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Etant donné le peu de valeur que vous accordez à la parole de Mr Millet, celle de Le Cézio ne doit pas être très élevée. Du moins, si on suit votre raisonnement.

Le Monde n'est absolument pas une référence en terme d'objectivité. Ca n'est qu'un média. Et le niveau des médias...

Contrairement à Delenda dont l'objectivité n'est pas a mettre en cause bien évidemment.

Quand je vois que plus de 100 écrivains signent un manifeste qui comporte une erreur dans le titre même, j'ai le droit -et même le devoir- de m'élever contre cette connerie et contre les imbéciles qui osent signer ça.

Quelle erreur dans le titre, qui est Delenda pour s'élever contre la signature de brillants écrivain français?

Par ailleurs, ce sont des écrivains. Pas des politologues ou qui que ce soit d'autre. Sur le sujet de la politique, leur parole n'a pas plus de valeur que la mienne.

Et à la limite, moins encore. Parce que vu la façon dont ces imbéciles se servent de termes comme "fascisme"...

Richard Millet n'est pas un politique, il a même annoncé qu'il n'avait jamais voté de sa vie, les écrivain on critique une oeuvre littéraire et pas une oeuvre politique, c'est quand même incroyable d'avoir un jugement autand a coté de la plaque.

Son prix Nobel de littérature comporte-t-il une part sur la politique. Je ne vois pas en quoi son prix Noble de littérature est un gage de sûreté quand on parle de politique et de société.

Mais bon, si vous cela vous suffit... Je suivrais donc votre exemple et irais donc voir le prochain disque d'or de la musique pour qu'il m'explique pour qui voter. Comme ça je suis sûr de pas m'tromper.

Complètement a coté de la plaque Richard Millet n'est pas un politique

Qui je suis? Un étudiant en Histoire, qui en sait apparemment plus sur le fascisme que ce fameux "prix Nobel".

Je n'ai peut-être pas de Nobel de littérature moi. Mais j'aurais bientôt un diplôme certifiant que je suis apte à causer un peu sur l'Histoire.

Delenda nous explique que son avis prevaut sur tous les autres et se permet de traiter des écrivain d'imbècile alors qu' il est en passe d'obtenir un diplome d'histoire, c'est caustique.

Là, je suis d'accord. Enfin, presque. Je changerais juste le destinataire de cette attaque. Comment Le Clézio peut-il écrire autant de connerie en étant en pleine possession de ses moyens?

Ca me dépasse...

Pour défendre Millet, Delenda est prêt à insulter tous ses opposants, et a détourner le débat vers la politique, pour se croire supérieur à des prix Nobel de litérature, il faut être soit quelqu'un de super génial, soit avoir un égo surdimentionné, c'est en tout cas ce qu'inspire ce commentaire et moi c'est çà qui me dépasse.

Le principe des Pinocchios de l'Obs :

2519187.jpg

Un Pinocchio = Une simple erreur, une imprécision.

Deux Pinocchios = Une erreur manifeste, un mensonge par omission

Trois Pinocchios = le mensonge prémédité, avec intention de nuire

Je décerne 3 Pinocchios au commentaire de Delenda Cathago est

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Membre, Seigneur, garde-moi de mes amis. Mes ennemis, je m'en charge, 33ans Posté(e)
Delenda Carthago est Membre 4 165 messages
33ans‚ Seigneur, garde-moi de mes amis. Mes ennemis, je m'en charge,
Posté(e)
Etant donné le peu de valeur que vous accordez à la parole de Mr Millet, celle de Le Cézio ne doit pas être très élevée. Du moins, si on suit votre raisonnement.

Le Monde n'est absolument pas une référence en terme d'objectivité. Ca n'est qu'un média. Et le niveau des médias...

Contrairement à Delenda dont l'objectivité n'est pas a mettre en cause bien évidemment.

Je ne sais plus qui disais que "celui qui se prétend objectif est soit un naïf soit un menteur". Je me demande si ça n'est pas Vladimir Volkoff dans Petite Histoire de la Désinformation.

Je ne me prétend pas le plus objectif des hommes. Ce que je dis, c'est que Le Monde, comme la plupart des médias actuels, a depuis longtemps perdu le droit de se prétendre "objectif". Et que prétendre que certains auteurs sont crédibles parce qu'ils écrivent dedans n'a aucun sens.

Quand je vois que plus de 100 écrivains signent un manifeste qui comporte une erreur dans le titre même, j'ai le droit -et même le devoir- de m'élever contre cette connerie et contre les imbéciles qui osent signer ça.

Quelle erreur dans le titre, qui est Delenda pour s'élever contre la signature de brillants écrivain français?

Quelle erreur?

Ces gars-là ont quand même osé signer un texte déclarant que le manifeste de Millet était "fasciste". Et le terme fasciste se retrouve dans le titre du texte.

Si ces gars-là avaient deux sous de jugeote, ils auraient peut-être fait attention avant de signer. Parce qu'il n'y a absolument rien de fasciste dans l'oeuvre de Millet. Mais bon, faut déjà savoir ce qu'est le fascisme. Et là, y'a en général plus grand monde.

