Nègre, je resterai.

C'est bien de prendre les gens pour des cons, c'est comme ça qu'on avance !

Tu peux essayer de te dédouaner tant que tu veux, je penserais toujours (ainsi que d'autres) que ton ironie "ha, encore des nègres !" sur tout les sujets d'actualité, c'est lourd.

Tu peux nous claquer la définition de chaque mot que tu utilise si tu veux, mais cela ne change pas le contexte dans lequel tu les sorts.

Ca t'a vraiment pas plus que certains n’apprécient pas ton humour ? Susceptible en plus alors...

Quelque soit l'origine du mot, pour énormément de noirs, "nègre" est un mot dévalorisant, alors par respect pour eux, je ne dis pas ce mot, voilà tout.

Moi je suis une blanche et fier de l’être ,vive les blancs et vive les noirs ,tous unis contre l'uniformisation de la société

L'identité ne se fait pas 'au niveau du religieux' plus qu'avant. C'est une lecture trop conjoncturelle. Le marquage religieux a été bien plus imposant par le passé. ce qui me semble poser problème dans les communautarismes actuels à la surface du globe, c'est qu'il sont révélateurs des pertes de repères chez la plupart des êtres humains.

La globalisation est avant une réunion des hommes sous une même bannière, terrienne, celle de l'espèce. Ce cadre n'est pas tout à fait nouveau. Le christianisme, suivant en cela ses origines bouddhistes l'avait diffusé largement, d'un point de vue théorique, même si la mise en pratique restait difficile comme le montra par exemple la controverse de Valladolid.

Mais la globalisation économique contraint à une fluidité des échanges, des mouvements de population, qui dé-localise et dé-racine fortement les porteurs d'identités collectives traditionnelles. L'affirmation des nationalismes, des régionalismes est à lire à mon sens comme l'expression de l'angoisse face à la fluidité, à la liquidité du monde pour reprendre Baumann. Il s'agit de stratégies d'affirmation de soi et de placement social lorsque ce n'est pas de tactiques...

De fait le déficit éducatif, philosophique de positionnement dans une culture, dans une histoire, dans un contexte pluri-millénaire d'évolution d'une espèce est très accusé, et créé de grandes disparités entre celles et ceux qui possèdent les clés de ce changement de repères et celles et ceux qui doivent se raccrocher à une religion, une identité de couleur, de sexe, de nation etc.

La distanciation philosophique, la connaissance de l'histoire globale, l'anthropologie culturelle devraient être, à notre époque, au cœur des programmes scolaires, pour faire d'abord et avant tout des citoyens du monde, non pas dans un naïf et bienheureux universalisme kantien, ni dans une internationale prolétaire mais dans une mondialisation écologique, écosystémique.

Il n'y a pas de liberté sans lucidité, sauf à considérer comme liberté la possibilité de se gaver de cheese-burger jusqu'à l'accident cardio-vasculaire. Mais la lucidité implique un cartésianisme certain. Un examen minutieux de nos 'appartenances' , de nos 'choix'. Beaucoup préfèrent s'en remettre à des comportements, des identités, des idées prêtes-à-porter, et je ne suis pas sûr que la négritude soit un concept si utile que ça dans ce cadre car il ne fait que qualifier une position de défense de particularisme, autre, certes, de sortie de la domination d'un autre particularisme se réclamant comme supérieur, mais acceptant ce faisant le principe du particularisme lui-même, source de ségrégation, d'oppositions, de confrontation négative.

Dans l’existentialisme ambiant contemporain, l'individu aimerait pouvoir s'affirmer seul contre tous, dans la version infantile que la puissance des objets modernes sur les contraintes naturelles permet de fantasmer. L'individu est cependant vite rattrapé par les contraintes culturelles du travail et de l'argent pour se procurer cette puissance. Ce faisant, il est rattrapé également par les relations qu'il lui faut entretenir et par celles dont il réalise qu'elles participent de son plaisir à vivre, de sa joie d'être au monde. Pour autant on voit bien à quel point ces relations d'amitié et même d'amour (surtout d'amour ?) sont désirés voire pratiquées comme jetables (la notion d'amitié jetable est bien rendue dans l'excellent Fight Club).

