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Invité Quasi-Modo

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Invité Quasi-Modo
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Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)

Bonjour,

J'appelle conte philosophiques ces histoires souvent brèves, dont il se dégage une morale en guise de conclusion.

Vous pourrez partager les vôtres, mais laissez-moi d'abord vous en conter une. C'est une histoire née de la tradition juive :

Il était une fois, dans une époque reculée, un vieux village dans lequel résidaient deux femmes reconnues pour être très belles.

Un beau jour, la première alla voir la seconde et elles commencèrent à discuter pour savoir laquelle des deux était la plus belle et la plus acceptée par les villageois.

De cette discussion, elles décidèrent de partager une épreuve commune, afin de déterminer qui était véritablement la plus belle.

Chacune des deux femmes devait traverser la rue centrale du village, de façon à ce qu'elles puissent savoir qui avait le plus d'amis.

La première des deux femmes s'appelait Vérité.

Alors qu'elle fit ses premiers pas dans l'allée centrale du village, les gens commencèrent à rentrer dans leurs maisons, et certains qui avaient leurs fenêtres ouvertes les refermèrent, si bien qu'il ne restait que très peu de gens sur la place du village.

Arrivée au bout de la rue, Vérité se demanda comment elle pouvait faire pour se rendre plus attirante.

Elle décida donc de se dévêtir, et de retraverser le village complètement nue dans le sens opposé, en pensant que cette fois-ci, les villageois viendraient à sa rencontre.

Mais les derniers qui demeuraient à l'extérieur rentrèrent précipitamment dans leurs maisons, si bien que Vérité fît son retour toute seule dans l'allée du village.

Vérité s'adressa à la seconde femme qui s'appelait Histoire :

-Je ne peux pas le croire, il n'y avait personne dans les rues!

Histoire lui répondit :

-Attends, laisse-moi essayer.

Alors qu'Histoire fît ses premiers pas dans l'allée centrale, les gens commencèrent à ressortir de leurs maisons, ils ouvrirent à nouveau les fenêtres, ils se rassemblèrent autour de leur amie, certains discutaient avec elle et commencèrent à plaisanter, si bien que durant son trajet retour, tout le village était finalement rassemblé derrière elle.

Elle s'adressa alors à Vérité et lui dit :

-Tu sais, tu es une femme très belle et là n'est pas le problème. C'est juste que personne n'aime la Vérité, spécialement pas la Vérité toute nue.

Et Vérité dût reconnaître que les Histoires étaient plus fortes que la Vérité.

Alors Histoire mît son manteau autour des épaules de Vérité, qui put rejoindre le centre du village, et ainsi, les villageois purent s'intéresser à ce qu'elle avait à dire.

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Membre, 31ans Posté(e)
RaphStaf Membre 2 937 messages
Baby Forumeur‚ 31ans‚
Posté(e)

PAS MAL !!!!!

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Membre, Posté(e)
Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

J'en connais une c'est la même version mais en moins érotique et plus gore sauf que là c'est la vérité qui blesse.

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Membre, 93ans Posté(e)
Lovery Membre 16 834 messages
Forumeur alchimiste ‚ 93ans‚
Posté(e)

Et Rumeur !?

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Membre, Posté(e)
Padma Membre 19 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Le Destin est entre nos Mains.

Il y a fort longtemps, un général emmenait ses troupes combattre un ennemi dont la force leur était dix fois supérieures. Sur la route, il s'arrêta près d'une chapelle pour prier et demander de l'aide. Il s'adresse à ses soldats : "Maintenant, je vais lancer une pièce. Si c'est FACE, nous gagnerons. Si c'est PILE, nous perdrons. Nos vies sont entre les mains du destin." - "C'est FACE ! Nous vaincrons ! Chargeons et liquidons l'ennemi ! Notre victoire est assurée ! ", crient les soldats. Au cours du combat, l'ennemi, bien que très supérieur en nombre, fut effectivement battu. Un sous-chef dit :"Ceci est la volonté du ciel, personne ne peut changer le destin." Son général sortit alors la pièce de sa poche. Les 2 côtés de la pièce étaient des FACES...

Le ciel est indifférent vis-à-vis de toute chose. Personne ne récolte une faveur particulière. Tu es le seul à pouvoir t'aider.