Qui est Delenda? Il vous l'a dit: Delenda est un étudiant en Histoire. Comment un étudiant en Histoire ose-t-il s'élever contre la signature de brillants écrivains français?

Leur talent en littérature, je ne le conteste pas. Mais leur talent en littérature ne leur donne absolument aucune crédibilité pour parler de politique et de problèmes de société. Parce que c'est bien ce qu'ils font dans leurs différents manifestes: ils dénoncent les théories sociétales de Millet. Ils dénoncent la vision qu'il a de la société.

Sur ce plan là, je ne vois pas en quoi leurs prix Nobels et leurs talents les placerait au-dessus de moi en terme de crédibilité.

Par ailleurs, ce sont des écrivains. Pas des politologues ou qui que ce soit d'autre. Sur le sujet de la politique, leur parole n'a pas plus de valeur que la mienne.

Et à la limite, moins encore. Parce que vu la façon dont ces imbéciles se servent de termes comme "fascisme"...

Richard Millet n'est pas un politique, il a même annoncé qu'il n'avait jamais voté de sa vie, les écrivain on critique une oeuvre littéraire et pas une oeuvre politique, c'est quand même incroyable d'avoir un jugement autand a coté de la plaque.

Avez-vous seulement lu les textes que vous avez mis ici?

Le Clézio, par exemple, dénonce comme fausse la vision que Millet a de la société. Ce faisant, il ne commente pas la littérature de Millet. Il commente les idées politiques et sociétales de Millet.

Son prix Nobel de littérature comporte-t-il une part sur la politique. Je ne vois pas en quoi son prix Noble de littérature est un gage de sûreté quand on parle de politique et de société.

Mais bon, si vous cela vous suffit... Je suivrais donc votre exemple et irais donc voir le prochain disque d'or de la musique pour qu'il m'explique pour qui voter. Comme ça je suis sûr de pas m'tromper.

Complètement a coté de la plaque Richard Millet n'est pas un politique

Et alors? Le Clézio et ses petits camarades ne sont pas des sociologues ou des politologues. D'où se mêlent-il de dire que ce que Millet proclame est faux? Leur prix Nobel concerne la littérature. Pas la politique ou les problèmes de sociétés.

Ce que j'ai voulu dire, c'est que si vous prenez des écrivains comme référence pour n'importe quel problème au seul prétexte qu'ils ont un prix Nobel de littérature, je ne vois pas pourquoi moi je n'irais pas demander au prochain disque d'or pour qui voter. Après tout, s'il a un disque d'or, le mec, c'est qu'il a du talent. Non? Et qu'il est crédible. Non?

C'est exactement ce que vous voulez nous faire avaler avec ces écrivains.

Qui je suis? Un étudiant en Histoire, qui en sait apparemment plus sur le fascisme que ce fameux "prix Nobel".

Je n'ai peut-être pas de Nobel de littérature moi. Mais j'aurais bientôt un diplôme certifiant que je suis apte à causer un peu sur l'Histoire.

Delenda nous explique que son avis prevaut sur tous les autres et se permet de traiter des écrivain d'imbècile alors qu' il est en passe d'obtenir un diplome d'histoire, c'est caustique.

Que ces écrivains emploient le terme "fascisme" ici montre clairement qu'ils sont soit des abrutis soit des ignorants. Ce qui ne vaut pas mieux.

Et sur ce plan là, mon avis prévaut plus que les leurs: le fascisme étant une idéologie politique morte aujourd'hui. Plus personne ne se réclame du fascisme tel qu'il fut théorisé. En tant qu'étudiant en Histoire (et donc de personne étudiant ces périodes et ces idéologies), mon avis sur cette question vaut probablement plus que ceux d'écrivains.

Qui se permettent, qui plus est, d'employer des termes historiques à tort et à travers.

Là, je suis d'accord. Enfin, presque. Je changerais juste le destinataire de cette attaque. Comment Le Clézio peut-il écrire autant de connerie en étant en pleine possession de ses moyens?

Ca me dépasse...

Pour défendre Millet, Delenda est prêt à insulter tous ses opposants, et a détourner le débat vers la politique, pour se croire supérieur à des prix Nobel de litérature, il faut être soit quelqu'un de super génial, soit avoir un égo surdimentionné, c'est en tout cas ce qu'inspire ce commentaire et moi c'est çà qui me dépasse.

Je penche pour "quelqu'un de super-génial".

:D

Vous me ressortez ces prix Nobel de littérature. Mais en quoi ces prix Nobel de littérature leurs donnent-ils la moindre crédibilité sur des problèmes de société? Allez-y, expliquez-moi cela!

A partir du moment où ces gars-là, qui sont censés avoir du talent des connaissances, emploient le terme de fascisme n'importe comment, j'ai parfaitement le droit de dire que ce sont des abrutis.

