Aller au contenu

Une juge met en cause Sarkozy dans l'affaire Bettencourt


transporteur

Messages recommandés

Membre, Dazzling blue², 51ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
51ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)

Le procureur de Nanterre est soupçonné d'avoir supervisé les écoutes de journalistes dans le cadre de l'affaire Bettencourt. Philippe Courroye a été ainsi convoqué en vue d'une mise en examen. Réputé proche de Nicolas Sarkozy, il était auparavant connu pour son intransigeance.

http://www.bfmtv.com/video-infos-actualite/detail/bettencourt-portrait-du-procureur-courroye-1724702/

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
  • Réponses 95
  • Créé
  • Dernière réponse
Membre, Sur le départ , 48ans Posté(e)
Liutprande Membre 4 829 messages
48ans‚ Sur le départ ,
Posté(e)

bonjour Eklipse :blush:

Eh oui tout ceci se resserre au fur et à mesure...devient tendu

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Dazzling blue², 51ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
51ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)

Bah...apparemment même les plus intransigeants...sont parfois corruptibles...hélas...:sleep:

Bonsoir Liutprande...:blush:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
ame02 Membre 2 083 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

sarko , il va pas chomer quand il ne sera plus president. et du coup il va en faire des heurres sup pour preparer sa defense dans toutes les affaires ou il est impliqué il va travailler plus pour gagner moins de taulelaugh.gif

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 29ans Posté(e)
singe007 Membre 331 messages
Baby Forumeur‚ 29ans‚
Posté(e)

Mr Sarkosy va sans aucun doute refaire 5 ans car c le plus credible de votre pays , vue de l 'exterieur il ait pas si mauvais que ca ! en plus y qui pour le remplacer wacko.gif ahahah

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, forumeur révolutionnaire, 50ans Posté(e)
transporteur Membre 23 297 messages
50ans‚ forumeur révolutionnaire,
Posté(e)

:smile2: :smile2: :smile2:

La bonne blague,il y avais longtemps que j'avais pas ris comme ça.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 29ans Posté(e)
singe007 Membre 331 messages
Baby Forumeur‚ 29ans‚
Posté(e)

tu rira moins l 'annee prochaine . c moi qui vais rire quand tu va pleurer .. Et te dire !!pourquoi , pourquoi je suis trop inteligents et que les gens me comprennent pas !!crying8vr.gif

enfaite simple !! , quelle sont les affaires ou le nom de sakorzy n 'apparaisse pas ... plus simple quelle sont vos president qui n'ont pas eu d 'affaires ??

aller encore une ptite rigolade l 'anarchiste ?? transporteur anachiste de la lune ahahaha .. tes plutot chavez ou obama ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 55ans Posté(e)
Genesiis Membre 3 203 messages
Forumeur balbutiant‚ 55ans‚
Posté(e)

C'est vrais que nous avons été assez con pour l'élire. C'est comme tous les peuples qui élisent un mec qui roule que pour 10% de la population. Faut se méfier de tous les régimes, même ceux qui se disent démocratiques.

Ceci dit nous sommes typiquement ici dans un espace républicain... pas d'attaques personnelles entre nous svp.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
ame02 Membre 2 083 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

sarko , moi je n ai jamais cru en lui. pourtand je n ai pas de préférence politique. mai la il bat tout le monde en affaire politico judiciaireangry.gif

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 29ans Posté(e)
singe007 Membre 331 messages
Baby Forumeur‚ 29ans‚
Posté(e)

encore un ptit juge qui veux faire partie du show bis . c bienthumbsup.gif . mais avec sarko , il va se retrouver en ptit deli de hach le pauvre laugh.gif... la compagnie l' oreal aurais dit -ont fournie plusieur creme anti age et ridessss gratis pour unn montant enorme pour la premiere dame de france ? je peux le prouver biggrin.gif !!!!

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Dazzling blue², 51ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
51ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)

"Les témoins avaient peur de parler sur PV de Sarkozy"

738987_sans-titre.jpg

Deux journalistes du Monde consacrent un livre aux victimes du sarkozysme.

AFP

Dans un livre à paraître demain, deux journalistes donnent la parole à ceux qui ont subi la colère du président de la République. L'affaire Bettencourt y occupe une bonne place. La juge Isabelle Prévost-Desprez affirme notamment qu'un témoin a vu le chef de l'Etat récupérer des enveloppes d'argent liquide chez Liliane Bettencourt. Extraits.