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Membre+, débatteur invétéré, 39ans Posté(e)
femzi Membre+ 5 626 messages
39ans‚ débatteur invétéré,
Posté(e)

je sens que je vais adorer ce topic.:bo:

voici donc mon conte philosophique:

Il y avait une fois, dans Bagdad, un Calife et son Vizir. Un jour, le Vizir

arriva devant le Calife, pâle et tremblant :

“Pardonne mon épouvante, Lumière des Croyants, mais devant le Palais une femme m’a heurté dans la foule. Je me suis retourné : et cette femme au teint pâle, aux cheveux sombres, à la gorge voilée par une écharpe rouge était la Mort. En me voyant, elle a fait un geste vers moi. Puisque la mort me cherche ici, Seigneur, permets-moi de fuir me cacher loin d’ici, à Samarcande. En me hâtant, j’y serai avant ce soir”

Sur quoi il s’éloigna au grand galop de son cheval et disparu dans un nuage

de poussière vers Samarcande. Le Calife sortit alors de son Palais et lui aussi

rencontra la Mort. Il lui demanda :

“Pourquoi avoir effrayé mon Vizir qui est jeune et bien-portant ?

- Et la Mort répondit :

“Je n’ai pas voulu l’effrayer, mais en le voyant dans Bagdad, j’ai eu un

geste de surprise, car je l’attends ce soir à Samarcande”

NB: d'ailleurs en y repensant on pourrait citer tous les contes de Jean de La Fontaine.

non?

:hu:

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Invité ella voyage
Invités, Posté(e)
Invité ella voyage
Invité ella voyage Invités 0 message
Posté(e)

NB: d'ailleurs en y repensant on pourrait citer tous les contes de Jean de La Fontaine.

non?

:hu:

oui :|

(et en parlant de La Fontaine

"Tant va la cruche à l'eau..."

(c'est pour le jeu de mots/maux :D ))

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)

Voici un classique, simple, mais toujours aussi efficace :

Les deux souris et le pot de crème :

Comme à leurs habitudes, deux charmantes petites souris se promènent dans la cuisine en l’absence des propriétaires. A la recherche, ne serait-ce que de quelques miettes ou autres épluchures à l’abandon, elles sont soudain attirées par l’odeur irrésistible d’un pot de crème encore tout frais. Nos deux comparses ne résistent pas et tête la première glissent dans le pot ! Une fois à l’intérieur et bien qu’entourées de cette délicieuse crème fraîche liquide, l’horrible constat ne fait aucun doute : pas une seule prise pour s’élancer ou pour s’accrocher sur les rebords glissants du fameux pot de crème. Comment vont-elles parvenir à s’en sortir ? Elles s’agitent, s’affolent même. Prise de panique sans doute, l’une des deux, voyant l’impossibilité de s’en sortir, se laisse couler doucement au fond du pot de crème vers une fin inéluctable.

La deuxième, quant à elle, n’arrive pas à s’en remettre à ce fatal destin et tente encore et encore de s’accrocher au bord du pot de crème. Tant et si bien, qu’à force d’agiter ses petites pattes, la crème fraîche se solidifie petit à petit. Elle finit même par se transformer en beurre, ce qui lui permet d’avoir enfin une prise pour quitter le fameux pot de crème !

Merci aux deux compères qui ont également partagé une histoire.

Le Destin est entre nos Mains.

Il y a fort longtemps, un général emmenait ses troupes combattre un ennemi dont la force leur était dix fois supérieures. Sur la route, il s'arrêta près d'une chapelle pour prier et demander de l'aide. Il s'adresse à ses soldats : "Maintenant, je vais lancer une pièce. Si c'est FACE, nous gagnerons. Si c'est PILE, nous perdrons. Nos vies sont entre les mains du destin." - "C'est FACE ! Nous vaincrons ! Chargeons et liquidons l'ennemi ! Notre victoire est assurée ! ", crient les soldats. Au cours du combat, l'ennemi, bien que très supérieur en nombre, fut effectivement battu. Un sous-chef dit :"Ceci est la volonté du ciel, personne ne peut changer le destin." Son général sortit alors la pièce de sa poche. Les 2 côtés de la pièce étaient des FACES...

Le ciel est indifférent vis-à-vis de toute chose. Personne ne récolte une faveur particulière. Tu es le seul à pouvoir t'aider.

Concernant l'armée de soldats galvanisée par la croyance, c'est un peu le syndrome de la plume de Dumbo l'éléphant, persuadé qu'il ne pourra pas voler sans sa plume magique. Ce que je retiendrai également de cette histoire c'est qu'il suffit parfois d'y croire pour y arriver.

C'est d'ailleurs assez marrant parce que cela rentre en contradiction avec l'histoire de femzi qui elle aussi porte sur le destin. J'en soutiendrai volontiers que la morale de son histoire est que le destin nous rattrape toujours, et que c'est parfois dans l'acte même de vouloir lui échapper qu'il nous revient ; qu'en penses-tu femzi?

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Membre, Posté(e)
Moemoea Membre 2 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Il y en a deux que j'aime particulièrement :

Rendre les autres heureux en dépit de nos propres épreuves...

Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons, son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre.

L'autre devait passer ses journées couché sur le dos. Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits ou ils avaient été en vacances.

Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.

L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure ou son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.