Le principe des Pinocchios de l'Obs :

2519187.jpg

Un Pinocchio = Une simple erreur, une imprécision.

Deux Pinocchios = Une erreur manifeste, un mensonge par omission

Trois Pinocchios = le mensonge prémédité, avec intention de nuire

Je décerne 3 Pinocchios au commentaire de Delenda Cathago est

Être qualifié de menteur par les ignorants est un grand honneur.

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Membre, Posté(e)
caloli Membre 2 221 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Blablablablablablabla......

Tu focalises sur le terme fasciste, ce qui au passage te permet d'étaler ta science. "Fasciste" est un terme qui est entré dans le langage courant, et qui ne fait pas forcément référence à l'idéologie de Mussolini.

Au lieu de te concentrer sur un point de vocabulaire, tu ferais mieux de t'attacher sur le fond de l'article.

Mais je te comprends, c'est plus facile de chipoter sur un point de détail pour décrédibiliser les auteurs.

Quant à ton analogie avec la musique, elle est tout bonnement ridicule. Obtenir un prix Nobel de littérature, c'est obtenir une récompense de la part de ses pairs, et confère de facto le statut d'intellectuel reconnu. Disque d'or, ça atteste juste d'un succès commercial.

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Membre, Greuh, 44ans Posté(e)
The_Dalek Membre 21 012 messages
44ans‚ Greuh,
Posté(e)

c'est delenda, il est persuadé d'en savoir plus long sur tout que tout le monde, conseil, stoppez le HS et laissez le couiner dans son coin

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Membre, Polémiste, Posté(e)
Hussard Noir Membre 2 682 messages
Polémiste,
Posté(e)

Au sujet de la pétition, Patrick Besson a écrit un papier fameux sur cette sombre liste de signataires inconnus et sur l'écrivaine "lamentable" qu'est sa rédactrice Annie Ernaux.

« La lettre-pétition d'Annie Ernaux contre Richard Millet dans Le Monde du mardi 11 septembre 2012 a paru accompagnée de 109 noms de personnes que le journal, par une sorte de prudence atavique gagnée au fil des années, se garde bien de qualifier d'écrivains. Les signataires déclarent simplement : "Nous avons lu le texte d'Annie Ernaux et partageons pleinement son avis." Il s'agirait donc d'une liste de lecteurs dont le premier d'entre eux est, par ordre alphabétique, Olivier Adam. Suivi de Philippe Adam. Il y a donc deux Adam, comme il y a deux Besson. Une troisième chose qui me rapproche d'Olivier, avec l'enfance en banlieue et les échecs au Goncourt. Du reste, il n'y a aucun Besson dans cette liste. Les Besson et la délation, ça fait deux. Parmi les 107 noms qui restent, il y en a pas mal qui ne me disent rien, alors que depuis l'enfance je passe beaucoup de temps dans les librairies et les bibliothèques, la lecture étant une passion plus facile à assouvir que l'écriture : on n'a pas besoin d'avoir de talent. Qui est, par exemple, Patrick Bard ? Vu le prénom, ça doit être un quinquagénaire. Poète, essayiste ou romancier ? Tahar Ben Jelloun, je sais qui c'est : un ancien ami d'Hassan II bien connu dans les prisons marocaines pour son esprit démocratique. Mais Laurence Cauwet - la soeur du comique Cauet qui a modifié son nom pour éviter toute confusion ? -, Jean-Patrick Courtois, Céline Curiol, qui est-ce ? Si ce ne sont pas des écrivains, ce dont je suis presque sûr, il aurait fallu indiquer leur profession à côté de leur nom. Chloé Delaume, je sais qu'elle écrit parce qu'elle est mon écrivain préféré, mais je n'aurais jamais cru qu'elle signerait un jour un texte d'Annie Ernaux, qui est un écrivain lamentable, ainsi qu'il le sera démontré dans mon "Précis incendiaire de littérature contemporaine" à paraître chez Fayard en janvier 2013. Michèle Gazier, elle, je sais qui c'est : elle était naguère dans un état critique àTélérama. Bertrand Leclair, je l'ai rencontré àL'Idiot international de Jean-Edern Hallier, où il était secrétaire de rédaction. Il y a un livre de lui que j'ai bien aimé, il sera dans mon précis. Mais qui sont Bernard Desportes, Lydia Flem, Arlette Farge ? Liliane Giraudon, Jean-Louis Giovannoni, Jérôme Lambert ? Ce n'est pas possible que je ne connaisse pas leurs noms. C'est troublant. Ah, quelqu'un que je connais : Alain Mabanckou, écrivain congolais vivant et travaillant aux Etats-Unis. C'est l'un des rares, sinon le seul, signataires africains de cette pétition où ne figurent ni Emmanuel Dongala, ni Tierno Monénembo, ni Henri Lopes, ni Scholastique Mukasonga : le quatuor d'élite de la littérature francophone. Tito Topin a écrit des romans policiers, c'est un peu normal qu'il veuille faire la police de la pensée. Surprise : Didier Daeninckx absent de cette liste exhaustive de dénonciateurs qui restera dans l'histoire des lettres françaises comme la liste Ernaux. Je ne vois qu'une explication : Didier est décédé. Je présente toutes mes condoléances à sa veuve. Il y a une autre signature que je connais, c'est celle de Jean-Noël Pancrazi, le plagiaire de Jean Ferrat : "La montagne", chez Gallimard. Le même éditeur que Millet, par surcroît. Jean-Noël appartient au jury Renaudot. L'autre jour, chez Drouant, il nous a expliqué que c'était la première fois qu'il signait une pétition, sans que je parvienne à comprendre si c'était une excuse. Il aurait pu en choisir une qui ne soit pas dirigée contre un écrivain auquel la justice de notre pays n'a manifestement rien à reprocher. Pourtant, que la montagne est bête. »

