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À partir de Rien.

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Verax

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Membre, Posté(e)
Verax Membre 809 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

tellement vrai ...

Si il ouvre le réfrigérateur et qu'il n'y a rien dedans, c'est qu'il vous montre le réfrigérateur tout simplement! Là, vous êtes comme ces fous qui regardent le doigts lorsqu'on leur montre la lune avec. :p Cherchez la lune, pas le doigt, vous pourrez ainsi échanger un doigt d'honneur pour un rien d'honneur.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 989 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Alors, je vais faire court, face à quelqu'un qui se contredit carrément, quelqu'un qui n'est même pas capable de le reconnaître lorsque mis devant le fait accompli, alors je me dis qu'on me prend pour un vrai stupide et qu'on insulte le rien d'intelligence que j'aurais.

Aucun scientifique n'a la prétention d'expliquer le monde, juste de faire des modèles qui collent au faits, personne ne le peut d'ailleurs, puisque déjà au niveau de l'individu, il ne perçoit qu'une infime partie de son environnement, lui-même étant une fraction de ce monde, ça serait un peu l'aspirateur qui s'aspire, l'auto-référencement n'est pas possible, sans conduire à un paradoxe.

C'était en référence à l'exemple

Tout auto référencement ne conduit pas à un paradoxe bien sûr, mais je suis effectivement curieux de connaitre ta vision du paradoxe du menteur!

C'était une non généralité

Moi, je connais quelqu'un qui disait le contraire soit : ''l'auto-référencement n'est pas possible, sans conduire à un paradoxe''.

Si, pour un rien, c'était toi, alors je me dirais qu'il y a contradiction dans les propos de cette personne. Je sais si tu le reconnais de ton côté, mais moi je sais qui c'était.

Cherche l'erreur

P.S.: si tu trouves pas, regarde la date de publication des messages, et tu verras que je n'ai pas attendu ta remarque pour préciser ma pensée.

Modifié par deja-utilise
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Membre, 44ans Posté(e)
malnoir Membre 88 messages
Baby Forumeur‚ 44ans‚
Posté(e)

Si il ouvre le réfrigérateur et qu'il n'y a rien dedans, c'est qu'il vous montre le réfrigérateur tout simplement! Là, vous êtes comme ces fous qui regardent le doigts lorsqu'on leur montre la lune avec. :p Cherchez la lune, pas le doigt, vous pourrez ainsi échanger un doigt d'honneur pour un rien d'honneur.

vous fondez votre argumentation sur une contradiction. Vous dite que le rien est quelque chose, ce qui est totalement faux. Rien ne peut pas par définition être quelque chose. Car vous confondez ce qui est avec ce qu'il y a. Le rien est un concept qui se rapporte uniquement à la chose et ne se rapporte pas à l'être.

Il y a donc toujours un cadre existentiel au rien, car pour qu'il n'y est rien il faut qu'il puisse y avoir quelque chose.

Mais cela ne résous en rien la question que vous essayez de répondre qui a été posé par des gens comme Heidegger Sartre ricoeur etc qui est celle de la genèse de l'existence. Est ce qu'il y a au départ une affirmation de l'être ou une négation de l'être ?

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Membre, Posté(e)
Verax Membre 809 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Aucun scientifique n'a la prétention d'expliquer le monde, juste de faire des modèles qui collent au faits, personne ne le peut d'ailleurs, puisque déjà au niveau de l'individu, il ne perçoit qu'une infime partie de son environnement, lui-même étant une fraction de ce monde, ça serait un peu l'aspirateur qui s'aspire, l'auto-référencement n'est pas possible, sans conduire à un paradoxe.

C'était en référence à l'exemple

Tu connais tous les scientifiques, toi? Tu crois que fabriquer un modèle cherchant à expliquer le monde, c'est pas chercher à expliquer le monde via un modèle, toi? Tu crois que personne ne peut expliquer le monde, toi? Tu crois que parce l'individu que tu es ne sait pas tout, personne ne pourrait comprendre le tout, toi? Tu crois qu'un aspirateur qui s'aspire, c'est pas possible, toi? Tu crois savoir ce qui ferait qu'un aspirateur est un aspirateur toi? Tu crois qu'un aspirateur qui ne fonctionne plus peut encore être qualifier d'aspirateur, toi? Tu crois que les croyances que tu évoquerais ici serait un auto-référencement, toi? Tu crois savoir ce qu'est un paradoxe toi? Tu crois avoir mis assez de précision et n'avoir oublier aucun mot dans ton texte, toi?

Moi pas. Il y a tellement de généralité dans ton texte que c'est l'exemple même de la généralité que tu offres comme exemple.

Tout auto référencement ne conduit pas à un paradoxe bien sûr, mais je suis effectivement curieux de connaitre ta vision du paradoxe du menteur!

C'était une non généralité

Tu crois qu'en disant ''tout'', tu ne généralises pas, toi?

Cherche l'erreur

Pourquoi donc, l'erreur serait justement de chercher l'erreur, elle est déjà évidente.

P.S.: si tu trouves pas, regarde la date de publication des messages, et tu verras que je n'ai pas attendu ta remarque pour préciser ma pensée.

Et bien, je considère donc que l'erreur fait date. Tu n'aura pas eu besoin de moi pour préciser ta contradiction.

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Membre, Posté(e)
Verax Membre 809 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

vous fondez votre argumentation sur une contradiction. Vous dite que le rien est quelque chose, ce qui est totalement faux. Rien ne peut pas par définition être quelque chose. Car vous confondez ce qui est avec ce qu'il y a. Le rien est un concept qui se rapporte uniquement à la chose et ne se rapporte pas à l'être.

Il y a donc toujours un cadre existentiel au rien, car pour qu'il n'y est rien il faut qu'il puisse y avoir quelque chose.

Mais cela ne résous en rien la question que vous essayez de répondre qui a été posé par des gens comme Heidegger Sartre ricoeur etc qui est celle de la genèse de l'existence. Est ce qu'il y a au départ une affirmation de l'être ou une négation de l'être ?

Et non, nous fondons notre argumentation sur la précision. Nous disons que le rien dont nous parlons et d'où nous cherchons à partir, est justement quelque chose, ce qui est absolument vrai, comme une chose sans importance l'est, comme la moindre des choses l'est. Ce rien est quelque chose par définition, et c'est vérifiable dans tous les dictionnaires, qui sont justement les recueils par excellence en ce qui concerne les définitions. Nous ne confondons en rien ce rien avec le rien de ''ne rien'', nous précisions ce qu'il est parmi les définitions qu'il y a sous ce mot, nous précisons qu'il y a celle du nom, et c'est de celle-là dont nous parlons. Ce rien n'est pas un concept, c'est une chose en soi, cette chose est, c'est un être en bonne et due forme, elle se rapporte à l'être également en tant qu'un être, dans le rapport existant entre un être et l'être, dans le rapport de propriété qui existe entre les deux, soit que l'être a tous les êtres pour être et qu'un être a l'être pour n'en être qu'un, soit que l'être n'est pas un être tout comme la chose n'est pas l'idée de la chose.