De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac, les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel, de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait percevoir au loin la ville se dessiner. Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre coté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.

Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.

Les jours et les semaines passèrent.

Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.

Dès qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à coté de la fenêtre. L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul.

Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors. Enfin, il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or, tout ce qu'il vit, fut un mur !

L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité. L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur.

Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager, commenta-t-elle.

Epilogue : il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve double.

Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter...

LA FURCHETTE ET L'AVENIR, pour ne pas oublier que le plus beau reste à venir...

Il était une fois une jeune femme qui était atteinte d'une maladie mortelle et on lui donnait 3 mois à vivre. Comme elle mettait ses affaires en ordre, elle a contacté son prêtre pour lui demander de venir la voir pour régler certains détails de ses dernières volontés. Elle lui a dit quelle chanson elle voulait à son service, quel texte elle voudrait qui soit lu, et les vêtements dans lesquels elle voulait être enterrée. Tout était en ordre et lorsque le prêtre s'apprêtait à partir, la jeune femme se souvint soudainement de quelque chose de très important pour elle.

"Il y a une autre chose" dis-elle tout excitée.

"Quoi?" dit le prêtre.

"Ceci est très important," poursuit la jeune femme. "Je veux être enterrée avec une fourchette dans ma main droite."

Le pasteur se tenait devant la jeune femme, ne sachant trop quoi dire.

"Cela vous surprend, n'est-ce-pas?" demanda la jeune femme.

"Enfin, pour être honnête, je suis perplexe devant votre requête" dit le prêtre.

La jeune femme expliqua : "Ma grand-mère m'a dit un jour cette histoire, et depuis ce jour-là j'ai toujours essayé de transmettre ce message aux gens que j'aime ainsi qu'à tous ceux qui ont besoin d'encouragement. Dans toutes mes années de participation aux événements sociaux et dîners, je me souviens toujours qu'inévitablement quelqu'un se penchait pour me dire "Gardez votre fourchette." C'était ma partie préférée car je savais que quelque chose de mieux s'en venait.... comme du gâteau, une mousse au chocolat ou une tarte aux pommes. Quelque chose de merveilleux et avec de la substance !

Je veux juste que quand les gens me verront dans mon cercueil avec une fourchette dans ma main, qu'ils se demandent "Pourquoi cette fourchette?" Et ainsi vous pourrez leur dire "Gardez votre fourchette... le meilleur est à venir!" Les yeux du prêtre se remplirent de larmes de joie alors qu'il prit la jeune femme dans ses bras pour lui dire au revoir. Il savait aussi que ce serait une des dernières fois qu'il la voyait avant sa mort.

Aux funérailles les gens défilaient devant la tombe de la jeune femme et ils voyaient sa jolie robe ainsi que la fourchette dans sa main droite. Tour à tour, le pasteur entendait la question "Pourquoi la fourchette?" Et tour à tour, le prêtre souriait.

Pendant son sermon, le prêtre raconta aux gens sa conversation avec la jeune femme peu de temps avant son décès. Il leur raconta également l'histoire de la fourchette ainsi de ce que cela représentait pour elle. Le prêtre dit aux gens combien il ne pouvait s'arrêter de penser à la fourchette et qu'eux aussi ne le pourraient pas non plus. Et il avait raison. Alors la prochaine fois que vous prendrez une fourchette dans votre main, aussi doucement que possible, laissez-lui vous rappeler que quoi que vous viviez, quoi que le futur vous réserve... le meilleur est à venir.

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Membre+, débatteur invétéré, 39ans Posté(e)
femzi Membre+ 5 626 messages
39ans‚ débatteur invétéré,
Posté(e)
C'est d'ailleurs assez marrant parce que cela rentre en contradiction avec l'histoire de femzi qui elle aussi porte sur le destin. J'en soutiendrai volontiers que la morale de son histoire est que le destin nous rattrape toujours, et que c'est parfois dans l'acte même de vouloir lui échapper qu'il nous revient ; qu'en penses-tu femzi?

j'en pense que ca pose la question de l'optimisme face au pessimisme. sur quoi nous concentrons nous quand nous regardons le contenu de nos vies?

_la partie vide?

_la partie pleine?

chacun sa philosophie. (tant que ca lui reussi)

:o°

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Membre+, débatteur invétéré, 39ans Posté(e)
femzi Membre+ 5 626 messages
39ans‚ débatteur invétéré,
Posté(e)

tiens jai une autre petite histoire super sympa.

c'est un petit oisillon en plein hiver glacial qui est tombé de son nid et donc se met a pillailler tres fort.

un écureuil qui passait par la le prend et le dépose dans une bouse de vache encore fumante puis s'en va.