L'identité communautaire n'est donc bien qu'une facilité d'opportunités relationnelles et de placement social et/ou économique, un refuge face à des questionnements ou des remises en cause angoissantes, etc. En gros une démission du courage à être 'humain', à se construire dans toute la complexité de la tâche à notre époque.

Je ne suis blanc que s'il faut me localiser dans un lieux avec des noirs et des arabes (qui risquent d'être un peu blanc parfois), je serais peut-être aussi châtain, mais je ferais surtout parti du club très select des yeux bleus... .

Mes enfants seront peut-être métis...

Ce qui compte, c'est avant tout une dynamique humaine qui universalise, non pas des concepts occidentaux, mais des conceptions du monde porteuses d'avenir. Ces valeurs peuvent être de partout, et si un certains nombre sont d'origine plus ou moins occidentales, elles sont avant tout humaines, fruits d'une histoire longue pour notre espérance de vie mais si courte pour celle de nos petits-enfants...

Le mot nègre à notre époque n'a plus le même sens, donc je pense que l'employer à tour de bras

et peu valorisant pour un noir !

Quand on te lit il y a quelque chose de dérangeant , on a l'impression que tu essayes de te racheter

une conduite en vue de certain postes auquel tu as participé avec une certaine virulence !

Chaque pays, chaque peuple a été victime ou tyran de son voisin.

On en revient à la soumission/domination, conquête qui existe depuis que le monde est monde.

Respecter son voisin et peu importe ses origines est fondamental seulement c'est un droit qui à tendance

à disparaître faute d'éducation, de culture etc...

Tout à fait ,je te dirais meme plus : " si ton voisin vient dormir chez toi et toi chez lui et que vous vous quittez bon amis,ton voisin et toi serais unis fasse aux problemes ,par contre,si tu entres par la fenetre chez ton voisin,que tu lui crache à la figure et lui vide sont frigo,il y a de forte chance qu'il te recoivent à force avec un fusil " ..

Enfin un Monsieur qui dit que les Arabes ont été marchands d'esclaves

A l'école on apprend toujours que c'est les blancs les marchands d'esclaves mais il n'y a pas que eux ;D

De plus que Hitler avait de nombreux soldats arabes SS mais ça on en parle pas non plus ...

pour ça quand j'entends un arabe parler de blancs racistes ça me fait rire

Vive Aimé Césaire (pas son homonyme dans la serie H hein )

y'a t'ils une couleur pour parler de ceux qui fait l'esclavage

ceux qui l'ont mis en place était des blanc si tu veux t’amuse a ça

et puis ceux qui ont de fait l'esclavages en Reunion c’était des arabes ?

reagarde :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Chronologie_de_l%27esclavage

C'est bien de prendre les gens pour des cons, c'est comme ça qu'on avance !

Tu peux essayer de te dédouaner tant que tu veux, je penserais toujours (ainsi que d'autres) que ton ironie "ha, encore des nègres !" sur tout les sujets d'actualité, c'est lourd.

Tu peux nous claquer la définition de chaque mot que tu utilise si tu veux, mais cela ne change pas le contexte dans lequel tu les sorts.

Ca t'a vraiment pas plus que certains n’apprécient pas ton humour ? Susceptible en plus alors...

Quelque soit l'origine du mot, pour énormément de noirs, "nègre" est un mot dévalorisant, alors par respect pour eux, je ne dis pas ce mot, voilà tout.

Je vais faire l'économie des attaques personnelles, nous avons déjà perdu Aaltar et son acolyte, essayons de te garder.