Nous remarquons la confusion qui t'habite dans ce que nous avons mis en gras dans ton énoncé, soit que tu confonds être et avoir, ''qu'il n'y est rien'' en lieu et place de ''qu'il n'y ait rien'', nous pensons que ce petit rien n'est certainement rien pour toi, mais il est révélateur pour nous.

Nous n'essayons pas de répondre à une question quelconque, nous expliquons simplement ce qui arrivera lorsque nous finirons par partir de rien, nous partiront de ce qui existe comme étant la moindre des choses, et nous lui donneront de l'amplitude, le feront grossir, se transformer jusqu'à devenir tout un univers, un univers différent de ce petit rien qu'il était au départ.

Au départ, nous posons qu'un être, qui n'est pas l'être, s'affirmera à partir de ce qu'il n'est pas, qu'il s'engouffrera dans ce qui s'affirme comme étant différent de lui, l'être, et finira par le comprendre et donner ainsi naissance à tout l'univers.

Nous ne sommes qu'un petit monsieur tout le monde, et nous affirmons l'autoréférence de notre propre identité lorsque nous évoquons l'univers, car nous sommes comme lui, c'est la moindre des choses, nous ne sommes que de l'espace divisé et amalgamé, un phénomène émergeant.

De nous à toi, car nous sommes l'image du vous que tu interpelles.

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Invité Dompteur de mots
Invités, Posté(e)
Invité Dompteur de mots
Invité Dompteur de mots Invités 0 message
Posté(e)

Verax est arrivé ici avec une idée de base, le rien n'est pas nulle chose, ce que confirment tous les ouvrages digne de ce nom, il a posé ce rien comme étant la chose la moins importante qui soit, la plus insignifiante, qu'il a désigné comme étant la moindre des choses pour lui.

Ah oui ? Quels sont ces fameux "ouvrages digne de ce nom" ?

Alors Verax ne demande qu'un minimum de respect à la visite, soit de se présenter à la bonne adresse.

Et le respect de l'hôte ?

Refais tes classes l'ami, commence par lire, peut-être finiras-tu par voir que les mots t'auront ridiculisé et pas à peu près.

Avant d'écrire toutes sortes de clowneries insignifiantes comme tu le fais, je t'invite à songer que la vie est courte. T'auras même pas le temps de t'en rendre compte et déjà t'auras expiré. Tout ce que tu crois acquis, c'est de la merde. Toute ton existence à la con, la nature chie déjà dessus. Dans le pire des cas, Dieu n'existe pas et dans le meilleur, il se fout carrément de toi. Comme nous tous, tu es une larve, laide, conne et inutile. Tu es un numéro dans l'industrie de la nature et là t'es sur la ligne pour te faire broyer. Et il s'en vient le broyeur, rapidement. Ton existence, c'est un quart de milliardième de seconde dans une journée de travail de la nature. Tu existe à peine. Tu pourrais ne pas exister. Le pire c'est que la nature s'en fout de son travail. C'est même pas un travail, c'est un divertissement. Elle a décidé de faire toute cette connerie parce qu'elle s'emmerdait. Alors un beau jour elle a lancé tout le bal: big-bang et etc. Comme ça, sans raison. Ce qui fait que ta vie, elle sert à rien. Ça pourrait arrêter soudainement. La nature pourrait se mettre à s'emmerder et tout foutre en l'air. Envoyer la terre au rancart. T'as qu'une chance de rédemption, une seule minuscule. Elle ne tient que par un fil: c'est que tu n'es pas seul sur le convoyeur qui t'amène rapidement vers le broyeur. Tout ce que t'as, c'est un court laps de temps pour établir quelque chose avec les autres. Pourquoi établir quelque chose ? Qu'importe ! T'as pas le temps de te poser cette question. C'est la seule chose que t'as à faire, puisque la nature c'est de la merde. Établir quelque chose de sincère avec les autres, de profond, de durable qui pourrait même - qui sait - toucher ceux qui suivront. Mais toi t'es là, sur le convoyeur, qui va vers le broyeur, et tu fais le con, tu fais le fanfaron, t'écris des conneries. T'es tout bandé d'être un gros mammifère sur la terre. Tu crois que t'es malin, que t'es cool. Tu crois que t'as le temps de parler de "rien". T'es heureux de parler de "rien" et d'écrire des conneries. Alors que les autres te regardent et, même s'ils trouvent pas les mots pour le dire, tous t'implorent de dire quelque chose de beau, quelque chose qui rende toute cette existence insensée plus supportable. Ils t'implorent de leur tendre quelque chose, quelque chose qui leur sera important, dont ils se souviendront, que d'autres pourront saisir après. Et tu les ignores. Tu fais comme si ça existait pas. Tu te dis "faut être cool quoi". Comme tout le monde. Enfin, comme ceux qui voient rien. Comme ceux qui sont bandés d'être des gros mammifères sur la terre. Tu vois pas les yeux et les tripes qui se serrent, qui implorent en silence, derrière les airs de cool. Toi-même t'as les yeux qui implorent et les tripes qui se serrent. Et tu le sais même pas. Parce que t'es trop occupé à être cool et à écrire des conneries. T'es trop occupé à être bandé d'être un gros mammifère sur la terre. Alors que le broyeur s'en vient et qu'il demande que ça de te broyer et que, sûr, aussi sûr que 2 et 2 font 4, il va finir par te broyer. Inévitablement. Et qu'alors ta coolitude, la nature elle va pisser dessus pour une éternité ou deux. Ou trois. Elle va se torcher avec. Et encore, elle va peut-être hésiter. Elle va peut-être se dire que c'est pas assez noble pour ses fesses. Tu ne seras peut-être même pas à la hauteur de cette utilité. Cela dit, je dis ça comme ça hein. Si t'as envie de parler de "rien", sens-toi à l'aise. Si tu veux écrire des conneries, dire des choses que tu ne penses pas vraiment, que t'écris juste pour faire le cool, juste pour te donner une contenance, je t'en prie. Comme disent les blaireaux: "la vie t'appartient" ! laugh.gif

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Membre, Posté(e)
Verax Membre 809 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Ah oui ? Quels sont ces fameux "ouvrages digne de ce nom" ?

