La création d'euro-obligations se précise

La création d'euro-obligations se précise

La Commission européenne compte proposer prochainement des options en vue de l'introduction d'euro-obligations, a annoncé ce mercredi son président, José Manuel Barroso.

"Je tiens à confirmer que la Commission présentera bientôt des options pour l'introduciton d'euro-obligations", a expliqué José Manuel Barroso devant le parlement européen. "Certaines d'entre elles pourront être adoptées dans le cadre du traité actuel, d'autre nécéssiteront des amendements à ce traité", a-t-il ajouté.

Le seul moyen de mettre fin au cycle négatif de la crise de la dette est une intégration de la zone euro plus poussée, a estimé José Manuel Barroso, tout en soulignant que les euro-obligations, si elles étaient adoptées, n'apporteraient pas de solution immédiate à tous les problèmes de l'Europe.

Tout l'article.

on en est plus là , pauvre Barroso

Il est pas là le probléme de l'UE

L'autre moyen à cette crise , c'est de foutre la grèce dehors (de la zone Euro)

Certain y pensent

euro obligation :

Obligation en eurodevises (devises placées en Europe par un étranger, dans une banque qui n'est pas celle du pays d'où viennent ces devises), à revenu fixe, que l'on peut acquérir sur le marché financier international.

on en est plus là , pauvre Barroso

Il est pas là le probléme de l'UE

Tu peux développer ton opinion stup..

La Bourse est saturée, on ajoute des obligations.

Du virtuel bis.

Les euro-obligation sont une arme à moyen / long terme, pour lisser le taux d'emprunt des pays membres de l'UE.

Cela va pénaliser les gros (Allemagne et dans une moindre mesure la France), mais cela va ajouter une certaine stabilité à la zone Euro, ce qui manque actuellement.

Sortir la Grèce de la zone Euro n'aura pas forcément que des avantage, car c'est un signal sur les marchés "L'UE n'est pas solidaire". Donc si on sort un pays, on risque l'implosion de l'UE, par effet de contagion. C'est; à mon sens, quelque chose qu'il faut absoluement éviter. L'autre effet pervers, sans la faiblesse de la Grèce, l'euro va être valorisé, donc les exportations de la zone Euro seront plus dificiles. Du coup, les autres pays subiront une récession, et les pays faibles seront de nouveau à la limite du défaut de paiement.

On est en situation de crise, ou tous les pays sont endettés. Il faut en sortir, mais cela ne peut pas se faire en 3 jours.

Je ne suis pas économiste, donc je peut me tromper :). (remarque, eux aussi).

Sortir la Grèce de la zone Euro n'aura pas forcément que des avantage, car c'est un signal sur les marchés "L'UE n'est pas solidaire".

Oui et le peuple grec t'en fais quoi ?

Au nom de la pseudo solidarité à afficher , on le sacrifie ?

Le probléme de la Gréce (et d'autres pays comme le Portugal, l'Espagne , l'Italie, Chypre) c'est que cette monnaie est trop forte et le fait s'enfoncer , comme quelqu'un pris dans les sables mouvants

L'Argentine a connu la même chose en s'arrimant au dollar , seule solution : effacer une partie de l'ardoise et dévaluer

Résultat: inflation, chômage

Auj la croissance de l'Argentine est de 5%

Que serait devenu ce pays sans dévaluer et sans effacement d'une partie de la dette ? On va maintenir l'illusion et le secret de Polichinelle jusqu'à exphyxie compléte de la Gréce et déficit accru des pays payeurs ?

Les banques ont été inconséquentes , qu'elles assument au lieu de cela l'UE la joue : faut maintenir la Gréce sous perfusion et de nous balancer qu'il faut rester solidaires pour des marchés qui ne sont pas dupes une seule seconde

Protéger les banques c'est bon , de toute façon va déjà falloir en recapitaliser certaines

Et sur les euros obligations , l'Allemagne a dit NON , Barroso peut aller se rhabiller avec ses effets d'annonces

(Merkel a bien raison de dire Non , c'est bon faut arrêter les dégâts)

l'Argentine a subi une récession très violente en changeant de système. Bien sûr, à terme, on finit par récupérer mais, dans le cas argentin, les classes moyennes ont été ruinées et leurs actifs dilapidés. Cela a été une cicatrice terrible. C'est pour cela qu'aujourd'hui, la Grèce ne souhaite pas sortir de la zone euro et consent à des ajustements budgétaires très importants pour retrouver sa stabilité.