Le petit oisillon bien au chaud se met a picorer dans la bouse et reprend des forces si bien qu'il chantonne de bonheur desormais.

un serpent qui passait par la le retire de la bouse et aussitot devore le petit oisillon tout cru.

FIN.

:snif:

moralité?

1_ ceux qui vous mettent dans la merde ne vous veulent pas forcement du mal.:bo:

2_ ceux qui vous sortent de la merde ne vous veulent pas forcement du bien.:mef:

3_ Quand vous etes dans la merde, apprenez a restez discret et humble. (fermez la parfois)

:sleep:

lol!

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Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Bonjour,

J'appelle conte philosophiques ces histoires souvent brèves, dont il se dégage une morale en guise de conclusion.

Vous pourrez partager les vôtres, mais laissez-moi d'abord vous en conter une. C'est une histoire née de la tradition juive :

Il était une fois, dans une époque reculée, un vieux village dans lequel résidaient deux femmes reconnues pour être très belles.

Un beau jour, la première alla voir la seconde et elles commencèrent à discuter pour savoir laquelle des deux était la plus belle et la plus acceptée par les villageois.

De cette discussion, elles décidèrent de partager une épreuve commune, afin de déterminer qui était véritablement la plus belle.

Chacune des deux femmes devait traverser la rue centrale du village, de façon à ce qu'elles puissent savoir qui avait le plus d'amis.

La première des deux femmes s'appelait Vérité.

Alors qu'elle fit ses premiers pas dans l'allée centrale du village, les gens commencèrent à rentrer dans leurs maisons, et certains qui avaient leurs fenêtres ouvertes les refermèrent, si bien qu'il ne restait que très peu de gens sur la place du village.

Arrivée au bout de la rue, Vérité se demanda comment elle pouvait faire pour se rendre plus attirante.

Elle décida donc de se dévêtir, et de retraverser le village complètement nue dans le sens opposé, en pensant que cette fois-ci, les villageois viendraient à sa rencontre.

Mais les derniers qui demeuraient à l'extérieur rentrèrent précipitamment dans leurs maisons, si bien que Vérité fît son retour toute seule dans l'allée du village.

Vérité s'adressa à la seconde femme qui s'appelait Histoire :

-Je ne peux pas le croire, il n'y avait personne dans les rues!

Histoire lui répondit :

-Attends, laisse-moi essayer.

Alors qu'Histoire fît ses premiers pas dans l'allée centrale, les gens commencèrent à ressortir de leurs maisons, ils ouvrirent à nouveau les fenêtres, ils se rassemblèrent autour de leur amie, certains discutaient avec elle et commencèrent à plaisanter, si bien que durant son trajet retour, tout le village était finalement rassemblé derrière elle.

Elle s'adressa alors à Vérité et lui dit :

-Tu sais, tu es une femme très belle et là n'est pas le problème. C'est juste que personne n'aime la Vérité, spécialement pas la Vérité toute nue.

Et Vérité dût reconnaître que les Histoires étaient plus fortes que la Vérité.

Alors Histoire mît son manteau autour des épaules de Vérité, qui put rejoindre le centre du village, et ainsi, les villageois purent s'intéresser à ce qu'elle avait à dire.

bonjour

voiçi un extrait de mon livre "les amours de mon enfançe " .

les enfants cherchent à s'occuper et l'un d'eux , déçident que chacun doit racconter une petites histoire rigolote " nous avions entre 10 et12 ans ".

tous les enfants raconte la leur , çe qui fait bien rire les autres .mon tour arrive .

je n'en connaissais qu'une, que j'avais entendue ,en cachette raconté par des adulte.

j'hésitais car , les oreilles chastes de mes amis en pouvaient ètres blessées ?

devant l'insistence général , je me lançais. cela çe passe dans une ferme.

- un gros éleveur de bétail discute avec un acheteur potentiel, de l'un de ses taureau reproducteur.

les deux hommes tentent de se mettre d'accord sur le prix .

soudain , un garçon de ferme surgit haletant

- patron...patron ,ça y est , le taureau s'est tappé la vache blanche.

le patron prend le garçon à part et lui dit

-c'est trés bien mon garçon mais ,il faut employer un autre langage car mon acheteur peut trouver t'on franc parlé un peut rude .quand le taureau en sera à la vache noir , tu me dira , la vache noir à étée surprise et je comprendrait.

le garçon de ferme s'éloigne, le patron reprend les pourparlés avec l'acheteur en s'excusant du franc parler de son garçon de ferme .

20 minutes s'écoules et , le garçon de ferme surgit , trés agité.

-patron patron .

-oui mon garçon

la vache noir à étée surprise .

c'est trés bien mon garçon , j'ai compris .

- à non , reprend le garçon de ferme ,c'est pas bien du tout , la vache noir à étée surprise par-çe que le taureau s'est encore tappé la blanche.

bonne journée

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