Et si nous reparlions de la TVA "sociale" !

Le gouvernement ayant découvert qu'il y a une grave crise et qu'il y a un problème de compétitivité de nos entreprises, humour, a lancé, depuis, quelques pistes de réflexions. Decouvert aussi qu'il y a un problème de concurrence déloyale de la part de certains pays et trouver là aussi une taxe légale ( conforme aux droits du commerce international ) Donc, chercher à alléger les charges salariales sur la protection sociale et familiale pesant sur les entreprises en trouvant d'autres sources de financement. Ce n'est pas du Sarko, mais il y a un petit air de ressemblance. En effet, quelques soit la formule qui sera choisie, c'est l'ensemble des citoyens qui seront concernés, car en dehors de la CSG, de la TVA et quelques mesurettes de taxation de la finance pour faire passer la pillule, les pistes sont brouillées.

Sarko voulait supprimer les 4,5 % payés par les entreprises sur les salaires servant à financer les CAF en les transférant sur la TVA. La suppression de cette taxe avait pour but de faire baisser les tarifs des produits "made in France". La TVA en sus n'aurait produit aucun effet ( transparent pour le consommateur ), en revanche, les produits importés auraient été impactés par la hausse de la TVA. Bien entendu, c'était du Sarko, donc inacceptable.

Ces futures mesures n'auront donc pour but que de sécuriser les moyens de financer notres système de protection socaile et familiale tout en préservant la compétitivité de nos entreprises...Cesra donc une ou des taxes sociales dans tous les cas de figure...

Que des produits du monde entier soient sur nos étales ce n’est pas un problème.

Que nos produits régionaux soient en concurrence avec les productions du monde entier, ce n'est pas un problème non plus.

Que notre solidarité, régionale, nationale, européenne, soit bafouée par une concurrence déloyale avec des produits provenant de l’étranger, c’est cela le vrai problème de nos régions, de la France,de l’Europe.

En effet, on ne peut reprocher à personne d’acheter moins cher, pour peu que la qualité du produit soit bonne ?

Ce faisant, la personne défend son intérêt financier propre, sans se préoccuper de savoir si la solidarité nationale, dont elle bénéficie elle-même est mise à mal par son acte d’achat.

Il existe pourtant un moyen très simple, de conjuguer la concurrence loyale entre les producteurs et notre solidarité, régionale,nationale, européenne, c’est la TVA.

Prenons l'exemple d'une TVA à 25% applicable sur tous les produits, qu'ils viennent de France où d'ailleurs, resterait à définir un reversement de 10% vers les caisses sociales, qui viendraient en déduction des charges patronale de l'emploi salarié. (Ces chiffres sont donnés pour l’exemple)

Non seulement, nous serions en accord avec les règles du commerce international, mais nos achats deviendraient nos emplois.

S’il existe une cohérence politique entre les mots et les actes, c’est une démarche comme celle-là qu’il faudrait faire.

L'augmentation de la TVA se résume inexorablement par une augmentation des prix, les produits locaux ou étrangés étant taxés de la même manière.

Cette TVA en plus pourrait peser négativement sur les activités fortes en main d'oeuvre comme le bâtiment rendant l'achat d'un appartement hors de portée, ainsi que tous les services ( réparations, entretien, etc.. ) auxquels il faudrait renoncer car trop cher.

Si on voulait contrer les produits lointains, il serait plus utile de créer une taxe écologique qui favoriserait les produits de proximités.

Que des produits du monde entier soient sur nos étales ce n’est pas un problème.

Que nos produits régionaux soient en concurrence avec les productions du monde entier, ce n'est pas un problème non plus.

Que notre solidarité, régionale, nationale, européenne, soit bafouée par une concurrence déloyale avec des produits provenant de l’étranger, c’est cela le vrai problème de nos régions, de la France,de l’Europe.

En effet, on ne peut reprocher à personne d’acheter moins cher, pour peu que la qualité du produit soit bonne ?

Ce faisant, la personne défend son intérêt financier propre, sans se préoccuper de savoir si la solidarité nationale, dont elle bénéficie elle-même est mise à mal par son acte d’achat.

Il existe pourtant un moyen très simple, de conjuguer la concurrence loyale entre les producteurs et notre solidarité, régionale,nationale, européenne, c’est la TVA.

Prenons l'exemple d'une TVA à 25% applicable sur tous les produits, qu'ils viennent de France où d'ailleurs, resterait à définir un reversement de 10% vers les caisses sociales, qui viendraient en déduction des charges patronale de l'emploi salarié. (Ces chiffres sont donnés pour l’exemple)

Non seulement, nous serions en accord avec les règles du commerce international, mais nos achats deviendraient nos emplois.

