L'enquête qui flingue les syndicats: "Beaucoup d’argent part dans les poches"

En revanche, un syndicalisme de branche totalement apolitique est sans doute à généraliser. C'est déjà le cas dans mon secteur d'activité et ça se passe très bien, avec de nouveaux acquis etc.

En effet car la "politicalité" du syndicalisme est toujours ce qui m'a rebutée. Surtout qu'elle a toujours tendance à être du même coté.

Ça et leur agressivité m'a toujours empêcher de me syndicaliser. Ce rendant la discussion plus compliquée avec ma hiérarchie.

A la CNT, ya pas de subvention, pas d'argent, pas de poche. Nous fonctionnons en auto gestion, sans permanents payés, par champs syndical. Par exemple, le bâtiment, c'est du bûcheron à l'architecte.

Ceci n'est qu'un tissu de mensonge, il faudrait faire interdire ce livre ! En tout cas moi, je ne vais pas en rester là, je compte bien attaquer les auteurs de ce torchon en diffamation ! Perso, faisant partie moi-même d'un syndicat, la CGT pour ne pas le nommer, je peux vous assurer que mes camarades et moi oeuvront coeur et âme pour l'intérêt des travailleurs, l'argent est secondaire, voire superfétatoire ! Puis faut pas oublier que les congés payés, c'est grâce à nous, et pour ça nous avons bien mérité une récompense pécuniaire à vie ! Ceci étant dit, nous continuons la lutte contre le patronat fasciste et nous invitons ceux qui se sentent opprimés et spoliés par les patrons de rejoindre nos rangs, ya des saucisses, des merguez et du pinard pour tous !

Non les congés payés c'est grâce aux travailleurs dans leur ensemble qui ont revendiqués.

Je serais partisan d'une obligation, ou d'une incitation forte qui mécaniquement amènerait une syndicalisation en masse puis s'inspirerait du modèle allemand qui conduit à des accords gagnants gagnants. Bon en France, c'est looser looser depuis des années.

Je pense pas que l'Allemagne sortir un modèle à suivre, il y une pauvreté immense qui se développe et dans certaines régions l'espérance de vie diminue.

Hum hum, Ptit Nono c'était une blague, on l'a déjà dit.

Pour l'Allemagne, le mode de raisonnement peut prêter à la critique : ce n'est pas parce qu'il y a de la précarité ou d'autre soucis que c'est parce que le modèle syndical est mauvais.

Détaillons un peu : il y a un arrêt de l'espérance de vie partout en pays occidentaux et... le syndicalisme allemand c'est pas bien ?

Il y a des difficultés économiques partout et un appel à la flexibilité accrue partout et... le syndicat allemand c'est pas bien ?

Il y a pas de baise de l'espérance de vie dans l'ensemble de l'Europe à part pour les personnes pauvres et les allemand sont de plus en plus nombreux.

C'est l'espérance de vie en bonne santé qui à réduit dans certains pays.

Oui, je suis d'accord avec ta façon de raisonner, aux multiples implications :

- La constante cosmologique d'Einstein jette un doute sur le sérieux de la relativités.

- Les histoires de Freud avec la bonne montrent combien ses théories n'ont aucun sens.

- Quand on voit l'Allemagne des années 30, on imagine combien les audi sont des caisses pourries...

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Hum hum, Ptit Nono c'était une blague, on l'a déjà dit.

Pour l'Allemagne, le mode de raisonnement peut prêter à la critique : ce n'est pas parce qu'il y a de la précarité ou d'autre soucis que c'est parce que le modèle syndical est mauvais.

Détaillons un peu : il y a un arrêt de l'espérance de vie partout en pays occidentaux et... le syndicalisme allemand c'est pas bien ?

Il y a des difficultés économiques partout et un appel à la flexibilité accrue partout et... le syndicat allemand c'est pas bien ?

Bonjour MartinHenry,

Effectivement, les syndicats Allemands sont bien plus productifs et progressistes qu'en France. La précarisation en Allemagne a su s'adapter en "collant" au mieux à la réalité économique du moment et les CDD alimentent faute de mieux la flexibilité absolument nécessaire en la circonstance et ceci vaut bien mieux que nos fameux emplois d'avenir à la Francaise sans pour autant éradiquer une précarité ni même le développement du travail au noir ...

Bref, vous savez, d'aucuns prendront toujours un contre pied systématique de principe au nom et sous les auspices d'une mauvaise foi, parfois même inconsciente et contre productive du reste.

Je crois que c'est Lincoln qui disait à peu près ceci: on est réellement devenu un homme que lorsque l'on sait reconnaître quand on se trompe...