http://www.lepoint.f...-1508203_71.php

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Membre, Greuh, 44ans Posté(e)
The_Dalek Membre 21 012 messages
44ans‚ Greuh,
Posté(e)

la technique Derrick, on s'endort avant d'avoir fini de lire ce pavé franchement pas constructif

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Membre, Polémiste, Posté(e)
Hussard Noir Membre 2 682 messages
Polémiste,
Posté(e)

La paraisse intellectuelle de The_Dalek peut aller troller ailleurs, dans la section People par exemple c'est plus concis.

"Néo-fachos" : Richard Millet répond

Dans son édition de jeudi, le Nouvel Observateur consacre un dossier aux "néo-fachos et leurs amis" dans lequel figure Richard Millet.

Comment réagissez-vous à la publication du dossier du Nouvel Observateur sur les « néo-fachos » ?

On m’a dit qu’il était sorti. Mais depuis le début du lynchage dont je suis l’objet, je ne regarde et je ne lis pas ce qui est publié. Dans le cas présent, il s’agit de vieilles méthodes staliniennes qui sont le fait d’un journal qui n’est que l’instrument de propagandes du Parti Socialiste. L’idée est de m'amalgamer à une nébuleuse d’extrême-droite imaginaire.

Depuis la polémique née de la publication de « L’éloge littéraire d’Anders Breivik », regrettez-vous certains de vos écrits, sur le fond ou sur la forme ?

Comment croire censément que l’on puisse faire l’éloge de Breivik ? Ceux qui pensent cela ne m’ont pas lu. Quand je l’évoque dans mon livre, je parle d’un monstre ou d’un criminel. Je ne changerais pas mon titre : c’est un bon titre. En revanche, je parlerais davantage des victimes de Breivik. Plusieurs journalistes norvégiens me l’ont reproché et je l’admets.

Avez-vous pris des mesures de protection particulière ?

Depuis une vingtaine de jours, on commence à me regarder de travers dans la rue. Désormais, je fais attention, j’ai ôté mon nom de ma boîte aux lettres et je vais peut-être changer d’apparence. Il faut dire que la couverture du Nouvel Observateur ressemble à un avis de recherche. Mais la plus grande violence, je le redis, c’est de ne pas avoir été lu.

http://www.directmat...t-repond-125911

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Membre, Greuh, 44ans Posté(e)
The_Dalek Membre 21 012 messages
44ans‚ Greuh,
Posté(e)

je crois que c'est "Paresse" que tu cherchais

Au passage, personne ne lit ça, c'est insipide et englué d'intellectualisme bobo bon marché

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Membre, Polémiste, Posté(e)
Hussard Noir Membre 2 682 messages
Polémiste,
Posté(e)

Si The_Dalek s'y connaissait un minimum en littérature avant de s'improviser critique, il saurait tout au moins que les billets de Patrick Besson ont un succès rendant risible le mot "personne" pour qualifier le nombre de ses lecteurs.

Affaire Millet : Patrick Besson scalpe Annie Ernaux

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Membre, Seigneur, garde-moi de mes amis. Mes ennemis, je m'en charge, 33ans Posté(e)
Delenda Carthago est Membre 4 165 messages
33ans‚ Seigneur, garde-moi de mes amis. Mes ennemis, je m'en charge,
Posté(e)

Tu focalises sur le terme fasciste, ce qui au passage te permet d'étaler ta science. "Fasciste" est un terme qui est entré dans le langage courant, et qui ne fait pas forcément référence à l'idéologie de Mussolini.

Ah bon? Fasciste ne fait pas forcément référence à l'idéologie de Mussolini?

Quelle bonne blague!

Enfin bon. Expliquez-nous donc! Que signifie fasciste, alors?

Que ça vous plaise ou non, les mots ont des sens. Fasciste n'est pas un mot de langage courant à la définition vague. C'est un mot désignant une personne adhérant à l'idéologie du fascisme, idéologie italienne théorisée en particulier par El Duce et qui est morte en 1945.

Au lieu de te concentrer sur un point de vocabulaire, tu ferais mieux de t'attacher sur le fond de l'article.

