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Les peuples indigènes menacés

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Fuel4Life

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Fuel4Life Membre 10 926 messages
Baby Forumeur‚
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Non ces peuples meurent parce que nous les volons, nous les exterminons, Darwin n'a rien à voir la dedans. Il s'agit juste d'appat du gain.

Un colon dans l'âme super, ils ne sont toujours pas en voie d'extinction eux. Heureusement qu'il y a des gens comme Survival pour compenser ça dans l'humanité.

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Non ces peuples disparaissent parce qu'envahi par l'indusctrialisation et le besoin de faire du fric à n'importe quel prix, plus les maladies, les violences que les envahisseurs ont amené avec eux. Ces peuples et leur culture disparaissent parce que nous les tuons.

Les hordes germaniques n'ont pas demandé leur avis aux Gallo-Romains lorsqu'elles ont déferlé sur le territoire de Rome et ont pris les leviers de commandes. Il y a eu syncrétisme, d'abord douloureux mais ensuite fructueux. L'enfermement, lui, n'offre absolument aucune perspective. Personne n'a empêché ces peuplades d'essayer de se développer et d'imposer, elles, leur mode de vie. Il était inadapté à la taille de la planète. Le plus sain et vigoureux l'emporte. Maintenir la respiration artificielle de celui qui est dans le comas depuis des décennies m'apparait vain.

Le monde n'appartient pas aux industries et aux peuples dit "développer".

mais ce n'est pas leur définition du confort, ce n'est pas leur choix, ils ne nous ont rien demandé. Quand arreterons nous de vouloir coloniser le monde et lui imposer notre vie.

Mais le monde n'appartient à personne. CE n'est pas parce que quelqu'un est arrivé quelque part il y a plusieurs centaines d'années, parfois en chassant un peuple devancier, qu'il est propriétaire de sa terre jusqu'au jugement dernier. La possession d'une terre se mérite. L'Histoire est là pour trier systèmes performants et éliminer ceux qui sont trop sclérosés.

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Fuel4Life Membre 10 926 messages
Baby Forumeur‚
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Et si ces peuples n'avaient pas d'envie de conquête, si ces peuples ne voulaient qu'une chose vivre tranquille sur leur terre ?

Les gens comme toi, m'apparaissent inutiles et pourtant tu existes.

Ces peuples sont une partie de ce Monde que tu veux conquérir et t'approprier. Ils ont le droit de vivre et justement parce qu'ils sont en minorité et inoffensif, ils doivent être protéger par les plus forts et non exterminer. Mais inutile d'essayer de discuter avec quelqu'un dans ton genre.

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Non ces peuples meurent parce que nous les volons, nous les exterminons, Darwin n'a rien à voir la dedans. Il s'agit juste d'appat du gain.

Un colon dans l'âme super, ils ne sont toujours pas en voie d'extinction eux. Heureusement qu'il y a des gens comme Survival pour compenser ça dans l'humanité.

Le darwinisme c'est l'évolution et donc, un peu beaucoup, la sélection naturelle et l'adaptation. Ceux qui n'arrivent pas à réagir sont condamnés.

Pourquoi toujours parler de vol ? Nous sommes plus dynamiques, moins sclérosés, c'est tout. Qui te dit que ces peuplades que tu pares de toutes les vertus n'étaient pas, plusieurs siècles en arrière, exactement dans le même esprit que nous, à lorgner le territoire du voisin ? Connais-tu pour chacune les conditions de leur installation initiale ?

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Et si ces peuples n'avaient pas d'envie de conquête, si ces peuples ne voulaient qu'une chose vivre tranquille sur leur terre ?

Les gens comme toi, m'apparaissent inutiles et pourtant tu existes.

Ces peuples sont une partie de ce Monde que tu veux conquérir et t'approprier. Ils ont le droit de vivre et justement parce qu'ils sont en minorité et inoffensif, ils doivent être protéger par les plus forts et non exterminer. Mais inutile d'essayer de discuter avec quelqu'un dans ton genre.

Personne n'aime le phylloxéra, le cholestérol et la sécheresse. Ces données existent indépendamment de notre volonté. Tout comme les invasions. Il y a ceux qui acceptent le monde tel qu'il est et essaient de la façonner et ceux qui se contentent de le rêver en modèle de perfection, passant leur vie à dormir au milieu des évolutions extérieures, et qui pleurnichent lorsqu'ils échoent alors même qu'ils n'ont rien fait pour réussir.

