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Hommes battus: "Tous les prétextes étaient bons pour me rabaisser"


eklipse

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Membre, Dazzling blue², 52ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
52ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)

Je comprends bien, j'avais pratiquement la (les) meme(s) à la maison biggrin.gif

Maintenant je crois que c'est pas si simple que ça. Difficile de comprendre les problèmes de ses parents, difficile de comprendre vraiment ce qui les lient ou pas, malgré les conflits.

C'est bien rare les couples qui ne haussent jamais le ton.

Bien entendu, mais si c'est tous les jours, ça devient éprouvant pour tout le monde, et entendre crier ses parents continuellement, c'est traumatique pour les enfants, du moins c'est mon ressenti.

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Invité Caminde
Invités, Posté(e)
Invité Caminde
Invité Caminde Invités 0 message
Posté(e)

De toute façon dès qu'on a envie de frapper l'autre il faut se séparer. ...

Juste après que je lui aie foutu une baffe magistrale je l'ai larguée, je lui ai expliqué : je t'ai frappée une fois je te refrapperai car je ne te respecte plus, donc ça s'arrête net, j'ai pas envie de vivre des trucs pareils, aucun intérêt, salut ! eh bien! Tu légitimes ta violence en tant qu'homme , c'est tout. Je sais bien qu'on n'est pas dans un monde de bisounours, mais on peut peut-être imaginer une petite notion de limite, non?

C'était à une époque où je n'avais pas compris qu'un homme peut difficilement vivre avec une femme, nous sommes faits pour vivre avec d'autres hommes, comme les lions, seulement c'est peu consensuel car il y a le spectre de l'homosexualité, alors on fait semblant d'aimer supporter une harpie qui nous emmerde :cool:

Cependant je précise que certaines femmes sont libérées et libérales avec leurs mecs, peu mais ça existe, et bien plus chez les jeunes heureusement, je les préfère très intelligentes et vives, ça me stimule qu'on soit plus intelligent que moi, j'ai un tel ego de toute façon il faut me briser, enfin il faut m'ébahir sinon je m'en vais.

Les mecs qui battent leurs femmes, sans la pression de l'église et la pression sociale, auraient plus d'affinités avec d'autres mecs, ils devraient se toucher entre hommes mais ça "ne se fait pas".

--

essayeur

Donc d'après toi, les hommes entre hommes, et les femmes entre femmes?

Il doit être très difficile, voire impossible, qu'une femme paraisse intelligente à tes yeux, d'après ce que tu dis.

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VIP, Agent trouble, 46ans Posté(e)
Adras VIP 14 642 messages
46ans‚ Agent trouble,
Posté(e)
Mais tu sais pas lire, c'est quand tu rabaisses l'autre continuellement, tu l'insultes, l'infériorise toujours, le dénigre, l'humilie.
Si, je sais lire, et meme ecrire d'ailleurs... lazy.gif

Je trouve quand meme que c'est tres compliqué à définir clairement. Menacer quelqu'un de mort ou de lui casser la gueule, ça me parait une violence verbale caracterisée, rabaisser quelqu'un c'est plutot du harcélement et c'est plutot de l'ordre du conflit dans un couple.

L'exemple personnel que tu relates traduit plutot le mal etre profond de ta mère que de la violence dans le couple il me semble.

Pour en faire un résumé, je dirai que c'est une des premières violence (car la violence physique met un terme à l'argumentation donc...) mais c'est celles qui rabaisse une personne psychologiquement... on n'est pas tous ego devant la violence.. physique ou non.

"Démolir" une personne peut se faire avec des mots, plus facilement qu'avec des coups....

Enfin quoi... il faut vraiment définir ça ?

Il y a aussi des gens qui sont démolis de naissance, à qui la moindre reflexion est insupportable.

Et d'autres qui se comportent sans le moindre respect pour l'autre, ou du moins ressentis comme tels. Essayer de les rabaisser est souvent une reaction instinctive.

Enfin bref, la vie de couple n'est pas un long fleuve tranquille...

Mais la violence verbale n'est pas exclusive à celle de la vie de couple... :hu: et l'ordre du conflit de la vie de couple couvre la violence telles qu'elles soit ? :|

On peut être victime de violence verbale ou de harcèlement si tu veux, la frontière est mince, au travail.... dans la rue, à l'école.... on est pas forcément en couple pour ça.

C'est pas si compliqué que ça ; ce qui rend ce genre de chose compliqué, c'est simplement l'idée qu'on s'en fait, et tu en est une belle preuve.

Il ne faut pas tout le temps chercher midi à quatorze heure la plupart du temps....

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Membre, #GauloisRéfractaire, Posté(e)
LulzLamo Membre 4 233 messages
#GauloisRéfractaire,
Posté(e)

Tu sembles réagir de manière excessive le Lapinkiller,

perso, je pense que lorsqu'il y a violence verbale ou physique systématique dans un couple que ce soit de la part d'un homme ou d'une femme, il faut partir, quitter la personne violente, à moins que la personne violente accepte de se faire soigner, et qu'il soit possible qu'elle guérisse.

Ma mère était très violente avec toute la famille, surtout verbalement (après une opération de la thyroïde mal soignée), elle a vu des psychiatres, pris des traitements, et bien cela ne calmait pas sa violence, et mon père à bout a fini par nous laisser seules, ma soeur et moi avec elle (merci papa).