l'Allemagne a dit NON

La France dit oui...:D même Pécresse et Valls disent oui... pff... ces français..

l'Argentine a subi une récession très violente en changeant de système. Bien sûr, à terme, on finit par récupérer mais, dans le cas argentin, les classes moyennes ont été ruinées et leurs actifs dilapidés. Cela a été une cicatrice terrible. C'est pour cela qu'aujourd'hui, la Grèce ne souhaite pas sortir de la zone euro et consent à des ajustements budgétaires très importants pour retrouver sa stabilité.

Oui, la Gréce devrait faire gaffe

1) elle va s'enfoncer davantage et la zone euro va encore trinquer et accroître ses dettes

2) la Gréce finira par vouloir sortir et effacer son ardoise , j'ai jamais dit que faire faillite est une partie de plaisir

La Gréce aura les 2 maux en restant dans l'UE

Imagine que les US aient fait comme l'UE en soutenant avec son fric l'Argentine, les américains seraient toujours en train de banquer pour ce pays car le probléme c'est que cette monnaie est trop forte et ça , ça change pas avec le temps

Si tu soignes pas la cause , tu gardes les symptômes et c'est pas avec toujours plus d'austérité que la Gréce va faire de la croissance (ni par leurs exportations plombées par cette monnaie, ni par le pouvoir d'achat plombé par l'austérité, alors par quoi va t-elle faire de la croissance ?)

L'Argentine ne s'est pas arrimée au dollar depuis sa faillite et je crois pas que c'est demain la veille qu'on l'y reprendra

La France dit oui...:D même Pécresse et Valls disent oui... pff... ces français..

Tu parles d'une eference

Aubry voulait jeter Valls du PS , elle avait raison

Barroso en est à faire des effets d'annonces sans lendemain pour rassurer (à trés court terme) les marchés car dans les faits c'est niet

Tu devrais revoir l'histoire de l'Argentine, tu dis des sottises, dsl.

Pour mémoire suite à l'aide du FMI qui les a encore plus enfoncé dans la merde, elle a dit stop, 4 monnaies locales au moins circulaient, les banques étaient fermées et la faillite prononcée. La situation de la Grèce est légèrement différente, les enjeux aussi.

Bruxelles dépêche un commando pour vérifier l'emploi des aides

Il ne s'agit pas de mettre sous tutelle la Grèce mais de l'aider, promet la Commission européenne. Il n'empêche. Après avoir déversé des milliards d'aides dans le pays - environ 32 milliards ont transité au cours des dix années passées via le Feder, le principal fonds de cohésion européen -, la Commission perd aussi patience, d'autant que la crise grecque a pris ces dernières semaines un tour dramatique.

Officiellement, la « task force » d'une trentaine d'experts présidée par Horst Reichenbach, l'actuel vice-président de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), sera chargée de repérer les investissements que Bruxelles pourrait encore financer. Mais elle a aussi pour mission d'identifier les besoins d'assistance technique des autorités grecques pour mettre en oeuvre les réformes réclamées par ses créanciers. Et, là, il s'agit d'« apporter l'expertise » nécessaire pour aider le pays à se mettre à niveau d'une façon très concrète, ne serait-ce que pour informatiser ses services fiscaux, pour gérer le remboursement des soins avec l'introduction d'une carte de santé, à l'instar de la carte Vitale, fiable, ou enfin pour se doter d'un cadastre..., véritable serpent de mer dans les relations entre Athènes et Bruxelles. Dès 1994, la Commission débloquait des aides pour la réalisation de ce cadastre, et, dès 1997, des députés lui demandaient des comptes sur l'absence d'avancée de ce projet. En 1997, la Commission demandait de la patience, en soulignant que les autorités helléniques avaient réclamé quinze ans pour dénouer l'imbroglio de la propriété foncière ! Aujourd'hui, faute d'avoir identifié les constructions légales et illégales, Athènes propose de lever des impôts fonciers via les factures d'électricité ! Au moins le contribuable européen n'a pas été lésé, car récemment la Commission a exigé le remboursement des dizaines de millions accordés pour ce cadastre fantôme.

source : les Echos.