M'apparaissent inutiles ceux qui, comme toi, refusent le monde. Inutiles et même dangereux car prêts aux pires incohérences pour nier la réalité.

Penses ce que tu veux, tu ne m'intéresses pas, ni toi, ni ta personnalité de conquérant guerrier.

Console toi, ce sont tes chimères qui tomberont très vite dans les poubelles de l'Histoire.

Crée tes petits zoos humains et ne participe surtout pas à la marche du monde.

On leur a laissé le choix et elles se sont dissoutes. Certaines cultures, comme certains amérindiens, arrivent à s'adapter petit à petit et à créer un mélange mais il a fallu créer des réserves pour retarder les ravages d'une pauvreté née au contact du mode de vie dominant.

Pour la préservation, je vois un peu ça comme une sorte d'enterrement. Si on en arrive là, c'est que c'est foutu. Vu que la volonté de préservation émane aussi des tribus elles-mêmes (pour celles qui ont eu contact), on peut bien essayer. Tu es partisan de les ratiboiser sans préavis ?

Je suis partisan de leur mettre le marché en main : l'intégration dans le monde réel ou leur disparition à très brève échéance. Pourquoi les Etats devraient-ils financer les délires anachroniques de personnes qui n'ont aucun moyen de pourvoir à la survie figée de leur groupe ?

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Fuel4Life Membre 10 926 messages
Baby Forumeur‚
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C'est sur que les associations comme celle de survival sont moins nombreuses que vous qui détruisez le monde à coup de milliards. Mais ils ont mon plus profond respect pour leur courage et leur action. Ils sont des humains des vrais. Leur vie est utile, leurs combats justes. Toi et les tiens ne leur arrivez pas à la cheville, votre vision du monde est étroite et triste, basée sur l'argent sur rien d'autre. Vous détruisez le monde, et parviendrez à vos fins, j'en suis convaincue depuis très longtemps.

Ce qui me fait rire, c'est qu'en lisant tes "arguments" je me rends compte que tu n'as rien lu sur ces peuples, sur leur choix, sur leur demande, sur les raisons de leur extinction. Bref tu parles sans savoir de quoi tu parles. Un :censored: de plus. Pffff, pire qu'ininteressant.

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Mais oui mais oui.

C'étaient des peuples de dieux, innocents et vertueux, pratiquant l(harmonie et la douceur, et les méchants Occidentaux leur ont fait du mal !lazy.gif

Ce qui est amusant est justement de refuser de regarder la perspective historique. Qu'ont fait la plupart de ces peuplades ? Chasser leurs devanciers de leurs territoires pour prendre leur place et attaquer les voisins. Les guerres amérindiennes étaient tout sauf en dentelles.

On viendra peut-être nous raconter des contes à dormir debout sur leur communion avec la nature, alors même que l'on sait que l'immense majorité des grands mammifères a disparu sur le continent américain, après les premières implantations humaines. Le pauvre tigre à dents de sabre n'a pas fait de très vieux os.

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Fuel4Life Membre 10 926 messages
Baby Forumeur‚
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Ou as-tu lu que C'étaient des peuples de dieux, innocents et vertueux, pratiquant l(harmonie et la douceur, et les méchants Occidentaux leur ont fait du mal !lazy.gif ???

C'est tout ce que tu as trouvé pour tenter de défendre ta position idéologique guerrière ? Essayer de ridiculiser ces peuples avec des propos que tu inventes de toute pièce ? Bravo tu peux être fier de toi.

e qui est amusant est justement de refuser de regarder la perspective historique. Qu'ont fait la plupart de ces peuplades ? Chasser leurs devanciers de leurs territoires pour prendre leur place et attaquer les voisins. Les guerres amérindiennes étaient tout sauf en dentelles.

On viendra peut-être nous raconter des contes à dormir debout sur leur communion avec la nature, alors même que l'on sait que l'immense majorité des grands mammifères a disparu sur le continent américain, après les premières implantations humaines. Le pauvre tigre à dents de sabre n'a pas fait de très vieux os.

