Russie : émeutes à Moscou après le meurtre d'un jeune

Sous Staline, la Russie n'existait plus. Et sa puissance n'était pas réelle.

Par ailleurs, au vu de la situation de la Russie sous Eltsine, on ne peut que dire que la Russie revient de loin.

Au passage, je note que vous pensez que la puissance ne peut s'acquérir que par et pour la violence.

Tu notes rien du tout, je déteste les communistes autant que les fachos.

L'usage de la violence est répugnant sauf en cas de légitime défense. Dans mon camps on prône l'éducation par l'exemple, le mérite, le courage, la probité, le don de soi.

On parle de puissance intellectuelle, pas de frappe. Et cette puissance, contrairement au communistes qui pensaient pouvoir et devoir l'imposer aux classes ouvrière par la classe intellectuelle, nous prétendons qu'elle doit émaner des ouvriers eux même et non dictée par un dogme. On n'est jamais mieux servi que par soi même.

Dans mon camps on prône l'éducation par l'exemple, le mérite, le courage, la probité, le don de soi.

Lol pourquoi aller dans un camps pour ça, alors que tu résumes les valeurs que l'école de la république a pour mission de t'enseigner !

lollll.

J'ai appris à embrasser les filles, devenir meilleur que mon voisin sous peine de chômage, l'obéissance, la médiocrité.

Oui, la puissance de l'armée rouge qui a rétamé l'armée allemande était surfaite. 400 divisions en bon état en 1945, de quoi poursuivre la poussée à l'ouest jusqu'à Brest (Bretagne). Mais ce n'était pas vraiment réel. :smile2:

La puissance d'un Etat ne se mesure pas qu'à ses armes.

Combien de divisions possède le Vatican? (dixit Staline). L'URSS est morte, le Vatican demeure.

Tu notes rien du tout, je déteste les communistes autant que les fachos.

Ce qui ne vous empêche pas d'avoir été leurs idiots utiles pendant des années. Ce qui n'a guère changé, d'ailleurs, mais pas pour les mêmes.

L'usage de la violence est répugnant sauf en cas de légitime défense. Dans mon camps on prône l'éducation par l'exemple, le mérite, le courage, la probité, le don de soi.

Rigole

Nous vous croyons totalement.

Pouffe encore.

On parle de puissance intellectuelle, pas de frappe. Et cette puissance, contrairement au communistes qui pensaient pouvoir et devoir l'imposer aux classes ouvrière par la classe intellectuelle, nous prétendons qu'elle doit émaner des ouvriers eux même et non dictée par un dogme. On n'est jamais mieux servi que par soi même.

Rappelez-moi les triomphes de l'anarchisme?

...

Oui, c'est bien ce que je pensais. Aucun.

A se faire réprimer dans le sang par le pouvoir, quel qu'il soit, notre triomphe est d'être toujours là malgré la formidable volonté de tous les pouvoirs, droite et gauche réunie, de nous éliminer.

Vous êtes toujours là parce que vous êtes leurs petits soldats.

Demandez-vous pourquoi les milices antifas, ultra-violentes, sont tolérées par le pouvoir. Parce que vous ne leur causez aucun tort réel. Vos idées ne touchent presque personne, mais vous les servez bien sans le savoir.

On touche nos militants. Nous y voyons notre intérêt. Mais pour connaitre il faut pratiquer cette merveilleuse expérience qu'est l'auto gestion pour l'émancipation.

On touche nos militants.

Qui cela? La justice? La police? Foutez-vous du monde. Le pouvoir a interdit des mouvements dits "d'extrême-droite" juste après une baston déclenchée par vos miliciens.

Vos mouvements sont-ils interdits? Pourchassés? Certainement pas. On vous flique un peu pour faire croire au bon peuple qu'on surveille les violents. Et pour vous faire croire que vous êtes dangereux pour le pouvoir.

Et en dehors de cela, on vous laisse jouer aux miliciens. Tout bénéf pour le système.

