Le syndrome du larbin

Le fait est qu'au sein du capitalisme des sociétés communistes peuvent exister, l'inverse est loin d’être vrai... Dans le capitalisme, tu a toujours le choix : tu veut pas de patron ? Tu te met a ton compte. Alors que monter sa boite a cocoland, c'est... difficile ^^

Le fait est qu'au sein du capitalisme des sociétés communistes peuvent exister, l'inverse est loin d’être vrai... Dans le capitalisme, tu a toujours le choix : tu veut pas de patron ? Tu te met a ton compte. Alors que monter sa boite a cocoland, c'est... difficile ^^

y a pas plus cliché à part les arabes c'est tous des voleurs ou les noirs des fénéants

Je n'ai rien en soi, contre ce genre de fantaisie, du moment que ce n'est imposé à personne.

on pourrait dire pareil pour le capitalisme...ah bah non,on peut pas!c'est imposé

FAUX

Personne ne t'empêchera d'aller créer une utopie libertaire dans la forêt ou de fonctionner de manière auto-gérée dans quelconque communauté que tu pourrais créer avec d'autres consentants...

Dans une démocratie capitaliste, des expériences comme Marinaleda peuvent exister.

Maintenant, pourrait-il, à Cuba, exister une sorte de Marinaleda inversé, avec le capitalisme ??? :dev:

Des fois je me surprends à imaginer que la France soit comme Cuba, et de la façon dont on pourrait organiser la résistance... et éventuellement créer un village capitaliste à l'écart du cauchemar collectiviste.

En Israël il y a les kibboutzim. T'as le droit de vivre à la communiste, mais sans l'imposer à personne.

Si tous les communistes de France voulaient se réunir dans une même ville pour fonder leur propre utopie, pas de problème, du moment qu'ils feraient cela de leur côté, sans gêner les citoyens non communistes.

mais oui!le bon vieux truc du systéme communiste totalitaire

Donc selon, toi, le une micro société capitaliste pourrait se développer a l’intérieur d'une société communiste ?

Je n'ai rien en soi, contre ce genre de fantaisie, du moment que ce n'est imposé à personne.

on pourrait dire pareil pour le capitalisme...ah bah non,on peut pas!c'est imposé

FAUX

Personne ne t'empêchera d'aller créer une utopie libertaire dans la forêt ou de fonctionner de manière auto-gérée dans quelconque communauté que tu pourrais créer avec d'autres consentants...

Dans une démocratie capitaliste, des expériences comme Marinaleda peuvent exister.

Maintenant, pourrait-il, à Cuba, exister une sorte de Marinaleda inversé, avec le capitalisme ??? :dev:

Des fois je me surprends à imaginer que la France soit comme Cuba, et de la façon dont on pourrait organiser la résistance... et éventuellement créer un village capitaliste à l'écart du cauchemar collectiviste.

En Israël il y a les kibboutzim. T'as le droit de vivre à la communiste, mais sans l'imposer à personne.

mais oui!le bon vieux truc du systéme communiste totalitaire

Donc selon, toi, le une micro société capitaliste pourrait se développer a l’intérieur d'une société communiste ?

Je posais ma question sérieusement...Je m'attendait a une réponse un poil plus développer....

Marinaleda quelle beau rêve.... Financé par les subventions de la région Andalouse.

D'ailleurs dernièrement le retrait de 40% des subvention oblige à des mesures drastiques :

Le travail obligatoire non rémunéré dans les champs... le dimanche. De plus, absence de police ha ? Pour un village de 2600 habs ça passe mais pour des états ?

Dommage c'était un joli rêve ^^

Hé les communistes, si vous voulez, créez en une en France de Marinaleda, mais n'imposez pas vos idées à tous ceux qui ne sont pas communistes !

Oh que oui, si la France devenait comme Cuba (Dieu merci, probablement 1 chance sur 100 voire plus pour que ça arrive...) j'aurais très envie d'aller fonder un système capitaliste à l'écart.

ca fait plusieurs pages que j'essaie mais tu n'es pas capable de lire ou regarder les docus qui passent.

la preuve cette question a déjà trouvé réponse dans les zeitgeist entre autre.

maintenant tu as un cerveau, tu dois connaitre google, lance toi... apprends les autres cultures, les autres modes de vie.

Sors toi TOI MÊME de ce système totalitaire marchand, d'abord par la pensée, ce sera déjà un bon début...

Zeitgeist les coco et anar n'ont que ce nom à la bouche.

"Apprends les autres cultures, modes de vie" Alors la si t'en connais plus que moi là dessus je dis chapeau bas... Je passe mon temps à lire les articles sur les pays, leurs histoires, populations , culture pré-européene etc... Donc tkt je le fais déjà ^^

Et si par hasard ce totalitaire marchand moi et mes proches y trouvaient leurs compte ? Ça te ferait mal, et tu nous traiterais tous de larbin ?

