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malnoir

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À propos de malnoir

  • Date de naissance 29/04/1981

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Réputation sur la communauté

  1. Tu penses que la gravité dépend du contexte ou de la loi qui l'a modélise ?
  2. Acrobaties qui sont à l'origine des sciences, c'est vrai que la science n'a pas eu une grande influence sur la civilisation ...
  3. Dieu n'a rien a voir avec ce types de réflexions. Tu confonds sujet et contexte, le réel peut très bien avoir des lois intrinsèques que nous interprétons par notre nature et qui existent donc en dehors de la pensée que nous en avons.
  4. Tu ne peux pas concevoir qu'il existe des idées qui n'ont pas de temporalité ? En gros, on peut tout à fait concevoir le réel comme se modélisant par la conception qui sépare l'espace et le temps, que ce soit dans notre contexte et dans tous les contextes possibles. C'est tout l'apport conceptuel de Kant avec l’hypothèse de l'existence de lois à priori, qui régissent ce monde et tout les mondes possibles. Je répond de ce fait à déjà utilisé en même temps.
  5. Parce que maintenant la genèse d'une idée est son contexte ?
  6. Et tu fais quoi des idées qui n'ont pas de contexte ? Un exemple, la séparation de l'espace et du temps. Est ce qu'on peut dire que cette idée est relative à un contexte ?
  7. malnoir

    Dictature vs Tyrannie

    Dans la démocratie Francaise, la constitution prévoit les pleins pouvoir (législatif et exécutif + immunité judiciaire) au président pour une période limitée en cas de guerre ou de crise majeure. Le président devient donc un "dictateur" dans le sens où les différents pouvoir de l'état lui sont conféré dans un contexte démocratique. Le tyran lui ne peut pas être dans un contexte démocratique ou républicain. On parle volontiers des dictatures concernant les chefs d'états des pays totalitaires du 20 eme siècle car ils ont exercé le pouvoir dans un contexte qui précède celui d'une démocratie ou d'une république.
  8. Le relativisme est le meilleur moyen pour ne plus penser. Si toutes les idées se valent, il n'y a plus aucun intérêt à avoir des idées. De plus, rejeter le relativisme n'induit pas la nécessité de tomber dans l'absolutisme de la pensée. Il y a une zone argumentative où les idées se confrontent et s'évaluent entre elles. Pour ce qui est de la où je veux en venir, je n'ai pas le courage de réexposer ma thèse d'un naturalisme en puissance de la norme. J'ai déjà écris de nombreux posts sur mon point de vue dans ce topic.
  9. C'est une qualité que de changer d'avis, mais quand vous vous contredisez aussi radicalement en deux posts cela laisse songeur sur la cohérence de vos idées. De plus, je ne vois pas en quoi la chose vécue est étrangère aux normes puisque nous pouvons la relater, et cela grâce aux normes du langage. Il y a certes une différence entre relater la chose vécue et l'expérience de la chose vécue, mais si la chose vécue est exprimable, cela veut dire que la chose vécue est faite de normes. Vous parlez de normes individualisées, cela par définition n'a pas de sens puisque la norme est justement ce qu'il y a de général et exprimable dans les choses. Ce qu'il y a d'absolument individuel est nécessairement irréductible à la norme. Je ne crois pas non plus que ce soit la réflexion personnelle qui pousse à une individualisation des normes mais par le caractère individuel de l'individu qui bien que fait de normes ne peut être réduit uniquement à des normes. La réflexion personnelle je pense participe de cette mécanique, à savoir qu'il y a en elle une part irréductible d'individualité que l'on peut nommer style, et une part de commun en elle qui permet justement son expression.
  10. malnoir

    À partir de Rien.

    vous fondez votre argumentation sur une contradiction. Vous dite que le rien est quelque chose, ce qui est totalement faux. Rien ne peut pas par définition être quelque chose. Car vous confondez ce qui est avec ce qu'il y a. Le rien est un concept qui se rapporte uniquement à la chose et ne se rapporte pas à l'être. Il y a donc toujours un cadre existentiel au rien, car pour qu'il n'y est rien il faut qu'il puisse y avoir quelque chose. Mais cela ne résous en rien la question que vous essayez de répondre qui a été posé par des gens comme Heidegger Sartre ricoeur etc qui est celle de la genèse de l'existence. Est ce qu'il y a au départ une affirmation de l'être ou une négation de l'être ?
  11. Les concepts de joie empathie solidarité créativité etc sont des normes. Donc les normes sont en contradiction avec des normes ?
  12. malnoir

    À partir de Rien.

    tellement vrai ...
  13. malnoir

    À partir de Rien.

    On voit ici l'exemple typique de la confrontation d'une pensée structurée (théia) à une pensée déstructurée (verax). Car ce qui est typique de la pensée structurée est de chercher dans les idées ce qui fait sens dans le rapport que nous avons entre la pensée et le réel. Le penseur déstructuré fait le deuil de ce sens et se complet dans une forme d’hermétisme qui pour lui à toujours le mérite de ne pas être "formaté". Il y a un phénomène toujours très étonnent qui est que ceux qui sont capable de penser par eux même ne revendiquent pas l'originalité de leurs propos alors que ceux qui en sont incapable la revendique.
  14. Le relativisme n'a jamais rien apporté à la pensée
  15. malnoir

    À partir de Rien.

    Excuse moi mais je ne vois pas en quoi cela répond à ma question. Je te conseillerais de justement ne pas donner un exemple mais bien d'expliciter ce que tu entends par cohérence interne de la croyance. Car il me semble que la cohérence est justement la validité logique des propositions entre elles. Or tu dis toi même que les croyances échappent au cadre logique par leur caractère prédicatif...
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