Le piège du droit de vote aux étrangers

http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/le-piege-du-droit-de-vote-aux-105932

Le piège du droit de vote aux étrangers

L'enfer est souvent pavé de bonnes intentions. Le Sénat a adopté le 8 décembre une proposition de loi accordant le droit de vote aux étrangers non communautaires pour les municipales. Au-delà d'un simple affichage cette disposition est un contresens républicain puisqu'elle instituerait une nationalité à plusieurs degrés et pourquoi pas non définitive comme le réclame Nicolas Sarkozy. Plutôt donc que de permettre aux étrangers de voter, la vraie générosité est de leur permettre plus facilement d'obtenir la nationalité française.

Les sénateurs de gauche se sont fait plaisir à peu de frais. La proposition de loi de adoptée par la Chambre haute accordant le droit de vote aux étrangers non communautaires pour les municipales est limitée et inapplicable en l'état. Limitée car le texte ne permet pas aux étrangers de devenir maires ni de participer aux élections sénatoriales en tant que grands électeurs. Ils pourraient seulement être élus conseillers municipaux. Inapplicable en l'état car, pour entrée en vigueur, il faudrait qu'elle soit adoptée dans les mêmes termes par l’Assemblée puis, transféré au chef de l’État pour qu’il le soumette soit à un référendum, soit au Parlement réuni en Congrès.

Pour une fois, François Fillon a raison : "Dissocier le droit de vote de la nationalité française, c’est prendre le risque de communautariser le débat public". C'est surtout tomber dans le piège tendu par Nicolas Sarkozy de faire de la question de l'immigration l'un des sujets centraux du débat de la présidentielle.

Pour comprendre la stratégie de l'Elysée, il faut revenir au très éclairant discours de Grenoble dans lequel Nicolas Sarkozy déclarait notamment : "Nous subissons les conséquences de 50 années d’immigration insuffisamment régulées qui ont abouti à un échec de l’intégration".

Si ces dix dernières années la France est restée fidèle à sa tradition généreuse en termes de citoyenneté en naturalisant plus d'un million de personnes, soit presque autant que l'Allemagne et dix fois plus que l'Italie, la crise actuelle offre l'occasion de s'interroger sur la politique immigratoire de l'UE et sur la place juridique réservée aux migrants.

Ainsi, Maurizio Ferrera, expert auprès de la Commission Européenne, dévoilait en 2010 dans les colonnes du Corriere della Sera de bien surprenantes réflexions. Le politologue considère ainsi qu'en raison des importants flux migratoires de ces vingt dernières années, les critères traditionnels de naturalisation (droit du sang ou du sol) ne tiennent plus.

L'expert italien avance qu' "Une politique de la nationalité sérieuse doit aujourd'hui s'appuyer sur de nouveaux critères, dont en premier lieu celui du domicile, assortis d'une série de "filtres" qui attestent de l'authenticité de l'intention et permettent de mesurer le degré d'intégration (assiduité scolaire, travail régulier, connaissance de la langue, etc.)".

Maurizio Ferrera estime que la "bonne conduite" pourrait devenir un des filtres les plus élémentaires de la sélection, et rester éventuellement en vigueur pendant un certain temps après la pleine naturalisation d'un étranger. "Dans un cadre de ce type, la possibilité, évoquée par Nicolas Sarkozy, de révoquer la citoyenneté de ceux qui commettent des délits aurait une dimension moins dramatique sur le plan symbolique, et plus efficace sur le plan pratique" estime-t-il.

L'idée développée est de faciliter une immigration choisie, dans la spécialité et dans le temps. Une immigration temporaire accompagnée d'une nationalité à plusieurs degrés et surtout non définitive.

"La naturalisation ne doit plus être considérée comme un passage "ponctuel", un changement de statut irréversible en fonction de critères très généraux et automatiques. Il faudrait plutôt que ce soit un processus par étapes accompagné d'incitations et de voies prioritaires, surtout pour les mineurs. Dans un deuxième temps, il faudrait également revoir la définition de la citoyenneté. Là aussi, il semble opportun de dépasser l'alternative pure et simple – national ou étranger – et de prévoir des formes intermédiaires de "quasi-citoyenneté" écrit Ferrera.