Pourquoi "nègre" est mal perçu chez les noirs ? Pourquoi noir devrait il être un mot meilleur ? Faut il dire black ? Renoi ?

Le mot n'est pas offensant si il est expliqué. Si le dialogue existe. Il l'est si il est dit de façon supérieure, à signifier à l'autre son infériorité.

Enfin un Monsieur qui dit que les Arabes ont été marchands d'esclaves

A l'école on apprend toujours que c'est les blancs les marchands d'esclaves mais il n'y a pas que eux ;D

De plus que Hitler avait de nombreux soldats arabes SS mais ça on en parle pas non plus ...

pour ça quand j'entends un arabe parler de blancs racistes ça me fait rire

y'a t'ils une couleur pour parler de ceux qui fait l'esclavage

ceux qui l'ont mis en place était des blanc si tu veux t’amuse a ça

et puis ceux qui ont de fait l'esclavages en Reunion c’était des arabes ?

reagarde :

http://fr.wikipedia....e_l%27esclavage

Alors la mon pte je t'en.... ^^

Je parle d'un peuple qui passe a travers l'histoire ! ;D

Cet homme a éclairci ce point

Alors ne monte pas sur tes grands chevaux car je peux faire de meme

Jamais dis que les blancs n'étaient pas responssables de l'esclavagisme, je voulais dire que les arabes furent aussi complices, et si t'es pas content vas manger du pain STP

L'identité ne se fait pas 'au niveau du religieux' plus qu'avant. C'est une lecture trop conjoncturelle. Le marquage religieux a été bien plus imposant par le passé. ce qui me semble poser problème dans les communautarismes actuels à la surface du globe, c'est qu'il sont révélateurs des pertes de repères chez la plupart des êtres humains.

La globalisation est avant une réunion des hommes sous une même bannière, terrienne, celle de l'espèce. Ce cadre n'est pas tout à fait nouveau. Le christianisme, suivant en cela ses origines bouddhistes l'avait diffusé largement, d'un point de vue théorique, même si la mise en pratique restait difficile comme le montra par exemple la controverse de Valladolid.

Mais la globalisation économique contraint à une fluidité des échanges, des mouvements de population, qui dé-localise et dé-racine fortement les porteurs d'identités collectives traditionnelles. L'affirmation des nationalismes, des régionalismes est à lire à mon sens comme l'expression de l'angoisse face à la fluidité, à la liquidité du monde pour reprendre Baumann. Il s'agit de stratégies d'affirmation de soi et de placement social lorsque ce n'est pas de tactiques...

De fait le déficit éducatif, philosophique de positionnement dans une culture, dans une histoire, dans un contexte pluri-millénaire d'évolution d'une espèce est très accusé, et créé de grandes disparités entre celles et ceux qui possèdent les clés de ce changement de repères et celles et ceux qui doivent se raccrocher à une religion, une identité de couleur, de sexe, de nation etc.

La distanciation philosophique, la connaissance de l'histoire globale, l'anthropologie culturelle devraient être, à notre époque, au cœur des programmes scolaires, pour faire d'abord et avant tout des citoyens du monde, non pas dans un naïf et bienheureux universalisme kantien, ni dans une internationale prolétaire mais dans une mondialisation écologique, écosystémique.

Il n'y a pas de liberté sans lucidité, sauf à considérer comme liberté la possibilité de se gaver de cheese-burger jusqu'à l'accident cardio-vasculaire. Mais la lucidité implique un cartésianisme certain. Un examen minutieux de nos 'appartenances' , de nos 'choix'. Beaucoup préfèrent s'en remettre à des comportements, des identités, des idées prêtes-à-porter, et je ne suis pas sûr que la négritude soit un concept si utile que ça dans ce cadre car il ne fait que qualifier une position de défense de particularisme, autre, certes, de sortie de la domination d'un autre particularisme se réclamant comme supérieur, mais acceptant ce faisant le principe du particularisme lui-même, source de ségrégation, d'oppositions, de confrontation négative.