Il y a trois types de victimes du sarkozysme. Les politiques, comme Dominique de Villepin, Christine Boutin ou Patrick Devedjian - mais n'est-ce pas la jungle que le pouvoir ? Les serviteurs de l'Etat, tels ces préfets ou hauts fonctionnaires (Pierre de Bousquet de Florian, Jean Charbonniaud, Eric Delzant), ou encore ces policiers et gendarmes (Jean-Pierre Havrin, Jean-Hugues Matelly, Yannick Blanc, Dominique Rossi) sanctionnés ou mutés pour les besoins du clan, ou ces magistrats décrétés adversaires gênants (Renaud Van Ruymbeke, Isabelle Prévost-Desprez). Et puis des Français qui auraient pu ne jamais avoir maille à partir avec le président, comme cette journaliste people intéressée par Cécilia Sarkozy, la comptable de Liliane Bettencourt, tel humoriste radiophonique ou même ce grand banquier. Certains en rajoutent, se poussant du col au martyrologe, d'autres ont été fascinés et zélés avant d'être sacrifiés. Mais tous sont brisés... Extraits exclusifs de Sarko m'a tuer, un livre écrit par deux journaliste du Monde, Gérard Davet et Fabrice Lhomme.

Extraits

Claire Thibout, ex-comptable de Liliane Bettencourt.

"Donc, je leur raconte que les Bettencourt donnaient de l'argent à des politiques. Evidemment, ils veulent savoir qui. Et là, je leur raconte, notamment, comment de Maistre m'a demandé de l'argent... Et je détaille l'épisode Woerth-de Maistre, qui m'avait choquée, surtout parce qu'à l'époque Dédé, comme on surnommait André Bettencourt dans la maison, était malade et que Liliane n'avait plus toute sa tête. J'explique que de Maistre m'a demandé de retirer 150 000 euros destinés à Eric Woerth pour le financement de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy. Là, j'ai vu que les policiers étaient satisfaits : "Ah, vous allez être délivrée d'un poids maintenant." Et ils sont repartis. Là, je me suis dit que cette histoire prenait quand même des proportions considérables, avec l'évocation du nom de Sarkozy et de sa campagne électorale."

[Après plusieurs auditions éprouvantes, Claire Thibout part se mettre au vert.]

[...] Les cousins de la comptable résident à Fourques, un patelin minuscule, dans le Gard. "J'étais épuisée et à bout de nerfs. J'ai débranché mon portable et j'ai été me coucher", se remémore Claire Thibout. Ses ennuis ne font pourtant que débuter.

Le lendemain matin, mercredi 7 juillet, vers 11 heures, elle se décide à rallumer son téléphone. Elle trouve un message de son avocat lui disant qu'elle doit rentrer à Paris, que la police la cherche d'urgence. Puis un gendarme sonne et lui enjoint de contacter la brigade financière [bF]. Inquiète, elle appelle, mais le policier de la BF dont le gendarme lui a donné le numéro est parti déjeuner. Elle décide donc de prendre la direction de la gare d'Avignon, afin de prendre un train pour Paris. A peine montée en voiture, son portable sonne : "Ne partez surtout pas, restez là où vous êtes, on vous donnera la marche à suivre", lui intime un policier. Retour vers Fourques, donc. "Et là, je découvre, ahurie, deux cars de CRS et plusieurs estafettes de gendarmerie devant la maison de mes cousins !"

[...] Finalement, au bout de plusieurs heures d'une attente angoissée, Claire Thibout est informée par téléphone qu'une équipe de la BF va descendre de Paris tout spécialement. Ils débarquent à 19 heures. "Ils m'ont fait peur, ils étaient quatre hommes et une femme et ont surgi par la cuisine plutôt que par l'entrée principale. Ils ont dit à mes cousins de "dégager", puis m'ont lancé : "Vous savez pourquoi on vient." [...] Les policiers voulaient me faire dire que Mediapart était un journal de voyous. Alors je leur ai répondu que je n'avais pas formulé ma réponse aussi précisément que ça, que j'avais dit qu'il y avait des politiques qui venaient à la maison, parmi lesquels Sarkozy, et que je me doutais qu'ils devaient recevoir de l'argent. Concernant Sarkozy, je me souviens d'avoir précisé que je n'avais pas de preuve, mais qu'il pouvait avoir touché de l'argent."