A l’écart ? Pourquoi faire ? Le marché noir offre de bien meilleur perspective.

Capitalism wille never die !!!

ha la la!comme le réveil va étre dur mes chéris aprés quelques années de travail!!!

enfin si un jour vous arrivez à vous rendre compte qu'on vous exploite

on se rappel et on se fait une bouffe dans 10ans quand vous aurez plus de sagesse et d'expérience

Qu'est ce que je m'en fout d’être exploiter si j'y trouve mon compte ? Je préfère être un" esclave" avec tout le confort moderne que "libre" a planter des patates dans une chaumière....

ha la la!comme le réveil va étre dur mes chéris aprés quelques années de travail!!!

enfin si un jour vous arrivez à vous rendre compte qu'on vous exploite

on se rappel et on se fait une bouffe dans 10ans quand vous aurez plus de sagesse et d'expérience

Prends pas trop peur si tu tombes sur des gars en costard cravate gros cigare pétés de thune

(Je ne présume de rien sur moi-même, je te dis juste d'éviter les généralités. )

Qu'est ce que je m'en fout d’être exploiter si j'y trouve mon compte ? Je préfère être un esclave avec tout le confort moderne que libre a planter des patates dans une chaumière....

:plus: ET BIM .....

Ouais franchement, entre se faire "exploiter" dans des villes bien entretenues, et bénéficier d'un confort du XXI° siècle.... ou alors vivre dans une moindre situation en se souciant en permanence de savoir si j'ai été assez altruiste avec mon voisin.... alors là non Me**e !!

50 ans ? non, juste 20. C'est bien récent. Et ça perdure dans certains pays, européens d'ailleurs.

Le communisme a évolué ? ou ? Quand ?

Tu te retrouves pas dans la vidéo du sujet?

Il n'a pas tellement évolué, finalement....

ah bah oui,20ans c'est récent

Marinaleda : un modèle d’auto-gestion unique en Europe

Depuis l’alerte google Alternatives au capitalisme j’ai récemment découvert l’existence de MARINALEDA, une commune de 2645 habitants en Andalousie « où Marx vivrait s’il était encore en vie, avec zéro chômage, zéro policier et des habitations à 15 euros par mois » (1). Une alternative au capitalisme réalisée à moins de 2000 km de chez nous et qui fonctionne depuis plus de 30 ans sans que je n’en aie jamais entendu parler ? A la première occasion, c’est donc sac à dos, train, bus et autostop que j’irai pour vérifier si cette belle utopie existe vraiment…

Comme c’est Pâques, je tombe en pleine Semana Santa. Au village voisin on m’avertit : « Leur maire est un fou, quand nous autres, Espagnols, faisons des processions religieuses, eux ils font la fête pendant 5 jours »

J’apprends que la fête de la paix qui tombe durant la Semaine Sainte y est effectivement une tradition depuis plusieurs années et beaucoup de jeunes de Sevilla, Granada ou Madrid ont rejoint les villageois. Des lectures, des films ou une conférence, en solidarité avec la Palestine, ainsi qu un appel au boycott des produits israéliens ouvrent les soirées de concerts et de fête. Pour les nuits, l’immense complexe poly-sportif reste ouvert pour loger les visiteurs de l’extérieur. Une première auberge est en construction.

En tant que membre de l’association de solidarité Suisse-Cuba, je m’étais déplacée pour voir s’il existait effectivement une expérience socialiste un peu similaire à la révolution cubaine ici en Europe et j’en ai eu pour mon compte.

Le droit à la terre et au travail

A Marinaleda aussi, il a fallu d’abord passer par une réforme agraire. « La lutte révolutionnaire du peuple cubain a été une lumière pour tous les peuples du monde et nous avons une grande admiration pour ses acquis », m’explique Juan Manuel Sanchez Gordillo, maire communiste, réélu depuis 31 ans. Il était le plus jeune édile d’Espagne en 1979. En 1986, après 12 ans de luttes et d’occupations où les femmes ont joué le rôle principal, ce village a réussi à obtenir 1200 ha de terre d’un grand latifundiaire, terre qui a aussitôt été redistribuée et transformée en coopérative agricole de laquelle vit aujourd’hui presque tout le village. « La terre n’appartient à personne, la terre ne s’achète pas, la terre appartient à tous ! ».

A la ferme de la coopérative, EL HUMOSO, les associés travaillent 6.5h par jour, du lundi au samedi, ce qui donne des semaines de 39 h. Tout le monde a le même salaire, indépendant de la fonction. 400 personnes du village les rejoignent pendant les mois de novembre à janvier (olives), et 500 en avril (habas, haricots de Lima).

