Confrontation réussir sa vie / espérance de vie

Du moment que j'ai le temps de me reproduire et d'élever ma progéniture, après je m'en fout.

Bonjour, je choisis la première vie.

Maryline Monroe a certainement vécu de très belles choses, mais j'ai cru comprendre qu'au final c'était une femme extrêmement seule et très loin d'être heureuse.

Je ne désirerai sa vie pour rien au monde...

Ni sa mort, elle à été assassinée contrairement à ce que beaucoup de gens croient encore, son autopsie et une enquête l'ont prouvé.

Elle à été assassinée parce qu'elle comptait dévoiler des informations.

Elle n'a pas eut une vie très heureuse mais elle avait de l'ambition et avait beaucoup de projets.

Du moment que j'ai le temps de me reproduire et d'élever ma progéniture, après je m'en fout.

Oui ... la descendance c'est important. Il faut toujours que la postérité soit assurée.

Je ne pense pas que l'auteur voulait dire : PDG=Heureux, SDF=Malheureux.

Un SDF a de bonnes chances d'être malheureux.

Très franchement, j'aurais moins peur, perso, de mourir plus tôt que prévu à cause du cancer ou de je ne sais quoi ... plutôt que de finir SDF.

Le spectre de la rue est un des plus effroyables.

( D'ailleurs les politiques, de droite comme de gauche, devraient au moins se démerder de loger les SDF. Au moins. )

Un PDG a des chances d'être heureux.

L'ennui est que pour un patron très riche, l'argent peut devenir un facteur d'incertitude.

Il attire les femmes ... mais pourquoi les attire-t-elle ?? Est-ce que ça vient de son portefeuille ??

Il a plein de potes... mais seraient-il là pour lui s'il n'avait pas d'argent ??

Totalement d'accord avec toi. C'est d'ailleurs pour cela que je ne comprend pas comment certains préfereraient etre SDF que PDG...

Un PDG a des chances d'être heureux.

TOI en tant que PDG tu penses avoir des chances d'être heureux.

Certains (dont moi) savent que ce ne serait pas le cas.

Pas spécialement PDG, c'est pour ça qu'i précise : "rock star internationale, PDG, acteur de cinéma ou président de la république."

Un métier bien vu qui t'interesse quoi.

Un PDG a des chances d'être heureux.

TOI en tant que PDG tu penses avoir des chances d'être heureux.

Certains (dont moi) savent que ce ne serait pas le cas.

argumentes, je ne comprends pas bien ton jugement ...

Et je n'ai pas spécialement l'intention de diriger une grande entreprise non

/!\ Alerte /!\ Alerte /!\ Oxymore détecté, Oxymore détecté. Métier bien vu, ou métier qui m'intéresse. Les deux, ça va pas être possible jean-pierre.

@Latin_boy: simplement ceci: je pense que dans la peau d'un PDG, je ne survivrait pas plus d'une dizaine d'heures avant de

1°) me pendre

2°) pendre les autres

3°) couler la boite, la détruire

4°) la filer à un autre et me barrer.

D'où le => no way.

On n'a pas tous envie de l'image de la vie avec réussite sociale, un chien, une femme, deux enfants et le troisième coupé en deux, une maison en banlieue et les vacances à la montagne ou à la plage.

La question générale de base est, je pense, beaucoup plus générale. Et je pense que tu peux y répondre :

Tu privilégies une vie très agréable (un métier qui te plait, des gens que tu aimes), mais courte, OU une vie de galère (SDF, prison...) mais longue ?

Voilà, t'as tout compris

Mais je tenais à montrer une mise en situation. ( Michael Jackson n'est pas un bon exemple car il en a beaucoup bavé à cause de facteurs familiaux ou culturels )

On pourrait aussi demander à choisir entre la vie qu'a mené JF Kennedy et celle qu'a pu mener le vieux centenaire du village qui n'est presque jamais sorti du département ... ( Cliché c'est volontaire !! )

Si l'on pense en capitaliste convaincu (proportionnalité oblige...) c'est con de sortir d'un tabac avec un ticket de loterie gagnant et de se faire renverssé par un bus en traversant la route!

Naitre multimillionnaire, beau, de na

oups, fausse manip'... Je disais donc, naitre multimillionnaire, beau, bien bati mais avoir une espérence de vie limité à 20 ans n'est pas vraiment une chance comparé à celui qui parait une imperfection humaine à la base par rapport à l'autre mais qui vivra jusqu'à 80 ans...

Celui qui préfère la première solution à un problème de dissernement ou est tellement dans le besoin (affectif, matèriel ou autre) que sa perception s'en trouve érronnée par un défaitisme symptomatique du 21eme siècle.

Celui qui est (ou du moins pense être) maitre de sa vie ne peut se résoudre par définition à écourter sa vie pour augmenter sa qualité!

Il ne faut pas être naïf au point de croire que nous ne sommes pas égaux face à la mort ou encore (encore plus folklorique ) que la vie n'est qu'une partie de l'existance.

Le dressage au quotidien qlimite le champ d'action de l'homosapiens fixant des limites innexistantes ou illégitimement extrapolées à outrance dans des buts biens précis...