De plus en plus risible, vas-y continues franchement plus tu creuses plus tu te désserres, c'est merveilleux.

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williama Membre 3 892 messages
Baby Forumeur‚
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Penses ce que tu veux, tu ne m'intéresses pas, ni toi, ni ta personnalité de conquérant guerrier.

Pourquoi ces peuples indigènes seraient exemplaires et ne connaitraient pas la guerre? ... en Afrique les règlements de compte et les guerres entre tribus minoritaires que tu cites ne sont pas rares pour des questions de territoire ou de troupeaux. L'année dernière en Amazonie puis au Pérou, 2 peuplades indigènes "rares" se sont fait la guerre avec des victimes. Ta vision sur cette question est un mélange à la fois angélique et rigide qui mêlerait une cuillerée de : "voyage en terre inconnue" d'A2 avec avec une autre  "d'Amnesty m'a dit". .. 

Modifié par williama
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Fuel4Life Membre 10 926 messages
Baby Forumeur‚
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1 - Ces peuples ne sont pas décrit comme exemplaires.

2 - Ils ne disparaissent pas à cause de la guerre, mais par le fait d'industriels (donc nous par extension) pour faire des plantations industriels, de la recherche de pétrole ou de ressources naturelles = FRIC

3 - Cites tes sources comme quoi les peuples cités par Survival disparaissent à cause de guerre entre eux ?

Après tes attaques personnelles, tu peux te les carrer bien profond dans ce qui te sers d'intelligence, ça te fera beaucoup de bien :)

Les Bushmen

Les Bushmen représentent une population d’environ 100 000 personnes dispersées dans plusieurs Etats africains : le Botswana, la Namibie, l’Afrique du Sud et l’Angola où ils vivent depuis des dizaines de milliers d’années.

11_map.jpg La Réserve naturelle de gibier du Kalahari central est située au cœur du Botswana; elle avait été créée pour protéger le territoire ancestral des 5 000 Bushmen gana, gwi et tsila et de leurs voisins, les Bakgalagadi, ainsi que les animaux sauvages dont ils dépendent.

Au début des années 1980, on découvrit d’importants gisements de diamants dans la réserve. Peu de temps après, des représentants du gouvernement se rendirent dans la réserve et annoncèrent aux Bushmen qu’ils devaient partir en raison de la présence de ces gisements sur leur territoire.

Trois vagues d’expulsion eurent lieu en 1997, en 2002 et en 2005 au cours desquelles la plupart des Bushmen furent chassés de la réserve. Leurs huttes furent démantelées, leur école et leur poste de santé furent fermés, leurs sources d’eau détruites.

Ils vivent actuellement dans des camps de relocalisation situés en dehors de la réserve. Rarement autorisés à chasser, ils sont arrêtés et battus lorsqu’ils sont pris sur le fait et sont devenus dépendants des rations alimentaires distribuées par le gouvernement. Beaucoup d’entre eux sont confrontés à l’alcoolisme, l’ennui, la dépression et à des maladies telles que la tuberculose ou le SIDA.

S’ils ne retournent pas sur leurs terres ancestrales, leur culture et leur mode de vie uniques seront détruits et ils disparaîtront.

Ne faisant aucun cas du verdict de la Haute Cour rendu en 2006 qui leur permettait de retourner dans la réserve, le gouvernement s’efforce par tous les moyens de rendre leur retour difficile. Il a ainsi :

condamné leur unique source d’eau ;

refusé de leur délivrer des permis de chasse (malgré le verdict de la Haute Cour du Botswana qui avait jugé ce refus illégal) ;

arrêté plus de 50 Bushmen pour avoir chassé afin de nourrir leurs familles,

interdit aux Bushmen de rapatrier leurs troupeaux de chèvres dans la réserve.

Cette politique vise à intimider et terroriser les Bushmen afin qu’ils ne quittent pas les camps de relocalisation et à rendre la vie impossible à ceux qui ont choisi de retourner sur leur territoire ancestral.

En 2002, les Bushmen ont intenté un procès au gouvernement pour dénoncer l’illégalité de leur expulsion. L’affaire ayant été rejetée sur un détail, les auditions n’ont commencé qu’en 2004.

bushmen_celebrating.jpg

Des Bushmen dans la communauté de

Metsiamenong célèbrent leur victoire, décembre 2006. Bien que les Bushmen soient les citoyens les plus pauvres du Botswana, ce procès a été le plus long et le plus coûteux de toute l’histoire du Botswana.

