Elle écrase un bébé, condamnée mais sans regrets

La question est : Faut t'il laisser les personnes âgés encore conduire sans Test de conduite ?

Je pense qu'à partir d'un certains âge, les personnes âgés devraient beneficier de quelques heures de conduite avec un professionnel qui pourra constater de la qualité de conduite et voir si il ne devient pas un "danger public".

Car sincérement, donc mon pti bled combien de pti vieux ne font pas attention aux piétons. Je peux vous dire qu'à 3 reprises j'ai failli me faire écraser car le vieux ne regarde pas et ne s'arrête pas aux passages piétons. Le nez collé au parbrise et c'est tout...

Mouais .. qu'il y en ait qui ne fasses pas de sentiments et notamment la veille rombière qui semble ne pas attacher plus d’importance à môme de 2 ans qu'à un chien soit ...j'vais même pas épiloguer la-dessus .

Là où je suis sidérée c'est encore par rapport à la "peine" si toutefois on peut appeler CA une peine .

Alors blabla , faut pas remettre en cause la justice , elle est habilitée à juger pas nous avec nos sentiments tout pourrit ... bof , 3000 euros et 18mois de sursis pour avoir ôté la vie à un gamin , si c'est pas un peu se foutre de la G du monde qu'est-ce donc ?

Burk quoi !

La justice française esrt toujours plus clémente avec les femmes !

lire cet analyse :

Selon une étude parue dans l'ouvrage Penser la violence des femmes, la justice serait plus clémente avec les femmes. Une conclusion issue de l'observation de six tribunaux en 2007 et 2008 par deux étudiants lillois en sociologie du droit et de la justice. Les deux jeunes hommes ont assisté à 1 128 comparutions immédiates de détenus et analysé plus de 750 comptes rendus d'audience afin de les comparer en tenant compte des données sur les prévenus (diversité des délits, des nationalités et des passés judiciaires). "En 2007, 14,9 % des personnes mises en cause par la police étaient des femmes, mais celles-ci ne représentaient que 3,7 % des personnes incarcérées", explique l'étude. Pour les femmes, les relaxes sont récurrentes et les peines de prison ferme se font rares.

Cette "injustice" viendrait du fait que les femmes sont considérées avant tout comme des mères de famille. Les questions posées aux femmes lors des audiences sont tournées vers leur situation familiale et les liens tissés avec les enfants. Les hommes ne sont, quant à eux, questionnés que brièvement sur leur vie de famille, comme si la notion de "père de famille" n'était pas à considérer.

Idées reçues

D'autre part, la femme "bénéficie" d'idées reçues, qui - pour une fois ? - l'avantagent. Elle serait perçue en tant que "victime", et non "faisant des victimes". Pire, le sexe du prévenu influe sur la perception de sa potentielle dangerosité. "Les hommes sont perçus comme généralement, voire naturellement, plus violents, alors que les violences des femmes, surtout si elles sont portées envers des hommes, seraient des réactions de défense. Les hommes sont aux yeux des juges des initiateurs actifs de faits de déviance, et les femmes des complices passives ou plus simplement des victimes de la situation", énonce l'étude. Selon le Syndicat de la magistrature, ce sont les hommes qui tuent les femmes, et très rarement l'inverse. Et quand cela arrive, c'est souvent à la suite de violences réciproques. La secrétaire générale du syndicat raconte une affaire l'ayant marquée : "Un jour, j'ai eu un cas perturbant à traiter aux assises. Une Polonaise qui se faisait battre depuis des années par son mari l'a finalement abattu avec un fusil de chasse. Elle a fini par se faire acquitter, au grand désespoir de la magistrature professionnelle. Parfois, il y a une forme d'incompréhension. La justice a du mal à concevoir que de jeunes adolescentes fassent preuve d'autant de violence que leurs homologues masculins."

Mais "les inégalités entre les femmes devant la justice existent aussi", accorde au Point.fr Coline Cardi - auteur de Penser la violence des femmes dans lequel l'étude a été publiée. "Celles qui vont se présenter sous un angle plus masculin que les autres peuvent orienter les juges vers une décision plus répressive. Aussi, les femmes n'ayant pas d'enfants s'attirent davantage la sévérité des juges, parce que le choix de l'incarcération est alors plus aisé. La figure de la femme hors norme va cristalliser la rigueur", ajoute-t-elle. Un autre facteur influant sur la décision des juges est le comportement du prévenu durant l'audience. Un homme réagirait par la révolte, l'indignation ou la colère, tandis que la femme adopterait un comportement simple et compréhensif.