Ferrera, très concrètement, propose ainsi que la citoyenneté européenne devienne une "citoyenneté de second ordre" préparatoire à la nationalité du pays d'immigration pour les ressortissants de pays non européens qui satisfont à certains critères.

Dans ce contexte, évoquer un droit de vote limité pour les étrangers revient à ouvrir une boîte de Pandore. C'est de l'assouplissement des conditions d'accès à une nationalité intégrale et définitive qu'il faut débattre et rien d'autre.

____________________________________

J'ai bien vérifié qu'Agora Vox n'était pas un site d'extrême-droite et ce n'en est pas un.

Quoi de mieux pour aider les étrangers a s'intégrer que leurs donner le droit de vote, d'autant qu'ils participent activement à l'économie de leurs villes en payant leurs impots...

http://www.agoravox....vote-aux-105932

Le piège du droit de vote aux étrangers

L'enfer est souvent pavé de bonnes intentions. Le Sénat a adopté le 8 décembre une proposition de loi accordant le droit de vote aux étrangers non communautaires pour les municipales. Au-delà d'un simple affichage cette disposition est un contresens républicain puisqu'elle instituerait une nationalité à plusieurs degrés et pourquoi pas non définitive comme le réclame Nicolas Sarkozy. Plutôt donc que de permettre aux étrangers de voter, la vraie générosité est de leur permettre plus facilement d'obtenir la nationalité française.

Les sénateurs de gauche se sont fait plaisir à peu de frais. La proposition de loi de adoptée par la Chambre haute accordant le droit de vote aux étrangers non communautaires pour les municipales est limitée et inapplicable en l'état. Limitée car le texte ne permet pas aux étrangers de devenir maires ni de participer aux élections sénatoriales en tant que grands électeurs. Ils pourraient seulement être élus conseillers municipaux. Inapplicable en l'état car, pour entrée en vigueur, il faudrait qu'elle soit adoptée dans les mêmes termes par l’Assemblée puis, transféré au chef de l’État pour qu’il le soumette soit à un référendum, soit au Parlement réuni en Congrès.

Pour une fois, François Fillon a raison : "Dissocier le droit de vote de la nationalité française, c’est prendre le risque de communautariser le débat public". C'est surtout tomber dans le piège tendu par Nicolas Sarkozy de faire de la question de l'immigration l'un des sujets centraux du débat de la présidentielle.

Pour comprendre la stratégie de l'Elysée, il faut revenir au très éclairant discours de Grenoble dans lequel Nicolas Sarkozy déclarait notamment : "Nous subissons les conséquences de 50 années d’immigration insuffisamment régulées qui ont abouti à un échec de l’intégration".

Si ces dix dernières années la France est restée fidèle à sa tradition généreuse en termes de citoyenneté en naturalisant plus d'un million de personnes, soit presque autant que l'Allemagne et dix fois plus que l'Italie, la crise actuelle offre l'occasion de s'interroger sur la politique immigratoire de l'UE et sur la place juridique réservée aux migrants.

Ainsi, Maurizio Ferrera, expert auprès de la Commission Européenne, dévoilait en 2010 dans les colonnes du Corriere della Sera de bien surprenantes réflexions. Le politologue considère ainsi qu'en raison des importants flux migratoires de ces vingt dernières années, les critères traditionnels de naturalisation (droit du sang ou du sol) ne tiennent plus.

L'expert italien avance qu' "Une politique de la nationalité sérieuse doit aujourd'hui s'appuyer sur de nouveaux critères, dont en premier lieu celui du domicile, assortis d'une série de "filtres" qui attestent de l'authenticité de l'intention et permettent de mesurer le degré d'intégration (assiduité scolaire, travail régulier, connaissance de la langue, etc.)".

Maurizio Ferrera estime que la "bonne conduite" pourrait devenir un des filtres les plus élémentaires de la sélection, et rester éventuellement en vigueur pendant un certain temps après la pleine naturalisation d'un étranger. "Dans un cadre de ce type, la possibilité, évoquée par Nicolas Sarkozy, de révoquer la citoyenneté de ceux qui commettent des délits aurait une dimension moins dramatique sur le plan symbolique, et plus efficace sur le plan pratique" estime-t-il.