La récolte (huile d’olive extra vierge, artichauts, poivrons, etc.,) est mise artisanalement en boite ou en bocal dans la petite fabrique HUMAR MARINALEDA au milieu du village où travaillent env. 60 femmes et 4-5 hommes en bavardant dans une ambiance décontractée. Le tout est vendu principalement en Espagne. Une partie de l’huile d’olive part pour l’Italie qui change l’étiquette et la revend sous un autre nom. « Nous avons la meilleure qualité, mais malheureusement, c’est eux qui ont les canaux pour la commercialisation » m’explique un travailleur de la ferme. Avis donc aux magasins alternatifs de chez nous pour leur proposer un marché direct…

Les bénéfices de la coopérative ne sont pas distribués, mais réinvestis pour créer du travail. Ça a l’air si simple, mais c’est pour cela que le village est connu pour ne pas souffrir du chômage. En discutant avec la population, j’ai pourtant appris qu’à certaines époques de l’année, il n’y a pas assez de travail dans l’agriculture pour tous, mais que les salaires sont tout de même versés. Comme à Cuba, l’habitation, le travail, la culture, l’éducation et la santé sont considérées comme un droit. Une place à la crèche avec tous les repas compris coûte 12 euros par mois. A nouveau, ça rappelle Cuba où l’éducation est gratuite, depuis la crèche jusqu’à l’université.

Les maisons auto-construites

Plus de 350 maisons ont déjà été construites par les habitants eux-mêmes. Il n’y a pas de discrimination et l’unique condition pour une attribution est de ne pas déjà disposer d’un logement. La municipalité met à disposition gratuitement la terre et les conseils d’un architecte, Sevilla fait un prêt des matériaux. Les maisons ont 90m2, deux salles d’eau et une cour individuelle de 100m2 où on peut planter ses légumes, faire ses barbecues, mettre son garage ou agrandir en cas de besoin. Comme dans certaines régions à Cuba, un groupe de futurs voisins construisent ensemble pendant une année une rangée de maisons mitoyennes sans savoir encore laquelle sera la leur. Une fois le logement attribué, les finitions, l’emplacement des portes, les ouvertures peuvent être individualisées par chaque famille. Le loyer se décide en réunion du collectif. Il a été arrêté fixé à moins de 16 euros par mois. Les constructeurs deviennent ainsi propriétaires de leur maison, mais elle ne pourra jamais être revendue. (En dehors de l’auto-construction, j’ai rencontré une famille qui loue à 24 euros par mois ainsi que la seule ouvrière de la fabrique Humar Marinaleda qui vient de l’extérieur et qui paye, elle, 300 euros pour son logement. Les personnes qui souhaitent vivre à Marinaleda doivent y passer deux ans d’accoutumance avant une décision définitive).

Le coiffeur, qui fait plutôt partie de la minorité de l’opposition, est propriétaire de sa maison et se plaint de devoir travailler quand même. A ma question, pourquoi il ne vend pas sa maison à une des nombreuses familles espagnoles qui aimeraient venir rejoindre ce village, il dit qu’il y a tout de même aussi des avantages de rester ici. (L’opposition serait financée par le PSOE, Partido socialisto obrero espagnol, selon certaines sources).

MARINALEDA - http://www.npa2009.org

Ce samedi de Pâques, les intéressé-e-s sont invités à la mairie pour une petite conférence. Le maire nous explique son point de vue sur différents points avant de répondre à nos questions. En voici quelques extraits ou résumés :

S’organiser

« Il faut lutter unis. Au niveau international, nous sommes connectés avec Via campesina, puis nous nous sommes organisés syndicalement et politiquement », nous communique le maire. Esperanza, 30 ans, éducatrice de profession, conseillère sociale bénévole de la municipalité, m’avait déjà expliqué ceci la veille au « syndicat », bar et lieu de rencontres municipal : « Ici, nous avons fait les changements depuis le bas, avec le SAT, syndicat de travailleurs d’Andalousie, anciennement SOC, syndicat fondé en 76, juste après Franco, et avec la CUT, collectif unitaire de travailleurs, parti anticapitaliste ».

Pas de gendarme

« Nous n’avons pas de gendarmes ici - ça serait un gaspillage inutile » Les gens n’ont pas envie de vandaliser leur propre village. « Nous n’avons pas de curé non plus –gracias à Dios ! » plaisante le maire. La liberté de pratiquer sa religion est pourtant garantie et une petite procession religieuse timide défile discrètement, sans spectateurs, dans le village en évitant la place de fête.