Hyperféminisation de la magistrature

Seulement 5 % des prévenus en comparution immédiate sont des femmes. Les femmes sont bel et bien présentes dans les prétoires..., mais de l'autre côté de la barre d'audience. 80 % des personnes sortant de l'École nationale de magistrature sont des femmes. La corrélation interroge... Les femmes juges sont-elles plus clémentes avec les prévenus de leur sexe ? Existe-t-il une solidarité féminine entre magistrates et prévenues ? Pour l'Union syndicale des magistrats (USM), il n'y a pas de lien possible. "Aucun élément ne montre que les femmes juges sont plus dures avec les hommes, même si c'est la façon dont les personnes le ressentent. Les hommes ont certainement un a priori en voyant que le tribunal est constitué de femmes. Mais, au contraire, les collègues ne font aucune distinction entre les sexes. Certes, des magistrats sont plus ou moins sévères, mais cela ne dépend pas du sexe des prévenus. Les magistrats jugent en fonction de la loi. Ils apprécient en fonction des faits, et de ce qui est apporté au pénal (casier judiciaire...). Quand on enfile notre robe, on se départit du fait d'être une femme ou un homme."

Outre les audiences pénales, les affaires familiales se trouvent au coeur du débat. C'est le combat que mène Fabrice Mejias, président de l'association SOS Papa depuis près de dix ans. "Les femmes jugent avec leurs tripes", s'exclame-t-il. "L'hyper-féminisation des professions de la magistrature pose un vrai problème ! Les femmes comprennent les femmes", exprime le père de famille indigné. Il ajoute que "tout comme les femmes qui souhaitent être représentées par leur genre au sein de la politique, les papas que nous sommes demandons la même chose dans la magistrature. Un juge devrait être asexué, car il décide de la vie de personnes."

Aujourd'hui, en France, 1,3 million enfants sont privés de leur père et 34 % cessent de les voir au cours de la première année de séparation, selon l'Ined. Au Syndicat de la magistrature, on nie toute discrimination. Certes, le syndicat reconnaît que les mères bénéficient le plus souvent de la garde des enfants, non pas en raison du sexe du magistrat, mais parce que les pères ne la demandent simplement pas. Preuve supplémentaire, selon les juges, de leur impartialité : "On va de plus en plus vers une garde alternée. Et quand les deux parents la revendiquent, ce n'est pas forcément à la mère qu'on l'attribue, car elle a souvent moins de conditions matérielles", explique une magistrate de l'organisation. Fabrice Mejias n'en démord pas et conseille aux pères de faire appel à des avocats de sexe féminin pour éviter d'entendre ce type de phrases récurrentes : "Les hommes ne peuvent pas comprendre..."

http://www.lepoint.fr/societe/justice-entre-femmes-juges-et-prevenues-existe-t-il-une-solidarite-feminine-31-08-2012-1501319_23.php

La justice française esrt toujours plus clémente avec les femmes !

On sait .... Les femmes sont responsables de tous les maux de l'humanité ....

Sinon, pour en revenir au sujet, ma foi, ça reste un accident. La réaction des gens est parfois surprenante.

Y'en a qui ont des fous rires au cimetière, d'autres qui sont effondrés.

Dieu sait ce que cette femme a traversé dans sa vie. Elle est née avant la guerre, elle en a peut être vues et vécues des choses horribles.

Elle n'est peut être pas si insensible que ça, mais sa froideur est peut être un moyen pour elle de se protéger.

Bien sûr que pour les parents ça doit être horrible, mais l'attitude de cette femme, aussi dure soit elle, ne retire en rien le fait que ce qui s'est passé est un accident.

non Titenah, elle est dure.

Pis les parents, ils trouvent normal de laisser un gamin de 2 ans faire du tricycle tout seul dans la rue ? La faute est plus que partagé dans ce cas...

non Titenah, elle est dure.

Oui effectivement ça réaction est dure, cette femme est d'apparence dure, mais pas forcément insensible.

Oui effectivement ça réaction est dure, cette femme est d'apparence dure, mais pas forcément insensible.

oui c'est possible , la vie est des fois dure et sa forme une carapace .

on me dit souvent que je suis dure , j'ai un regard asse froid et le comportement qui vas avec , après tout dépend avec qui et pourquoi , certaine chose mon endurcie mais intérieurement c'est tout différent .

La question est : Faut t'il laisser les personnes âgés encore conduire sans Test de conduite ?

dans ce cas on fait comme il font avec les chauffeur poids lourd qui on le droit a un test tout les 5 ans , si on veut faire sa bien on le fait pour tout le monde , car il n'y a pas que les vieux a qui sa arrive d'avoir des défauts .