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D'où vient la distinction entre bien et mal ?

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jean ghislain

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La notion de ce qui est bien ou de ce qui est mal ne peut être que relative pourtant. Autant un français sera persuadé que ses lois humanitaires sont le summum de la perfection et du raffinement, autant un musulman convaincu sera persuadé que la charia est la seule issue pour l'humanité et que le libertinage sexuel (relation extra conjugale, échangisme, homosexualité etc.) est un retour à la vie bestiale. Ce n'est pas pour rien qu'un français ne se convertit pas au shintoisme quand il lit leurs ouvrages, ou si un bouddhiste ne devient pas capitaliste quand il rencontre le mode de vie libéral. De même, si un zoroastrien s'installe en France, quelques générations plus tard, sa descendance sera intégrée ou relativement imprégnée du mode de vie français.

Je suis d'accord avec ce que tu dis Frelser lorsque tu dis qu'il n'y a pas unanimité. Mais les différences de convictions ne doivent pas être un prétexte pour clore le dialogue. C'est le problème même du relativisme. Chacun voit midi à sa porte, chacun ses opinions, surtout en terme de justice. C'est une position trop facile qui mène à l'impasse et au repli de chaque position sur elle-même. Le réservoir de la citoyenneté qui permet de développer les vertus humaines de base (et donc la fraternité ou la solidarité, mais aussi l'altruisme) s'appelle la décence commune. Elle se construit précisément dans la rencontre avec l'autre et surtout l'ouverture sur l'autre dans la possibilité qu'on lui laisse de nous influencer.

Un exemple tout à fait frappant : toute la littérature libérale refuse pour cette raison de reconnaître le concept de "dignité humaine" (figurant pourtant dans la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen). Ce serait de nature à créer le conflit. Peut-être cette logique libérale et nihiliste a-t-elle déjà gagné, mais je pense qu'il faut essayer de lutter, sans revenir pour autant à une forme de religiosité (je dirai même surtout pas).

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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Il n'y a vraiment aucune généralité absolue. En fonction du contexte et des conditions, il peut exister de nombreuses possibilités combinant avantages optimaux et évitant les inconvéniants. Chaque peuple se fie naturellement à son expérience culturelle et son histoire propre. Pour revenir à la question des extrêmes, si des conditions de stress social marquées font rage, les valeurs morales se volatiliset très rapidement pour légitimer ce qui est inacceptable dans la situation avant la crise. Par exemple, l'incinération des cadavres est un usage hérité en europe des grandes épidémies. Cette pratique était largement proscrite auparavant dans cette partie de la planète. Tout bouleversement éthique majeur se fait dans la douleur. Il y a un équilibrage permanent des valeurs morales.

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Pour être plus exact, je pense qu'il y a une socle commun, le socle républicain et les Droits de l'Homme qui sont universels.

L'indice qui le montre bien est qu'il n'y a plus vraiment de lois qu'un principe moral recevable politiquement puisse combattre, contrairement à l'époque de l'Allemagne nazie par exemple. En France, la loi ne change plus qu'en vertu de certains aménagements, en restant dans l'esprit même de la loi, et ils visent seulement à le faire respecter. Ces aménagements sont bien plus liés au phénomène de l'évolution des techniques du banditisme, des phénomènes sociaux nouveaux, ou encore de l'évolution technique tout court.

Des citoyens bien éduqués, c'est à dire respectueux de l'Esprit des lois permettraient de ne plus jamais légiférer de façon supplémentaire.

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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Et que fera-t-on des avancées en génie génétique et des technologies liant homme et machine ? Des robots militaires ? Si ton impression d'avoir réussi à imposer les Droits de l'homme à l'échelle planétaire est fondée, pourquoi certains pays signataires de l'U.E. n'ont pas ratifié le traité ? On peut tenter d'harmoniser les valeurs morales à l'échelle planétaire en un tour de force et en les imposant. Mais cela ne signifie pas que les générations futures ne les modifieront pas pour les "moderniser".

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Les applications militaires des nouvelles technologies comme des armes ne peuvent poser de problèmes éthiques que dans le cadre d'un conflit, situation dans laquelle bien souvent le droit est suspendu, du fait même que tuer un ennemi n'est plus réprimandé mais même récompensé (héros de guerre, médailles militaires, etc...).