Le capitalisme

« La crise ? Le système capitaliste a toujours été un échec, la crise ne date pas d’aujourd’hui. L’avantage de la crise : le mythe du marché est tombé (...) Les réalités sont toujours les mêmes : quelque 2% détiennent 50% de la terre (…). Ceux qui veulent réformer le capitalisme veulent tout changer pour que rien ne change ! Dans le capitalisme, on a des syndicats de régime et non pas des syndicats de classe, il y a beaucoup d’instruments d’aliénation, pas de liberté d’expression, seulement la liberté d’acquisition (...) A Marinaleda, nous serons les premiers quand il s’agit de lutter et les derniers à l’heure des bénéfices. »

Démocratie

« Nous pratiquons une démocratie participative, on décide de tout, des impôts aux dépenses publiques, dans des grandes assemblées. Beaucoup de têtes donnent beaucoup d’idées. Nos gens savent aussi qu’on peut travailler pour d’autres valeurs qu’uniquement pour de l’argent. Quand nous avons besoin ou envie, nous organisons un dimanche rouge : par exemple certainement dimanche après cette fête, il y aura assez de jeunes volontaires qui viendront nettoyer la place ou préparer un petit déjeuner pour les enfants et tout ceci pour le plaisir d’être ensemble et d’avoir un village propre (…). La démocratie doit être économique et sociale, pas seulement politique. Quant à la démocratie politique, la majorité 50%+1 ne sert à rien. Pour une vraie démocratie, il faut au moins 80-90% d’adhérents à une idée. D’ailleurs, toutes nos charges politiques sont tous sans rémunération ».

Luttes futures et amendes…

Le maire appelle à participer à la grève générale annoncée par le SA pour ce 14 avril, en solidarité avec les sans terres en Andalousie qui ne bénéficient pas encore de leur droit à la terre et aussi pour nos revendications à nous. Il préconise aussi la nécessité de nationaliser les banques, l’énergie, les transports, etc. Nous devons 20-30 millions de pesetas d’amendes pour nos luttes différentes…

La culture, les fêtes

« Nous faisons beaucoup de fêtes avec des repas communs gratuits, et il y a toujours assez de volontaires pour organiser tout cela. La joie et la fête doivent être un droit, gratuites et pour tous. Ce n’est pas la mayonnaise des médias qui vont nous dicter ce qui doit nous plaire, nous avons une culture à nous. »

Expérience sociale unique en Europe

Avec un sol qui n’est plus une marchandise, mais devenu un droit pour celui qui veut le cultiver ou l’habiter, une habitation pour 15 euros par mois, du sport ou la culture gratuits ou presque (piscine municipale 3 euros pour la saison), un sens communautaire de bien-être, je pense pouvoir dire que Marinaleda est une expérience unique en Europe.

Chaque samedi d’ailleurs, le maire répond également aux questions des villageois présent-e-s à la maison communale sur la chaîne de la TV locale. Cela nous rappelle l’émission « Alô présidente » de Hugo Chavez, un autre leader pour lequel Gordillo a exprimé son admiration.

La désinformation

Apaga la TV, enciende tu mente - Eteins la TV, allume ton cerveau, ce premier mural m’avait frappé, il se trouve jusqu’en face de la TV locale… A ma question en lien avec la désinformation, Juan Miguel Sanchez Gordillo me fait part de son plan d’écrire un livre sur « Los prensatenientes » – la demi-douzaine de transnationales qui possèdent les médias dans le monde. « Pendant que la gauche écrit des pamphlets que personne ne lit, la droite économique, la grande bourgeoisie, installe chez toi plein de canaux de télévision racontant tous les mêmes valeurs et propageant la même propagande mensongère. (…) Au niveau de l’information, l’éducation est très importante » et, en ce qui concerne le programme national de l’éducation, cela ne lui convient pas. Jean Manuel Sanchez Gordillo me confie donc qu’il compte venir bientôt en Suisse pour étudier notre système d’éducation qui est organisé au niveau cantonal... Probablement il pense que nous sommes une vraie démocratie avec des programmes scolaires indépendants du pouvoir…

Des expériences alternatives au capitalisme qui font peur

Par rapport aux médias, la question que je me pose à nouveau est la suivante : Pourquoi l’expérience de Marinaleda est si mal connue en Espagne ainsi qu’auprès de nos édiles ? Pourquoi Cuba, cas d’école au niveau mondial en ce qui concerne la désinformation, mérite un budget annuel de 83 millions de dollars de la part des Etats-Unis, consacrés uniquement au financement de la désinformation et des agressions contre ce petit pays ?

Y aurait-il des alternatives au capitalisme qui fonctionnent depuis longtemps et qui font si peur à certains ?

http://www.legrandso...-en-Europe.html

Je connais, déjà lu...

Un bled de 2000 habitants... ouais...

Moi je te parle de pays, pas d'auto-gestion de village.

Si t'a encore d'autres exemples du fin fond de la Laponie, des 3 igloos du dernier village inuit québecquois, ou autres joyeusetés locales dans le genre, n'hésite pas.

Des barres Guy Moquette !