Mais je te comprends, c'est plus facile de chipoter sur un point de détail pour décrédibiliser les auteurs.

L'utilisation du terme "fasciste" n'est jamais anodin. En effet, ce terme a été détourné de son sens par des gens comme ces écrivains. Ils ne l'utilisent pas dans son véritable sens mais pour insulter. Pour décrédibiliser. Pour faire taire.

En effet, bien que les gens ne sachent plus réellement ce que ce terme recouvre (on désigne même Hitler comme un fasciste...), ce mot fait toujours penser aux horreurs de la Seconde Guerre Mondiale. Dans l'imaginaire collectif, le mot "fasciste" recouvre une abomination.

L'employer est donc hautement subversif. Puisque les gens -ignorants de la réalité- s'écarteront de ceux désignés comme tel.

Dire que ce terme est un point de détail est faux. Au contraire. Plus que le contenu du texte (d'ailleurs insipide), c'est ce mot qui est important. Ce type de mot, plus précisément. Puisque l'auteur use également des termes "xénophobie" et "racisme". Termes dont les sens ont suivis le même chemin que le sens de "fascisme".

Ce texte cherche moins à commenter, à critiquer, qu'à insulter et à faire taire.

Et sachant cela, je n'ai pas grand peine à discréditer ceux qui usent de ce genre de procédé. S'ils avaient un vrai talent, de vrais connaissances, ils n'auraient pas signés ce texte.

Mais bon, Hussard Noir a montré un texte parlant de leur talent.

Quant à ton analogie avec la musique, elle est tout bonnement ridicule. Obtenir un prix Nobel de littérature, c'est obtenir une récompense de la part de ses pairs, et confère de facto le statut d'intellectuel reconnu. Disque d'or, ça atteste juste d'un succès commercial.

Tout bonnement ridicule? Ah bon?

Vos arguments, c'est que ces types-là sont crédibles parce qu'ils ont un prix Nobel de Littérature et beaucoup de talent reconnu.

Bon. Comme le prix l'indique, il s'agit de talent en littérature. Or le "fond" (si tant est qu'on puisse parler de fond) du texte s'exprime non sur le coté littéraire de Millet. Mais sur sa vision politique et sociétale de l'affaire Breivik. Ils s'expriment donc sur des sujets n'ayant que peu de rapports avec le domaine où leur talent est reconnu (et encore).

Mais vous nous dites que non, ils sont quand même crédibles parce qu'ils ont un prix Noble de littérature.

Bon. Ok. Dans ce cas là, pourquoi ne pourrais-je pas aller chercher de consignes de vote auprès du prochain disque d'or? Après tout, s'il a un succès commercial, c'est qu'il a du talent. Et donc, qu'il est crédible. Peu importe que ça soit en musique et non en politique! Après tout, vous déclarez bien crédibles des types à propos de politique et de société alors que personne ne leur a jamais reconnu le moindre talent sur ces sujets là.

Obtenir un prix Nobel de littérature, c'est se voir reconnaître un talent indéniable en littérature. Pas plus, pas moins. Ces gars-là n'ont pas plus de crédibilité sur la politique ou la société que moi. Et même moins, d'ailleurs.

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Membre, Posté(e)
caloli Membre 2 221 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Au sujet de la pétition, Patrick Besson a écrit un papier fameux sur cette sombre liste de signataires inconnus et sur l'écrivaine "lamentable" qu'est sa rédactrice Annie Ernaux.