Ben déjà si tu le sais pas, t'es mal barré. Ce sont ceux qui contiennent les définition des mots que tu penses pouvoir dompter. Ceux qu'utilisent le peuple, tu sais, le peuple, ces gens qui ne se prennent pas pour d'autres.

Et le respect de l'hôte ?

Il est à l'image de celui de l'invité, lorsqu'il s'invite et qu'il étale sa merde partout, ben faut pas qu'il s'étonne de se retrouver badigeonner avec. T'as le merci à la hauteur du présent que t'offres, tu le mérites amplement.

Pour le reste, ta permission, j'en ai pas besoin. T'as qu'à retourner à ta vie de merde, tes pensées de merde et la merde que tu produis, je m'en tape. Pourquoi faire autrement puisque c'est ce que tu penses être, c'est ta nature. Si ça te dépasse, moi pas. Cherche pas à comprendre, t'en es pas capable. En fait, je te digère et j'éructe, c'est toute la valeur que t'as pour moi, la même que tu t'accordes, c'est juste et équitable, c'est dans ma nature.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 989 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Tu connais tous les scientifiques, toi?

Non, mais la démarche scientifique est la même pour tout scientifique!!!

Moi pas. Il y a tellement de généralité dans ton texte que c'est l'exemple même de la généralité que tu offres comme exemple.

Euh non, quand on part d'un exemple ou deux, puis qu'on en dégage une propriété commune, on est encore loin de pouvoir généralisé, et quand j'ai donné cette propriété je savais déjà qu'elle n'était pas universelle. Qui peut écrire tous les détails, et prendre toutes les précautions, possibles interprétations dans son propos? personne! c'est un débat, pas une encyclopédie que l'on chercherait à établir, mais qu'importe, justifions: si j'écris une phrase avec un certain nombre de mots qui peuvent chacun avoir plusieurs sens, utilités, que l'assemblage de mots puisse avoir un contexte plus ou moins lâche, être rattaché à un autre assemblage de mots, et qu'en même temps je tente de préciser chaque mot, chaque couplage de mots, chaque possibilité d'interprétation/généralisation de sens qui pourrait en résulter en extrapolant la signification première de cette première phrase, je vais considérablement augmenter la taille de mon texte, mais le pire/l'horreur d'une telle démarche, c'est qu'il n'y a strictement aucune raison de s'arrêter au rang 1, il faudra à nouveau recommencer, au rang 2 etc, ce qui fait que je devrai écrire ici, pratiquement toute mon histoire, celle que j'en connais du monde extérieur, sans oublier le moindre petit détail, mais même en faisant cela je ne serai pas exhaustif, puisque bon nombre de mes connaissances/acquisitions ne sont pas de mon fait, parfaitement prouvables, je n'arriverai donc pas au but recherché, par contre j'aurai pollué inutilement mon propos initial d'une foultitude d'informations, in fine, non pertinentes pour ce que je voulais signifier. J'espère que tu te rends compte que ce que tu attends n'est pas atteignable/réaliste, mis devant les conséquences de tes injonctions!

Tu crois qu'en disant ''tout'', tu ne généralises pas, toi?

chaque = tous ≠ tout = n'importe quel, dans mon commentaire. Ben si t'as des problèmes avec la langue française, ce n'est pas étonnant que tu tournes dans le vide, pourtant tu sembles être quelqu'un qui connait les dictionnaires, je crois qu'il est temps que tu en ouvres un, alors. ( tu confonds avec le tout = l'ensemble )

Pourquoi donc, l'erreur serait justement de chercher l'erreur, elle est déjà évidente.

Et bien, je considère donc que l'erreur fait date. Tu n'aura pas eu besoin de moi pour préciser ta contradiction.

Il n'y a aucune erreur, c'est un espace de débat, où on cherche à préciser sa pensée justement!!!

Et encore moins une contradiction, mais ça c'est réservé à ceux qui comprennent ce que les autres disent. Je te ferai juste remarquer que tu n'es d'accord qu'avec toi-même, qu'aucun interlocuteur ne te suit, ne t'a suivi! C'est comme l'histoire connue: un type entend à la radio, il y a un fou qui roule à contre sens sur l'autoroute, et lui de s'exclamer, mais ils roulent tous à l'envers! Ben j'ai l'impression que tu es ce genre d'individus, mais je peux me tromper, le doute étant le meilleur conseillé....

Surtout que cela ne te décourage pas, puisque apparemment tu es tenace, j'ai bon espoir qu'en cherchant encore, tu finisses pas trouver quelques vérités, bonne chance quand même! ;)

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Membre, Posté(e)
Verax Membre 809 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Non, mais la démarche scientifique est la même pour tout scientifique!!!

T'as qu'à prendre la théorie des cordes et me dire si ceux qui travaillent la-dessus sont des scientifiques. T'as personne qui se limite à simplement produire des faits, ils interprètent tous ces faits, en font des théorie qui chercheraient à expliquer pourquoi ces faits surviennent. Alors cesse avec ton utopie, tous les cosmologistes essaient d'expliquer le monde, tout ceux qui cherchent une théorie du tout, qui n'existe peut-être même pas autrement que dans leur imagination, sont à la merci de leur croyance.

Euh non, quand on part d'un exemple ou deux, puis qu'on en dégage une propriété commune, on est encore loin de pouvoir généralisé, et quand j'ai donné cette propriété je savais déjà qu'elle n'était pas universelle. Qui peut écrire tous les détails, et prendre toutes les précautions, possibles interprétations dans son propos? personne!

C'est bien de se dédouaner de la sorte, t'en es pas capable, alors personne n'en est capable? C'est médiocre et ça sert d'excuse uniquement pour ceux qui ne cherchent pas le dépassement.

T'as généralisé à partir d'un exemple qui ne tient même pas logiquement la route, t'as seulement fait état d'un raisonnement qui te dépasse, que tu peux pas solutionner par toi-même, c'est tout.

c'est un débat, pas une encyclopédie que l'on chercherait à établir, mais qu'importe, justifions: si j'écris une phrase avec un certain nombre de mots qui peuvent chacun avoir plusieurs sens, utilités, que l'assemblage de mots puisse avoir un contexte plus ou moins lâche, être rattaché à un autre assemblage de mots, et qu'en même temps je tente de préciser chaque mot, chaque couplage de mots, chaque possibilité d'interprétation/généralisation de sens qui pourrait en résulter en extrapolant la signification première de cette première phrase, je vais considérablement augmenter la taille de mon texte, mais le pire/l'horreur d'une telle démarche, c'est qu'il n'y a strictement aucune raison de s'arrêter au rang 1, il faudra à nouveau recommencer, au rang 2 etc, ce qui fait que je devrai écrire ici, pratiquement toute mon histoire, celle que j'en connais du monde extérieur, sans oublier le moindre petit détail, mais même en faisant cela je ne serai pas exhaustif, puisque bon nombre de mes connaissances/acquisitions ne sont pas de mon fait, parfaitement prouvables, je n'arriverai donc pas au but recherché, par contre j'aurai pollué inutilement mon propos initial d'une foultitude d'informations, in fine, non pertinentes pour ce que je voulais signifier. J'espère que tu te rends compte que ce que tu attends n'est pas atteignable/réaliste, mis devant les conséquences de tes injonctions!

