une balle de trop

bonjour

cela fait cinq heures que fred burton est à cheval . la chaleur est écrasante dans çe désert de l'arizona qui n'en finit pas .nous somme en 1870 , dans le sud de l'amérique .

burton à fait une chute de cheval il y à peut prés deux heures , sa monture à fait un brusque écart devant un crotal menaçant . çe genre de serpent à sonnette pulule dans le désert .

burton est blessé à la main droite , celle-çi le fait souffrire un peut . cet accident serait sans gravité si burton était un homme ordinaire mais c'est un aventurier , genre despérados et surtout un pistoléros de renom.

autrement dit , un tireur d'élite .

nul n'est aussi rapide que lui pour dégainer son colt 45 et plaçer une balle entre les deux yeux de son adversaire.

mais burton n'est pas, à proprement parlé un tueur , il ne tire que lorsqu'il est en danger , pour protégé sa vie .le destin la frappé durement il y à une dizaine d'années .rentrant dans son rantch aprés une dure journée de labeur , il à trouvé sa femme violée et assassinée ainsi que sa fille de 13 ans .

depuis çe jour néfaste , il traine sa détresse dans l'ouest de cette amérique encore juvénile et inconnue , allant de villes champignon qui apparaissent dans le désert et disparraissent aussi vite ,au petit village isolé , construis de brique ou de broc par quelques pionniers téméraires et faméliques courant aprés quelques chimère tel que l'or en pépite .

burton n'à jamais retrouvé les assassins sordide de sa petite famille . pendant des mois et des années , il s'est entrainé au révolvers ,à déguainner le plus vite possible et, comme les tueurs professionnels ,il à graissé l'interrieur de l'étui de son arme pour la faire jaillir plus vite possible .il à aussi limé le pontet du colt pour que son doigt accroche plus vite la gachète .

ces petits détails font, dans un duel , la différence entre la vie et la mort .

enfin, burton aperçois au loin,. quelques cabanes blotties prés d'un saloon à l'allure altière et prétençieuse .

çe genre d'endroit , perdut à la frontière , est la limite entre la civilisation et l'ouest sauvage encore innexploré et ou seul quelques chasseurs çe sont aventurés à leurs risques et périls car , des tribus indiennes hostiles et des bandes de détrousseurs rende la région dangereuse .

burton s'engage dans la rue principale , en terre battue ,de çe grand village qui prétend au status de ville .

son cheval est fourbu , il le dirige vers un abreuvoire ou la pauvre bète aspire une eau tiède et fétide .

puis , il se dirige vers le saloon pour boire une boisson bien fraiche si possible et se reposé un peut .

avant d'entrer dans le bar ,il vérifie son colt car , dans çe genre de patelin , il ni à pas encore de shérif ni de juge et seul , le juge de paix , alias le colt 45 fait la loi.

il pousse la porte à double battants du saloon et se dirige vers le comptoire .une odeur de tabac et d'alcool le prend à la gorge .la faune de cet endroit est particulière ,des cowboys, des trappeurs et quelques mines patibulaires et aussi , comme il çe doit , quelques filles de joie venue échouer dans çe bout du monde perdut au millieux de nul part .

burton s'accoude au comptoire et commande ...un verre de lait bien frais .le barman s'exécute .on ne sait par quel miracle du lait frais peut ètre servis dans çe coin perdut ? il ne faut pas toujours chercher à comprendre , c'est comme cela , un point c'est tout .

burton avale son verre d'une seule traite et en recommande un autre.

soudain , un immence éclat se rire fait sursauté burton .un cowboy à demi ivre , hillare,. le dévisage avec un air méprisant.

- du lait , pourquoi pas un biberon ,et un bavoire et...un hochet ?

burton ne bronche pas , il à l'habitude d'ètre provoqué et cela finit par une baguarre général habituellement.

mais là , l'homme devient menaçant et sort son colt .

burton sait qu'il peut plaçer une balle en plein coeur de çe fanfaron imprudent mais , il est blessé à la main droite ,mais sa vie est menaçée , il ne peut faire autrement.