Une ptite chanson résume bien cette pensée:

Malheureusement, Amy Winehouse a été une sorte de victime de son succés mais je pense que lui braquer des projecteurs de cette manière (additionné à certains cas soc'... heu.... fans indésirables) a été un élément pouvant être vite amalgammé avec un homicide involontaire. Mais contrairement à ce qu'une majorité pense, c'est plus courant qu'il ne semble...

citation: "Je préfère réussi ma vie que réussir dans la vie"

Réussir dans la vie est plus péjoratif que la vision globale de saltinbanques: Les "je veux être" qui ne réfléchissent pas plus profondément que ce que leurs écrans leurs envoient. Donc, je dirais que tu n'as pas tord mais que "je réussirais forcément ma vie puisque je n'aurais rien connu d'autre" me semble plus exacte.

c'est con de sortir d'un tabac avec un ticket de loterie gagnant et de se faire renverssé par un bus en traversant la route!

Earl ?

Celui qui préfère la première solution à un problème de dissernement ou est tellement dans le besoin (affectif, matèriel ou autre) que sa perception s'en trouve érronnée par un défaitisme symptomatique du 21eme siècle.

C'est un peu prétentieux et fermé d'esprit de catégoriser ainsi ceux qui ne pensent pas comme toi.

@morpheus

Dans ce cas, je te pose la question d'une manière qui te convient mieux : Préfères-tu vivre 50 ans, près de tes enfants, de ton conjoint, de ta famille, ou vivre 100 ans, seul, sans activité ormis aller faire les courses pour te faire à manger seul à tous les repas ?

Celui qui préfère la première solution à un problème de dissernement ou est tellement dans le besoin (affectif, matèriel ou autre) que sa perception s'en trouve érronnée par un défaitisme symptomatique du 21eme siècle.

En réaltité, vous soutenez la valeur "longévité" (une valeur chinoise primordiale) et vous cherchez des prétextes pour médire sur ceux qui placent d'autres valeurs au dessus de la longévité.

Je ne pense pas. Réussir sa vie, ca peut être faire de beaux enfants, avoir un taf qui nous plait, même si c'est éboueur ou autre (loin de moi l'idée de dénigrer les éboueurs hein!)...

La question de base est donc celle-ci, je le répète : quantité, ou qualité de vie ?

Ce que je voulais dire, c'est qu'avec des "si", on n'à jamais vraiment fait autre chose que couper du bois...

Peut on se rendre compte avec pertinence à quel niveau qualitatif nous nous situons sans prendre de références extérieur à notre existance?

Si on me donnait le choix, je choisis de vivre plus longtemps sachant que je reste la clé de voute de mon vécu passé et à venir.

La question générale de base est, je pense, beaucoup plus générale. Et je pense que tu peux y répondre :

Tu privilégies une vie très agréable (un métier qui te plait, des gens que tu aimes), mais courte, OU une vie de galère (SDF, prison...) mais longue ?

Une vie très agréable ayant pour définition, dans mon esprit d'être courte, je pense que la réponse est donnée. D'un côté que des avantages, de l'autre que des inconvénients.

Mais comme dit, on ne doit pas avoir la même conception de la vie très agréable.

je n'arrive pas a comprendre la subjectivité/relativité de ce débat.

la question me parait pourtant si evidente une fois qu'on l'a bien comprise:

QUALITé ou QUANTITé?

laquelle choisir si cela doit etre au detriment de l'autre?

l'homme etant par DEFINITION un etre hédoniste et épicurien (sauf tres tres rare exceptions qui confirment cette règle) il est EVIDENT que toute personne normalement constituée ne se veut pas du mal et ne veut pas d'une vie de souffrance, on se doit donc de choisir la qualité.

la seule difficulté/subtilité de ce débat est de partager le sens du mot QUALITé:

c'est quoi une vie de bonne qualité?

le bonheur? c'est quoi le bonheur?

et c'est là que l'auteur a tenté de donner des exemples illustratifs: (le PDG, la super star ect...)

car EN GENERAL on se represente leur vie comme etant globalement plus facile confortable et donc heureuse.

bien sur il faut rester lucide et comprendre qu'il ne s'agit pas de parler uniquement de l'aspect matériel du bonheur, l'auteur du sujet nous précise bien que sa definition du bonheur inclue aussi des aspects immateriel tels que la santé, la famille,l'amour ect...

enfin il me parait certain que la quantité au sens longévité ne sert a RIEN si elle est vide de bonheur (etat végétatif) voir si elle s'ecoule dans la souffrance (maladie, solitude ect...)

bref en ce qui me concerne ce topic soulève une fausse bonne question:

et je peux deja repondre pour tout le monde que

OUI nous voulons vivre heureux meme si ce n'est qu'un bref instant.

Évidemment, j'ai volontairement choisi une approche de la réussite sociale en phase avec une société de réussite personnelle.

Il va de soi que ma vision de réussite de la vie va de pair avec le fait de faire de grandes choses : la direction d'entreprise, la politique, le cinéma, la musique...etc... j'aurais pu dire que avocat, médecin, ingénieur sont des professions où en général, on peut dire que l'on réussi sa vie. Mais je voulais rester dans le cliché, je voulais vraiment provoquer et dire voilà, "sur-réussir" sa vie si je puis dire, en exploitant au max' les possibilités du capitalisme c'est devenir à la fois riche, célèbre et puissant.

J'avais volontairement choisi une approche clichée et osée de la réussite sociale.

A l'inverse, le cas d'une personne qui est tour à tour en chômage, sous les ponts, en taule.... et qui finit avec une très maigre retraite.

Au final, ma question est de savoir, et c'est philosophique, car cela appelle à une vision du but de chacun dans sa propre vie :

Entre la longévité et la réussite sociale, c'est quoi le plus important ???

J'ai donc fait un croisement :

Faible longévité + Forte réussite sociale.

Forte longévité + Faible réussite sociale.