Je pense que ce syndrome du larbin est plus le fruit de transmissions génétiques qu'une pathologie, même si je n'en sais rien. Et j'ai par ailleurs une objection à faire : comment envisager seulement l'une et l'autre de ces hypothèse expliquant l'existence de ce syndrome, tout en laissant entendre que l'intelligence puisse avoir un rapport avec le niveau d'études ?

le syndrome du larbin ne prolifère pas seulement chez les plus démunis intellectuellement comme on pourrait le penser; il affecte une large proportion de la population, sans corrélation apparente avec le niveau d'études

Si le syndrome du larbin est héréditaire ou une pathologie de naissance, il n'a alors évidemment strictement aucun rapport avec l'éducation et par conséquent avec le niveau d'études.

Bon, et comme me disait ma collègue ce matin : "c'était un bon directeur, l'autre, il voulait pas qu'on le tutoie : chacun à sa place."

Depuis que l'homme peut de définir comme tel, la société a toujours été structuré autour d'un chef de tribu et ce qu'elle que soit l'endroit du globe ou l'on se trouve. C'est la structure sociétal naturel de l'homme et d'un grand nombres d’espèces animales. Quoi que l'on fasse il y aura toujours des rapports dominant/dominé, leader/suiveur. C'en est presque innée comme attitude, et dans la plupart des cas, tout le monde y trouve son bonheur.

Merci, on avait besoin d'un exemple du syndrome

Je ne trouve pas qu'il donne un exemple du syndrome, mais plutôt qu'il développe l'une des hypothèses avancées sur ta vidéo, à savoir la transmission génétique dudit syndrome.

Continue de sortir tous les poncifs possibles qui sont justement dénoncés dans cette vidéo.

Mais bon, participer a un sujet ou tu n'as lu que le titre, forcement derrière crois pas qu'on va s’embêter a essayer de discuter avec toi, surtout si tu joues le parfait larbin qui n'a vraiment rien compris a la société.

Mais merci d'être passé

C'est quand-même super chou.

50 ans ? non, juste 20. C'est bien récent. Et ça perdure dans certains pays, européens d'ailleurs.

Le communisme a évolué ? ou ? Quand ?

Tu te retrouves pas dans la vidéo du sujet?

Il n'a pas tellement évolué, finalement....

ah bah oui,20ans c'est récent

Marinaleda : un modèle d’auto-gestion unique en Europe

Depuis l’alerte google Alternatives au capitalisme j’ai récemment découvert l’existence de MARINALEDA, une commune de 2645 habitants en Andalousie « où Marx vivrait s’il était encore en vie, avec zéro chômage, zéro policier et des habitations à 15 euros par mois » (1). Une alternative au capitalisme réalisée à moins de 2000 km de chez nous et qui fonctionne depuis plus de 30 ans sans que je n’en aie jamais entendu parler ? A la première occasion, c’est donc sac à dos, train, bus et autostop que j’irai pour vérifier si cette belle utopie existe vraiment…

Comme c’est Pâques, je tombe en pleine Semana Santa. Au village voisin on m’avertit : « Leur maire est un fou, quand nous autres, Espagnols, faisons des processions religieuses, eux ils font la fête pendant 5 jours »

J’apprends que la fête de la paix qui tombe durant la Semaine Sainte y est effectivement une tradition depuis plusieurs années et beaucoup de jeunes de Sevilla, Granada ou Madrid ont rejoint les villageois. Des lectures, des films ou une conférence, en solidarité avec la Palestine, ainsi qu un appel au boycott des produits israéliens ouvrent les soirées de concerts et de fête. Pour les nuits, l’immense complexe poly-sportif reste ouvert pour loger les visiteurs de l’extérieur. Une première auberge est en construction.

En tant que membre de l’association de solidarité Suisse-Cuba, je m’étais déplacée pour voir s’il existait effectivement une expérience socialiste un peu similaire à la révolution cubaine ici en Europe et j’en ai eu pour mon compte.

Le droit à la terre et au travail

A Marinaleda aussi, il a fallu d’abord passer par une réforme agraire. « La lutte révolutionnaire du peuple cubain a été une lumière pour tous les peuples du monde et nous avons une grande admiration pour ses acquis », m’explique Juan Manuel Sanchez Gordillo, maire communiste, réélu depuis 31 ans. Il était le plus jeune édile d’Espagne en 1979. En 1986, après 12 ans de luttes et d’occupations où les femmes ont joué le rôle principal, ce village a réussi à obtenir 1200 ha de terre d’un grand latifundiaire, terre qui a aussitôt été redistribuée et transformée en coopérative agricole de laquelle vit aujourd’hui presque tout le village. « La terre n’appartient à personne, la terre ne s’achète pas, la terre appartient à tous ! ».

A la ferme de la coopérative, EL HUMOSO, les associés travaillent 6.5h par jour, du lundi au samedi, ce qui donne des semaines de 39 h. Tout le monde a le même salaire, indépendant de la fonction. 400 personnes du village les rejoignent pendant les mois de novembre à janvier (olives), et 500 en avril (habas, haricots de Lima).