Fin de la discussion pour moi.

Aaaah les joies du communisme/

bonjour Surimuchan ,Ah ! Misérable que je fus et que je persistes à être ! Imaginez la lourde tare , puisqu'en dépit de la liberté -indépendance -bonheur acquis par certains peuples d'Asie que j'ai combattus au nom des plantations de caoutchouc Michelin ,je reste persuadé de la nuisance du communisme international ! Raison qui me pousse à demeurer ,comme le dit Pt'it Nono ,un petit patron fasciste & oppresseur (des masse populaires ) ça va de soit . Songez un instant à l'énorme préjudice subit par les gars du chantier ,lorsqu'ils convoyent un bateau sortant de réparation ,seulement pourvus de vins de Loire & de nos produits locaux ,ce en place de merguez et gros rouge d'Algérie ;quel scandale en effet !

Je dois à la vérité de dire ici qu'il y a pire : Le richissime patron-pêcheur * propriétaire du bateau remis en état ,offre même une tournée quand ce n'est pas un bon repas franco-Breton ça va également de soit .

* Afin que nul n'ignore :les patrons-pêcheurs ,sont comme votre serviteur ,d'ignobles crapules pleins aux as ,n'en fichant pas une rame ,aux frais des syndicalistes qui eux bien sûr font tout ; même qu'on se demande bien comment car de mémoire de marin-pêcheur on en a jamais vu la queue d'un sur un chalutier !

bonjour Surimuchan ,Ah ! Misérable que je fus et que je persistes à être ! Imaginez la lourde tare , puisqu'en dépit de la liberté -indépendance -bonheur acquis par certains peuples d'Asie que j'ai combattus au nom des plantations de caoutchouc Michelin ,je reste persuadé de la nuisance du communisme international ! Raison qui me pousse à demeurer ,comme le dit Pt'it Nono ,un petit patron fasciste & oppresseur (des masse populaires ) ça va de soit . Songez un instant à l'énorme préjudice subit par les gars du chantier ,lorsqu'ils convoyent un bateau sortant de réparation ,seulement pourvus de vins de Loire & de nos produits locaux ,ce en place de merguez et gros rouge d'Algérie ;quel scandale en effet !

Je dois à la vérité de dire ici qu'il y a pire : Le richissime patron-pêcheur * propriétaire du bateau remis en état ,offre même une tournée quand ce n'est pas un bon repas franco-Breton ça va également de soit .

* Afin que nul n'ignore :les patrons-pêcheurs ,sont comme votre serviteur ,d'ignobles crapules pleins aux as ,n'en fichant pas une rame ,aux frais des syndicalistes qui eux bien sûr font tout ; même qu'on se demande bien comment car de mémoire de marin-pêcheur on en a jamais vu la queue d'un sur un chalutier !

Au cas où tu n'aies pas compris le post auquel tu répond étais du second degré, de l'irone, de la satire, de la raillerie, de l'humour en somme ^^"""

L'enquête qui flingue les syndicats: "Beaucoup d’argent part dans les poches"

Roger Lenglet et Jean-Luc Touly, auteurs du livre "Syndicats, corruption, dérives, trahisons", ont dénoncé mercredi sur BFMTV le fonctionnement actuel des syndicats en France.

"Syndicats, corruption, dérives, trahisons", l'énumération est cruelle. Le livre de Roger Lenglet et Jean-Luc Touly, qui paraîtra jeudi, n'épargne pas le monde syndical, en y dénonçant de nombreuses dérives. Après plus de trois années d’enquêtes au sein d'entreprises publiques comme privées, les deux journalistes ont mis au jour un "système mafieux", qu'ils ont décrit sur BFMTV mercredi midi.

Corruption et détournements

Roger Lenglet et Jean-Luc Touly rappellent que la dernière loi sur les syndicats date de 1884, et qu'en vertu de ce texte, ni les organisations syndicales ni les comités d’entreprise n’ont l'obligation de faire certifier leurs comptes. "Dans les grands comités d’entreprises comme la SNCF, la RATP, EDF ou Air France, on constate que des centaines de millions d’euros sont attribués chaque année aux comités d’entreprises; une grande partie est dévoyée et va malheureusement dans les fédérations syndicales des secteurs d’activités concernés", explique Jean-Luc Touly.

"Ça se joue sur des milliards, renchérit Roger Lenglet, si l'on regarde toutes les sources de financement, y compris le fait de siéger dans des organismes paritaires comme le 1% logement, la Sécurité sociale, la formation professionnelle. Beaucoup d’argent part dans des poches personnelles, à travers des systèmes de fausses facturations de rétrocommissions, ou tout simplement de fausses factures".

