Comment la spéculation monétaire peut coûter des milliards à un Etat

Il y a plusieurs façons de se servir d'un couteau, tu peux couper ta viande, tu peux aussi partager un gâteau ou planter ton voisin avec.

Est-ce la faute du couteau si tu en fais un mauvais usage ? faut il changer pour une tronçonneuse ?

Tout comme il y a un souffle pour attiser le feu , un autre pour en éteindre la flamme .

Il faut interdire les ventes à découvert Elles ont été interdites en Aout dernier pour proteger les banques françaises mais l'interdiction a été levée en Février

Certains prévoient une attaque sur la France le 7 Mai si Hollande est élu

Si on en croit les sondages François Hollande sera élu. Le 6 Mai à 20h son visage apparaîtra sur nos écrans. Quelques heures plus tard à l'ouverture des marchés asiatiques, la Finance, à qui il a déclaré la guerre, va se venger. Et ce sera d'une simplicité enfantine. Les taux Français vont s'envoler. Les fonds spéculatifs, unis, vendront la dette française à découvert. Sans pitié. Et même avec un certain plaisir. On montera jusqu'à 4.5% sur les taux à 10 ans Français. L'euro sera sous pression. Sous forte pression.

La Tribune du 6/2

Curieusement, je n'en ai pas entendu parler de la levée de l'interdiction des ventes à découverts.

Les médias n'en ont bien sûr pas parlé

En tout cas, merci pour l'info

Sinon, les marchés n'ont aucune raison de s'attaquer à la France si Hollande est élu, puisque Hollande ne fera rien de sérieux contre ses copains banquiers.

Si cette théorie aboutit, alors nous allons vers une austérité ultra-dure et des privatisations en masse.

Il est temps de protéger les Etats et la collectivité contre les marchés qui imposent leur loi.

L'Etat doit controler les marchés, et non pas l'inverse.

Si cette théorie aboutit, alors nous allons vers une austérité ultra-dure et des privatisations en masse.

Il est temps de protéger les Etats et la collectivité contre les marchés qui imposent leur loi.

L'Etat doit controler les marchés, et non pas l'inverse.

Ces gens veulent revenir sur tous les acquis sociaux pour "améliorer notre compétitivité" et surtout leur profit .

Comme celui qui a l'argent est toujours le maître de l'autre, le traitant se rend des­po­tique sur le prince même : il n'est pas législateur, mais il le force à donner des lois.

Montesquieu, « L’esprit des lois. "

Je crois que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés qu'une armée debout. Celui qui contrôle l'argent de la nation contrôle la nation.

Thomas Jefferson (troisième président des Etats-Unis)