La récolte (huile d’olive extra vierge, artichauts, poivrons, etc.,) est mise artisanalement en boite ou en bocal dans la petite fabrique HUMAR MARINALEDA au milieu du village où travaillent env. 60 femmes et 4-5 hommes en bavardant dans une ambiance décontractée. Le tout est vendu principalement en Espagne. Une partie de l’huile d’olive part pour l’Italie qui change l’étiquette et la revend sous un autre nom. « Nous avons la meilleure qualité, mais malheureusement, c’est eux qui ont les canaux pour la commercialisation » m’explique un travailleur de la ferme. Avis donc aux magasins alternatifs de chez nous pour leur proposer un marché direct…

Les bénéfices de la coopérative ne sont pas distribués, mais réinvestis pour créer du travail. Ça a l’air si simple, mais c’est pour cela que le village est connu pour ne pas souffrir du chômage. En discutant avec la population, j’ai pourtant appris qu’à certaines époques de l’année, il n’y a pas assez de travail dans l’agriculture pour tous, mais que les salaires sont tout de même versés. Comme à Cuba, l’habitation, le travail, la culture, l’éducation et la santé sont considérées comme un droit. Une place à la crèche avec tous les repas compris coûte 12 euros par mois. A nouveau, ça rappelle Cuba où l’éducation est gratuite, depuis la crèche jusqu’à l’université.

Les maisons auto-construites

Plus de 350 maisons ont déjà été construites par les habitants eux-mêmes. Il n’y a pas de discrimination et l’unique condition pour une attribution est de ne pas déjà disposer d’un logement. La municipalité met à disposition gratuitement la terre et les conseils d’un architecte, Sevilla fait un prêt des matériaux. Les maisons ont 90m2, deux salles d’eau et une cour individuelle de 100m2 où on peut planter ses légumes, faire ses barbecues, mettre son garage ou agrandir en cas de besoin. Comme dans certaines régions à Cuba, un groupe de futurs voisins construisent ensemble pendant une année une rangée de maisons mitoyennes sans savoir encore laquelle sera la leur. Une fois le logement attribué, les finitions, l’emplacement des portes, les ouvertures peuvent être individualisées par chaque famille. Le loyer se décide en réunion du collectif. Il a été arrêté fixé à moins de 16 euros par mois. Les constructeurs deviennent ainsi propriétaires de leur maison, mais elle ne pourra jamais être revendue. (En dehors de l’auto-construction, j’ai rencontré une famille qui loue à 24 euros par mois ainsi que la seule ouvrière de la fabrique Humar Marinaleda qui vient de l’extérieur et qui paye, elle, 300 euros pour son logement. Les personnes qui souhaitent vivre à Marinaleda doivent y passer deux ans d’accoutumance avant une décision définitive).

Le coiffeur, qui fait plutôt partie de la minorité de l’opposition, est propriétaire de sa maison et se plaint de devoir travailler quand même. A ma question, pourquoi il ne vend pas sa maison à une des nombreuses familles espagnoles qui aimeraient venir rejoindre ce village, il dit qu’il y a tout de même aussi des avantages de rester ici. (L’opposition serait financée par le PSOE, Partido socialisto obrero espagnol, selon certaines sources).

MARINALEDA - http://www.npa2009.org

Ce samedi de Pâques, les intéressé-e-s sont invités à la mairie pour une petite conférence. Le maire nous explique son point de vue sur différents points avant de répondre à nos questions. En voici quelques extraits ou résumés :

S’organiser

« Il faut lutter unis. Au niveau international, nous sommes connectés avec Via campesina, puis nous nous sommes organisés syndicalement et politiquement », nous communique le maire. Esperanza, 30 ans, éducatrice de profession, conseillère sociale bénévole de la municipalité, m’avait déjà expliqué ceci la veille au « syndicat », bar et lieu de rencontres municipal : « Ici, nous avons fait les changements depuis le bas, avec le SAT, syndicat de travailleurs d’Andalousie, anciennement SOC, syndicat fondé en 76, juste après Franco, et avec la CUT, collectif unitaire de travailleurs, parti anticapitaliste ».

Pas de gendarme

« Nous n’avons pas de gendarmes ici - ça serait un gaspillage inutile » Les gens n’ont pas envie de vandaliser leur propre village. « Nous n’avons pas de curé non plus –gracias à Dios ! » plaisante le maire. La liberté de pratiquer sa religion est pourtant garantie et une petite procession religieuse timide défile discrètement, sans spectateurs, dans le village en évitant la place de fête.