239 Bushmen adultes ont intenté le procès, et 135 autres se sont par la suite ralliés à eux. Ensemble, ils représentaient avec leurs enfants environ un millier de personnes (sur les 239 premiers plaignants, 12% sont morts sans connaître le verdict).

Sans attendre l’issue du procès, plusieurs Bushmen ont tenté de retourner sur leurs terres dans la réserve. La plupart d’entre eux ont été expulsés de nouveau par le gouvernement, certains pour la troisième fois. Durant le procès, la clause concernant les droits des Bushmen a été supprimée de la Constitution par le gouvernement.

Survival a pu financer le procès grâce au soutien et à la générosité de ses membres et sympathisants.

Le 13 décembre 2006, les Bushmen apprirent qu’ils avaient gagné un procès sans précédent. Les juges décrétèrent que l’éviction des Bushmen avait été “illégale et anticonstitutionnelle” et qu’ils avaient de ce fait le droit de retourner librement dans la réserve, sur leur territoire ancestral.

La Cour conclut également que les Bushmen avaient le droit de pratiquer librement la chasse et la cueillette dans la réserve et qu’ils n’avaient pas à demander d’autorisation pour y entrer. En savoir plus la décision de la Cour.

Bien que le gouvernement ait rapidement annoncé son intention de ne pas faire appel à cette décision, il s’est efforcé de la déjouer par tous les moyens.

L’une des mesures mises en place par le gouvernement pour empêcher les Bushmen de retourner dans la Réserve du Kalahari a été de les priver de leur source d’eau.

Avant les expulsions, les Bushmen puisaient leur eau d’un puits situé dans la communauté de Mothomelo. Un camion-citerne faisait une fois par mois la navette pour approvisionner les autres communautés bushmen de la Réserve.

bushman_lady.jpg

Une jeune fille bushman

portant de l’eau dans

le désert. © Survival Au moment des évictions, le gouvernement a supprimé ce service, démantelé les citernes et la pompe à eau.

De nombreux Bushmen sont retournés dans la réserve, aussi bien avant qu’après le verdict. Ils recueillent l’eau de pluie stagnant dans des cuvettes naturelles ou l’eau contenue dans les melons et certaines racines. Durant la saison sèche, la vie est extrêmement difficile et une femme est déjà morte de faim et de soif.

Le gouvernement a interdit aux Bushmen de réouvrir leur puits, bien qu’ils aient proposé d’en financer le coût. Aucune explication n’a été donnée concernant cette interdiction.

En revanche, il a autorisé la compagnie minière à utiliser toute l’eau dont elle aura besoin dans la réserve et a même proposé à des compagnies de safari de forer de nouveaux puits.

Les Bushmen, Survival et plusieurs autres organisations sont convaincus que l’expulsion des Bushmen est due à la présence d’importants gisements de diamants.

gope_village.jpg Bushmen dans la communauté de Gope avant leur expulsion Leur réserve se situe au cœur de la région la plus riche en diamants au monde. On connaît l’existence d’au moins un important gisement dans la réserve, dans la communauté bushman de Gope. Plusieurs gisements de kimberlite (roche volcanique qui renferme le diamant) ont également été repérées dans la réserve.

En mai 2007, De Beers a cédé sa concession de Gope à la compagnie minière Gem Diamonds pour 34 millions de dollars. Le président de Gem Diamonds a qualifié le gisement de Gope de “source de problèmes pour De Beers” en raison de la campagne bushman.

Gem Diamonds a affirmé publiquement que le gisement a un potentiel de plus de 2,2 milliards de dollars (au cours de 2007), et projette d’exploiter la mine lorsque les conditions économiques seront favorables.

Le gouvernement botswanais s’apprête à approuver l’exploitation diamantifère à condition que Gem Diamonds ne fournisse pas d’eau aux Bushmen. Il a cependant autorisé les compagnies de safari à utiliser l’eau puisée par Gem Diamonds. Cette dernière prétend que les Bushmen sont favorables à l’exploitation de la mine, or ceux-ci n’ont jamais été informés de manière indépendante sur l’impact probable qu’elle aura sur eux et leur environnement.