L'idée développée est de faciliter une immigration choisie, dans la spécialité et dans le temps. Une immigration temporaire accompagnée d'une nationalité à plusieurs degrés et surtout non définitive.

"La naturalisation ne doit plus être considérée comme un passage "ponctuel", un changement de statut irréversible en fonction de critères très généraux et automatiques. Il faudrait plutôt que ce soit un processus par étapes accompagné d'incitations et de voies prioritaires, surtout pour les mineurs. Dans un deuxième temps, il faudrait également revoir la définition de la citoyenneté. Là aussi, il semble opportun de dépasser l'alternative pure et simple – national ou étranger – et de prévoir des formes intermédiaires de "quasi-citoyenneté" écrit Ferrera.

Ferrera, très concrètement, propose ainsi que la citoyenneté européenne devienne une "citoyenneté de second ordre" préparatoire à la nationalité du pays d'immigration pour les ressortissants de pays non européens qui satisfont à certains critères.

Dans ce contexte, évoquer un droit de vote limité pour les étrangers revient à ouvrir une boîte de Pandore. C'est de l'assouplissement des conditions d'accès à une nationalité intégrale et définitive qu'il faut débattre et rien d'autre.

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J'ai bien vérifié qu'Agora Vox n'était pas un site d'extrême-droite et ce n'en est pas un.

agora vox est orienté à gauche

je suis d'accord Fillon a raison et comme d'hab les français vont se faire b**** mais ils aiment ça !:gurp:

le vrai piège c'est juste le contraire. voyons.! qu'est ce que c'est un "étranger" vu par la droite?. Est.ce que il s'agit de la politique ou bien de faire de la propagande politicienne? il y a très longue temps que les étrangers sont parmi nous et ils ont payés des impôts comme un citoyen français.

Mais le problème de fond, c'est bien le débat de la nationalité et le vote, c'est une qu'une miette, vers la reconnaissance pour tout ces années des sacrifices qu'ils ont plus à démontrer. ...en plus de quitter leurs pays pour le notre..

faut pas pousser, ils viennent pour l'argent, parce que ça les arrangent sinon ils ne viendraient pas.

et faut arrêter avec le mot "propagande" on le lit à tout bout de champs. on est pas dans un débat avec des politiques mais entre nous.

je vois pas ce qu'il y a de propagande entre pseudos

Quoi de mieux pour aider les étrangers a s'intégrer que leurs donner le droit de vote, d'autant qu'ils participent activement à l'économie de leurs villes en payant leurs impots...

Pas de stupidité je vous pris,la première intégration quand ont veut voté ,c'est de devenir français ,une personne voulant prendre part à la vie politique française locale ou national qui dit vouloir s'intégrer mais qui néanmoins refuse de remplir les critères ne le peut pas ..

Payer les impôts et voté ce n'est pas pareille ,le droit de vote ou la nationalité ne s'achète pas .

T'as déjà déposé une demande de citoyenneté ?

L'éventualité à craindre est que l'étranger vote dans sa commune dans l'intérêt de sa communauté d'étrangers et non dans l'intérêt de la commune toute entière.

Franchement, honnêtement si vous viviez à New York et que l'on vous laissait voter. Et que les Démocrates proposent d'avantage de mesures pour la propagation des commerces français dans Big Apple. Mais que dans le fond, les Républicains sont plus proches, éventuellement de vos idées ....

Vous choisissez qui ?? Vous seriez très tentés de voter pour l'Âne car il est plutôt pro-communautés.

Quoi de mieux pour aider les étrangers a s'intégrer que leurs donner le droit de vote, d'autant qu'ils participent activement à l'économie de leurs villes en payant leurs impots...

payer des impôts n'a rien à voir avec le fait de voter.

ils participent à l'économie de leur ville : mais ils bénéficient de la retombée des bienfaits de cette économie fructuante.

Contre le droit de vote.

Ils sont venus pour s'enrichir ?? Bah ici plus on gagne plus on donne aux impots.