Parles-en au mathématiciens, dis-leur que leur langage est vague et sujet à interprétation selon ce principe que tu crois vrai car il fait partie de ta réalité, en oubliant bien sûr que ta réalité n'est pas la réalité.

chaque = tous ≠ tout = n'importe quel, dans mon commentaire.

Connais-tu la différence entre tout et ''tout''?

Chaque auto-référencement = n'importe quel auto-référencement. Tout auto-référencement = tous les auto-référencement.

En disant : Tout chat n'est pas blanc, tu généralises, puisque tu ne précises rien, ainsi tous les chats sont noirs revient logiquement à dire que tout chat n'est pas blanc.

En disant : Tout chat n'est pas blanc, il existe des chats blancs, tu précises, ça implique qu'il y a des chats blanc mais qu'ils ne le sont pas tous.

En disant : L'auto-référencement mène à un paradoxe, tu ne spécifie rien, tu désigne un élément faisant partie des ''universaux'', l'auto-référencement, et non un auto-référencement particulier, dans ce cas, tu le désigne avec une particule adapté : cet auto-référencement, un auto-référencement, l'auto-référencement dont je viens de parler, etc... Tu n'avais qu'à compléter tes phrases, à y mettre la précision via les mots nécéssaires. Sinon on interprètera toujours ton propos car il restera vague.

Pour ma part, je m'efforce d'être clair, lorsque je parle de la chose et que je ne la désigne pas, je ne parle pas d'une chose en particulier, mais bien de la chose en général, et lorsque je dis que tout x n'est pas rouge, alors j'ajoute que certains le sont quand même si ils ne le sont pas tous. C'est logique, rien de plus.

Ben si t'as des problèmes avec la langue française, ce n'est pas étonnant que tu tournes dans le vide, pourtant tu sembles être quelqu'un qui connait les dictionnaires, je crois qu'il est temps que tu en ouvres un, alors. ( tu confonds avec le tout = l'ensemble ).

Et non, j'ai des problèmes avec le vague et les vides. Quand je précise le ''tout'', c'est l'objet d'une citation, c'est le tout qui fait partie du connecteur universel logique et non un tout quelconque.

Tout ce que je dis n'est pas vrai. Ça veut autant dire que tout ce que je dis est faux que ça veut dire que je dis le vrai mais pas en totalité. C'est cet ambigüité qui est justement la clé pour résoudre le paradoxe du menteur.

Il n'y a aucune erreur, c'est un espace de débat, où on cherche à préciser sa pensée justement!!!

Dans ce cas, fais ton possible dès le départ, convainc-toi que c'est possible et tu pourras éviter les interprétations causées par ta paresse.

Et encore moins une contradiction, mais ça c'est réservé à ceux qui comprennent ce que les autres disent. Je te ferai juste remarquer que tu n'es d'accord qu'avec toi-même, qu'aucun interlocuteur ne te suit, ne t'a suivi! C'est comme l'histoire connue: un type entend à la radio, il y a un fou qui roule à contre sens sur l'autoroute, et lui de s'exclamer, mais ils roulent tous à l'envers! Ben j'ai l'impression que tu es ce genre d'individus, mais je peux me tromper, le doute étant le meilleur conseillé....

Et pourtant, j'ai précisé le rien en question, on peut retrouver sa définition précisée dans tous les dictionnaires. J'ai posé que c'était la moindre des choses, la chose sans importance, que je l'associais à l'espace physique, à l'objet espace. C'était d'une simplicité désarmante à comprendre, tellement simple pourtant, il n'y avait que ça à comprendre pour le moment, j'attendais qu'on me dise ''oui, c'est correct, c'est facile à comprendre, mais pour moi, ce rien ne serait pas l'espace, mais ceci ou cela...'' rien de plus et rien de moins. Alors oui, je suis le seul à rouler simplement dans le bon sens, à n'avoir pas pris le sens du néant, de l'absence, du vide ou de l'inexistence dont il n'était pas question, car je partais de quelque chose de tangible, pas d'un concept qui ne veut rien dire ou représenter, juste de quelque chose de simple.

Tu n'as pas compris, tu devais te demander, comme plusieurs autres l'auront fait, où je voulais en venir? Je ne cherche qu'à partir de rien, c'est ce rien que je cherche, la moindre des choses, la chose sans importance, et personne n'a compris que je ne voulais pas en venir à rien, juste à me mettre d'accord avant de partir, sur ce que serait ce tout petit rien, à débattre de ce rien et non de ce qui n'est pas ou de ce qui n'existe pas, à la limite, je peux débattre de ce qu'il ne serait pas, mais il sera autre chose que l'espace.

Alors penses que je suis à contre-sens, et je penserai comme pour vous tous, que vous ne comprenez pas les choses les plus simples.

T'as pas compris ça, et pourtant c'était rien de le faire, suffisait de lire.

À qui tu le dis! J'aurai réussi à faire comprendre à quelqu'un ce qu'il suffisait de faire. :p

Surtout que cela ne te décourage pas, puisque apparemment tu es tenace, j'ai bon espoir qu'en cherchant encore, tu finisses pas trouver quelques vérités, bonne chance quand même! ;)

Faut pas t'en faire, tu sais pas à quel point je peux être tenace, une vraie plaie. Pour la vérité, il suffit de commencer par savoir ce que c'est au minimum, ça ouvre toutes les portes, et la moindre des vérité, ben je sais ce que c'est, c'est ça qui est ça, rien de plus.

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Membre, le corps sur Terre, l'esprit ailleurs , 55ans Posté(e)
pascalin Membre 15 340 messages
55ans‚ le corps sur Terre, l'esprit ailleurs ,
Posté(e)

Pour ma part, je m'efforce d'être clair, lorsque je parle de la chose et que je ne la désigne pas, je ne parle pas d'une chose en particulier, mais bien de la chose en général, et lorsque je dis que tout x n'est pas rouge, alors j'ajoute que certains le sont quand même si ils ne le sont pas tous. C'est logique, rien de plus.