« La lettre-pétition d'Annie Ernaux contre Richard Millet dans Le Monde du mardi 11 septembre 2012 a paru accompagnée de 109 noms de personnes que le journal, par une sorte de prudence atavique gagnée au fil des années, se garde bien de qualifier d'écrivains. Les signataires déclarent simplement : "Nous avons lu le texte d'Annie Ernaux et partageons pleinement son avis." Il s'agirait donc d'une liste de lecteurs dont le premier d'entre eux est, par ordre alphabétique, Olivier Adam. Suivi de Philippe Adam. Il y a donc deux Adam, comme il y a deux Besson. Une troisième chose qui me rapproche d'Olivier, avec l'enfance en banlieue et les échecs au Goncourt. Du reste, il n'y a aucun Besson dans cette liste. Les Besson et la délation, ça fait deux. Parmi les 107 noms qui restent, il y en a pas mal qui ne me disent rien, alors que depuis l'enfance je passe beaucoup de temps dans les librairies et les bibliothèques, la lecture étant une passion plus facile à assouvir que l'écriture : on n'a pas besoin d'avoir de talent. Qui est, par exemple, Patrick Bard ? Vu le prénom, ça doit être un quinquagénaire. Poète, essayiste ou romancier ? Tahar Ben Jelloun, je sais qui c'est : un ancien ami d'Hassan II bien connu dans les prisons marocaines pour son esprit démocratique. Mais Laurence Cauwet - la soeur du comique Cauet qui a modifié son nom pour éviter toute confusion ? -, Jean-Patrick Courtois, Céline Curiol, qui est-ce ? Si ce ne sont pas des écrivains, ce dont je suis presque sûr, il aurait fallu indiquer leur profession à côté de leur nom. Chloé Delaume, je sais qu'elle écrit parce qu'elle est mon écrivain préféré, mais je n'aurais jamais cru qu'elle signerait un jour un texte d'Annie Ernaux, qui est un écrivain lamentable, ainsi qu'il le sera démontré dans mon "Précis incendiaire de littérature contemporaine" à paraître chez Fayard en janvier 2013. Michèle Gazier, elle, je sais qui c'est : elle était naguère dans un état critique àTélérama. Bertrand Leclair, je l'ai rencontré àL'Idiot international de Jean-Edern Hallier, où il était secrétaire de rédaction. Il y a un livre de lui que j'ai bien aimé, il sera dans mon précis. Mais qui sont Bernard Desportes, Lydia Flem, Arlette Farge ? Liliane Giraudon, Jean-Louis Giovannoni, Jérôme Lambert ? Ce n'est pas possible que je ne connaisse pas leurs noms. C'est troublant. Ah, quelqu'un que je connais : Alain Mabanckou, écrivain congolais vivant et travaillant aux Etats-Unis. C'est l'un des rares, sinon le seul, signataires africains de cette pétition où ne figurent ni Emmanuel Dongala, ni Tierno Monénembo, ni Henri Lopes, ni Scholastique Mukasonga : le quatuor d'élite de la littérature francophone. Tito Topin a écrit des romans policiers, c'est un peu normal qu'il veuille faire la police de la pensée. Surprise : Didier Daeninckx absent de cette liste exhaustive de dénonciateurs qui restera dans l'histoire des lettres françaises comme la liste Ernaux. Je ne vois qu'une explication : Didier est décédé. Je présente toutes mes condoléances à sa veuve. Il y a une autre signature que je connais, c'est celle de Jean-Noël Pancrazi, le plagiaire de Jean Ferrat : "La montagne", chez Gallimard. Le même éditeur que Millet, par surcroît. Jean-Noël appartient au jury Renaudot. L'autre jour, chez Drouant, il nous a expliqué que c'était la première fois qu'il signait une pétition, sans que je parvienne à comprendre si c'était une excuse. Il aurait pu en choisir une qui ne soit pas dirigée contre un écrivain auquel la justice de notre pays n'a manifestement rien à reprocher. Pourtant, que la montagne est bête. »

http://www.lepoint.f...-1508203_71.php

A part injurier un certain nombre de personnes, à quoi sert cet article ?

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Membre, Polémiste, Posté(e)
Hussard Noir Membre 2 682 messages
Polémiste,
Posté(e)

Les réponses de Millet à toutes les accusations, pour ceux chez qui la paresse intellectuelle ne gouverne pas.

Richard Millet: "Pourquoi me tuez-vous?"

Je croyais l'ironie une vertu française et l'une des choses du monde les mieux partagées ; l'affaire qui se déroule en mon nom m'apporte la preuve du contraire, avec la haine politico-littéraire et le lynchage, autres vertus nationales.

Le 22 août 2012 ont paru aux Editions Pierre-Guillaume de Roux trois livres qu'un article, une semaine plus tôt, a prétendus abjects, nul ne les ayant lus, malgré leur brièveté respective.

Le premier livre, Intérieur avec deux femmes, est un récit dans lequel mon double narratif, Pascal Bugeaud, rapporte un certain nombre de choses vues, éprouvées, pensées lors d'un voyage à Amsterdam, il y a une dizaine d'années, avec des plongées dans ma mémoire la plus profonde, notamment amoureuse.

Dans le deuxième, Langue fantôme, essai sur la paupérisation de la littérature, je poursuis une réflexion entamée vingt-cinq ans auparavant avec Le Sentiment de la langue, et qui m'a valu une forme d'opprobre, pour reprendre le titre d'un livre paru en 2008 et dans lequel, répondant à mes accusateurs, je tentais de montrer comment on refusait de me lire au seul nom de l'idéologie antiraciste, moi qui ai grandi dans la langue arabe et dans un grand mélange de langues, de religions et d'ethnies. A Langue fantôme, j'ai ajouté un bref essai, Eloge littéraire d'Anders Breivik, qui en constitue la fibule et sur lequel je reviendrai, puisque c'est à cause de lui que la meute s'est lâchée. Avec le troisième, De l'antiracisme comme terreur littéraire, je m'insurgeais contre l'éternelle accusation de "racisme" qui prévaut dans le milieu médiatico-littéraire dès lors qu'on s'interroge sur l'identité nationale : "raciste" a remplacé "facho" et "réac" dans les bouches vertueuses, ou qui se veulent telles, de la même façon que ce vocabulaire s'était substitué à "hérétique". J'espérais en finir avec les invectives et la diffamation. Je me trompais. (...)