D’autres compagnies sont impliquées dans ce projet minier. Petra Diamonds, par exemple, prospecte dans toute la réserve et a identifié comme prioritaires les gisements de Gope et de Kukama.

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Membre, Posté(e)
williama Membre 3 892 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

1 - Ces peuples ne sont pas décrit comme exemplaires.

2 - Ils ne disparaissent pas à cause de la guerre, mais par le fait d'industriels (donc nous par extension) pour faire des plantations industriels, de la recherche de pétrole ou de ressources naturelles = FRIC

3 - Cites tes sources comme quoi les peuples cités par Survival disparaissent à cause de guerre entre eux ?

Après tes attaques personnelles, tu peux te les carrer bien profond dans ce qui te sers d'intelligence, ça te fera beaucoup de bien :)

il y a plein d'endroits sur la planète où ces peuples rares disparaissent sans pour autant être l'objet de convoitises "industrielles" ou "pétrolières"! ... Il y aussi les réactifs qui se reconvertissent dans le tourisme business et même le casino en détournant la loi ... et puis il y a aussi le saint monde vu par ces peuples rares et minoritaires comme au Canada ou certaines ethnies indiennes n'hésitent plus à pratiquer le "village raciste" ... en fin de journée tout visiteur "blanc" est prié de déguerpir! et les couples mixtes se retrouvent illico exclus de la fratrie pour préserver la pureté de la race ...

Bonjour le zoo!!! en fait tout ceci n'est qu'un phantasme bien blanc, bien urbain et un moyen d'éructer son trop plein d'anticapitaliste ... sans renoncer à son confort perso bien entendu :o°

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Membre, 42ans Posté(e)
Yoannbzh Membre 11 816 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
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Je lis juste ce sujet et j'ai juste mit le lien où

au Canada ou certaines ethnies indiennes n'hésitent plus à pratiquer le "village raciste"
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Membre, Posté(e)
williama Membre 3 892 messages
Baby Forumeur‚
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Des exemples, des preuves de tes dires ? Non comme d'hab. Au suivant.

Tout ce que j'avance plus haut tu le trouveras sans forcer dans les livres et sur le net sans trop te fatiguer ... à condition de vouloir sortir de ses certitudes et soulever le couvercle de la marmite!

Sinon pour ta tartine sur les Bochimans, leurs malheurs ont commencé bien avant : "Ce peuple nomade de chasseurs-cueilleurs occupait jadis toute l'Afrique australe. L'arrivée successive des Hottentots vivant d'élevage et parlant une langue de la même famille, puis des Bantous, agriculteurs sédentaires, a décimé cette population et l'a repoussée vers des terres de plus en plus ingrates" ... mais tant que cela restait une affaire entre tribus noires ça n'émeut pas grand monde chez nos bonnes âmes alter-mondialistes ... Non pour eux le malheur c'est le capitalisme et surtout rien d'autre!

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Fuel4Life Membre 10 926 messages
Baby Forumeur‚
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Qui est Survival ?

Le mouvement pour les peuples indigènes. Survival est la seule organisation de cette envergure agissant dans le monde entier pour les droits des peuples indigènes.

Nous travaillons avec des centaines de communautés et d’organisations indigènes. Etant presque exclusivement financés par nos membres et donateurs nous n’acceptons ni subventions gouvernementales, ni fonds émanant d’entreprises susceptibles de violer les droits des peuples indigènes.

Depuis notre création, plus de 250 000 sympathisants dans une centaine de pays nous ont soutenus financièrement. Aujourd’hui, des millions d’internautes suivent régulièrement les informations que nous diffusons dans sept langues, notre but étant d’alerter le plus large public sur la situation des peuples indigènes.

Nous aidons les peuples indigènes à protéger leur vie, leurs terres et leurs droits fondamentaux. Nous combattons les attitudes racistes qui pervertissent la façon de percevoir les peuples indigènes et nous nous efforçons de mettre un terme aux traitements arbitraires et injustes qui leur sont généralement infligés.

Nous œuvrons pour un changement des attitudes intolérantes vis-à-vis des peuples indigènes et pour renverser les certitudes erronées à leur égard. Notre objectif est de contribuer au respect des droits des peuples indigènes ainsi qu’à leur volonté de déterminer librement leur propre avenir.

