j'ai une question tordue a vous poser

Salut, on peut effectivement se poser la question de ce qui est palpable à vie ou pas.....et prendre ça en considération pour son futur, son "chemin" de vie...

L'unique problème avec la jeunesse, c'est qu'elle s'éfface...le savoir, la culture, reste à portée de main toute une vie...

Il faudra simplement accepter si on est une cigale, d'être à la traine, à un moment donné...et reprendre le boulot si on estime que c'est nécessaire...

Toute la problèmatique finalement est dans la balance de ces 2points, vivre ou construire?

Non, non monsieur...vivre et construire, c'est possible! encore faut il accepter de sortir des chemins pré-établis, définis et même dessinés par notre société!

7 ou 8min plus tard.........

Ne serait ce pas une manière détournée de se demander si on fait bien de suivre un cursus qu'on nous vend comme normal, bon et logique, sans se poser la question de savoir si on ne préfère pas tout simpelment "Vivre" déjà, pour commencer.?.....

Je te conseillerais de manger toutes tes chips en début du film car tu vas gaver les autres à entendre craquer tout au long du film :D

:smile2: .....ou comment tourner des questions débiles en débat profond!!

tu remarqueras que, du coup, plus personne ne répond!! le sahara en mangeant des chips trempées ds l'eau, c'était qd mm plus fun................on pouvait se faire un film...............;

oué c'est comme le coup des coeur quoi ! :smile2:

des coeurs?j'ai loupé un topic??:gurp:

ça serait balot,j'adore les prises de tête de Femzi!

Bof, tu sais, ça m'étonnerait que dans ce cas la cigale profite plus que la fourmi. Et puis les filles aussi, à propos de ça, je pense que celui qui poursuit ses études aura plus de chance d'en rencontrer que l'autre et par la même occasion aura plus de chance de faire de soirées. ^^

Les filles c'est comme les études, c'est pas le tout de les poursuivre : faut pouvoir les rattraper.

Femzi semble donc hésiter entre une vie de punk dont l'une des devises était : "vivre vite, mourir jeune et faire un beau cadavre" et une vie besogneuse, longue et chiante.

Ma foi, vivez d'abord, et après posez-vous des questions.

Les filles c'est comme les études, c'est pas le tout de les poursuivre : faut pouvoir les rattraper.

Femzi semble donc hésiter entre une vie de punk dont l'une des devises était : "vivre vite, mourir jeune et faire un beau cadavre" et une vie besogneuse, longue et chiante.

Ma foi, vivez d'abord, et après posez-vous des questions.

..............faudrait être sûr de faire un beau cadavre.y'en a des trés moches!

Ma foi, vivez d'abord, et après posez-vous des questions.

et oui ! mais bon toujours ces questions encore et encore ! qui vous culbutes le cerveau c'est chiant ! mais je sus de ton avis , qui vivra verra

Pour éviter de se perdre dans ce genre de question, je vais te donner un truc qu'une elfe onirique m'a donné. (c'est plus qu'un "truc", c'est une vraie religion à part entière, mais applicable en "truc" ^^ )

Il s'agit du Staïla. Le lien entre les mondes.

Il existe entre chaque chose d'apparence opposée un lien très fort qui les unies.

L'amour / la haine. L'amitié/l'amour. Le rêve / la réalité. La magie / la raison... la folie/la sagesse. L'individu / la société, la dictature / la démocratie... etc... etc...

Pour ne pas se perdre, dans l'un ou l'autre, il faut toujours percevoir ce lien qui les unis.

Il ne s'agit pas d'une position intermédiaire, mais bien de percevoir en quoi les extrêmes se rejoignent, et de viser plutôt cet élément où ils se rejoignent, pour en maintenir l'équilibre tout en expérimentant très intensément ces extrêmes.

L'idée n'est absolument pas non plus de les mélanger, et de les confondre, mais de maintenir ce qui les sépares. Car s'il n'y a plus qu'une seule chose, il n'y a plus de "lien". Or le précepte du Staïla est de préserver ce lien.

J'ai déjà soumis ce mode de pensée a des expérimentations très poussées, et très intenses, ça marche de façon assez spectaculaire.

Pour en revenir à ton problème.

Il en est de même pour la modération et la passion.

Si on applique le Staïla sur ces choses, on découvre qu'il existe une "modération passionnée"

L'intensité, on peut aussi la trouver en ne goutant qu'une seule goute ! (tiens... jolie la similitude) mais en la goutant très intensément. J'ai déjà fais l'expérience de ne pas manger pendant 2 jours, en me gardant une belle tomate, puis, au bout des deux jours, la manger trèèès lentement, en faisant une attention extrême à son goût et à la moindre de ses saveur.

Je peux te dire que c'était une expérience très intense, très passionnée !

Ou une passion de la modération, comme un choix de vie et une philosophie à part entière... Où la pratique en prend un sens quasi religieux, très "intense" en fait, dans la "maitrise de soi".

J'ai l'image qui me vient de ce sport / art martial, qui consiste à effectuer des mouvements avec extrêmement de force et de lenteur. Qui s'oppose à la "médiocrité" d'un art martial où on sauterai et taperai dans tout ce qui bouge.

La sortie de ton problème peut se trouver là.

Sans forcément avoir à être systématique dans ces pratiques, rien ne t'oblige à le faire en permanence.

Mais tant qu'à agir avec passion, ou modération, autant essayer de le faire ainsi.

mort de rire la question !! et le titre ^^

( Je savais pas que c'était toi avant d'ouvrir le sujet ^^ )

Le coup du désert me semble quand même très différents de là où tu t'es retrouvé dans la question

"Faut il vivre une vie courte et intense" ou "se modérer et vivre plus longtemps".

