St-Imier (BE) capitale mondiale de l'anarchisme pour cinq jours !

merci pasdeparano !

j' avais totalement oublié ce texte !!! faut pas vieillir !!!

je ne pourrais pas être à ce rassemblement !!!

je suivrais attentivement les rencontres !!

Moi j'aimerais y aller mais je manque d'€ et de temps.

D'après son étymologie la plus radicale, l'anarchisme n'admet aucun principe premier. Ce n'est pas le cas de l'"anarcho-capitalisme" qui ne pourrait se penser sans la sacralisation de la propriété privée.

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Question à propos de ces rencontres à St-Imier : Est-ce que des compte-rendus seront disponibles sur le Ouèbe pour tous ceux qui ne pourront se rendre sur place ?

Y a un site officiel, faut regarder, sinon à lire dans le Monde Libertaire...

Ah oui je n'avais pas vu l'url du site en bas de l'affiche. Je la colle ici pour tous ceux qui ont la flemme de la taper à la main :

http://www.anarchisme2012.ch/

Je ne vois rien sur la possibilité d'accéder à des compte-rendus mais je scruterai après la rencontre, on ne sait jamais.

D'après son étymologie la plus radicale, l'anarchisme n'admet aucun principe premier. Ce n'est pas le cas de l'"anarcho-capitalisme" qui ne pourrait se penser sans la sacralisation de la propriété privée.

La propriété privée n'est pas dissociable de la liberté.

D'après son étymologie la plus radicale, l'anarchisme n'admet aucun principe premier. Ce n'est pas le cas de l'"anarcho-capitalisme" qui ne pourrait se penser sans la sacralisation de la propriété privée.

La propriété privée n'est pas dissociable de la liberté.

Un tel axiome n'a de valeur que pour celui qui y croit et s'y soumet. C'est bien de ce type de principe premier dont je voulais parler plus haut, interdisant à l'anarcapisme l'appellation d'anarchisme puisque l'aliénant à un principe qui lui est transcendant.

D'autre part, dans un monde de nécessité tel que le nôtre, la liberté telle qu'admise par les libéraux est un sentiment illusoire

La propriété privée n'est pas dissociable de la liberté.

L'anarchisme ne refuse pas la propriété privé à une échelle raisonnable comme la maison ou la très petite entreprise. C'est plus quand une famille détient le pays que ça nous pose problème.

J'ai lu le texte, mais concrètement, qu'elles sont les actions entreprises si un psychopathe tue toute sa famille ?

Concrètement, tu l'enfermes dans un centre adapté. On est des oufs nous !

On soigne les malades, au lieu de les assassiner.

Deja maintenant les malades sont enfermé dans des centre adapté ^^

Mais sur décision de qui ? C'est démocratiquement décider ?

Ce que tu dit va d’ailleurs a l'encontre de ces paragraphes :

Pourquoi, en effet, une société libertaire, ayant fait table rase du passé, ne choisirait pas des modalités d'intégration de la déviance libertaire aussi. Proposer, par exemple, des "lieux de vie clos" pour remplacer la prison ou l'asile, serait, dans la bouche d'un anarchiste, un non-sens pernicieux.

Et si contrôle social doit bien y avoir, celui-ci ne pourrait être que ponctuel, au coup le coup, selon les circonstances et les nécessités du moment, mais qui ne fasse appel à aucun mécanisme de ségrégation ou d'enfermement, même s'il prend l'allure d'un traitement "en douceur" ou de rééducation du déviant.

J'ai lu le texte, mais concrètement, qu'elles sont les actions entreprises si un psychopathe tue toute sa famille ?

Des action à entreprendre pour l'empêcher de tuer toute sa famille une seconde fois ? Pour être franc je n'en ai aucune idée.

On peut prendre le cas du mec qui pète une pile et qui massacre des gens dans la rue aussi.

A ma connaissance aucun mode d'organisation sociale n'est à même de prévoir ce que peut faire un individu sur un coup de tête. Pas même le nôtre, ô combien "civilisé". Shit happens !

Le but n'est pas de prévoir, mais de faire en sorte qu'il ne recommence pas.

Deja maintenant les malades sont enfermé dans des centre adapté ^^

Mais sur décision de qui ? C'est démocratiquement décider ?

Ce que tu dit va d’ailleurs a l'encontre de ces paragraphes :

Pourquoi, en effet, une société libertaire, ayant fait table rase du passé, ne choisirait pas des modalités d'intégration de la déviance libertaire aussi. Proposer, par exemple, des "lieux de vie clos" pour remplacer la prison ou l'asile, serait, dans la bouche d'un anarchiste, un non-sens pernicieux.

Et si contrôle social doit bien y avoir, celui-ci ne pourrait être que ponctuel, au coup le coup, selon les circonstances et les nécessités du moment, mais qui ne fasse appel à aucun mécanisme de ségrégation ou d'enfermement, même s'il prend l'allure d'un traitement "en douceur" ou de rééducation du déviant.

On n'est pas obligé d'être d'accord. Mais je crois que le texte prend en compte les cas légers, que l'on préfère enfermer pour ne pas nous gêner dans notre vie normalisée.

Il est évident qu'on ne peut pas laisser un psycho zigouiller tout le monde sans réagir. Il va finir avec une balle dans le front sinon.

Il faut prendre le texte au sens général, pas pour des cas extrêmes.

Le but n'est pas de prévoir, mais de faire en sorte qu'il ne recommence pas.

Dans ce cas la réponse ne m'appartient pas, pas plus qu'à n'importe quel idéologue fut-il même anarchiste. Dans une démocratie directe c'est au collectif concerné - et à lui seul - de choisir les solutions aux problèmes qui lui sont posés. Les réponses peuvent être par conséquent aussi diverses que variées, allant de la peine la plus répressive à l'indifférence la plus totale.

L'anarcho-communisme, faut préciser. Cela semble exclure l'anarcho-capitalisme.

l'anarcho-capitalisme c'est de la merde qiui n'existe pas encore une tentative de balayer les veritables fondements de l'anarchie!

Y'aura plein de nostalgiques de la bonne époque anarcho-socialo-nationaliste à Proudhon le père de l'anarchisme, alors ! Youpi...

Les Maurassiens sont invités, ou pas ?

Fondements... lol

bakounine

C'est ça le problème que je trouve a l'anarcho-comunisme, c'est que la doctrine est tellement strict dés le départ qu'il est difficile ( mais obligatoire) d'en posé tous les aspects. On est obligé d’être collectiviste, obligé de participé, obligé d’être libre, et au final, obligé de penser comme tout les autres. Ce genre de société exclu toutes les autres au final. Ce que ne fait pas l'anarcho-capitalisme. Il est tout a fait possible de faire naitre une société communiste dans une systeme anarcho-capitaliste, l'inverse est loin d’être vrai.

une juste repartition, en fonction des moyens etc....oblige d'etre libre c'est un comble! et personne n'est obligé de penser comme les autres dans une democratie directe...cette societé exclue le systeme autoritaire c'est l'emancipation. cela fait partie semble t-il de l'evolution de toute societé civilisée ou de tout etre humain. communisme je prefère celui de mutualité

donc ce n'est pas basé sur l'individu mais le groupe, le vivre ensemble, les producteurs etc..