Que vient faire l'euro trop fort dans cette histoire Saint Thomas ?

C'est l'économie qui est en panne en Espagne et en Italie.

L'Argentine s'en est sortie, qu'importe comment.

Les pays baltes entrés dans l'UE, bizarre, ils ne posent pas de problème, pourtant ils étaient limite pauvres.

Si la Grèce refuse l'économie contrôlée, qu'elle trinque.

Le comble, les grecs rigolent.

Tu devrais revoir l'histoire de l'Argentine, tu dis des sottises, dsl.

Pour mémoire suite à l'aide du FMI qui les a encore plus enfoncé dans la merde, elle a dit stop, 4 monnaies locales au moins circulaient, les banques étaient fermées et la faillite prononcée. La situation de la Grèce est légèrement différente, les enjeux aussi.

Tiens , le FMI les a enfoncés, quelle surprise !

Bienvenue au club

La Gréce fait mieux : FMI + commission européenne

Ca va donc 2 fois plus vite pour plonger encore plus fort

La Gréce et l'Argentine ont encore plus de points communs que je ne le pensais

Suite à la faillite de l'Argentine , un marché de troc paralléle avec une monnaie inventée par les gens s'etait mis en place , la débrouille pour survivre en somme

En Gréce le marché noir s'est encore intensifié depuis les mesures d'austérité

A part ça , si l'Argentine s'en est sortie , j'en dirai pas autant de la Gréce tant qu'elle reste dans l'UE car toutes les solutions pour faire de la croissance lui sont impossible alors on paye

C'est le résultat d'une politique débile qui fait plonger tout le monde sans sauver personne , la question est : combien de temps ça va durer avant que la réalité ne s'impose à nos dirigeants ? les discours oiseux sur la solidarité n'abusent pas grand monde

L'UE a la trouille pour les banques , se fait des frayeurs pour sauver l'euro (réunion d'urgence aprés réunion d'urgence) et à la trouille que l'UE n'implose

Barroso en est réduit à mentir en disant que les euro obligations vont se faire alors qu'il sait comme tout le monde que l'Allemagne et d'autres pays comme l'Autriche , la Suéde ou la Finlande n'accepteront jamais

A quoi ça rime ?

Pour les Euros bons, le but c'est de mutualiser les dettes des pays les plus menacés, évidemment l'Allemagne dit non, elle serait le plus gros "investisseur".

Pour le reste, l'argument qui revient le plus souvent, c'est qu'on a pas à payer pour les mauvais de la classe et qu'on paie déjà assez comme ça.

En fait on veut bien des bons côtés de l'UE, mais pas les mauvais.

Pour la Grèce : elle sera en manque de liquidités dès fin septembre, la décision du versement des 8 milliards d'aide supplémentaire est reporté en octobre...

Pour les Euros bons, le but c'est de mutualiser les dettes des pays les plus menacés, évidemment l'Allemagne dit non, elle serait le plus gros "investisseur".

Y'a pas que l'Allemagne qui traîne des pieds: Finlande, Autriche ne veulent pas d'une mutualisation

Bref tous les pays amenés à payer pour des dettes qu'ils n'avaient pas , qui va s'en étonner ?

Concernant les euros-bon ceci serait un gage de stabilité des taux à moyen/long terme, c'est une proposition utile pour la suite et qui est déjà utilisé au seins des pays comme la Suède, Finlande ou Norvège. Pays dans lesquelles, les localités se regroupent entre elles afin d'emprunter plus facilement et ceci depuis longtemps, avec des conditions de gestions pour pouvoir participer à ce type d'emprunt (une commune gérant mal son budget se voit refuser l'accès à ce système).

Pour la Grèce, si nous sortons ou qu'ils sortent d'eux-même de la zone euros les conséquences pour le pays seront dramatiques:

=> hausse de la dette (dû au changement de monnaie)

=> des taux à moyen/long terme qui vont s'envoler

=> une inflation galopante

Bref, une véritable implosion économique du pays.

Après il n'y a pas solution miracle, l'une ou l'autre possède des risques.

Pour les euro obligations, on peut oublier la cour constitutionnel allemande ayant refusé cette option.