De plus je remarque que les Droits de l'Homme et du Citoyen pourraient parfaitement servir de fondement à la bioéthique et l'informatique et les libertés. D'ailleurs c'est dans ce cadre que les réflexions sont actuellement les plus riches, via la définition de dignité humaine notamment. Comme je l'expliquai, il s'agit principalement d'aménagements consistant à rester dans le même Esprit, plutôt que de modifications sur les principes fondateurs.

Mais le concept de dignité humaine est aujourd'hui en danger du fait même du relativisme libéral. Les gardiens de la dignité humaine ce sont les valeurs, notamment dans les situations extrêmes que nous évoquions. L'esclavage, la misogynie, l'homophobie ne peuvent cependant se combattre qu'en supposant une certaine dignité de l'humain.

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Membre, 51ans Posté(e)
jean ghislain Membre 1 084 messages
Baby Forumeur‚ 51ans‚
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S'il parait évident qu'il y a des mals absolus tel que tuer, le bien et le mal en tant que morale d'une époque est un frein à la liberté. Comment puis-je être libre, si je m'en réfère toujours au tribunal d'autrui (l'enfer, c'est les autres) pour me juger? Je pense que ces notions ont été crées pour asservir encore plus les gens en leur imposant ce qui doit être bien et mal dans leur vie (la morale). Foucault le philosophe français contemporain le disait bien ,plus l'autorité à accés à votre intimité, plus elle a de contrôle sur vous. Si l'on suppose que ces notions de bien et de mal sont créées pour assevir, comment s'en détacher?

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Il faut soigneusement préserver la distinction entre vie privée et vie publique. Il me semble que l'éducation en France s'est toujours distinguée de l'appareil répressif. D'ailleurs les mineurs ne pouvaient pas être incarcérés il y a peu encore. La morale n'a plus aucun intérêt juridique, si ce n'est dans des exigences quotidiennes où il y a une implication émotionnelle.

Quand un enfant est défavorisé par rapport à un autre par exemple, c'est un problème moral et non un problème juridique. La morale n'est aujourd'hui plus que circonscrite à la sphère privée, et ne doit plus, et d'ailleurs ne le peut sans régression de l'humanisme, avoir d'emprise sur la sphère publique, et surtout pas la morale religieuse des évangélistes protestants ou des musulmans.

La morale n'est pas un frein à la liberté, elle la permet au contraire, exactement comme il faut respecter la grammaire et l'orthographe pour se faire comprendre, donc faire valoir son droit à la liberté d'expression. Elle n'est qu'un obstacle à une liberté abstraite et utopique, parfaitement égoïste mais d'ailleurs inapplicable. Si vous pouvez bafouer l'autre, vous savez aussi qu'il peut vous bafouer à son tour. Ce serait une situation invivable dans laquelle il n'y aurait plus de liberté.

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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Les applications militaires des nouvelles technologies comme des armes ne peuvent poser de problèmes éthiques que dans le cadre d'un conflit, situation dans laquelle bien souvent le droit est suspendu, du fait même que tuer un ennemi n'est plus réprimandé mais même récompensé (héros de guerre, médailles militaires, etc...).

De plus je remarque que les Droits de l'Homme et du Citoyen pourraient parfaitement servir de fondement à la bioéthique et l'informatique et les libertés. D'ailleurs c'est dans ce cadre que les réflexions sont actuellement les plus riches, via la définition de dignité humaine notamment. Comme je l'expliquai, il s'agit principalement d'aménagements consistant à rester dans le même Esprit, plutôt que de modifications sur les principes fondateurs.

Mais le concept de dignité humaine est aujourd'hui en danger du fait même du relativisme libéral. Les gardiens de la dignité humaine ce sont les valeurs, notamment dans les situations extrêmes que nous évoquions. L'esclavage, la misogynie, l'homophobie ne peuvent cependant se combattre qu'en supposant une certaine dignité de l'humain.

Encore un exemple de la faillite de l'humanisme. La dignité humaine, ultime refuge. Et ces animaux de laboratoire que nous torturons ? Les animaux élevés en batteries et massacrés à la chaine ? L'environnement de milliards d'organismes vivants que nous sacageons chaque jour davantage ? Les insultes aux autres humains qui ont le malheur de ne pas voir le monde depuis notre lucarne...