Cette affaire ne serait donc rien si l'on ne déversait sur mon nom toutes sortes d'à-peu-près, d'erreurs et de mensonges, et si l'on ne cherchait à me chasser de la maison d'édition dont je ne suis pourtant qu'un modeste employé. Demander ma tête à Antoine Gallimard, c'était une atteinte à mon intégrité professionnelle, sinon à ma vie personnelle, moi qui ai toujours fait la distinction entre mon activité d'écrivain et celle d'éditeur, au point que je refuse de parler de mes livres et de mes idées avec les auteurs dont j'ai la charge, lesquels ont des parcours, des styles et des idées parfois à l'opposé des miens. C'était oublier, enfin, que la maison Gallimard a d'emblée su exister par une extraordinaire diversité de courants, qui ont mis en regard Gide et Claudel, Drieu la Rochelle et Malraux, Céline et Aragon, Breton et Caillois, Camus et Sartre, pour ne parler que de figures historiques. (...)

Je voudrais néanmoins rappeler qu'une grande partie de ma réflexion vise à comprendre la concomitance du déclin de la littérature et la modification en profondeur de la population de la France et de l'Europe tout entière par une immigration extra-européenne massive et continue, avec pour éléments intimidants les bras armés du salafisme et du politiquement correct au sein d'un capitalisme mondialisé, c'est-à-dire le risque d'une destruction de l'Europe de culture humaniste, ou chrétienne, au nom même de l'"humanisme" dans sa version "multiculturelle". Refusant la politique du fait accompli ou je ne sais quel fatalisme historique auquel le "choc des civilisations" donnerait une justification par défaut, je ne pouvais que m'insurger contre un état de choses que le parti médiatico-littéraire (qu'on peut aussi appeler la Propagande, le Culturel, le Spectacle, le Bien, etc.) présente quotidiennement comme l'assomption extatique de l'humain dans l'"Humanité", et dont le compromis civilisationnel est la sous-culture américaine - ce que le capitalisme américain a inventé sous le nom de "mondialisation" (lequel désigne principalement la soumission au Veau d'or du Marché). Aux nations qui résistent encore et que l'Empire décrète vieilles (avec ce que ce mot a d'infâmant aujourd'hui dans un monde pourtant soucieux de ne rien stigmatiser) le multiculturalisme idéologique et son bras armé, le Droit, font savoir que l'esprit national, le génie des peuples, l'Histoire, la culture, le catholicisme, le silence, le retrait, la pensée, même, ne sont plus que de vieilles lunes : ainsi le multiculturalisme n'est-il qu'une des formes de la décomposition culturelle, spirituelle et sociale de l'Europe, première étape d'une émigration dans le "genre humain" de l'indigène bientôt indifférencié, donc interchangeable, voire déshumanisé. (...)

S'il y a quelque chose de dérisoirement littéraire dans le cas de Breivik, c'est non seulement qu'il s'est lui-même présenté comme écrivain à son procès, mais surtout ce que son cas révèle de la décadence intellectuelle, politique et spirituelle de l'Europe, dont la littérature était le lien le plus communément admis : Breivik est un écrivain par défaut, ai-je dit ; il est le symptôme démoniaque de ce que produisent nos sociétés, non seulement Breivik, mais aussi, en France, Merah et, probablement, hélas, leurs futurs émules - seuls les imbéciles et les Propagandistes pouvant croire que ces cas "isolés" ne soient pas appelés à constituer un archipel au sein de ce qui se révèle être de plus en plus, pour paraphraser Carl Schmitt, une guerre civile dont les fantômes se matérialisent de façon monstrueuse. (...)

On me reproche aussi de sembler fasciné par la dimension esthétique du mal et d'avoir loué la perfection formelle des actes de Breivik. Je n'ai rien loué, encore moins approuvé, me contentant de trouver terrifiante l'aisance technique du criminel et la perfection matérielle que peut prendre le Mal. (...) Quant au fait que la Norvège ait "mérité" Breivik, c'est une façon sans doute trop ironique, donc excessive, de suggérer qu'à force de ne pouvoir parler de rien dans une Europe régie par l'irénisme politiquement correct on s'expose à des explosions terrifiantes. (...)

Mon point de vue est celui d'un écrivain et non, comme on voudrait que je le fusse, celui d'un activiste d'extrême droite. J'entretiens avec les divisions politiques qui rongent la France une distance qui m'a toujours isolé. Je ne suis nulle part - ce qui est mon vrai lieu, faut-il le rappeler à ceux qui pensent qu'un écrivain est un animateur littéraire. Je n'ai pourtant, je le redis, aucun goût du scandale et ne suis animé d'aucune haine, surtout pas contre l'islam, dont j'aime, comme le très chrétien Massignon, les mystiques chiites, et n'ayant pas déclaré, comme Houellebecq, que c'était la religion la plus con. Si je reste hostile au surgissement innombrable de mosquées en terre chrétienne, je suis le premier à m'indigner de la destruction d'édifices religieux dans le nord du Mali - destructions qui ne semblent d'ailleurs avoir guère ému les protestataires professionnels.

