Aller au contenu

Les taux d'intérêt que paient réellement les États


Invité David Web

Messages recommandés

Invité David Web
Invités, Posté(e)
Invité David Web
Invité David Web Invités 0 message
Posté(e)

Les taux d'intérêt que paient réellement les États

INFOGRAPHIE - Les taux d'intérêt sur les dettes des pays de la zone euro s'envolent à mesure que les marchés paniquent. Mais les taux qui flambent ne sont pas ceux réellement payés à l'heure actuelle par les États.

6038010bd7a48a113111e195e36fa1c6ee03f7.jpg

Ces derniers mois, les investisseurs réclament de l'Italie, de l'Espagne ou même de la France des intérêts toujours plus élevés. Le signe de la défiance des marchés : le taux reflète le risque estimé par les banques. Ainsi, la différence entre le taux d'intérêt français et allemand, qui fait office de référence, a battu des records historiques cette semaine, Berlin empruntant quasiment deux fois moins cher que Paris. Toutefois, les taux qui flambent ne sont pas ceux réellement payés à l'heure actuelle par les États. Même s'ils sont de très mauvais augure à moyen terme.

Avant que la situation ne se dégrade, la France comme l'Italie se sont endettées à bon compte et les intérêts versés par ces deux États sont substantiellement inférieurs à ceux observés aujourd'hui sur le marché. La France paye en moyenne un taux d'intérêt de 2,02% sur sa dette à moyen et long terme (taux pondéré, en octobre), selon l'Agence France Trésor (AFT) qui gère la dette publique. Un chiffre bien inférieur à la moyenne de 4,15% observée avant crise, sur la période 1998 et 2007.

Pour comprendre cette différence, il faut se pencher sur le mécanisme des emprunts publics. Pour combler leur déficit ou refinancer leur dette, les pays de la zone euro empruntent auprès des banques et autres grands investisseurs (fonds de pension, assureurs, etc.). Ces derniers achètent aux États des titres de dette appelés «obligations». Ces instruments financiers peuvent être ensuite échangés sur les marchés, dit «obligataires», sur lesquels les taux d'intérêts évoluent au jour le jour en fonction de l'offre et de la demande.

Si beaucoup d'investisseurs veulent acheter, c'est le cas de l'Allemagne, ils baissent. Si beaucoup veulent vendre, comme dans le cas de l'Italie, les taux montent. À ce stade, les variations ne concernent pas directement les pays emprunteurs, mais elles détermineront les taux lors des émissions de nouvelles obligations.

«Pas de niveau magique»

La flambée actuelle des taux d'intérêt d'État sur les marchés obligataires va forcément augmenter le coût du crédit pour les États visés, notamment pour la France. Jusqu'où les États visés peuvent-ils tenir? «Il n'y a pas de niveau magique : cela dépend à la fois de l'endettement du pays, des intérêts actuellement payés et de la croissance, donc des rentrées fiscales», décrypte Gianluca Ziglio, stratégiste pour UBS.

La résistance d'un pays dépend également des sommes qu'il doit emprunter sur les prochains mois. L'Italie doit ainsi trouver 250 milliards d'euros en 2012 et la France, 179 milliards. L'Italie pourrait supporter un taux d'environ 7% sur des obligations à 10 ans, selon la Banque centrale du pays, sans voir sa dette exploser. La France pourrait supporter un coût du crédit du même ordre. Pendant quelques mois.

Tout l'article.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, Forumeur confit, Posté(e)
Enchantant Membre 17 746 messages
Forumeur confit,
Posté(e)

David Web,

Ce que je retiens de ces données.

Avant que les états européens ne décident de faire unemonnaie commune l’euro, nous avions le serpent monétaire qu’il fallaitrespecter, qui était en fin de compte, un début de convergence économique entreles différentes monnaies et les différentes banques centrales d’Europe.