Notre vision est celle d’un monde où les peuples indigènes seront reconnus et respectés, un monde qui connaîtra la fin du traitement injuste auquel ces peuples sont soumis, un monde où les peuples indigènes seront libres de vivre sur leurs propres terres, à l’abri de toute violence, oppression ou exploitation.

Nous estimons que tous les pays devraient soutenir et garantir, comme normes fondamentales, la Déclaration des droits des peuples autochtones des Nations-Unies et également ratifier et appliquer la Convention 169 relative aux peuples indigènes et tribaux de l’Organisation Internationale du Travail.

Nous considérons également que toute entreprise ou organisation opérant dans les régions où vivent des peuples indigènes devrait adopter une politique formelle et contraignante vis-à-vis de ces peuples qui l’engagerait à ne mener aucun projet sans leur consentement libre, préalable et informé. Ceci s’applique également aux organisations environnementales.

Nous insistons sur le fait qu’un tel consentement ne peut être libre et informé qu’à une seule condition : les peuples indigènes doivent, dès le début de toute négociation, être informés de leur droit de revenir sur leur décision sans avoir à craindre des conséquences négatives regrettables.

Nous ne pouvons concevoir qu’une entreprise puisse exploiter un territoire indigène sans avoir préalablement établi un accord formel avec les principaux intéressés une fois qu’ils auront obtenu l’avis d’experts indépendants. Nous fournissons des modèles d’accords de ce type rédigés par des experts.

Nous estimons qu’aucune incursion ne devrait avoir lieu dans les territoires de peuples qui n’ont pas de rapports pacifiques avec le monde extérieur, ces peuples étant dans l’impossibilité de donner leur consentement libre et informé.

Ils savent ce qui est le mieux pour eux et ils ont le droit de choisir de vivre différemment.

Les peuples indigènes ne sont pas des attardés ou des primitifs qui vivraient encore à l’âge de pierre. Ils ont une connaissance fine et inestimable de leur environnement, plus particulièrement de la flore et de la faune. La plupart des cultures vivrières, qui nourrissent chaque jour des milliards de femmes et d’hommes de par le monde, ont été développées par les peuples indigènes qui sont également à l’origine des principaux médicaments que la médecine ‘moderne’ utilise de nos jours.

Leur survie est essentielle à l’humanité toute entière. Leur diversité nous montre combien des modes de vies alternatifs peuvent être florissants. Ils nous montrent ce qui est réellement partagé par toute forme de vie humaine et ce qui ne relève que de la socialisation.

Leur disparition n’est pas inévitable.

Nous reconnaissons que de nombreuses sociétés, y compris certains peuples indigènes, se livrent à des pratiques cruelles qui ne sont pas fondées sur le consentement. Nous ne les approuvons jamais. Certaines d’entre elles (comme l’excision ou l’infanticide), sont parfois mises en avant pour minimiser et fragiliser les droits des peuples indigènes). A tort, puisque de telles pratiques sont courantes dans de nombreuses sociétés non-indigènes.

Violence

Les peuples indigènes sont encore de nos jours la cible de violentes attaques, parfois mortelles, particulièrement dans certaines régions d’Amérique du Sud et centrale, d’Afrique et d’Asie. La violence souvent auto-infligée constitue un grave problème dans des pays prospères comme le Canada, les États-Unis, l’Australie ou la Nouvelle-Zélande qui les ont largement dépossédés.

Esclavage

Dans certaines régions du monde, les peuples indigènes sont encore soumis à de multiples formes d’esclavage, comme dans le cas de la ‘servitude pour dettes’. En Amazonie péruvienne, par exemple, il existe une pratique courante qui permet à un Indien sans capital de recevoir une avance en nature (outils, vêtements, fusils…) en échange de travail (dans les domaines des essences précieuses, de gibier, de peaux…). Il est alors pris au piège de ce système de troc et de crédit duquel il lui sera impossible de se libérer, le ‘patron’ qui lui a fait ces avances ayant le contrôle de la gestion arbitraire de la comptabilité au solde négatif constant pour l’exploité.