Dans l’existentialisme ambiant contemporain, l'individu aimerait pouvoir s'affirmer seul contre tous, dans la version infantile que la puissance des objets modernes sur les contraintes naturelles permet de fantasmer. L'individu est cependant vite rattrapé par les contraintes culturelles du travail et de l'argent pour se procurer cette puissance. Ce faisant, il est rattrapé également par les relations qu'il lui faut entretenir et par celles dont il réalise qu'elles participent de son plaisir à vivre, de sa joie d'être au monde. Pour autant on voit bien à quel point ces relations d'amitié et même d'amour (surtout d'amour ?) sont désirés voire pratiquées comme jetables (la notion d'amitié jetable est bien rendue dans l'excellent Fight Club).

L'identité communautaire n'est donc bien qu'une facilité d'opportunités relationnelles et de placement social et/ou économique, un refuge face à des questionnements ou des remises en cause angoissantes, etc. En gros une démission du courage à être 'humain', à se construire dans toute la complexité de la tâche à notre époque.

Je ne suis blanc que s'il faut me localiser dans un lieux avec des noirs et des arabes (qui risquent d'être un peu blanc parfois), je serais peut-être aussi châtain, mais je ferais surtout parti du club très select des yeux bleus... .

Mes enfants seront peut-être métis...

Ce qui compte, c'est avant tout une dynamique humaine qui universalise, non pas des concepts occidentaux, mais des conceptions du monde porteuses d'avenir. Ces valeurs peuvent être de partout, et si un certains nombre sont d'origine plus ou moins occidentales, elles sont avant tout humaines, fruits d'une histoire longue pour notre espérance de vie mais si courte pour celle de nos petits-enfants...

Je suis bien d'accord, en nuançant toute fois entre ce que l'on souhaite et la réalité vécue d'autres groupes. Pour être à ce point progressiste, il faut s'être débarrassé de bien des controverses qui jalonnèrent l'Histoire, et continueront certainement un peu, le temps que cette conscience écologique et globale soit pertinente pour tous.

Fais semblant de ne pas comprendre, t'a raison...

Plus agaçant tu meurs.

les meringues au chocolat étaient appellée tete de negre!

Je viens de voir qu'en effet on avais perdu Aaltar. J'était loin de le porter dans mon coeur, mais rien que de savoir qu'il a été banni à cause de toi hier, j'ai les boules.

Mouha, je ris.

Nan, je n'ai pas ce pouvoir, j'aurais voulu qu'il reste.

.Le christianisme, pendant les massacres sur les amérindiens, ont porté une réflexion sur ce que devrait être l'humanisme (bien avant "Les lumières" dont la gauche nous rabâche à longueur de temps que ce fut le point de départ de cette idée humaniste) . Et non... la globalisation...

Les prêtres rentrés d'Amérique qui en avaient trop vu attiraient l'attention des populations européennes.Il fallait traiter les amérindiens comme des hommes, ils étaient des hommes.

Je ne vois aucune idée d'une telle "globalisation" dans ce qui est ressorti de l'école de Salamanque par exemple.

Le reste de votre texte ressemble d'ailleurs à s'y méprendre aux positions des "Lumières", bourgeois gravitant autour du Roi de France et le tenant par la bourse (milieux banquiers). Dans un style très académique, l'éducation encyclopédique, anthropologie et philosophie des Lumières pour étouffer un principe cher à l'humanité... la filiation.

Le style est sans équivoque : on oppose l'idéal religieux (qu'il fallait à tout prix éradiquer déjà à l'époque, les Jésuites en tête) à un idéal philosophique qui finalement, ne s'est jamais avéré être plus humain. (la proposition d'esclavage à vie applaudie des deux mains par Voltaire contre la peine de mort...).

C'est d'ailleurs cette "lucidité" qui a fait préféré aux philosophes des Lumières les jansénistes aux véritables courants humanistes catholiques...