Lorsqu’un état prenait arbitrairement des décisions souveraines de dépenses, aussitôt la valeur desa monnaie passait au crible des marchés, qui se traduisait par une ou plusieurs dévaluations successives.Exemple, les socialistes français de 1981 à 1983, trois dévaluationssuccessives du franc français. La rigueur fut imposée par une nécessité decohérence et de convergence avec sesvoisins.

Car une dévaluation compétitive des monnaies, avec les paysvoisins, incitait naturellement chacun des états à rétablir le paiement desdroits de douanes aux frontières pour palier aux distorsions observés.

L’euro, monnaie unique, instituant une solidarité économiqueet non pas politique de fait, entre les états membres, se voit attaqué par lesmarchés indirectement, alors que les USA immensément plus endettés que leseuropéens ne le sont pas, bien que certains états américains soient endéclaration de faillite avancée.

En toute logique, si la cohérence politique en Europe étaitaussi forte et entrelacée que peut l’être les intérêts économiques, c’est lavaleur de l’euro qui serait soumis à la baisse et non pas la variable des taux d’emprunts pour chacun desétats.

La crise actuelle en Europe est une épreuve de solidaritéentre les états membres, souhaitons qu’elle débouche sur une zone eurorenforcée, lorsque la tempête économique sera calmée ?

Mais, nous savons bien qu’il suffit que l’on ferme la porteà un marché, pour qu’il s’empresse immédiatement de passer par la fenêtre, n’estce pas ?

Que l’économie des USA soit chroniquement dans le rouge n’estpas rassurant, ni pour l’Europe, ni pour le monde entier en général.

Car en économie, tous les pays se tiennent par labarbichette, qu’ils le veuillent ou pas.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité David Web
Invités, Posté(e)
Invité David Web
Invité David Web Invités 0 message
Posté(e)
La crise actuelle en Europe est une épreuve de solidarité entre les états membres, souhaitons qu’elle débouche sur une zone euro renforcée, lorsque la tempête économique sera calmée ?

Pas tout à fait t'sais, nous avons le sud contre le nord et surtout une Allemagne qui ne veut que les avantages d'un marché qu'elle maitrise...

J'imagine la cuisine d'Angela Merkel. Avec un réfrigérateur (Bosch bien sûr !). Et sur celui-ci un magnet géant. Sur lequel elle écrit avec un gros feutre rouge la liste de ce qu'elle doit faire. En cochant, avec une méticulosité toute germanique, au fur et à mesure les tâches accomplies.

Cela donne à peu près cela :

- Diminuer la dette grecque de 50% : erledigt !

- Virer Papandréou avant qu'il ne fasse une dépression : erledigt !

- Obliger les Grecs à mettre en place un gouvernement de coalition : erledigt !

- Virer Berlusconi : erledigt !

- Faire travailler le président italien 24 heures par jour à 86 ans : erledigt !

- Mettre un ancien de Goldman Sachs à la tête d'un gouvernement d'Italiens techniciens qui auraient pu être allemands (et de même en Grèce) : erledigt !

- Obliger les députés italiens à venir un dimanche pour se suicider politiquement en votant un budget d'austérité : erledigt !

- Faire croire à Sarkozy que nous formons un couple franco-allemand : erledigt !

- Obliger la France à faire un vrai plan d'austérité : erledigt !

- Imposer une révision des traités avant 2012 : erledigt !

Angela Merkel peut être satisfaite - Erledigt : "C'est fait ! " Elle a, en quelques semaines, achevé toutes ses tâches domestiques.

C'est une victoire TOTALE ! Mais la jeune Angela a oublié de rajouter une ligne à son tableau. Une ligne essentielle :

- Remplir ma part du contrat si tout ce qui est au-dessus a été accompli...

Et cela, ce n'est pas fait. L'Allemagne a largement profité de la crise de la dette européenne : elle a pris le pouvoir économique de la zone euro. L'euro est freiné dans sa progression pour le plus grand bonheur des exportateurs allemands. Et les taux d'emprunt allemands n'ont jamais été aussi bas (1,70%).

