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Mario Draghi , président de la BCE , impliqué dans le maquillage de la dette italienne dans les années 90 ?


economic dream

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Membre, 30ans Posté(e)
economic dream Membre 3 028 messages
Baby Forumeur‚ 30ans‚
Posté(e)

Bonjour à tous ,

L'un des arguments en faveur de Mario Draghi lors de son intronisation à la tête de la BCE , était qu'il " connaissait bien les milieux financiers et pourra donc les calmer " .

Ca ne m'étonne pas qu'il les connaisse bien , avec ces histoires de maquillages des dettes grecques ( lorsqu'il était à la tête de Goldman Sachs Europe, ce qui rapporta 1 milliard d'euros à la banque ) et italiennes ( 8 milliards d'euros en guise de cadeau aux banques ) biggrin.gif

Ce triste sire n'inspire vraiment pas confiance ...

"

L'Italie pourrait perdre des milliards d'euros sur des contrats dérivés

Le Monde.fr avec AFP et Reuters | 26.06.2013 à 12h05 • Mis à jour le 26.06.2013 à 12h13

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L'Italie pourrait faire face à des milliards d'euros de pertes sur des contrats dérivés passés dans les années 90, d'un montant total théorique de 31,7 milliards d'euros, affirment mercredi les quotidiens italien La Repubblica et britannique Financial Times, qui ont obtenu la copie d'un rapport confidentiel du Trésor italien.

Ils avaient pour but de permettre au gouvernement italien de se présenter avec des comptes publics conformes aux critères de Maastricht. "De nombreuses erreurs ont été commises durant les années 1990 pour faire entrer l'Italie dans l'euro et, aujourd'hui, elles se traduisent par de nouvelles dettes, dissimulées dans les comptes officiels", déclare un haut fonctionnaire au journal romain. Ces contrats ont en effet permis au Trésor d'étaler les paiements dus aux banques sur une plus longue période, mais, dans certains cas, dans des conditions moins avantageuses.

Trois experts anonymes interrogés par le quotidien britannique sur le contenu de ce rapport estiment à environ 8 milliards d'euros les pertes potentielles encourues par Rome à la suite de la restructuration de ces contrats. De son côté, le quotidien italien arrive à un montant similaire, 8,1 milliards d'euros.

"BOMBE À RETARDEMENT"

Une partie des contrats remonte à l'époque où Mario Draghi, aujourd'hui président de la Banque centrale européenne (BCE), dirigeait le Trésor italien. Ils ont été restructurés en 2012, alors que l'Italie se trouvait alors en pleine tempête financière, et ce à la demande des banques spécialisées dans la dette souveraine. L'objectif était alors de réduire le "risque Italie", affirme La Repubblica, qui parle de"bombe à retardement dans les comptes publics".

Réagissant à la publication de ces articles, le ministère de l'économie et desfinances italien s'est voulu rassurant : il n'y a "aucun danger pour les comptes publics", a-t-il affirmé.

Ces révélations interviennent sur fond de nervosité sur les marchés de la dette et alors que le nouveau gouvernement italien a promis de respecter ses engagements européens en termes de déficit, en dépit d'une équation budgétaire extrêmement serrée."

Source

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Membre, Obsédé textuel, 72ans Posté(e)
Gouderien Membre 34 711 messages
72ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)

Encore un escroc.

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