Dans le cas du désert, j'économiserai l'eau, car "l'intensité de la soif", même dans le désert, c'est très relatif comparée à la survie réelle. Et surtout, tu ne peux pas avoir la certitude de ne pas t'en sortir.

Je pense que la question est parasité par ce manque de certitude.

Dans ta question, on a la quasi-certitude que c'est fini si on boit sa bouteille d'un coup, contre une incertitude si on ne la bois pas.

Certitude du négatif pour la "passion", incertitude du positif pour la modération.

Tu as d'autres cas où c'est le contraire.

Tu as l'incertitude d'un inconvénient négatif si tu te fais plaisir, et la certitude de rater quelque chose si tu "modère".

Incertitude du négatif pour la passion, certitude du négatif pour la modération.

En fait, on pourrait faire 8 cas, puisqu'on a 3 éléments.

incertitude/certitude , positif/négatif , passion/modération

ça complique encore les choses de considérer qu'il n'y a pas qu'un élément positif ou négatif, mais qu'il peut y avoirs plusieurs facettes positives et négatives pour chacun de ces choix.

Bref, du coup, il me semble que la solution ne peut consister, de fait, qu'en un compromis de tous ces éléments.

Et non, comme c'est présenté, en un "choix de vie binaire".

Je crois que la difficulté à trouver une réponse satisfaisante provient d'une trop grande volonté à calquer le raisonnement sur un fonctionnement binaire.

Tout n'est pas toujours résumable à un questionnement binaire.

Pour éviter de se perdre dans ce genre de question, je vais te donner un truc qu'une elfe onirique m'a donné.

Il s'agit du Staïla. Le lien entre les mondes.

Il existe entre chaque chose d'apparence opposée un lien très fort qui les unies.

L'amour / la haine. L'amitié/l'amour. Le rêve / la réalité. La magie / la raison... la folie/la sagesse. L'individu / la société, la dictature / la démocratie... etc... etc...

Pour ne pas se perdre, dans l'un ou l'autre, il faut toujours percevoir ce lien qui les unis. Il ne s'agit pas d'une position intermédiaire, mais bien de percevoir en quoi les extrêmes se rejoignent, et de viser plutôt cet élément où ils se rejoignent, pour en maintenir l'équilibre tout en expérimentant très intensément ces extrêmes.

J'ai soumis ce mode de pensée a des expérimentations très poussées, et très intenses.

Sur la folie et la raison entre autre. J'ai pu, grâce à la force de cette notion expérimenter ce que pourrait être une folie complète sans perdre pied. (j'ai invoqué le staïla sur le lien folie / raison )

Pour en revenir à ton problème.

Il en est de même pour la modération et la passion.

Si on applique le Staïla sur ces choses, on découvre qu'il existe une "modération passionnée"

L'intensité, on peut aussi la trouver en ne goutant qu'une seule goute ! (tiens... jolie la similitude) mais en la goutant très intensément.

Ou une passion de la modération, comme certains extrémistes du genre qui s'y engouffrent entièrement, comme un choix de vie et une philosophie à part entière... Où la pratique en prend un sens quasi religieux, très "intense" en fait, dans la "maitrise de soi".

La sortie de ton problème se trouve là.

C'est ces choses qu'il faut viser.

Vu comme ça je préférais vivre une vie courte et intense.

Quand on se modère les choses on tendance à s’échapper!.

on pourrait qualifier la passion avec jeu, autant aller jusqu'au bout,

faire en sorte qu'elle nous brûle quitte à celle qu'elle nous dévore

Ha bah c'était bien la peine que je tente de résumer et clarifier mes propos :p

On me cite entièrement et en "version originale" ^^

Vu comme ça je préférais vivre une vie courte et intense.

Quand on se modère les choses on tendance à s’échapper!.

on pourrait qualifier la passion avec jeu, autant aller jusqu'au bout,

faire en sorte qu'elle nous brûle quitte à celle qu'elle nous dévore

Vi c'est vrai, faut se méfier de ne pas rater des choses à trop y réfléchir, ou trop être prudent.

Je pensais ça il y a quelques heures au sujet d'une amie à moi qui me demandais d'être patient et de l'attendre. (ça fait 8 ans que je l'attend quand même ^^)

La vie ne se "rattrape" jamais.

Les moments perdus sont vraiment perdus. La vie passe en permanence.

Il y a des expérience, des moments qu'on vie, et d'autre qu'on rate, à côté desquels on passes.

C'est pas comme si on pouvait les faire attendre, et les vivre "plus tard" quand même.

On n'a déjà plus 20 ans, et ces moments qu'on aurait pu vivre à 20 ans, avec l'innocence de la jeunesses, ont été vraiment perdu, et ce à jamais.

Ah quand j'avais 20 ans....

si la vie m'avait laisser le choix...

Je crois que dans certain moment il faut se laisser aller par cette passion dévorante,tout en restant objectif.

Attendre quelqu'un et quelque chose c'est le risque de perdre un moments précieux, si j'avais pas attendu qu'est qui se serais passer.... (et si j’avais pris ce billet de train au lieu de rester vers ma famille)

La vie offre de drôle de cadeaux (empoisonné).

Pour ma part elle m'en a fait beaucoup trop et j'ai acquis un certain retard,

alors maintenant je vais au devant, je me laisse guider par cette passion sans fin (faim)

et hors de question de regarder en arriéré ça serait regretter de choses qui n'en vaut pas le coup

bonjour,

question d'attitude, l'optimiste dira , je vais y aller petit à petit car qui sait , les secours viendront peut être, le pessimiste , lui dira, je vais boire toute l'eau d'un seul coup, car cela ne sert à rien , je vais mourir de soif.

à vous de voir : optimiste ou pessimiste ? là est la question ......

bonne journée