Mais il est temps que l'Allemagne renvoie l'ascenseur. En relançant son économie, la seule encore réellement valide dans une Europe estropiée. Et en laissant son indépendance à la Banque centrale européenne afin qu'elle puisse accompagner les pays européens qui ont accepté des sacrifices sans précédent, des sacrifices souvent accompagnés d'un sentiment d'humiliation nationale.

Les Italiens ne laisseront pas longtemps Mario Monti gouverner et imposer des budgets d'austérité et des réformes du travail ou du système de retraite si leurs taux ne baissent pas. Si le taux italien à 10 ans reste au-dessus de 7% avec Mario Monti, comme il l'était avec Berlusconi, pourquoi faire de nouveaux sacrifices ?

L'Allemagne d'Angela devrait donc avoir la victoire modeste car ce qui vient d'être fait pourrait être défait en quelques jours si elle n'y prend pas garde. Et en cas d'effondrement européen, l'Allemagne ne sera pas épargnée.

Ni ses habitants ni ses banques ni ses élus. La prospérité de l'Allemagne est toute relative. Ses fondamentaux sont bons mais sa croissance est fragile, le vieillissement démographique la menace.

Les pays européens ont besoin de l'Allemagne mais l'Allemagne a besoin du marché européen. Alors, il faut cesser de jouer avec le feu et respecter le contrat moral qui engage l'Allemagne. L'heure du bâton est passée. L'heure de la carotte a sonné. Il faut qu'Angela l'écrive sur son réfrigérateur.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 34ans Posté(e)
Mirisme Membre 1 346 messages
Baby Forumeur‚ 34ans‚
Posté(e)

Les USA ne tombent pas parce que les chinois ne veulent pas qu'ils tombent (qui veut perdre un de ses plus gros clients), le seul pays qui est tombé c'est la grêce et ce n'est pas un marché important pour les chinois c'est tout.

Le problème de l'Euro c'est que le traité de Maastricht n'a jamais été respecté et n'a pas été assez sévère, les marchés n'ont rien à voir là dedans, si on veut arrêter d'être "dirigé" par les marchés il suffit d'arrêter de s'endetter c'est hyper simple.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 32ans Posté(e)
economic dream Membre 3 028 messages
Baby Forumeur‚ 32ans‚
Posté(e)

Si on veut arreter d'etre dirigé par les marchés, c'est très simple, on abroge la loi Giscard de 1973 et on réautorise l'Etat à emprunter sans interets à la Banque Nationale. Ainsi, l'Etat est à nouveau maitre de sa dette qui n'est plus détenue par des banques privées et les marchés qui en possédant la dette, ont un pouvoir immense sur l'Etat.

Cette mesure nous épargnerait 50 milliards d'ailleurs.

De plus, la Banque Nationale pourra vendre la dette à des nationaux plutot qu' à des banques donc bénéfice pour la France.

Et l'inflation sera meme plus faible car:

1) cette économie de 50 miliards permet de demander moins d'impots or les impots sont inflationnistes.

2) sur le long-terme, la dette de l'Etat diminuera donc moins d'impots( = moins d'inflation) et moins d'argent injecté dans l'économie puisqu'il ne faudra plus payer d'interets.

Et l'idée que l'Etat ne peut pas s'endetter est simpliste.

Tout le monde est endetté: pourquoi l'Etat ne le pourrait-il pas?

C'est le sytème de l'argent-dette: va tu reprocher à une jeune famille de s'endetter pour acheter une maison?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 34ans Posté(e)
Mirisme Membre 1 346 messages
Baby Forumeur‚ 34ans‚
Posté(e)

L'état ne s'endette même pas pour acheter pour une maison mais pour vivre. Vas tu reprocher à une famille d'emprunter toutes les fins de mois pour pouvoir maintenir son train de vie?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 32ans Posté(e)
economic dream Membre 3 028 messages
Baby Forumeur‚ 32ans‚
Posté(e)

Non, si ils en ont besoin pour ne pas perdre leur maison par exemple.

C'est comme en période de crise avec l'Etat, il peut emprunter.