Nous y voyons notre intérêt. Mais pour connaitre il faut pratiquer cette merveilleuse expérience qu'est l'auto gestion pour l'émancipation.

Navré, mais j'ai d'autres projets dans la vie que de me pendre lentement.

Je ne suis pas un milicien, je suis syndicaliste je défends des travailleurs, je ne frappe pas les gens.

Faudrait réussir à intégrer cette donnée une bonne fois pour toute.

Pour revenir au sujet, nous avons une horde de brutes qui s'en prend à toute une population pour un cas, et avec une violence inouïe, au mépris de toute idée de justice élémentaire.

Horde que tu défends ici par un discours visant à me faire passer pour un violent, ce que je ne suis pas. J'ai pas une condamnation à mon actif petit bonhomme, alors garde tes assertions, continues ton mépris global et encourage ces milices d'extrême droite qui elles sont réelle comme le montre les faits.

Je ne suis pas un milicien, je suis syndicaliste je défends des travailleurs, je ne frappe pas les gens.

Vous, personnellement, peut-être pas. Mais vos copains le sont. Ce sont des miliciens qui tabassent les gens.

Et puis, votre défense des travailleurs... Peut-on appeler ça "défendre les travailleurs"...

Faudrait réussir à intégrer cette donnée une bonne fois pour toute.

Figurez-vous que je ne m'occupe pas que de votre petite personne. Mais de l'ensemble de vos mouvements. Mouvements que vous soutenez.

Pour revenir au sujet, nous avons une horde de brutes qui s'en prend à toute une population pour un cas, et avec une violence inouïe, au mépris de toute idée de justice élémentaire.

Horde que tu défends ici par un discours visant à me faire passer pour un violent, ce que je ne suis pas. J'ai pas une condamnation à mon actif petit bonhomme, alors garde tes assertions, continues ton mépris global et encourage ces milices d'extrême droite qui elles sont réelle comme le montre les faits.

Je ne défend pas ces émeutiers (et non pas "horde"). Je vous dénie le droit de juger ces gens là, puisque vos mouvements ne valent pas mieux.

Et vous êtes violent. Peut-être pas physiquement. Mais vos idées et votre façon de vous exprimer sont violentes. De la violence intellectuelle à la violence physique, le pas est vite sauté. L'une justifiant l'autre.

Je n'aime pas les émeutes, qui sont contraires à l'ordre et à la justice. Néanmoins, les raisons qui y poussent peuvent être en partie légitimes dans certains cas.

Quant à parler de milices, commencez par regardez les vôtres.

Enfin, je fais une petite parenthèse sur vos choix de mots. Nous avions déjà vu que vous animalisiez vos adversaires. Ici, vous continuez: l'emploi du mot "horde" montre que vous les considérez non comme des humains mais comme des bêtes sauvages.

Et après, vous voulez faire croire que vous n'êtes pas violent?

Je m'arrête juste à la première ligne avant d'aller plus loin.

Mes copains ne tapent pas les gens non plus. Mes copains, ils sont pères de famille, tranquilles, et bien loin de mes revendications syndicales.

Mes camarades en revanche, du syndicat, sont aussi pères de famille, et non violents, mais ils partagent mais revendications.

La violence, elle est en face. Pas chez nous. En 2 ans de syndicalisme, je n'ai JAMAIS assisté à de la violence de notre part. Je dis pas que ça existe pas, mais c'est très rare, parce qu’on n'est pas ce que tu prétends.

Bizarrement, moi qui suis en face, je retrouve fréquemment des antifas venir nous cracher à la gueule, nous insulter, nous hurler dessus. Et quand ils viennent, ce n'est pas avec des ballons. Sans les policiers, ça tournerait mal.

Mais ce n'est pas de la violence, ça. Juste du débat démocratique, n'est-ce pas? C'est comme le p'tit Méric qui est allé agresser Esteban Morrillo. En fait, il voulait lui faire un calin!