Quelle lucidité !

Je vous suggère d'essayer de trouver la conférence de Marion Sigaut (historienne, écrivain) : "les lumières : un anti humanisme"... facilement trouvable et qui en deux heures prouve par A + B que ce pseudo-progressisme n'a rien de plus humain que les positions religieuses, déjà à cette époque...

Je viens de voir qu'en effet on avais perdu Aaltar. J'était loin de le porter dans mon coeur, mais rien que de savoir qu'il a été banni à cause de toi hier, j'ai les boules.

Personne n'est banni à cause de quelqu'un mais souvent à causes de ses propres interventions.

Enfin un Monsieur qui dit que les Arabes ont été marchands d'esclaves

A l'école on apprend toujours que c'est les blancs les marchands d'esclaves mais il n'y a pas que eux ;D

De plus que Hitler avait de nombreux soldats arabes SS mais ça on en parle pas non plus ...

pour ça quand j'entends un arabe parler de blancs racistes ça me fait rire

y'a t'ils une couleur pour parler de ceux qui fait l'esclavage

ceux qui l'ont mis en place était des blanc si tu veux t’amuse a ça

et puis ceux qui ont de fait l'esclavages en Reunion c’était des arabes ?

reagarde :

http://fr.wikipedia....e_l%27esclavage

Alors la mon pte je t'en.... ^^

Je parle d'un peuple qui passe a travers l'histoire ! ;D

Cet homme a éclairci ce point

Alors ne monte pas sur tes grands chevaux car je peux faire de meme

Jamais dis que les blancs n'étaient pas responssables de l'esclavagisme, je voulais dire que les arabes furent aussi complices, et si t'es pas content vas manger du pain STP

pourtant vu les arguments j'aurais crus que c’était le fait qu'il y'est des arabes qui participais l'esclavage qui fait que les blancs (d'ailleurs les arabe pour certains sont blanc)

auraient pour toi décrédibilise les européen?? :gurp:

Je viens de voir qu'en effet on avais perdu Aaltar. J'était loin de le porter dans mon coeur, mais rien que de savoir qu'il a été banni à cause de toi hier, j'ai les boules.

Personne n'est banni à cause de quelqu'un mais souvent à causes de ses propres interventions.

Nous connaissons tous Aaltar, il a du s'emporter, parce que monsieur Pasdeparanoïa l'a poussé à bout...

Enfin bref, ce qui est fait est fait, mais franchement, faire chier tout le monde sur un sujet, et en ouvrir un autre pour se dédouaner en essayant de passer pour un penseur, laissez moi rire...

Sur ce, je file.

Nous connaissons tous Aaltar, il a du s'emporter, parce que monsieur Pasdeparanoïa l'a poussé à bout...

Non je ne pense pas, sur ce forum on ne bannit pas les gens comme ça, il y a les modos qui interviennent pour demander à revenir sur les rails, il y a ensuite un système d'avertissement puis de suspension d'écriture pour un temps donné il me semble, donc si quelqu'un se fait bannir, c'est qu'il en a fait pas mal avant d'en arriver là, et je ne crois pas que Pasdeparanoia soit responsable de quoi que ce soit. On n'a pas à "connaitre" les caractères de chaque intervenant pour savoir si on peut débattre avec lui, on part du principe que nous sommes des adultes qui savons ce que nous faisons et les sanctions que nous risquons si nous nous laissons emporter. Si Aaltar s'est fait éjecter (ce que je regrette aussi personnellement) c'est qu'il devait avoir un gros passif avant sa dernière prise de tête et qu'il était en sursis.

Complètement hors sujet.

c'est plus la m^me époque ... les choses on changer donc pour moi blond ou nègre sa change rien on est tous pareil il faut juste être fière de notre couleur de notre langue ou de notre religion

à mon avis si un blanc affirmait être fier de sa couleur, il se ferait chambrer sévère