Mais on a abusé des emprunts et surtout d''emprunts avec interets à des acteurs privés.

A cause des seuls interets, la dette publique a augmenté de 90 %, il faut s'en rendre compte.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité David Web
Invités, Posté(e)
Invité David Web
Invité David Web Invités 0 message
Posté(e)

L'état ne s'endette même pas pour acheter pour une maison mais pour vivre. Vas tu reprocher à une famille d'emprunter toutes les fins de mois pour pouvoir maintenir son train de vie?

Contrairement à économic dream, moi je répondrai oui ! oui, lorsqu'on ne gagne plus assez pour pouvoir maintenir un train de vie de pacha, il faut arrêter...

Deux options :

- soit on limite ses dépenses et c'est la rigueur comme actuellement,

- soit on trouve d'autres sources de revenus, et on investit avant d'être pris au piège de la récession... et ça personne ne le fait pour l'instant...

Que ce soit au niveau d'une entreprise, d'un ménage ou d'un Etat, c'est pareil, quand on ne fait que "bouffer" ses bénéfices et emprunter sans investir, on va droit vers la faillite...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 32ans Posté(e)
economic dream Membre 3 028 messages
Baby Forumeur‚ 32ans‚
Posté(e)

L'état ne s'endette même pas pour acheter pour une maison mais pour vivre. Vas tu reprocher à une famille d'emprunter toutes les fins de mois pour pouvoir maintenir son train de vie?

Contrairement à économic dream, moi je répondrai oui !

si nécessaire, en période difficile mais pas continuellement biensur.

Deux options :

- soit on limite ses dépenses et c'est la rigueur comme actuellement,

l'Austérité aggrave l'importance de la dette.

Pourquoi? Premièrement, en coupant dans tous budgets, plus personne n'ose investir.

Ensuite, il y a plus de chomage et moins de consommation donc moins de rentrées fiscales.

La dette augmentera plus vite que le PIB: l'importance de la dette par rapport au PIB augmente donc.

- soit on trouve d'autres sources de revenus, et on investit avant d'être pris au piège de la récession... et ça personne ne le fait pour l'instant...

peut-etre faudrait-il commencer par traquer les fraudes et taxer ceux qui paient peu d'impots aujourd'hui: les riches et les multinationales.

Et on fait payer la crise par ceux qui l'ont causé: les banques, les marchés, les spéculateurs( Taxe Tobin).

Investir dans le vert, oui ! et mieux répartir la richesse pour faire augmenter la consommation.

-ou soit on cherche une autre banque.

L'Etat ainsi pourrait emprunter sans interets à la Banque Nationale comme avant.

L'effet boule de neige est annulé, l'inflation diminuera et la dette n'est plus exponentielle.

De plus, L'Etat est à nouveau maitre de sa dette et peut la vendre à des citoyens nationaux.

Que ce soit au niveau d'une entreprise, d'un ménage ou d'un Etat, c'est pareil, quand on ne fait que "bouffer" ses bénéfices et emprunter sans investir, on va droit vers la faillite...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 17ans Posté(e)
oulach Membre 2 574 messages
Baby Forumeur‚ 17ans‚
Posté(e)

Merci le traité de Lisbonne, le dernier emprunt de la grèce c'est fait à 18% résultat : Austérité à outrance pour le peuple Grec alors que les banques se goinfrent sur la misère de ce peuple... A qui le tour????

Avant le traité de Lisbonne, les état empruntait à la banque centrale Européenne à 2% maximum, aujourd'hui les états doivent impérativement passer par les banques qui établissent les taux les plus faramineux (de 4 à 20%) alors que ces même banques empruntent à la banque centrale Européenne à 1 ou 2 %...

Non mais on marche sur la tête. On bosse comme des cons pour de la spéculation. La banque centrale c'est notre argent et c'est nous qui en payont les intérêt...

La droite affirme que l'on paye par la crise notre train de vie passé mais de qui se moque-t-on???

Par l'austérité qui va nous être établie on ne payera que les magouilles spéculatives et financières des banques et la faiblesse de nos dirigeants fasse à celles-ci.