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Invité Quasi-Modo
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La dignité humaine va bien au-delà d'un simple refuge. Elle consiste entre autres à honorer les révoltes des anciens, notamment les esclaves ou les hérétiques, qui ont versé leur sang (ce qui n'est tout de même pas rien) pour que le monde change vers une pleine reconnaissance de l'Homme par l'Homme. Nous sommes dans le cadre des situations extrêmes dont il était question. Certes des têtes sont tombées, celle du roi surtout, et la révolte peut être violente. J'ai souvenir de cette phrase de Meslier, curé révolté, probablement le premier athée proposant une vision philosophique sans Dieu en occident : "Je voudrais, et ce sera le dernier et le plus ardent de mes souhaits, je voudrais que le dernier des rois fût étranglé avec les boyaux du dernier prêtre." écrit dans son testament, dans lequel demeurait son oeuvre complète et athée.

Il avait notamment fondé une éthique de la pitié fondée sur l'empathie qui englobait les mauvais traitements aux animaux dans le cadre de la défense de l'humanisme.

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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La question n'est pas de trouver des adhérants à un principe d'échelle de valeurs, mais l'impossibilité de le faire accepter par suffisement d'individus sans user des moyens tels que la violence. Cela découle précisément de ce qu'il n'existe pas de moyen de mesurer les valeurs morales, elles fluctuent dans le temps et dans l'espace, et c'est très bien comme cela. Autrement, nous serions toujours condamnés à vivre avec les boulets moraux antédiluviens, sous prétexte que la réalité ne changerait que subrepticement. Un argument insoutenable et qui plus est dangereux.

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ouhouh3 Membre 18 messages
Baby Forumeur‚
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Si on peut savoir ce qu'est bien ou pas le héros sait s'il est un héros ou pas il le sait c'est un Homme c'est au fond de lui il n'a aucun doute il n'est pas hypnotisé il le sait

est-ce bien guérir un homme ? OUI (même si cet homme se révèle être un tueur c'est avant tout un homme)

est-ce mal de tuer sans raison ? OUI(pour les athées, on a qu'une vie et pour les croyants,c'est un don sacré de dieu dans les deux cas elle est précieuse pourquoi la détruire)

est-ce bien d'être hypocrite ? NON

est-ce bien de se faire du mal ? NON (L'Homme cherche le bonheur pas l'enfer)

et je suis bien d'accord des fois dans des cas précis, il est difficile de dire c'est le bien ou le mal après tout dépend des intentions pour laquelle on fait les choses

on fait du bien en apparence tout en savant qu'on le fait du mal parce que nous avons une arrière pensée

j'espère que j'ai pas été flou et qu'on m'a compris

encore désolé pour les fautes

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Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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Si on peut savoir ce qu'est bien ou pas le héros sait s'il est un héros ou pas il le sait c'est un Homme c'est au fond de lui il n'a aucun doute il n'est pas hypnotisé il le sait

Il n'est donc pas un terroriste. Cqfd :p

est-ce bien guérir un homme ? OUI (même si cet homme se révèle être un tueur c'est avant tout un homme)

sauf si sa malformation génétique lui procure un avantage particulier qui en fait un avantage.

est-ce mal de tuer sans raison ? OUI(pour les athées, on a qu'une vie et pour les croyants,c'est un don sacré de dieu dans les deux cas elle est précieuse pourquoi la détruire)

non. C connu, il faut toujours d'excellentes raisons.

est-ce bien d'être hypocrite ? NON

même si on ne le sait pas. :D

est-ce bien de se faire du mal ? NON (L'Homme cherche le bonheur pas l'enfer)

c connu, il faut faire ce qui est bon et agréable. :p

et je suis bien d'accord des fois dans des cas précis, il est difficile de dire c'est le bien ou le mal après tout dépend des intentions pour laquelle on fait les choses

on fait du bien en apparence tout en savant qu'on le fait du mal parce que nous avons une arrière pensée

j'espère que j'ai pas été flou et qu'on m'a compris

encore désolé pour les fautes

J'ai amélioré les réponses. :p

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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Le mal c'est ce qui apporte des inconvéniants et pas d'avantage. Les lois sont sensés protéger la société contre ce qui va leur causer de l'inconfort. On est en permanence en équilibre entre le confort individuel et le confort de la collctivité.