Mme le Ministre

(( Posons aussi la question politiquement incorrecte de la citation politiquement incorrecte de Vladimir Poutine sur "la colonie de ses colonies". ))

http://www.agoravox....vote-aux-105932

Le piège du droit de vote aux étrangers

L'enfer est souvent pavé de bonnes intentions. Le Sénat a adopté le 8 décembre une proposition de loi accordant le droit de vote aux étrangers non communautaires pour les municipales. Au-delà d'un simple affichage cette disposition est un contresens républicain puisqu'elle instituerait une nationalité à plusieurs degrés

Dans un pays, il y a des citoyens, et des étrangers.

Augmenter les droits des étrangers ne crée en rien plus de degrés qu’il n’y en a déjà.

Il y a toujours deux dégrés : les citoyens, et les étrangers.

L'éventualité à craindre est que l'étranger vote dans sa commune dans l'intérêt de sa communauté d'étrangers et non dans l'intérêt de la commune toute entière.

Pourquoi présumer que les étrangers seraient moins soucieux de l’intérêt de leur commune que les citoyens ?

Une hypothèse probable. Si tu votais à l'étranger, ne voterais-tu pas pour le parti le plus pro-français ??

bonjour à tous,

je suis d'accord avec BELLA23.

Pour voter même aux municipales, la naturalisation est la moindre des choses

avec maitrise de la langue, et respest des lois republiquaine. Alors là, on peux parler d'integration . Je ne suis pas raciste. Je n'en ai pas le droit, car etant

moi-même d'origine étrangere ( italien). Mon pere est venu en France tout jeune,

plâtrier, il a participé à la reconstruction de la France apres la 1 eme guerre mondiale. Avec ma mere, leur priorité a été d'apprendre le francais .

ensuite la naturalisation des que cela leur a été possible. Apres 60 ans d'activité

dans le bâtiment, dont 30 d'artisanat, je crois que l'on peux appeler cela une

belle integration

cordialement.

bonjour à tous,

je suis d'accord avec BELLA23.

Pour voter même aux municipales, la naturalisation est la moindre des choses

avec maitrise de la langue, et respest des lois republiquaine. Alors là, on peux parler d'integration . Je ne suis pas raciste. Je n'en ai pas le droit, car etant

moi-même d'origine étrangere ( italien). Mon pere est venu en France tout jeune,

plâtrier, il a participé à la reconstruction de la France apres la 1 eme guerre mondiale. Avec ma mere, leur priorité a été d'apprendre le francais .

ensuite la naturalisation des que cela leur a été possible. Apres 60 ans d'activité

dans le bâtiment, dont 30 d'artisanat, je crois que l'on peux appeler cela une

belle integration

cordialement.

Quoi de mieux pour aider les étrangers a s'intégrer que leurs donner le droit de vote, d'autant qu'ils participent activement à l'économie de leurs villes en payant leurs impots...

Pas de stupidité je vous pris,la première intégration quand ont veut voté ,c'est de devenir français ,une personne voulant prendre part à la vie politique française locale ou national qui dit vouloir s'intégrer mais qui néanmoins refuse de remplir les critères ne le peut pas ..

Payer les impôts et voté ce n'est pas pareille ,le droit de vote ou la nationalité ne s'achète pas .

Pas d'impolitesse je vous prie, je ne peux que vous inviter a aller vous renseigner dans les préfectures, vous verrez le parcours du combattant d'un étranger pour faire une demande de naturalisation, quand à l'obtention c'est mission impossible la plus par du temps, en parlant de combattant, trouvez vous normal, que tous ces étranger hors union européenne parce que c'est d'eux dont il sagit, eux qui se sont battus pour la france, pour cette france qui leurs refusent aujourd'hui le droit d'être des citoyens comme les autres.

Pourquoi n'ont-ils pas obtenus cette fameuse nationalité de plein droit et leurs enfanfs?

Y aurait-il des sous citoyens en france?

Les enfants et petits enfants de ces étrangers courageux devraient demander à la france de payer la facture maintenant!!!

A votre avis qu'elle est le prix d'une vie!!!

bonjour à tous,

je suis d'accord avec BELLA23.