Il faut revenir à l'ancien système point barre, revenir sur le traité de Lisbonne et permettre aux Etats Européens d'emprunter directement à la banque centrale sans passer par les banques qui nous en font baver et se gavent au passage.

Le problème n'est pas d'emprunter ou pas, mais de savoir à quoi sert cet emprunt, emprunter pour réussir à payer des taux d'intérêts à des banques mais mort de rire. Surtout lorsque l'on sait que bon nombre d'entre elles ont été sauvées par les états qui aujourd'hui se font saigner à blanc par ces mêmes banques.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 32ans Posté(e)
economic dream Membre 3 028 messages
Baby Forumeur‚ 32ans‚
Posté(e)

et avant ça, l'Etat empruntait meme sans interets tout court à la Banque Nationale.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité David Web
Invités, Posté(e)
Invité David Web
Invité David Web Invités 0 message
Posté(e)

Bref, revenir en arrière est impossible, ou alors à des conditions telles que personne n'en voudrait si on leur expliquait... reste : faire bouger l'Allemagne et surtout cette fichu BCE qui a réellement les moyens de sortir la zone euro de tout ce merdier.

Nous n'avons pas besoin de moins d'Europe, mais d'une Europe au service de ses membres et non le contraire.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 17ans Posté(e)
oulach Membre 2 574 messages
Baby Forumeur‚ 17ans‚
Posté(e)

Plus la crise sera importante et plus les taux d'intérêt établies suivront à la hausse...

Mais bon c'est la bonne solution poussé par l'UMP, austérité, vendont tout pour rembourser nos emprunt, vendons nos usines à la chine, vendons nos port maritimes aux américains, vendons nos centrale aux Indiens ou aux Saoudiens.

Quand on aura plus rien on sera tous ravis que la France ne soit plus endetté et que les monstre financiers se soient bien engraissés.

Bref, revenir en arrière est impossible, ou alors à des conditions telles que personne n'en voudrait si on leur expliquait... reste : faire bouger l'Allemagne et surtout cette fichu BCE qui a réellement les moyens de sortir la zone euro de tout ce merdier.

Nous n'avons pas besoin de moins d'Europe, mais d'une Europe au service de ses membres et non le contraire.

Ha bon impossible???? Explique moi ça??? Si tous les Etats européens s'accordaient sur la remise en cause du traité de Lisbonne tu pense qu'il se passerait quoi???

Tu pense que les banques abandonneraient le marché Européen??? laisse moi rire, le problème c'est que nos politiques ont trop laissé de mou aux marché financiers et qu'aujourd'hui se sont eux qui dicte les lois.

La solution sera politique, ce serait juste dommage qu'on en passe par des manifestations violentes comme en grèce mais si tous les pays européens viennent à connaitre le même sort et les même révoltes il y a bien un moment ou les politiques seront obligés de s'accorder.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité David Web
Invités, Posté(e)
Invité David Web
Invité David Web Invités 0 message
Posté(e)

Impossible, adjectif :

sens 1 : qui ne peut se faire, se produire. Anglais : impossible.

sens 2 : pénible (familier) ex : cet enfant est impossible. synonyme : insupportable.

sens 3 : extravagant : ex : ils ont donné un om impossible à leur enfant.

synonyme : ridicule.

Impossible, nom masculin :

sens : fait qui ne peut être réalisé, qui sort des limites du possible : ex : les médecins ont tenté l'impossible pour le sauver.

:)

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 17ans Posté(e)
oulach Membre 2 574 messages
Baby Forumeur‚ 17ans‚
Posté(e)

:first: du troll de la soirée.

Tu l'as bien mérité félicitation.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 34ans Posté(e)
Mirisme Membre 1 346 messages
Baby Forumeur‚ 34ans‚
Posté(e)

Qu'on crée de l'argent (ie faire imprimer de l'argent par la BCE) ou pas, cela ne changera rien. Le seul moyen de sortir de cette crise (et je sais que cette idée peut paraitre complétement absurde) c'est de vivre avec ses moyens (OMONDIEU) donc retourner à des budgets à l'équilibre (si possible en évitant de passer à 100% d'impôt).