Et pourtant, j'ai précisé le rien en question, on peut retrouver sa définition précisée dans tous les dictionnaires. J'ai posé que c'était la moindre des choses, la chose sans importance, que je l'associais à l'espace physique, à l'objet espace. C'était d'une simplicité désarmante à comprendre, tellement simple pourtant, il n'y avait que ça à comprendre pour le moment, j'attendais qu'on me dise ''oui, c'est correct, c'est facile à comprendre, mais pour moi, ce rien ne serait pas l'espace, mais ceci ou cela...'' rien de plus et rien de moins.

Ton "rien" , c'est l'objet espace ?

Alors oui, je suis le seul à rouler simplement dans le bon sens, à n'avoir pas pris le sens du néant, de l'absence, du vide ou de l'inexistence dont il n'était pas question, car je partais de quelque chose de tangible, pas d'un concept qui ne veut rien dire ou représenter, juste de quelque chose de simple.

Pourtant ton concept de "rien" porte à confusion car la définition de ton "rien" est dans l'emploi courant : une chose sans importance ,sans valeur ,insignifiante , futile !

et l'emploi didactique de ce nom c'est : néant

Tu n'as pas compris, tu devais te demander, comme plusieurs autres l'auront fait, où je voulais en venir? Je ne cherche qu'à partir de rien, c'est ce rien que je cherche, la moindre des choses, la chose sans importance, et personne n'a compris que je ne voulais pas en venir à rien, juste à me mettre d'accord avant de partir, sur ce que serait ce tout petit rien, à débattre de ce rien et non de ce qui n'est pas ou de ce qui n'existe pas, à la limite, je peux débattre de ce qu'il ne serait pas, mais il sera autre chose que l'espace.

Alors penses que je suis à contre-sens, et je penserai comme pour vous tous, que vous ne comprenez pas les choses les plus simples.

Donc pourquoi tu cherches ce "rien" ? ou pourquoi tu ne cherches qu'à partir de ce "rien" ?

et la "chose" sans importance ,'est-ce une "chose" ?

je t'ai déjà dit que si tu voulais que l'on te comprenne , il va falloir aller vers les autres et donner maintenant plus d'infos pour faire avancer ton schmilblick et savoir vraiment ou tu veux en venir , si tu le sais et bien dis le .

Cool! Alors on construira à partir de petit rien qui nous unit, ce ridicule petit rien. :drinks:

On construira quoi ?

Au fait , l'autre question qui était aussi pour toi ,était celle-ci :

Est-ce que ce rien est un tout en puissance ?

Modifié par pascalin
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Membre, Posté(e)
Verax Membre 809 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Ton "rien" , c'est l'objet espace ?

Oui, et ce n'est pas que je ne l'aurais pas dit et redit. À force de se répéter, on finit par se dire que les autres sont sourds.

Pourtant ton concept de "rien" porte à confusion car la définition de ton "rien" est dans l'emploi courant : une chose sans importance ,sans valeur ,insignifiante , futile !

et l'emploi didactique de ce nom c'est : néant

Voilà justement l'idée que tu ne peux éviter, c'est une chose, c'est ce qu'est ce rien. Il n'a pas, pas d'importance, pas de valeur, pas de signification, mais il est. Il est ce qui n'a pas. Il n'a pas de place pour être, il est la place elle-même, il est l'espace nécessaire qualifiant tout ce qui est, car ce qui n'a pas de place, n'a même pas de place pour être. Ce rien est ce que tout ce qui est a pour pouvoir être.

Du néant, tu ne peux dire qu'il est ceci ou cela, c'est un non-sens, il n'est pas, tout court.

La moindre des choses, pour toi, ce serait le néant? Le néant serait?

Donc pourquoi tu cherches ce "rien" ? ou pourquoi tu ne cherches qu'à partir de ce "rien" ?

et la "chose" sans importance ,'est-ce une "chose" ?

Je ne cherche pas ce rien, je l'ai déjà trouvé. Je cherche le consensus, à savoir l'accord sur le point de départ, que l'on soit d'accord sur ce dont je parle, car si on n'est pas d'accord sur ce que c'est au départ, on sera mal parti et on reviendra sans cesse dessus.

La chose sans importance est une chose, c'est la chose qu'on oublie facilement, celle dont on se passe et qu'on considère comme acquise sans démonstration, celle qui n'a pas de valeur car tout le monde l'a, qui n'a pas de valeur car elle est surabondante.

je t'ai déjà dit que si tu voulais que l'on te comprenne , il va falloir aller vers les autres et donner maintenant plus d'infos pour faire avancer ton schmilblick et savoir vraiment ou tu veux en venir , si tu le sais et bien dis le .

Et moi je vois ça dans l'autre sens, si tu voulais comprendre ce dont je parle, alors fais un pas vers moi et pose une question, demande des éclaircissements. Ce n'est pas à moi à t'ouvrir l'esprit, c'est à toi de le faire et de montrer ton ouverture, je propose et tu disposes, et si tu n'as pas compris ce que je propose, alors dis ce que tu n'as pas compris.

Mais dis-moi, qu'est-ce que tu ne comprends pas au juste, ce rien dont je parle ou ce rien qui te parle, celui qui écrit les mots que tu lis?

On construira quoi ?

Une relation.

Au fait , l'autre question qui était aussi pour toi ,était celle-ci :

Est-ce que ce rien est un tout en puissance ?

Tout autant qu'un commencement serait une fin en puissance.

Ce rien, c'est tout ce qu'il faut pour qu'un tout ne soit pas un tout. Qu'il ne manque qu'un rien, et ce n'est pas tout, ce qui ne veut pas dire qu'il n'y aurais plus rien, car pour qu'il n'y ait plus rien, il faut que tout manque, tous ces riens qui finissent par former un tout.

Alors, que celui qui ne comprend pas expose ce qu'il ne comprend pas, on en discutera. Que celui qui ne comprend rien s'expose à ce que l'on ne le comprenne pas, c'est indiscutable.

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Membre, Posté(e)
isidort Membre 56 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Pourquoi souffres tu... pourquoi veux tu te détacher...pourquoi nous juges tu... pourquoi veux tu te grandir...pourquoi refuses tu notre proximité...pourquoi je te dégoûte je ne suis rien je n'existe déjà plus...pourquoi ne veux tu pas être dans la machine...pourquoi existes tu...pourquoi nous vois tu petit...pourquoi n'existes tu déjà plus...pourquoirefusestupourquoin'aimepourqoidieututetuepoehnfhevievievie....

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Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Oui, et ce n'est pas que je ne l'aurais pas dit et redit. À force de se répéter, on finit par se dire que les autres sont sourds.

Voilà justement l'idée que tu ne peux éviter, c'est une chose, c'est ce qu'est ce rien. Il n'a pas, pas d'importance, pas de valeur, pas de signification, mais il est. Il est ce qui n'a pas. Il n'a pas de place pour être, il est la place elle-même, il est l'espace nécessaire qualifiant tout ce qui est, car ce qui n'a pas de place, n'a même pas de place pour être. Ce rien est ce que tout ce qui est a pour pouvoir être.