Le capitalisme

« La crise ? Le système capitaliste a toujours été un échec, la crise ne date pas d’aujourd’hui. L’avantage de la crise : le mythe du marché est tombé (...) Les réalités sont toujours les mêmes : quelque 2% détiennent 50% de la terre (…). Ceux qui veulent réformer le capitalisme veulent tout changer pour que rien ne change ! Dans le capitalisme, on a des syndicats de régime et non pas des syndicats de classe, il y a beaucoup d’instruments d’aliénation, pas de liberté d’expression, seulement la liberté d’acquisition (...) A Marinaleda, nous serons les premiers quand il s’agit de lutter et les derniers à l’heure des bénéfices. »

Démocratie

« Nous pratiquons une démocratie participative, on décide de tout, des impôts aux dépenses publiques, dans des grandes assemblées. Beaucoup de têtes donnent beaucoup d’idées. Nos gens savent aussi qu’on peut travailler pour d’autres valeurs qu’uniquement pour de l’argent. Quand nous avons besoin ou envie, nous organisons un dimanche rouge : par exemple certainement dimanche après cette fête, il y aura assez de jeunes volontaires qui viendront nettoyer la place ou préparer un petit déjeuner pour les enfants et tout ceci pour le plaisir d’être ensemble et d’avoir un village propre (…). La démocratie doit être économique et sociale, pas seulement politique. Quant à la démocratie politique, la majorité 50%+1 ne sert à rien. Pour une vraie démocratie, il faut au moins 80-90% d’adhérents à une idée. D’ailleurs, toutes nos charges politiques sont tous sans rémunération ».

Luttes futures et amendes…

Le maire appelle à participer à la grève générale annoncée par le SA pour ce 14 avril, en solidarité avec les sans terres en Andalousie qui ne bénéficient pas encore de leur droit à la terre et aussi pour nos revendications à nous. Il préconise aussi la nécessité de nationaliser les banques, l’énergie, les transports, etc. Nous devons 20-30 millions de pesetas d’amendes pour nos luttes différentes…

La culture, les fêtes

« Nous faisons beaucoup de fêtes avec des repas communs gratuits, et il y a toujours assez de volontaires pour organiser tout cela. La joie et la fête doivent être un droit, gratuites et pour tous. Ce n’est pas la mayonnaise des médias qui vont nous dicter ce qui doit nous plaire, nous avons une culture à nous. »

Expérience sociale unique en Europe

Avec un sol qui n’est plus une marchandise, mais devenu un droit pour celui qui veut le cultiver ou l’habiter, une habitation pour 15 euros par mois, du sport ou la culture gratuits ou presque (piscine municipale 3 euros pour la saison), un sens communautaire de bien-être, je pense pouvoir dire que Marinaleda est une expérience unique en Europe.

Chaque samedi d’ailleurs, le maire répond également aux questions des villageois présent-e-s à la maison communale sur la chaîne de la TV locale. Cela nous rappelle l’émission « Alô présidente » de Hugo Chavez, un autre leader pour lequel Gordillo a exprimé son admiration.

La désinformation

Apaga la TV, enciende tu mente - Eteins la TV, allume ton cerveau, ce premier mural m’avait frappé, il se trouve jusqu’en face de la TV locale… A ma question en lien avec la désinformation, Juan Miguel Sanchez Gordillo me fait part de son plan d’écrire un livre sur « Los prensatenientes » – la demi-douzaine de transnationales qui possèdent les médias dans le monde. « Pendant que la gauche écrit des pamphlets que personne ne lit, la droite économique, la grande bourgeoisie, installe chez toi plein de canaux de télévision racontant tous les mêmes valeurs et propageant la même propagande mensongère. (…) Au niveau de l’information, l’éducation est très importante » et, en ce qui concerne le programme national de l’éducation, cela ne lui convient pas. Jean Manuel Sanchez Gordillo me confie donc qu’il compte venir bientôt en Suisse pour étudier notre système d’éducation qui est organisé au niveau cantonal... Probablement il pense que nous sommes une vraie démocratie avec des programmes scolaires indépendants du pouvoir…

Des expériences alternatives au capitalisme qui font peur

Par rapport aux médias, la question que je me pose à nouveau est la suivante : Pourquoi l’expérience de Marinaleda est si mal connue en Espagne ainsi qu’auprès de nos édiles ? Pourquoi Cuba, cas d’école au niveau mondial en ce qui concerne la désinformation, mérite un budget annuel de 83 millions de dollars de la part des Etats-Unis, consacrés uniquement au financement de la désinformation et des agressions contre ce petit pays ?

Y aurait-il des alternatives au capitalisme qui fonctionnent depuis longtemps et qui font si peur à certains ?

http://www.legrandso...-en-Europe.html

Je connais, déjà lu...

Un bled de 2000 habitants... ouais...

Moi je te parle de pays, pas d'auto-gestion de village.

Si t'a encore d'autres exemples du fin fond de la Laponie, des 3 igloos du dernier village inuit québecquois, ou autres joyeusetés locales dans le genre, n'hésite pas.

De plus même un village ça a foiré XD

Cf mon post précédent.