Harcèlement moral et licenciement abusif

Les deux journalistes rappellent que l’ancien numéro un de la CGT, Bernard Thibault, avait réussi à faire embaucher son épouse et ses enfants au sein du comité central de la SNCF.

Ils citent aussi le cas du prestataire de service chargé d’organiser l’arbre de noël du comité central de la SNCF: "Il avait été obligé de payer une publicité dans le journal de la fédération CGT des cheminots pour pourvoir avoir le marché".

Les deux journalistes ont réussi à recueillir de nombreux témoignages de l'intérieur, mais non sans peine, et dénoncent à propos "un véritable système de harcèlement moral et de licenciement". Ainsi, "le contrôleur de gestion a été licencié de façon abusive", selon eux, après les avoir informés.

Ils ajoutent aussi que de nombreux syndicalistes sont ulcérés par les pratiques internes et veulent faire bouger les choses.

Une "insulte" pour Laurent Berger

Quelques bonnes feuilles de cette enquête ont déjà été publiées dans L’Express cette semaine, titré en une "Pourquoi les syndicats sont nuls", sur un montage de photos de trois militants vus de dos et portant les logos de la CGT, de la CFDT et de FO.

La couverture a déjà fait réagir le numéro un de la CFDT, Laurent Berger. "La couverture de L'Express aujourd'hui est une insulte à l'action des militants de terrain et aux plus de 800.000 adhérents de la CFDT", affirme-t-il dans un tweet. "Les syndicats sont peut-être imparfaits mais ils ne sont pas nuls", a-t-il ajouté dans un autre tweet.

BFMTV

sauf que l'auteur a été reçu sur Europe 1 hier et s'est expliqué sur son livre qui n'est pas du tout un livre contre les syndicats mais pour défendre les vrais syndicats qui défendent les employés et que l'express et autres médias,sans l'avoir lu,ont fait l'amalgame comme le commun des mortels entre syndicats vendus et honnête pour faire du sensationnel.

Les syndicats vendus aux patrons c'est pas un scoop pour nous,on le sait depuis longtemps,méme nos dirigeants sont plus ou moins vendus mais ça nous empêche pas à notre niveau de défendre les employés ou de nous battre contre des mauvais accords comme le contrat social en ce moment. Quand on as compris que pour tout changement aux conventions collective les patrons ont besoins de l'accord des syndicats on a compris l'intérêt d'acheter des syndiqués et donc leurs voix mais ça on vous le dit pas!

Moi je suis entièrement d'accord pour mettre les choses au clair et voir d'oú vient l'argent et les abus et la on verrait que ça vient du patronnât qui y trouve son compte en protégeant des assistants de délégués qui ont 35h de délégation par semaine et ne bossent même pas alors que d'autres n'ont mêmes pas d'heures pourtant en étant délégué.

Enfin bref j'écris dans le vide!

Bonsoir à tous (presque),

Les syndicats sont nécessaires au dialogue social notamment.Tels qu'ils existent et surtout qu'ils fonctionnent en France, ils devraient être dissous et réinventés selon une inspiration Allemande. La mafia syndicale en France n'est pas combattue. Une seule question: pourquoi?...

j'ai répondu à ta question dans mon post précédent en parlant des changements aux conventions collective.

"Ça se joue sur des milliards, renchérit Roger Lenglet, si l'on regarde toutes les sources de financement, y compris le fait de siéger dans des organismes paritaires comme le 1% logement, la Sécurité sociale, la formation professionnelle. Beaucoup d’argent part dans des poches personnelles, à travers des systèmes de fausses facturations de rétrocommissions, ou tout simplement de fausses factures".

Ce serait bien de dire combien et de donner des exemples.

Parce que là, ça fait plus rumeur ressassée une millième fois qu'enquête sérieuse.

les syndicats enfin je parle de leurs dirigeants sont comme les politiques, ils sont trop loin des salaries dont ils disent qu'ils défendent leurs droits. Pour ma part je fait partie d'une profession qui a pour la premier fois l'année dernière pu voter pour avoir des représentants sindicaux . Le hic a part une campagne papier et c’était juste leur profession de fois, aucune réunion n'a été fait par les dit syndicats afin de nous rencontrer nous les électeurs. Cette élection a été un flop et puis pour ma part les syndicats de nos jours sont trop proches des politiques, ce qui explique que peu de salaries leur font confiance. (il suffit de voir comment le dossier retraire a été traité par les syndicats qui ne nous ont jamais demandé à nous les salaries notre avis (un simple questionnaire aurait été le bienvenu je pense) .

Viens chez nous, tu ne seras pas déçue.