"Ce n'est pas vous qui êtes extrême, c'est la réalité", m'écrit ces jours-ci un grand philosophe français. Et c'est sans doute pour avoir touché du doigt l'alliance entre l'insignifiance culturelle de l'Occident et le multiculturalisme idéologique que je suscite une telle haine. On me rapporte qu'un folliculaire suggère que je milite pour l'attribution du prix Goncourt des lycéens à Breivik. Qu'on me permette de suggérer la création d'un prix Breivik qui serait décerné à ce genre d'accusateurs pour la qualité de leur haine, leur ignorance volontaire et la volonté de tuer dont ils font preuve à l'égard des chercheurs de vérité.

Quelques têtes molles se croient tenues de clamer leur indignation, parmi lesquelles un multiculturaliste invertébré, un poète liquide, un francophone mal à l'aise dans la langue française, un pop philosophe reconverti dans le méharisme saoudo-qatari, une romancière extralinguistique, une pasionaria de l'aveuglement postracial, des KGBistes de l'inculture active et tous ceux qui, n'en doutons pas, vont chercher à exister enfin à mes dépens...

http://www.lexpress....us_1160088.html

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  • 2 semaines après...
Invité Paspartwo
Invités, Posté(e)
Invité Paspartwo
Invité Paspartwo Invités 0 message
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Tu ne pense quand même pas qu'on va se faire chier a lire une page d'ineptie sur un écrivain raciste.

Personne ne le tue, comme il le laisse supposer, il a choisi de se suicider professionnellement et intellectuellement et ensuite il vient pleurer en insultant ses contradicteurs, ce Millet est pitoyable!

Je ne comprends pas qu'un pamphlet qui ne mérite que la poubelle fasse autant de bruit!

Il a démissionné du comité de lecture de Gallimard, je pense que c'est ce qu'il avait le mieux à faire, mais certains inconditionnels diront qu'on l'a poussé a démissionné, puisqu'ils s'évertuent à insulter les 109 personnes qui ont critiqué son livre.

Le prix Nobel de littérature Le Clezio à même remis en cause la santé mentale de richard Millet, je suis tout a fait d'accord avec lui. Quand un écrivain dit qu'il souffre autant quand il est entouré d'étrangers on ne peut que lui conseiller d'aller consulter.

Mais vu que cet ouvrage ressemble à un étron, les commentaires disparaîtront dès qu'on aura tiré la chasse d'eau et ils iront putréfier les bas-fonds de l’extrémisme.

http://www.lepoint.f...2-1506159_3.php

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Membre, Greuh, 44ans Posté(e)
The_Dalek Membre 21 012 messages
44ans‚ Greuh,
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c'est pas de la paresse intellectuelle en fait, c'est juste qu'on s'en crème le mollet droit avec de la purée de boulgour

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Membre, Polémiste, Posté(e)
Hussard Noir Membre 2 682 messages
Polémiste,
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Éloge littéraire de Richard Millet

Par Aristide Leucate, docteur en droit, journaliste et essayiste.

Tu ne pense quand même pas qu'on va se faire chier a lire une page d'ineptie sur un écrivain raciste.

Non en effet, vous ne lirez pas ses réponses à ses détracteurs pas plus que vous n'avez lu le livre que vous insultez.

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Invité Paspartwo
Invités, Posté(e)
Invité Paspartwo
Invité Paspartwo Invités 0 message
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Éloge littéraire de Richard Millet

Par Aristide Leucate, docteur en droit, journaliste et essayiste.

Non en effet, vous ne lirez pas ses réponses à ses détracteurs pas plus que vous n'avez lu le livre que vous insultez.

Je n'insulte pas que le livre mais aussi l'auteur du livre et pas plus que vous contre les 109 détracteurs de richard millet.

Son éloge litéraire est une insulte a l'intelligence en plus il est vendu 16€ pour une centaine de page j'ai autre chose a faire de mon argent et vous me permettrez quand même de choisir mes lectures moi-même.

Je critique le thème et le sujet pour faire l'éloge littéraire d'un terroriste comme breivik, il fâut etre complètement barré.

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Membre, Seigneur, garde-moi de mes amis. Mes ennemis, je m'en charge, 33ans Posté(e)
Delenda Carthago est Membre 4 165 messages
33ans‚ Seigneur, garde-moi de mes amis. Mes ennemis, je m'en charge,
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Éloge littéraire de Richard Millet

Par Aristide Leucate, docteur en droit, journaliste et essayiste.

Très bon article. Et écrit en français, lui.

Les opinions des journalistes de rivarol, on s'en contre-branle.

C'est sûr que l'opinion de romanciers -sur un sujet politique- est vraiment plus crédible.

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Membre, Greuh, 44ans Posté(e)
The_Dalek Membre 21 012 messages
44ans‚ Greuh,
Posté(e)

oui m'enfin c'est juste de la merde toute cette histoire, coulez l'autre facho déglingué dans la fosse des Mariannes avec tout ce qu'il a pu écrire dans ça vie et fin de l'histoire

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