on sait ce qui reste dans le fond d'une bouteille. 10 : 2/3 ptit Kyky, 5 : alerte; etc...), les clopes accompagnent obligatoirement le rituel de la cuite (biiiipppp...encore un mot tabou, à remplacer) chez certains.

J'ai eu la chance dans mon parcours alcoolique d'avoir appris à tenir debout, à parler de façon cohérente et masquer les odeurs (si, ça s'apprend, même avec 1 L de Kyky dans le bide, le flic qui m'a arrêté était surpris de la cohérence de mes propos et de la démarche impec' avec un tel taux d'alcool au volant) et je ne fume pas, mais c'est pas évident.

Je souhaite à ce garçon le "déclic", le "miracle", ou... des soins (vaut mieux le déclic, les soins c'est 1 chance sur XXX).

J'ai eu le déclic, je ne sais par quel miracle (j'ai demandé à Jesus si c'était lui, il m'a pas répondu, j'ai cherché une raison profonde à ce soudain désintérêt, j'ai rien trouvé, et je m'en fous dans le fond), un jour je ne me suis pas arrêté à 12 h 30 (rituel) au bar prendre mes 3/4 double Kyky-glaçons pour commencer ma journée (travail de nuit), j'ai pas été cherché l'amie "Jibé" au Coccinelle du coin (très discret, peu de monde, cher mais discret) je suis rentré ma femme m'a demandé si j'étais "malade", je semblais complétement ailleurs (mon centre de gravité, c'était Kyky), et c'était fini, la maladie est partie, je me suis séparé de Kyky.

Ca sert à rien de lui tirer dans les pattes.

Il est ce Bruce Willis dans 6ème sens qui ne voit que ce qu'il a envie de voir, qui n'entend que ce qu'il a envie d'entendre.

Quand je rendais visite à ma mère, elle ne sortait qu'un fond de bouteille, et je me disais "elle pourrait faire le plein, quand même". En vérité, elle cachait le reste et le gardait planqué.

le flic qui m'a arrêté m'a aussi dit de me soigner; mais je l'ai pas entendu, je n'ai entendu que "je surpris que vous teniez debout" et je m'en gonflais d'orgueil.

Ma femme pleurait et je pensais que c'était autre chose.

Il ne voit que ce qu'il a envie de voir. Je me suis rendu compte que bien après des choses.

Mais c'est sur, pour les proches c'est dur, autant quand ils ont affaire à un alcoolique introverti (je mentais tout le temps, camoufflait tout, je calculais chaque partie de ma journée en fonction de Kyky...) que quand ils ont affaire à un extraverti (bordel, coups et menaces, hurlements, etc...).

merci de ce témoignage !

c 'est pas facile l'abstinence dans ce monde où l'alcool est à chaque coin de rue, chez de nombreux amis, est ""vecteur de convivialité"" etc.......

j'ai un pote qui est dans la même situation que toi depuis une dizaine d'année ! il fais gaffe à utilisé un max de produits sans alcool afin de ne pas succomber !!

je vis dans une région viticole où on baptise les gosses par le biais du petit doigt trempé dans

un verre de champagne et porté à ces lèvres ! c 'est dur pour ceux et celles qui veulent arrêter ou simplement que faire la fête avec juste un verre!

moi, perso, j'ai coupé tous les liens avec ceux qui refusaient de me servir une boisson non alcooliser le jour où j'ai voulu ( ah les femmes !!! que serions nous sans elles ?) arrêter de faire la bringue ou de boire un apéro en jouant au billard ou à la belote !

au delà de nos différences et engueulades, je te dits chapeau !

tu sais que l'abstinence c 'est pour la vie !

"Eul' cid' ché pô d'l'alcool hein. Bah nan, de kô 5% ? Bah ché pou' ché crêpe héé patate ché tchiots y peuvent in boire hein deminde à Genevief té verrô bien ché pô comme la bière, tu sais toudis tout et de kô et de qu'est-ce ti hein brink eud' thym vô !"

La norme. Suffisait de tourner la bouteille et de lire 5 % mais la norme...