[...] "Et puis, glisse Claire Thibout encore émue, à un moment, comme je me sentais vraiment très mal, j'ai lâché sur un point précis, celui du financement éventuel de la campagne présidentielle d'Edouard Balladur, que les propos figurant dans l'article de Mediapart relevaient de la "romance". C'est cette expression qui sera ensuite utilisée pour tenter de décrédibiliser mon témoignage."

[...] "La conversation est revenue sur Sarkozy. Là, dans ce commissariat sinistre, face à plusieurs policiers déterminés, je me suis rendu compte de ce qui se passait. Je mesurais les conséquences de l'interview. Je me suis dit, s'agissant du passage sur Sarkozy : "Je ne peux pas assumer ça." Donc, je me suis contentée de dire qu'il "pouvait avoir touché", car, comme je l'ai toujours dit, je n'avais jamais été témoin direct d'une remise d'espèces à un politique. Mais les policiers n'étaient pas contents, ils voulaient que je leur dise que tout était faux. Ils subissaient eux-mêmes une incroyable pression. A chaque feuillet tapé, l'un des quatre policiers faxait le PV à sa hiérarchie et au parquet de Nanterre, qui rappelait pour faire changer tel ou tel mot." [...]

[Claire Thibout rentre à Paris.]

"C'est à ce moment-là que j'ai enfin remis la main sur mon carnet de 2007, que j'avais égaré chez moi." Une découverte très précieuse, car ce calepin donnait du crédit au récit de la comptable sur le point le plus sensible : la remise à Patrice de Maistre des fonds destinés à Eric Woerth. "Et là, soulagement, car les dates correspondaient, se remémore Claire Thibout. Les mentions confirmaient le rendez-vous et la remise de l'argent à de Maistre via Liliane et, le lendemain, l'existence d'un rendez-vous entre de Maistre et Woerth. Je n'avais pas écrit "Woerth" sur mon carnet mais "trésorier". [...] Et là, incroyable, voilà que les policiers essaient de me faire dire que le "trésorier" que je mentionnais dans mon carnet devait être Arnaud Benoît, le trésorier de... Clymène !"

[...] "Courroye [NDLR : procureur de Nanterre] ? Il était totalement de parti pris, il n'avait qu'un seul objectif : me faire revenir sur mes propos, lâche-t-elle dans un haussement d'épaules. Parce que, par la force des choses, j'avais été amenée à parler de financements politiques et à mettre en cause le président de la République, j'étais devenue en quelque sorte l'ennemi public n° 1, et tout ça pour avoir dit la vérité." Et le chef de l'Etat, qui s'est occupé personnellement de son cas ? "Quand j'ai entendu Nicolas Sarkozy faire allusion à moi à la télévision, j'ai ressenti un vertige. Je me suis dit : "Je suis au coeur d'une affaire d'Etat, moi !" [...] J'ai commencé à avoir des angoisses terribles."

Isabelle Prévost-Desprez, présidente de la 15e chambre du tribunal de grande instance de Nanterre, chargée puis dessaisie de l'affaire Bettencourt.

"Ce qui m'a frappée dans le supplément d'information que j'ai conduit, c'est la peur des témoins, confie Isabelle Prévost-Desprez. Ils étaient effrayés de la violence avec laquelle Claire Thibout avait été déstabilisée, ils ne voulaient pas connaître son sort. [...] Les témoins me demandaient avec crainte : "Dites, on ne va pas voir l'autre ?" L'autre, c'était Courroye. Donc, les témoins avaient peur de parler sur PV à propos de Nicolas Sarkozy", confie la juge.

[...] Sans la moindre hésitation, la magistrate lâche alors une bombe. Evoquant ces fameux témoins, situés dans l'entourage de Liliane Bettencourt, elle affirme : "L'un d'eux, hors procès-verbal, m'a dit qu'il avait vu des remises d'espèces à Sarko." La magistrate va plus loin : "Je suis certaine que Metzner [NDLR : avocat de la fille de Liliane Bettencourt] aurait fait citer l'infirmière de Liliane Bettencourt, qui a confié à ma greffière, après son audition par moi : "J'ai vu des remises d'espèces à Sarkozy, mais je ne pouvais pas le dire sur procès-verbal." Bref, ce procès représentait pour l'Elysée un risque majeur, il y avait 90 % de chances pour que ce soit déflagratoire. Il fallait me faire dessaisir, par tous les moyens. Il était impératif de me débarquer."