S’il existe une cohérence politique entre les mots et les actes, c’est une démarche comme celle-là qu’il faudrait faire.

On augmente la TVA de 25% et on crève de faim.

Sarko voulait nous faire une TVA sociale. Honteux;:bad:

Aujourd'hui, la panoplie socialiste va comporter l'augmentation de la CSG , une TVA sociale, l'augmentation des impôts et sûrement à venir, une méchante taxe sur le gas-oil polluant.

Le pauvre quant à lui, ne pouvant même plus s'offrir son tabac quotidien , il pourra bien crever dans l'indifférence générale et, pour la plus grande joie des intégristes non fumeurs.:blush:

bibifricotin,

La taxe écologique est aussi une piste à ne pas négliger, mais excepté les pays européens qui serait prêt à l'accepter, il faut admettre que les pays étrangers, comme les USA, La Chine ou l'Inde, Corée ou Japon, considèrent ces taxes comme des mesures illégales au regard des accords internationaux du commerce que nous avons tous ratifiés.

Toute taxe, quelle qu'elle soit, est payée en fin de compte par l'utilisateur final,soit directement, soit indirectement, par le biais des impôts.

Une taxe écologique ne pourrait s’appliquer que si cette particularité est introduite dans les règlements OMC (Organisation Mondiale du Commerce)

L'appliquer au seul produit européen est une perte de compétitivité pour l'Europe, s'ajoutant à celle dont elle souffre déjà et qui engendre les délocalisations que nous observons.

la France est le pays le plus taxé ,les impots et taxes ,s,empilent les une sur les autres,on paie des taxes sur des impots des impots sur les taxes,les politiques assassinent l,économie française,certaines taxes sont payées 3 fois sous des appellations diférentes, comment voulez vous que nous ayons un progrés ,depuis voilà 60 ans je ne connais que ça ((plus de taxes et plus d,impots, et des caisses toujours aussi vides,a se demander si ces politiques connaissent les régles élémentaires de calcul.

Ce qui est difficile aujourdhui, c'est qu'il y a de plus en plus de précarité, et l'on sait que si celà perdure et augmente sans cesse, le peuple, s'il se sent délaissé se révolte. Dans un sens, tout gouvernement n'a de choix que de se lancer dans une course à l'assistanat pour éviter celà. La droite, à sa manière, n'a rien remis en cause, mais le fossé entre les plus pauvres et les plus riches se creuse. La gauche a appuyé sur ce point, stigmatise les détenteurs de biens et de gains, et met à profit le droit d'avoir été élu par le peuple "d'en bas" et les fonctionnaires de l'éducation nationale pour mettre en place un max de taxations afin de piquer le pognon que gagnent les audacieux et les créateurs de richesses.

Valable, en temps de crise, mais ce qui est dommageable, c'est que de ma petite lorgnette, on semble privilégier tout ce qui n'est pas Français, hors normes ou hors la loi. Vaut mieux être étranger, en situation irrégulière, ou délinquant, drogué et j'en passe que d'être Français, travailler 50h pour faire tourner sa boutique, car là, on taxe, on montre du doigt...

mais les vrais responsable de la précarité sont bien les glandeurs qui ont gouverné la France et qui la gouvernent acruellement,ceux sont eux qui fabriquent la précarité a coups de taxes et d,impots,si je ne peus plus payer mes impots je suis saisi ,revenu et logement, et la rue, voilà le processus, mais ces salopards s,en foutent ,

bibifricotin,

La taxe écologique est aussi une piste à ne pas négliger, mais excepté les pays européens qui serait prêt à l'accepter, il faut admettre que les pays étrangers, comme les USA, La Chine ou l'Inde, Corée ou Japon, considèrent ces taxes comme des mesures illégales au regard des accords internationaux du commerce que nous avons tous ratifiés.

Toute taxe, quelle qu'elle soit, est payée en fin de compte par l'utilisateur final,soit directement, soit indirectement, par le biais des impôts.

Une taxe écologique ne pourrait s’appliquer que si cette particularité est introduite dans les règlements OMC (Organisation Mondiale du Commerce)

L'appliquer au seul produit européen est une perte de compétitivité pour l'Europe, s'ajoutant à celle dont elle souffre déjà et qui engendre les délocalisations que nous observons.

Je voulais faire la différence entre les taxes "vertueuses" et celles qui frappent " 'a l'aveugle "