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité David Web
Invités, Posté(e)
Invité David Web
Invité David Web Invités 0 message
Posté(e)

Bon reprenons...

Pour ceux qui désirent revenir en arrière, soit, faites vos comptes... pour ceux qui veulent mieux comprendre la situation et les quelques perspectives actuelles : petit point :

Ce qui est en jeu actuellement et c'est tout l'intérêt de ce topic, c'est de voir que plus un pays est en difficulté au sein de la zone euro, plus ses taux d'intérêts montent. C'est le cas de la France actuellement qui emprunte à des taux de plus en plus cher (3,68 dernièrement au lieu de 3,4 il y a encore quelques jours), de l'Italie, de la Grèce, etc....

L'Allemagne (les Pays Bas, la Finlande et d'autres aussi...) est contre un recours accru à la BCE, notamment pour le rachat des dettes des États en difficultés.

Premièrement, parce qu'elle prône la responsabilité des États face à leur mauvaise gestion et deuxièmement, pare que le rôle de la BCE est de limiter l'inflation.

Reste ces fameux eurobonds, une mesure qui mutualiserait les dettes et qui permettrait à tous les pays de pouvoir emprunté au même taux.

Là encore l'Allemagne est sceptique, elle n'est pas totalement contre, mais elle demande en contre parti une modification des traités européens pour y inscrire une discipline budgétaire plus contraignante... (voir sujet : mise sous tutelle des États http://www.forumfr.com/sujet439969-bruxelles-veut-controler-notre-budget-avant-application.html).

Voilà... je rappelle au passage à nos nostalgiques ce qui se passait dans les 1920 : certains pays ont connu une hyper inflation galopante. Le salaire, perçu en début de mois, ne valait plus rien à la fin. si c'est ça que vous demandez....

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 34ans Posté(e)
Mirisme Membre 1 346 messages
Baby Forumeur‚ 34ans‚
Posté(e)

Et je rappelle aussi par ailleurs que les banques centrales sont des organismes privés et on notera par ailleurs que Napoléon Bonaparte fut le premier actionnaire de la Banque de France (il avait du bien comprendre l'intérêt de pouvoir contrôler la monnaie).

Et par ailleurs la fin du free banking a eu lieu à la première guerre mondiale car il a bien fallu pomper des sous pour aller faire la guerre (d'où l'intérêt d'une banque centrale).

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 17ans Posté(e)
oulach Membre 2 574 messages
Baby Forumeur‚ 17ans‚
Posté(e)

Organisme privé?????

Seule les banques nationales européennes sont autorisées à détenir le capital de la BCE... Va faire un tour sur Wiki avant d'affirmer des énormités.

Le capital est réparti entre toutes les banques nationales.

Rien à voir avec Bonaparte lol t'es loin là.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 34ans Posté(e)
Mirisme Membre 1 346 messages
Baby Forumeur‚ 34ans‚
Posté(e)

La banque de France est privée hein. C'est une entreprise privée avec monopole d'état qui est détenue par l'état (on se demande bien à quoi ça peut bien servir de faire genre que c'est privé mais bon). En fait elles sont censées être indépendantes du pouvoir politique comme la BCE (d'où le privée).

Sinon ce que je disais pour Napoléon est:

Créée le 18 janvier 1800 par un groupe de représentants de banques privées, la banque de France est alors une banque d'émission parmi d'autres. Elle acquiert une clientèle en fusionnant avec la Caisse des comptes courants. Napoléon Bonaparte en est le premier actionnaire. En 1803, il lui confère le monopole d'émission des billets, c'est-à-dire le privilège exclusif d'émettre les billets de banque.

Fourni gracieusement par Wikipédia.

Napoléon ce grand visionnaire a bien compris que pour faire la guerre, une banque centrale était nécessaire.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×