Des semaines durant, Isabelle Prévost-Desprez sent peser sur ses épaules une pression terrible. Elle a le sentiment d'être épiée, traquée jusque dans sa vie intime. Paranoïa ? Pas si sûr. "J'ai été l'objet de surveillances, c'est une évidence, mais je n'en ai rien à faire, je peux tout assumer dans ma vie, même si ça m'ennuie de savoir que certains utilisent des éléments de ma vie privée pour tenter de m'affaiblir. J'étais persuadée d'être sur écoutes. Des écoutes illégales, à mon avis. Cela a toujours été clair pour moi, je ne me pose même plus la question", assène-t-elle.

http://www.lexpress.fr/actualite/politique/les-temoins-avaient-peur-de-parler-sur-pv-de-sarkozy_1025472.html

Que de courtoisie...et tentations d'intimider et discréditer les témoins...éthiques méthodes, qui prouvent bien qu'ils ont peur que la vérité soit dévoilée et que des preuves accablantes tombent.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Dazzling blue², 51ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
51ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)

Financement des partis politiques français

Le financement des partis politiques français est un ensemble de moyens permettant d'assurer les ressources financières nécessaires à l'activité des partis politiques français.

Les dons privés étaient à l'origine sévèrement réglementés pour limiter l'influence des grandes sociétés sur les élus. Cette situation a entraîné une baisse importante des ressources privées et beaucoup de partis ont utilisé des sources de financements illégales (emplois fictifs, surfacturation de marchés publics, réseaux françafricains...). Pour remédier à cette situation, le législateur a mis en place un financement public dont le montant varie en fonction des derniers résultats électoraux.

Aujourd'hui ce financement est réglementé par la loi n°90-55 du 15 janvier 1990, qui modifie la loi n°88-227 du 11 mars 1988. La Commission pour la transparence financière de la vie politique (CTFVP) et la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) sont chargés du contrôle des finances politiques. Le contrôle est facilité dans la mesure où on demande à chaque parti de confier l'encaisse des fonds à une association de financement ou à un mandataire financier, qui peut être une personne physique. Ceux-ci doivent être agréés par la CNCCFP. Les manquements aux critères de comptabilité sont sanctionnés, parfois pénalement.

Pourquoi y' a t'il un règlement, des lois, concernant les donations aux partis politiques, c'est pour éviter les conflits d'intérêts, et la corruption des élus, du président, qui risque de perdre son impartialité et défendre que les intérêts de ceux qui l'ont financé avec des sommes importantes mais illégales.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité merle
Invités, Posté(e)
Invité merle
Invité merle Invités 0 message
Posté(e)

Aujourd'hui on sait donc

que sarko

l'homme qui promettait une république irréprochable

est aussi pourri, sinon plus, que bien des politicards.....

On a l'impression que plus on se rapproche du sommet de l'état, plus on rencontre des profiteurs et des pourris.....

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 55ans Posté(e)
Genesiis Membre 3 203 messages
Forumeur balbutiant‚ 55ans‚
Posté(e)

« ...parce que détenir le pouvoir corrompt inévitablement le jugement libre de la raison. »

Emmanuel KANT / Vers la paix perpétuelle / Annexe II

« Le pouvoir corrompt. Le pouvoir absolu corrompt absolument. »

Lord Emerich ACTON

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

  • 2 mois après...
Membre, Dazzling blue², 51ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
51ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)

Le juge Courroye a violé la loi sur le secret des sources

Philippe Courroye a bien enfreint la loi sur la protection des sources des journalistes, estime la Cour de cassation, qui a confirmé l'annulation de la procédure ouverte par le procureur de Nanterre dans l'affaire Bettencourt.

"L'atteinte portée au secret des sources des journalistes n'était pas justifiée par l'existence d'un impératif prépondérant d'intérêt public et la mesure n'était pas strictement nécessaire et proportionnée au but légitime poursuivi", a considéré la Cour de cassation, dans un arrêt où elle a rejeté mardi un pourvoi formé par Liliane Bettencourt.

La procédure ouverte par le procureur de Nanterre dans l'affaire Bettencourt est annulée

En septembre 2010, Philippe Courroye avait demandé l'examen des factures détaillées ("fadettes") correspondant aux téléphones de trois journalistes du Monde: Gérard Davet, Jacques Follorou et Raphaëlle Bacqué.

http://www.bfmtv.com/le-juge-courroye-a-viole-la-loi-sur-le-secret-actu20079.html

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Dégonfleur de baudruches, 67ans Posté(e)
Dinosaure marin Membre 24 125 messages
67ans‚ Dégonfleur de baudruches,
Posté(e)

Est-ce que "Courroye de transmission" va être cassé ?:cool:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.


×