Du néant, tu ne peux dire qu'il est ceci ou cela, c'est un non-sens, il n'est pas, tout court.

La moindre des choses, pour toi, ce serait le néant? Le néant serait?

Je ne cherche pas ce rien, je l'ai déjà trouvé. Je cherche le consensus, à savoir l'accord sur le point de départ, que l'on soit d'accord sur ce dont je parle, car si on n'est pas d'accord sur ce que c'est au départ, on sera mal parti et on reviendra sans cesse dessus.

La chose sans importance est une chose, c'est la chose qu'on oublie facilement, celle dont on se passe et qu'on considère comme acquise sans démonstration, celle qui n'a pas de valeur car tout le monde l'a, qui n'a pas de valeur car elle est surabondante.

Et moi je vois ça dans l'autre sens, si tu voulais comprendre ce dont je parle, alors fais un pas vers moi et pose une question, demande des éclaircissements. Ce n'est pas à moi à t'ouvrir l'esprit, c'est à toi de le faire et de montrer ton ouverture, je propose et tu disposes, et si tu n'as pas compris ce que je propose, alors dis ce que tu n'as pas compris.

Mais dis-moi, qu'est-ce que tu ne comprends pas au juste, ce rien dont je parle ou ce rien qui te parle, celui qui écrit les mots que tu lis?

Une relation.

Tout autant qu'un commencement serait une fin en puissance.

Ce rien, c'est tout ce qu'il faut pour qu'un tout ne soit pas un tout. Qu'il ne manque qu'un rien, et ce n'est pas tout, ce qui ne veut pas dire qu'il n'y aurais plus rien, car pour qu'il n'y ait plus rien, il faut que tout manque, tous ces riens qui finissent par former un tout.

Alors, que celui qui ne comprend pas expose ce qu'il ne comprend pas, on en discutera. Que celui qui ne comprend rien s'expose à ce que l'on ne le comprenne pas, c'est indiscutable.

bonjour

un rien serait donc rien mais , en puissance quelque chose .si ce rien n'est pas ,il manque quelque chose pour que ce quelque chose soit dans sa totalité réalisé ou complet .

disons que ce rien est un double : rien , mais quelque chose en puissance suivant la situation ou la nécessité .sans ce rien , aucune chose ne serait accomplie ou complète .

cela correspondrait bien au bigbang , puisqu'il est dit que , avant le bigbang ,il ni avait rien .mais , dans ce rien il y avais en puissance l'univers .

bonne journée

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Membre, Posté(e)
Verax Membre 809 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

bonjour

un rien serait donc rien mais , en puissance quelque chose .

Pas vraiment, ce rien est déjà quelque chose à la base, il est tout autre chose en puissance. Tu peux prendre l'exemple donné par Aristote, celui du bloc de marbre et de la statue, le bloc de marbre est déjà quelque chose à la base, tout comme la statue est un bloc de marbre différencié, seule la forme du bloc change, mais une statue est quand même un bloc de marbre.

si ce rien n'est pas ,il manque quelque chose pour que ce quelque chose soit dans sa totalité réalisé ou complet .

Manquer ne signifie pas ne pas être, être absent signifie que l'on n'est pas là, pas que l'on n'est pas tout court.

disons que ce rien est un double : rien , mais quelque chose en puissance suivant la situation ou la nécessité .sans ce rien , aucune chose ne serait accomplie ou complète .

Disons plutôt que ce rien est singulier, il forme le tout à lui seul.

cela correspondrait bien au bigbang , puisqu'il est dit que , avant le bigbang ,il ni avait rien .mais , dans ce rien il y avais en puissance l'univers .

bonne journée

Petite correction, avant le big bang, il n'y avait pas rien, en fait, on ne peut dire ce qu'il y avait, tout se confondait, c'est différent. Le big bang n'est que l'évolution de ce tout confondu et particulier. Ce tout est posé comme existant au départ, et le big bang n'est que sa différenciation, sa transformation.

Il ne faut pas confondre ce qu'on ignore et ce qui n'existe pas, ignorer ce que c'est ne veux pas dire que ce n'est pas, c'est juste qu'on ne parvient pas à lui donner un nom, une identité propre.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 989 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

T'as qu'à prendre la théorie des cordes et me dire si ceux qui travaillent la-dessus sont des scientifiques. T'as personne qui se limite à simplement produire des faits, ils interprètent tous ces faits, en font des théorie qui chercheraient à expliquer pourquoi ces faits surviennent. Alors cesse avec ton utopie, tous les cosmologistes essaient d'expliquer le monde, tout ceux qui cherchent une théorie du tout, qui n'existe peut-être même pas autrement que dans leur imagination, sont à la merci de leur croyance.

Aucun scientifique n'a la prétention d'expliquer le monde, juste de faire des modèles qui collent au faits

Décrire/prédire et expliquer ne sont pas la même chose!

Pour expliquer il faudrait pourvoir connaitre toutes les causes, et les causes des causes etc, ce qui est impossible en sciences physiques à l'heure actuelle, et pour longtemps encore, à un moment ou à un autre, on part d'un postulat, d'un fait/constat pris comme incompressible/fondamental, on ne fait donc que décrire et prédire.

Un dictionnaire fonctionne un peu sur ce même modèle, un mot est décrit à partir d'autres mots, eux-mêmes définis à partir d'autres et finalement tout ou en partie à partir du premier.

C'est bien de se dédouaner de la sorte, t'en es pas capable, alors personne n'en est capable? C'est médiocre et ça sert d'excuse uniquement pour ceux qui ne cherchent pas le dépassement.

T'as généralisé à partir d'un exemple qui ne tient même pas logiquement la route, t'as seulement fait état d'un raisonnement qui te dépasse, que tu peux pas solutionner par toi-même, c'est tout.

Connais-tu la différence entre tout et ''tout''?

Chaque auto-référencement = n'importe quel auto-référencement. Tout auto-référencement = tous les auto-référencement.

Je vais essayer de te mettre devant le panneau de sens interdit que tu as passé, alors que tu considères toujours que se sont les autres qui sont à contre-sens:

Prenons l'exemple issu du dictionnaire Le petit Larousse illustré 2013, pour la définition de Tout ( adj. indéf. ):

" toute vérité n'est pas bonne à dire ": c'est à dire qu'il y a des vérités qui sont bonnes à dire et d'autres non!

Revenons à ma phrase, et par analogie:

" Tout auto référencement ne conduit pas à un paradoxe bien sûr ": c'est à dire qu'il y a des auto-référencements qui conduisent à un paradoxe et d'autres non!