Pour voter même aux municipales, la naturalisation est la moindre des choses

avec maitrise de la langue, et respest des lois republiquaine. Alors là, on peux parler d'integration . Je ne suis pas raciste. Je n'en ai pas le droit, car etant

moi-même d'origine étrangere ( italien). Mon pere est venu en France tout jeune,

plâtrier, il a participé à la reconstruction de la France apres la 1 eme guerre mondiale. Avec ma mere, leur priorité a été d'apprendre le francais .

ensuite la naturalisation des que cela leur a été possible. Apres 60 ans d'activité

dans le bâtiment, dont 30 d'artisanat, je crois que l'on peux appeler cela une

belle integration

cordialement.

:plus:

Quoi de mieux pour aider les étrangers a s'intégrer que leurs donner le droit de vote, d'autant qu'ils participent activement à l'économie de leurs villes en payant leurs impots...

payer des impôts n'a rien à voir avec le fait de voter.

ils participent à l'économie de leur ville : mais ils bénéficient de la retombée des bienfaits de cette économie fructuante.

Payer des impots est aussi un acte citoyen, deux poids deux mesures

Bah pardis,heureusement que la naturalisation est un acte long et fastidieux,manquerais plus que nous la bradions ... et je n'ai pas était impolie ,j'ai dit que votre texte était une stupidité ,une idiotie ou une bêtise si vous préférez

http://www.agoravox....vote-aux-105932

Le piège du droit de vote aux étrangers

L'enfer est souvent pavé de bonnes intentions. Le Sénat a adopté le 8 décembre une proposition de loi accordant le droit de vote aux étrangers non communautaires pour les municipales. Au-delà d'un simple affichage cette disposition est un contresens républicain puisqu'elle instituerait une nationalité à plusieurs degrés

Dans un pays, il y a des citoyens, et des étrangers.

Augmenter les droits des étrangers ne crée en rien plus de degrés qu’il n’y en a déjà.

Il y a toujours deux dégrés : les citoyens, et les étrangers.

Bah si ils ont les mêmes droit et possibilité que le français,cette nationalité ne sert plus à rien donc vous pipotez mon cher ,le distinguo ne ce fait pas qu'aux papiers mais surtout aux droits administratif

L'éventualité à craindre est que l'étranger vote dans sa commune dans l'intérêt de sa communauté d'étrangers et non dans l'intérêt de la commune toute entière.

Pourquoi présumer que les étrangers seraient moins soucieux de l’intérêt de leur commune que les citoyens ?

Bah pardis,heureusement que la naturalisation est un acte long et fastidieux,manquerais plus que nous la bradions ... et je n'ai pas était impolie ,j'ai dit que votre texte était une stupidité ,une idiotie ou une bêtise si vous préférez

A mon avis, c'est ce qu'ils veulent !!!

Bah pardis,heureusement que la naturalisation est un acte long et fastidieux,manquerais plus que nous la bradions ... et je n'ai pas était impolie ,j'ai dit que votre texte était une stupidité ,une idiotie ou une bêtise si vous préférez

http://www.agoravox....vote-aux-105932

Le piège du droit de vote aux étrangers

L'enfer est souvent pavé de bonnes intentions. Le Sénat a adopté le 8 décembre une proposition de loi accordant le droit de vote aux étrangers non communautaires pour les municipales. Au-delà d'un simple affichage cette disposition est un contresens républicain puisqu'elle instituerait une nationalité à plusieurs degrés

Dans un pays, il y a des citoyens, et des étrangers.

Augmenter les droits des étrangers ne crée en rien plus de degrés qu’il n’y en a déjà.

Il y a toujours deux dégrés : les citoyens, et les étrangers.

Bah si ils ont les mêmes droit et possibilité que le français,cette nationalité ne sert plus à rien donc vous pipotez mon cher ,le distinguo ne ce fait pas qu'aux papiers mais surtout aux droits administratif

L'éventualité à craindre est que l'étranger vote dans sa commune dans l'intérêt de sa communauté d'étrangers et non dans l'intérêt de la commune toute entière.

Pourquoi présumer que les étrangers seraient moins soucieux de l’intérêt de leur commune que les citoyens ?

Et je dis que tous les textes que j'ai lus venant de vous montrent, prouvent, sans ambigüité possible, votre racisme , votre mépris des étrangers et de ceux qui prennent leur défense(ce qui est très impoli: le mépris).

Rappel:

Sur le plan légal, il existe une loi contre le racisme et les propos racistes.

Des condamnations assez récentes ont eu lieu.