"Marinaleda quelle beau rêve.... Financé par les subventions de la région Andalouse.

D'ailleurs dernièrement le retrait de 40% des subvention oblige à des mesures drastiques :

Le travail obligatoire non rémunéré dans les champs... le dimanche. De plus, absence de police ha ? Pour un village de 2600 habs ça passe mais pour des états ?

Dommage c'était un joli rêve ^^ "

Le mot "larbin", ne serait-il pas en vérité un mot plus offensant pour désigner les "nerds" ?

« La lutte révolutionnaire du peuple cubain a été une lumière pour tous les peuples du monde

Une dictature, avant tout, ne noyons pas le poisson.

Et si Cuba était un endroit génial, énormément de gens partiraient y vivre... et ça se saurait.

Comme à Cuba, l’habitation, le travail, la culture, l’éducation et la santé sont considérées comme un droit.

A Cuba, la culture est un droit du moment que le livre/film/oeuvre... ne vient pas des puissances capitalistes, n'est-ce-pas ?

une petite procession religieuse timide défile discrètement, sans spectateurs, dans le village en évitant la place de fête.

Quelle tolérance...

pas de liberté d’expression,

Liberté d'expression à Cuba ?

il y aura assez de jeunes volontaires qui viendront nettoyer la place ou préparer un petit déjeuner pour les enfants et tout ceci pour le plaisir d’être ensemble et d’avoir un village propre

Volontaires ou + que ça ??

La joie et la fête doivent être un droit, gratuites et pour tous. Ce n’est pas la mayonnaise des médias qui vont nous dicter ce qui doit nous plaire, nous avons une culture à nous. »

La joie est un ressenti psychologique. Traduction juridique ?

Et la fête ne doit pas être obligatoire.

(Par exemple, je n'aime pas aller à une fête avec des beaufs, des paumés ou des cas soc')

Eteins la TV, allume ton cerveau,

On dirait que dans ce village, certains confondent l'ignorance et les divergences d'opinion...

valeurs

Ben oui, à droite il y a des valeurs. Mérite, effort, travail, initiative, par exemple.

Y aurait-il des alternatives au capitalisme qui fonctionnent depuis longtemps et qui font si peur à certains ?

L'extrême-gauche fait peur, tout comme l'extrême-droite. Car c'est "extrême".

Le mot "larbin", ne serait-il pas en vérité un mot plus offensant pour désigner les "nerds" ?

Le langage a sans doute évolué ces dernières années suite à l'essor exponentiel de l'Internet, mais à l'origine, le terme « nerd » n'est absolument pas spécifique à l'informatique. Ce terme argotique, surtout employé par les élèves des lycées américains (qui ont l'habitude de classer les élèves en catégories pré-établies : les sportifs, les gothiques, etc.), peut se traduire par « intello » (avec la nuance péjorative que cela implique pour certains) : on peut ici se référer au stéréotype (cf. pas mal de sitcoms, comme Sauvés par le gong ou Parker Lewis ne perd jamais) du gars à lunettes inscrit au club d'échecs et/ou d'astronomie, qui a toujours réponse à tout, mais utilise des mots compliqués que personne ne comprend, ce qui agace bien ses petits camarades.

Contrairement au geek (plutôt technicien dans l'âme, et essentiellement tourné vers les nouvelles technologies comme l'informatique), le nerd se passionne pour tout ce qui touche au domaine scientifique en général (et en particulier les sciences dites « dures », comme les mathématiques ou la physique), ce qui en fait plutôt un théoricien. Il y a toutefois un point commun important entre le geek et le nerd qui consiste à faire confiance, a priori et en priorité à des médias informatiques pour acquérir le savoir nécessaire à l'expression de leurs doutes.

Les connotations associées au terme nerd (ainsi qu'à son cousin le geek) varient beaucoup selon les personnes qui l'emploient. On retrouve d'ailleurs la même ambiguïté avec le terme d'otaku.

aucun rapport!!!allez....aurevoir

Merci, on avait besoin d'un exemple du syndrome

Enorme :smile2:

Depuis que l'homme peut de définir comme tel, la société a toujours été structuré autour d'un chef de tribu et ce qu'elle que soit l'endroit du globe ou l'on se trouve. C'est la structure sociétal naturel de l'homme et d'un grand nombres d’espèces animales. Quoi que l'on fasse il y aura toujours des rapports dominant/dominé, leader/suiveur. C'en est presque innée comme attitude, et dans la plupart des cas, tout le monde y trouve son bonheur.

La sensible différence qu'il y a entre un soumis et un adepte de la théorie du léviathan c'est que le premier oublie toujours de dire que le léviathan doit être légitime selon la valeurs de la société que ce dernier domine.

D'autant plus étant peut être plus tourné à gauche qu'à droite je trouve quand même ça profondément ridicule de continuer à diviser le monde entre les pauvres et les riches. "les faible et les fort"