Racisme

L’idée selon laquelle les peuples indigènes sont ‘primitifs’ et incapables de prendre des décisions rationnelles trouve ses origines dans l’idéologie raciste et colonialiste. De telles conceptions sont encore souvent utilisées pour justifier leur dépossession.

La spoliation des terres

Les peuples indigènes sont en règle générale auto-suffisants et dépendent exclusivement de leurs terres pour subvenir à tous leurs besoins et maintenir leurs modes de vie. Leur identité est très profondément enracinée dans leurs territoires. Dans la plupart des cas, ces terres sont accaparées dans le cadre de projets de développement, d’exploitation minière ou forestière, de barrages, d’implantation de fermes à grande échelle… ou bien pour faire place à des parcs naturels.

Le vol des ressources naturelles

Dans certains cas, les peuples indigènes ne sont pas dépossédés de leurs terres à proprement parler mais de tout ou partie des ressources que recèlent leurs territoires comme les essences précieuses ou les minerais.

Progrès imposé

L’humanité entière est en constante évolution, mais les changements forcés et imposés aux peuples indigènes au nom du ‘progrès’ ont pour conséquence une qualité de vie bien moindre qu’avant, avec des taux élevés de suicides, de maladies, de drogue et de détention. Les peuples indigènes doivent être les seuls à décider des changements qui les concernent.

Nous nous concentrons sur les peuples indigènes les plus vulnérables, ceux qui ont le plus à perdre. Evitant tout contact avec le monde extérieur, ils sont ceux qui ont le plus de difficultés à se faire entendre des sociétés dominantes dans lesquelles ils sont englobés. Ces peuples sont souvent dans une situation très critique, menacés de toutes parts par les maladies ou la spoliation de leurs terres.

Nous choisissons des cas précis, selon des critères définis, tels que l’urgence de la situation, le niveau de menace qui pèse sur ces peuples et leur modes de vie ou encore leur nombre restreint qui les rend extrêmement vulnérables.

Chaque cas fait l’objet d’une campagne avec des objectifs clairs et précis, comme par exemple la reconnaissance des droits territoriaux. Ce type de campagnes peut se prolonger durant des dizaines d’années.

Nous nous employons à diffuser le plus largement possible les informations relatives à ces campagnes auprès des médias internationaux (presse papier/internet; journaux et reportages télévisés, radio…), et ce dans sept langues pour obtenir le soutien le plus large de l’opinion publique internationale.

Nous sommes extrêmement vigilants sur la manière dont les médias décrivent les peuples indigènes qui emploient trop souvent des stéréotypes préjudiciables les assimilant à des êtres ‘arriérés’ ou ‘primitifs’.

Nous soutenons activement toute démarche juridique visant à garantir la représentation effective des peuples indigènes dans toute décision les concernant.

Nous produisons des matériaux pédagogiques sur les peuples indigènes à l’intention des écoles et du public en général.

Nous finançons occasionnellement des programmes de santé et des projets émanant directement des communautés indigènes.

Nous somme parvenus à modifier l’attitude du public et de la plupart des médias vis-à-vis des peuples indigènes, une attitude devenue au fil des ans plus favorable et tolérante.

Lorsque par exemple nous nous sommes opposés à l’expulsion des Bushmen du Kalahari planifiée par le gouvernement botswanais, nous avons été fortement critiqués par la presse locale qui faisant valoir que les Bushmen devaient être ‘développés’ et pour ce faire, qu’ils le veuillent ou non, ils devaient quitter leur désert aride. Aujourd’hui les médias botswanais ont une bien meilleure compréhension du problème et sont généralement beaucoup plus favorables aux Bushmen.

Chaque cas que nous décidons de prendre en charge comprend deux ou trois objectifs spécifiques que nous atteignons le plus souvent (même si cela peut prendre des années).

L’une de nos plus grandes victoires a été la création du Parc yanomami au Brésil. La campagne commencée au Brésil s’est étendue dans le monde entier dans les années 1970. Le territoire yanomami a finalement été officiellement reconnu par le gouvernement en 1992. Le chamane et porte-parole yanomami, Davi Kopenawa, a dit un jour que son peuple n’aurait pas survécu sans nous.

Nous avons également été à l’initiative d’une campagne internationale victorieuse contre le projet d’une mine de bauxite du géant minier Vedanta Resources sur la montagne sacrée de la tribu des Dongria Kondh, en Inde.