Pour sauver la Grèce il faudrait d’après plusieurs laboratoires entre 340 et 380 milliards d'euros juste pour lui sortir la tête de l'eau, cela payer principalement par la France et l’Allemagne, donc cette option ne sera pas suivi le par le gouvernement allemand ni par sa population. De plus il y a encore l’Irlande, le Portugal, l’Italie mais aussi l’Espagne a aidé.

Pour moi la meilleur methode serait que la grèce fasse défauts, donc ne rembourse pas une partie de sa dette, retrouve sa monnaie et dévalue.

Concernant les euros-bon ceci serait un gage de stabilité des taux à moyen/long terme, c'est une proposition utile pour la suite et qui est déjà utilisé au seins des pays comme la Suède, Finlande ou Norvège. Pays dans lesquelles, les localités se regroupent entre elles afin d'emprunter plus facilement et ceci depuis longtemps, avec des conditions de gestions pour pouvoir participer à ce type d'emprunt (une commune gérant mal son budget se voit refuser l'accès à ce système).]

T'es en train de nous dire qu'en scandinavie les localités qui n'ont pas de gros soucis bugétaires se regroupent pour demander des emprunts dans des conditions plus favorables vu que l'emprunt est garanti par la bonne gestion des localités demandeuses

Ca rassure les banques

Pour la Grèce, si nous sortons ou qu'ils sortent d'eux-même de la zone euros les conséquences pour le pays seront dramatiques:

=> hausse de la dette (dû au changement de monnaie)

=> des taux à moyen/long terme qui vont s'envoler

=> une inflation galopante

Bref, une véritable implosion économique du pays.

Tu penses si l'UE s'en tape de la Gréce , ce qui l'interesse c'est de sauver l'euro et de protéger les banques européennes qui ont des crédits pourris plein leurs tiroirs

La Gréce ne peut pas s'en sortir avec l'euro + l'austérité, comment veux tu qu'elle fasse ?

L'Argentine a fait faillite en s'arrimant au dollar , auj elle a 5% de croissance

La Gréce dans l'UE est toujours arrimée à une monnaie trop forte et on a beau y tortiller comme on veut , le probléme est là

Faudra payer pour ce pays in éternum parce que tous les leviers pour faire de la croissance lui sont coupés et en prime la situation sociale est une vraie poudriére (gréve de tous les transports auj , en juin dernier gréves aussi et affrontements)

Les grecs n'en peuvent plus , le FMI et l'UE réclament pourtant encore plus d'austérité , toujours plus , ça va pas être tenable

Le gouv grec veut éviter coûte que coûte un réféendum sur une sortie de l'UE , aux prochaines élections grecque , le premier parti qui prône la sortie de l'UE dirige le pays (tu paries?)

ce matin je suis allé a ma banque et deux employés discutaient d,un sujet intéressant ,il parait qu,une loi vient de sortir pour ne plus rénumérer les livets A qui atteignent 15.000 euros,le cumule sur les intérets serait supprimé.

Merkel soutient l'adoption de «Deutschlandbonds»

La chancelière allemande a la solidarité sélective. Angela Merkel ne veut pas entendre parler d'eurobonds, qui permettraient à l'Italie d'emprunter moins cher en profitant du AAA allemand. En revanche, la chancelière vient d'apporter son soutien à l'adoption de «Deutschlandbonds», des bonds allemands visant à gommer les disparités entre les Länder les plus riches et les plus pauvres.

La chancelière veut permettre un refinancement moins coûteux pour les Länder. Les États-régionaux aux finances les plus fragiles, tels que le Schleswig-Holstein, empruntent à des taux d'intérêt bien plus élevés que la riche Bavière ou que l'État fédéral. Le ministre des Finances, Wolfgang Schäuble, propose de mutualiser la dette des États-régionaux allemands en échange d'un engagement des Länder de réduire leur endettement à 60% de leur produit intérieur brut.

«L'idée de Wolfgang Schäuble de proposer des incitations et, dans une certaine mesure, des récompenses pour réduire le niveau d'endettement est très intéressante», a jugé Merkel.

Berlin précise que les obstacles à une mutualisation de la dette dans la zone euro n'existent pas au sein de l'Allemagne. En septembre, la Cour constitutionnelle de Karlsruhe avait jugé les eurobonds contraires à la loi fondamentale et aux traités européens.

Le Figaro.