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Invité nietzsche.junior
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Invité nietzsche.junior
Invité nietzsche.junior Invités 0 message
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... en fait, souvent, je me dis que c'est plutôt une hiérarchisation de ces "notions" qui a été créée, et le pourquoi, c'est pour avoir une illusion de contrôle, d'ordre, et pour se laver à bon compte sa "mauvaise conscience" ou pour trouver des parades, des modes d'emploi du genre absolution, rédemption. Quant à la conscience du bien ou du mal - en tout cas relatif à ce qui se passe sous mon toit - mon chien quand il vole quelque chose a parfaitement conscience qu'il a fait une bêtise.

non parcqu il sait que tu va le punir ; pour lui ca veut rien dire voler et bêtise encore moins mais il sait quand té en colere , d aiileur meme si il a rien voler et que tu le regarde severement il va faire sa petite tete de malheureux ..., je crois que tu a raison , la distinction sert a contrôler et justifier un rapport de domination dans bien des cas ... on retrouve cette diabolisation du dominé dans les rapport homme ./ femme par exemple ...

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Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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On a tendence à vouloir imposer sa conception du bien et du mal. C'est en quelque sortes une façon de défendre son territoire et ses intérêts. Dès qu'une autre personne pense différement, on est perturbé et on a ce besoin irrésistible de le "rectifier" à tout prix. On réagit comme un anticorps qui vient de croiser un microbe. Le plus marrant, c'est que l'autre aussi a cet irrésistible envie de le "rectifier". :p

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Invité nietzsche.junior
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Invité nietzsche.junior
Invité nietzsche.junior Invités 0 message
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La vraie question est : Quel est la limite entre le bien et le mal

Comment savoir que l'on a basculer dans le mal ?

toi tu cherche une balance capable de mesurer la part d ombre et de lumière qui est en nous ...

BD_Hunefer.jpg

On a tendence à vouloir imposer sa conception du bien et du mal. C'est en quelque sortes une façon de défendre son territoire et ses intérêts. Dès qu'une autre personne pense différement, on est perturbé et on a ce besoin irrésistible de le "rectifier" à tout prix. On réagit comme un anticorps qui vient de croiser un microbe. Le plus marrant, c'est que l'autre aussi a cet irrésistible envie de le "rectifier". :p

mais des choses différente peuvent coexister ensemble sans pour autant chercher a se détruire se 'rectifier' , parfois entre le bien et le mal c est juste une question d équilibre ... chacun ayant dans le fond besoin de l autre pour donner sens a son existence .. non ?

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La vraie question est : Quel est la limite entre le bien et le mal

Comment savoir que l'on a basculer dans le mal ?

toi tu cherche une balance capable de mesurer la part d ombre et de lumière qui est en nous ...

BD_Hunefer.jpg

On a tendence à vouloir imposer sa conception du bien et du mal. C'est en quelque sortes une façon de défendre son territoire et ses intérêts. Dès qu'une autre personne pense différement, on est perturbé et on a ce besoin irrésistible de le "rectifier" à tout prix. On réagit comme un anticorps qui vient de croiser un microbe. Le plus marrant, c'est que l'autre aussi a cet irrésistible envie de le "rectifier". :p

mais des choses différente peuvent coexister ensemble sans pour autant chercher a se détruire se 'rectifier' , parfois entre le bien et le mal c est juste une question d équilibre ... chacun ayant dans le fond besoin de l autre pour donner sens a son existence .. non ?

la diplomatie :)

:plus::plus::plus:

Modifié par phil-
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Le bien et le mal naisse de la sensation de souffrance et de bien être, je pense que c'est tout simplement cela la morale naît de l’expérience et la conclusion tiré de ces deux sensations.

Le besoin de justice nait du fait qu'un individu ai subi une certaine violence, après l'avoir subit, il réclame réparation, ou veux ce vengé, on voit alors que la vengeance et la justice ont la même origine. La notion de mal naît simplement du sentiment de souffrance et pour l'évité on structure la société avec des règles qui au départ semble défendre une certaine morale (on a vu ce qui faisait du mal donc on l'interdit ), mais plus on fait de règle plus on se rend compte que la souffrances des uns peut faire le bonheur des autres alors les règle ne défendent plus que des intérêts particuliers. L'origine de la morale qui est de respecter les règles devient alors quelque chose de flou et incompréhensible mais qui globalement doit servir au bonheur d'une majorité ... mais que dire de la minorité ?

On à alors un autre terme plus nuancé qui apparaît, l'éthique.

:plus::plus:

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La dignité humaine, ultime refuge. Et ces animaux de laboratoire que nous torturons ? Les animaux élevés en batteries et massacrés à la chaine ?

strictement rien a voir avec la dignité humaine.

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