Qui nous soutient :

De nombreux peuples indigènes nous ont dit qu’ils n’auraient pas survécu sans Survival International.

Depuis notre création, des centaines de milliers de sympathisants du monde entier nous ont soutenus financièrement, aujourd’hui des millions de personnes consultent régulièrement notre site internet.

Notre secrétariat international compte des ambassadeurs prestigieux tels que Gillian Anderson, Quentin Blake, Julie Christie, Kurt Jackson, Mark Rylance et Pippa Small.

Parmi ceux qui ont collaboré à l’achat de l’immeuble du siège londonien en 2001 figurent le Dalaï Lama et le prince de Galles.

De nombreux écrivains, artistes et photographes célèbres ont contribué à ‘We are one’, le livre que nous avons publié à l’occasion de notre quarantième anniversaire. Parmi ceux-ci : Yann Arthus-Bertrand, Noam Chomsky, Raymond Depardon, AC Grayling, Richard Gere, Jane Goodall, Germaine Greer, Damien Hirst, Claude Lévi-Strauss, Peter Matthiessen, Don McCullin, George Monbiot, Carlo Petrini, Sebastião Salgado, Vandana Shiva, Arundhati Roy et Desmond Tutu.

Parmi les personnalités qui nous ont soutenus dès les premières années de la création de Survival figurent : Peter Cook, Julian Huxley, Claude Lévi-Strauss, Norman Lewis, Yehudi Menuhin, Spike Milligan, et Laurens van der Post.

De nombreux artistes nous ont également soutenus en créant des illustrations exclusives pour Survival : Quentin Blake, Richard Long, John Rocha, and Pippa Small.

Quelques-uns des plus grands artistes contemporains dont Bridget Riley, John Piper, Elizabeth Frink, Anthony Gormley, Peter Blake, Andy Goldsworthy, Sidney Nolan ou Anish Kapoor, ont donné l’une de leurs œuvres pour une vente aux enchères organisée par Christies à Londres en 1989.

Bruce Parry, le célèbre explorateur de la la série documentaire ‘Au cœur des tribus’ de la BBC a produit pour Survival le CD Amazon/Tribes – Songs for Survival avec des artistes renommés comme Yusuf Islam, Jason Mraz, Mike Oldfield, the Go ! Team, Hot Chip, Tom Baxter, Johnny Borrell (Razorlight), KT Tunstall, will.i.am (Bleck Eyed Peas).

Alexander McQueen, Michel Leiris, Raymond Depardon, Edgar Morin, parmi d’autres, ont dit que nous étions leur organisation préférée.

Le comité d’honneur de Survival International (France) comprend des personnalités de haut niveau, telles que le prix Nobel de littérature, Jean-Marie G. Le Clézio, le regretté Claude Lévi-Strauss ou le cosmonaute russe Serguei Krikalev.

Notre action a été couronnée de plusieurs prix prestigieux : le Right Livelihood Award connu comme le prix Nobel alternatif (Suède), le Prix Leon Felipe (Espagne), et la Medaglia della Presidenza della Camera dei Deputati (Italie).

Qui s’oppose à nous?

Les gouvernements et les entreprises qui dépossèdent les peuples indigènes en s’emparant de leurs terres ou de leurs ressources.

Les forces armées qui veulent contrôler les territoires indigènes.

Les organisations religieuses extrémistes qui veulent convertir les peuples indigènes, quels que soient les torts qu’elles leur causent.

Les organisations conservationnistes extrémistes qui veulent expulser les peuples indigènes des ‘zones de conservation’, ou les pousser à abandonner leur mode de vie.

Beaucoup de ceux-ci croient à tort que seule la civilisation occidentale peut apporter des améliorations au bien-être de ces peuples.

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williama Membre 3 892 messages
Baby Forumeur‚
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pour faire court, vous défendez le zoo!!!

:hu: ? c'est quoi l'idée, je crois que t'as pas tout compris.

bonjour le fanatisme :D

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Fuel4Life Membre 10 926 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Lis ce qu'il y a au dessus, je sais c'est long et pour toi ça va demander un gros effort, mais bon de toute façon ce n'est pas étendre tes connaissances qui t'intéresse donc bon, discuter avec toi, n'a aucun intéret.

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