Si tu es de bonne foi, tu reconnaitra ton erreur de compréhension initiale, tout simplement.

Parles-en au mathématiciens, dis-leur que leur langage est vague et sujet à interprétation selon ce principe que tu crois vrai car il fait partie de ta réalité, en oubliant bien sûr que ta réalité n'est pas la réalité.

Faut croire que tu ne connais pas la logique floue, c'est à dire qui n'use pas du tiers exclu, ou que tu ne sois pas non plus initié à la crise des fondements des mathématiques, toujours d'actualité dans ces retombées, et si tu me connaissais au lieu de me juger, tu saurais que c'est justement mon combat ( c.f.: mon profil )

Tout ce que je dis n'est pas vrai. Ça veut autant dire que tout ce que je dis est faux que ça veut dire que je dis le vrai mais pas en totalité. C'est cet ambigüité qui est justement la clé pour résoudre le paradoxe du menteur.

Non, puisque le paradoxe du menteur ne repose pas sur cette possibilité: " je suis un menteur " est la version classique et qui est paradoxale, mais " Tout ce que je dis n'est pas vrai ", ne conduit pas à un paradoxe, comme dit aux-dessus, puisque cela veut dire: ce que je dis peut être vrai dans certains cas, et dans d'autre cas c'est faux.

Tu ne connais pas vraiment les problèmes de paradoxe, sinon tu n'aurais pas fait cette erreur.

Dans ce cas, fais ton possible dès le départ, convainc-toi que c'est possible et tu pourras éviter les interprétations causées par ta paresse.

J'ai déjà répondu:

Qui peut écrire tous les détails, et prendre toutes les précautions, possibles interprétations dans son propos? personne! c'est un débat, pas une encyclopédie que l'on chercherait à établir, mais qu'importe, justifions: si j'écris une phrase avec un certain nombre de mots qui peuvent chacun avoir plusieurs sens, utilités, que l'assemblage de mots puisse avoir un contexte plus ou moins lâche, être rattaché à un autre assemblage de mots, et qu'en même temps je tente de préciser chaque mot, chaque couplage de mots, chaque possibilité d'interprétation/généralisation de sens qui pourrait en résulter en extrapolant la signification première de cette première phrase, je vais considérablement augmenter la taille de mon texte, mais le pire/l'horreur d'une telle démarche, c'est qu'il n'y a strictement aucune raison de s'arrêter au rang 1, il faudra à nouveau recommencer, au rang 2 etc, ce qui fait que je devrai écrire ici, pratiquement toute mon histoire, celle que j'en connais du monde extérieur, sans oublier le moindre petit détail, mais même en faisant cela je ne serai pas exhaustif, puisque bon nombre de mes connaissances/acquisitions ne sont pas de mon fait, parfaitement prouvables, je n'arriverai donc pas au but recherché, par contre j'aurai pollué inutilement mon propos initial d'une foultitude d'informations, in fine, non pertinentes pour ce que je voulais signifier. J'espère que tu te rends compte que ce que tu attends n'est pas atteignable/réaliste, mis devant les conséquences de tes injonctions!

Et pourtant, j'ai précisé le rien en question, on peut retrouver sa définition précisée dans tous les dictionnaires. J'ai posé que c'était la moindre des choses, la chose sans importance, que je l'associais à l'espace physique, à l'objet espace. C'était d'une simplicité désarmante à comprendre, tellement simple pourtant, il n'y avait que ça à comprendre pour le moment, j'attendais qu'on me dise ''oui, c'est correct, c'est facile à comprendre, mais pour moi, ce rien ne serait pas l'espace, mais ceci ou cela...'' rien de plus et rien de moins. Alors oui, je suis le seul à rouler simplement dans le bon sens, à n'avoir pas pris le sens du néant, de l'absence, du vide ou de l'inexistence dont il n'était pas question, car je partais de quelque chose de tangible, pas d'un concept qui ne veut rien dire ou représenter, juste de quelque chose de simple.

Tu n'as pas compris, tu devais te demander, comme plusieurs autres l'auront fait, où je voulais en venir? Je ne cherche qu'à partir de rien, c'est ce rien que je cherche, la moindre des choses, la chose sans importance, et personne n'a compris que je ne voulais pas en venir à rien, juste à me mettre d'accord avant de partir, sur ce que serait ce tout petit rien, à débattre de ce rien et non de ce qui n'est pas ou de ce qui n'existe pas, à la limite, je peux débattre de ce qu'il ne serait pas, mais il sera autre chose que l'espace.

Dans ce cas c'est le vide des physiciens, l'absence de matière, à partir duquel tu ne peux rien créer de matériel, et donc tout est dit.

Pourtant:

Je ne confonds rien du tout, puisque je ne relativise même pas encore. J'en suis au point ou il n'y a rien qu'une seule chose qui existe, le petit rien en question. Ce petit rien n'est même pas là, c'est le lieu lui même. C'est un volume baignant dans sa surface. Le volume existe, la surface non.

Tout d'abord il n'y a pas besoin de comparateur/quantificateur quand tu parles de rien, "ce petit rien" n'a pas moins, ou plus, de valeur que "rien", il n'y a pas de petit ou grand rien, de même " le plus inutile " se met en bijection avec " inutile ", soit c'est utile, soit ça ne l'est pas, il n'y a pas de raison à cela, l'effet de style n'étant pas nécessaire puisque nous ne cherchons pas à susciter d'émotion.

Comme je te l'ai déjà fait remarqué Rien est polysémique, mais tu fais un mixte personnel de ces différentes interprétations, et tu es surpris, que d'une part on ne te suive pas et d'autre part, que ce n'est pas cohérent dans ton système.

le doute étant le meilleur conseillé....

Il ne te manque plus que cet ingrédient, le doute, pour sortir des ténèbres où tu t'es engouffré, même si tu ne fais pas confiance aux autres, essaie au moins de comprendre ce qu'ils cherchent à te montrer, ce sera de toute façon toujours à toi de faire le travail de raison, comme dirait Socrate ( maïeutique ), j'espère que j'aurais participé à te faire accoucher..... ;)

Modifié par deja-utilise
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Membre, le corps sur Terre, l'esprit ailleurs , 55ans Posté(e)
pascalin Membre 15 340 messages
55ans‚ le corps sur Terre, l'esprit ailleurs ,
Posté(e)

Tu assimiles ton "rien" à l'espace ,or si tu fais ça , ça ne reste plus le "rien" , cette "chose" impersonnelle , tu lui donnes une identité et une propriété , mais une "chose" ça n'a pas d'identité , de propriété :

Ce que tu oublies, mais je ne t'en veux pas, c'est que le rien dont il est question n'est pas rien, c'est la moindre des choses, le rien qui porte son nom et non celui qui se porte comme pronom jumelé. Si t'avais suivi, je dirais même si t'avais cherché à comprendre le moindrement ce dont il est question, ben t'aurais aussi vu que je l'assimile à l'espace.