çe cowboy ivre, est peut-ètre un brave homme en temps ordinaire , une balle dans l'épaule le désarmera , pense burton , il en sera quitte pour plusieurs mois de convalescence .

burton dégaine son colt

comme l'éclair , au mème instent , un gamin surgit en criant

-papa , papas

le gosse s'interpose entre son pére et burton .

burton hésite une seconde ,une seconde de trop , l'homme à tiré ,burton chancelle , la balle l'à touché en pleine poitrine ,il fait un pas vers le cowboy qui semble soudainement dégrisé.

burton tend péniblement la main vers son assassin . il veut parler , du sang coule de sa bouche .

- je ne ...voulais que ...te ...désarmer ...je ...

un voile noir, et sa vie défile à grande vitesse devant ses yeux , puis , il s'écroule et rend son dernier soupire.

quelques années plus tard , çe grand village fut abandonné par ses habitants , une rumeur annonçait la découverte de pépites d'or à 600 kms de là , çe fut la ruée générale.

le vent du désert et le temps effaçérent lentement les traçes d'une présence humaine à cet endroit sauf une croix en bois qui résistait à l'oubli .

sur cette croix , un nom à demi éffaçé

jho ...burt..n - 1876 .

ceçi est une fiction

bonne soirée

C'est ainsi que naisse les légendes.

Et c'est aussi ainsi que sont oubliés certains hommes.

La frontière est si mince...

Bonjour Merle,

Tous les ingrédients d’un bon western dans ce texte.

Les zones désertiques que l’on imagine, l’homme seul et blessé dans un environnement hostile, un cheval fourbu par la course.

Le saloon et sa porte à double battant, des cow-boys tuant leur ennui en se saoulant.

Un petit hiatus, c'est effectivement le lait bien frais.(Quid des moyens de conservations à l’époque)

La recette d'un bon western est contenue dans la caricature du héros, honnête et bon, qui s'oppose à des malfrats clairement identifiés.

Le héros est blessé avant le moment crucial du duel, l’enfant du poivrot sauve son père d’une mort certaine.

Certes, le héros principal meurt, mais toutes les raisons sont là pour en justifier.

La légende du western est sauve.

Bravo Merle, c’est bien écrit.

Joli texte, pour moi, la morale de ce récit sera que la bonté peut vous perdre !

bonjour

Bonjour Merle,

Tous les ingrédients d’un bon western dans ce texte.

Les zones désertiques que l’on imagine, l’homme seul et blessé dans un environnement hostile, un cheval fourbu par la course.

Le saloon et sa porte à double battant, des cow-boys tuant leur ennui en se saoulant.

Un petit hiatus, c'est effectivement le lait bien frais.(Quid des moyens de conservations à l’époque)

La recette d'un bon western est contenue dans la caricature du héros, honnête et bon, qui s'oppose à des malfrats clairement identifiés.

Le héros est blessé avant le moment crucial du duel, l’enfant du poivrot sauve son père d’une mort certaine.

Certes, le héros principal meurt, mais toutes les raisons sont là pour en justifier.

La légende du western est sauve.

Bravo Merle, c’est bien écrit.

bonjour

je te remerçi ainsi que les autres pour vos réponses .

mais je dirai que çe petit texte est trop court pour un scénario de western.

le roman que j'ai écrit et publier " la piste des larmes " est lui complet et bien plus étoffé (je n'en fais pas la plubicité).

j'aime beaucoup écrire, aussi, des petites histoires et j'en écrirait d'autres pour le forum .

pour moi , une histoire n'est rien sans le verdict des lecteurs .

merçi à tous pour vos compliments et d'avoir prit la peine de me lire.

pour le lait ,dans mes romans comme dans la vie , il y à toujours une petite chose anachonique qui reste imconpréhensible et sans explication .

bonne journée à tous

bonjour

je voulais écrire une histoire dans le genre de celle-ci et ,je me suis ravisé , car , même si elle serait différente , elle aurait le gout du déjà lu et vu .

bonne journée