Là ,tu dis que tu ne désignes pas la chose :

Pour ma part, je m'efforce d'être clair, lorsque je parle de la chose et que je ne la désigne pas, je ne parle pas d'une chose en particulier, mais bien de la chose en général, et lorsque je dis que tout x n'est pas rouge, alors j'ajoute que certains le sont quand même si ils ne le sont pas tous. C'est logique, rien de plus.

alors que là , tu l'assimiles à l'espace donc tu la désignes :

Ce que tu oublies, mais je ne t'en veux pas, c'est que le rien dont il est question n'est pas rien, c'est la moindre des choses, le rien qui porte son nom et non celui qui se porte comme pronom jumelé. Si t'avais suivi, je dirais même si t'avais cherché à comprendre le moindrement ce dont il est question, ben t'aurais aussi vu que je l'assimile à l'espace.

Là tu l'associes , ce n'est pas pareil ,donc tu lui fais faire un peu trop ce qui te chante à ton "rien" , ça manque de précision et c'est pour ça que l'on ne comprends pas où tu veux en venir et que ce n'est pas très clair .

Et pourtant, j'ai précisé le rien en question, on peut retrouver sa définition précisée dans tous les dictionnaires. J'ai posé que c'était la moindre des choses, la chose sans importance, que je l'associais à l'espace physique, à l'objet espace.

Tu fais la même chose avec le néant :

Exactement, il est juste existant. Il existe en tant que ''ce qui n'est pas''.

[...]

Le néant a une existence..

et maintenant tu dis l'inverse :

Du néant, tu ne peux dire qu'il est ceci ou cela, c'est un non-sens, il n'est pas, tout court.

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Membre, 57ans Posté(e)
Genesiis Membre 3 206 messages
Forumeur balbutiant‚ 57ans‚
Posté(e)

Préambule à la quête de vérité

Il est communément admis que les lois qui régissentla réalité sont déductibles de notre perception du monde. Cetteméthodologie expérimentale, qui consiste à dire qu’une règleest valide tant qu’elle ne souffre pas trop d’exceptions, estpratique mais, de part l’existence de ces exceptions, manque derigueur. L’autre méthode utilise le raisonnement logique, au seind’un contexte défini, afin de déduire les lois valables dans cecontexte. Les lois sont alors rigoureuses mais restreintes à leurdomaine d’application.

J’utilise cette dernière méthode dans lecontexte appelé « réalité » que je définis commeétant l’ensemble des faits qui ne sont pas irréels. A titred’exemple, dans la réalité, un mirage est une sensation malinterprétée et non une aberration. (On voit l’image d’une oasiset non une oasis.)

Ainsi se pose la question de savoir quel fait n’est pasillusoire. Or toutes nos perceptions sont susceptibles d’êtreleurrées ; ne pouvons-nous pas rêver de tout et n’importequoi ? (« a dream within a dream » Edgar Allan POE)Seul un fait résiste à la tromperie car il n’est pas lié auxperceptions, c’est la vérité intérieure et je l’exprime par :

« moi être »

(« Ego sum qui sum. » Exode 3.14 ;

« Ego sum qui sum. An axiom ofhermetic philosophy. » Mme BLAVATSKY / Isis Unveiled,p.1. »)

C’est à dire que j’existe en dehors de touteautre considération (tel que le temps, le lieu ou les actes). Laseule alternative à « moi être » est la négation demon être ce qui est impossible car pour nier mon existence ilfaudrait que j’existe ! Ainsi prétendre que « moiêtre » (subjectif) est faux est mensonger voir suicidaire sicette prétention s’exprime par un acte. J’illustre cetteaffirmation par la devinette : « Quelles sont les deuxnégations qui ne peuvent pas être vraies ? » Réponses :« Je ne dis pas la vérité » et « Je n’existepas » (et leur dérivées).

Mais ce n’est pas la seule question à laquelle ilfaut répondre pour utiliser la méthodologie choisie. En effet celle–ci procède d’un traitement par raisonnement logique. Donc ilfaut établir le contexte comme étant logique.

Peut-on dire que la réalité est logique ?

Soit la réalité est logique, soit elle ne l’estpas. (Qu’elle en aie ou non l’apparence)

Une des propriétés caractéristiques de Dieu estqu'il ne peut pas être soumis à quoique ce soit et sûrement pas àla logique. Car dire que Dieu est soumis à la logique est sûrementun sacrilège. Ainsi je peux définir Dieu par son pouvoir d'êtreinsoumis à la logique.

(« Credo quia absurdum. » Saint AUGUSTIN)

Donc soit l'univers est logique et nous pouvonsutiliser le raisonnement, soit Dieu existe et la foi est la seuleattitude non-sacrilège.

Le « postulat de non-illusion » ainsiénoncé nous autorise l'établissement des lois de l'univers aprèsla prière suivante : « Dieu pardonnez-moi car je doisconsidérer que l'univers est logique pour pouvoir utiliser leraisonnement, et ce malgré la foi que j'ai en vous. »

Avec l'additif : « Car j'ai foi de faire,ainsi, votre volonté. »

3 volets peuvent être développés :

  • le témoignage sur Dieu
  • la structure de l'univers logique
  • les lois socio-politiques basées sur l'existence d'autres

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Membre, Posté(e)
Petitpepin Membre 783 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Rien ou néant peu importe c'est un faux débat, c'est ce que Verax montre qui importe, vous pourriez l'appeler bloudibida ça changerait pas ce qui est désigné.

Alors je commence avec ça : faut voir que le rien c'est simplement de l'espace purement vide, je prends pour acquis que c'est lorsque il n'y a rien dans un certain espace, donc lorsqu'il n'y a que de l'espace à la place, une bulle d'absence, une bulle vide. Pour ça, faut voir l'espace comme quelque chose qui existe, que si il n'y a pas de place pour l'espace, ben c'est carrément moins que rien, je dirais même que c'est un rien solide.

Alors l'espace est cette moindre des choses qu'on appelle ''rien. D'accord sur ce point?

Oui.

J'accepte de te suivre à partir de là.

Quelle est la suite ?

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)

Je prends un peu le train en route... mais il s'agit d'une fausse démonstration de l'existence de dieu: si rien ne nait de rien alors dieu existe... Ce à quoi on retourne la question: et d'où vient dieu? Si rien ne nait de rien alors dieu à des parents...

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