Il aurait du au contraire demander la garde et prendre une fille au pair pour s'occuper de nous (il travaillait beaucoup, m'enfin lui aussi pas très net sur certains points...j'ai eu deux parents bancals...faute à pas de chance).

Par contre d'envoyer ma mère en prison ne l'aurait pas guéri je pense, elle était malade, et la médecine est encore démunie face à certaines pathologies.

Je te donne tout à fati raisons mais encore aurais-il fallut que ton père obtienne la garde non ?

Et d'autre part certaines femmes non pas besoin d'être malade pour poussé un homme à bout, maintenant je sais pas si la violence psychologique est vraiment reconnu par un tribunal ?

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Invité Caminde
Invités, Posté(e)
Invité Caminde
Invité Caminde Invités 0 message
Posté(e)
Mais tu sais pas lire, c'est quand tu rabaisses l'autre continuellement, tu l'insultes, l'infériorise toujours, le dénigre, l'humilie.
Si, je sais lire, et meme ecrire d'ailleurs... lazy.gif

Je trouve quand meme que c'est tres compliqué à définir clairement. Menacer quelqu'un de mort ou de lui casser la gueule, ça me parait une violence verbale caracterisée, rabaisser quelqu'un c'est plutot du harcélement et c'est plutot de l'ordre du conflit dans un couple.

L'exemple personnel que tu relates traduit plutot le mal etre profond de ta mère que de la violence dans le couple il me semble.

Pour en faire un résumé, je dirai que c'est une des premières violence (car la violence physique met un terme à l'argumentation donc...) mais c'est celles qui rabaisse une personne psychologiquement... on n'est pas tous ego devant la violence.. physique ou non.

"Démolir" une personne peut se faire avec des mots, plus facilement qu'avec des coups....

Enfin quoi... il faut vraiment définir ça ?

Il y a aussi des gens qui sont démolis de naissance, à qui la moindre reflexion est insupportable.

Et d'autres qui se comportent sans le moindre respect pour l'autre, ou du moins ressentis comme tels. Essayer de les rabaisser est souvent une reaction instinctive.

Enfin bref, la vie de couple n'est pas un long fleuve tranquille...

Mais la violence verbale n'est pas exclusive à celle de la vie de couple... :hu: et l'ordre du conflit de la vie de couple couvre la violence telles qu'elles soit ? :|

On peut être victime de violence verbale ou de harcèlement si tu veux, la frontière est mince, au travail.... dans la rue, à l'école.... on est pas forcément en couple pour ça.

C'est pas si compliqué que ça ; ce qui rend ce genre de chose compliqué, c'est simplement l'idée qu'on s'en fait, et tu en est une belle preuve.

Il ne faut pas tout le temps chercher midi à quatorze heure la plupart du temps....

Non, ce n'est peut-être pas si compliqué que ça, effectivement, et c'est l'idée qu'on s'en fait aussi.

Des coups de colère, des coups de gueule, un mot, une phrase, un texte mal dit ou interprété négativement, des mots négatifs, il y en a sans cesse .

Ils circulent, nous les avons appris,entendus, tous, malgré nous.

Mais lire, de bons livres, quoi que ce soit sujet à discussions aussi ("bons"livres), nous apprend aussi à intégrer d'autres mots, d'autres réflexions, d'autres façons de parler, de voir.

Il y a toujours la ressouce de l'humour, de la prise de distance et en groupe, à deux ou à plusieurs, le désir, la volonté de continuer ensemble parce qu'on voit un intérêt, une utilité à ce qu'on fait ensemble.

Et non, il ne faut pas toujours chercher midi à quatorze heures bien souvent...

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Membre, Dazzling blue², 52ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
52ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)

De toute façon dès qu'on a envie de frapper l'autre il faut se séparer.

Ça m'est arrivé de frapper une fille, que je trouvais super chiante avec ses jalousies et ses manipulations, j'ai pas été élevé à être l'hétéro demeuré à qui on bride les libertés, je suis bien trop intelligent pour ça, je la voyais venir de loin bref ...

Juste après que je lui aie foutu une baffe magistrale je l'ai larguée, je lui ai expliqué : je t'ai frappée une fois je te refrapperai car je ne te respecte plus, donc ça s'arrête net, j'ai pas envie de vivre des trucs pareils, aucun intérêt, salut !

C'était à une époque où je n'avais pas compris qu'un homme peut difficilement vivre avec une femme, nous sommes faits pour vivre avec d'autres hommes, comme les lions, seulement c'est peu consensuel car il y a le spectre de l'homosexualité, alors on fait semblant d'aimer supporter une harpie qui nous emmerde :cool:

Cependant je précise que certaines femmes sont libérées et libérales avec leurs mecs, peu mais ça existe, et bien plus chez les jeunes heureusement, je les préfère très intelligentes et vives, ça me stimule qu'on soit plus intelligent que moi, j'ai un tel ego de toute façon il faut me briser, enfin il faut m'ébahir sinon je m'en vais.

Les mecs qui battent leurs femmes, sans la pression de l'église et la pression sociale, auraient plus d'affinités avec d'autres mecs, ils devraient se toucher entre hommes mais ça "ne se fait pas".

--

essayeur

Tu aurais pu juste lui expliquer ta vision des choses avec les mots, utiliser la violence physique c'est faire preuve de faiblesse, et être soi même dans la non maitrise et l'irrespect, et maltraiter l'autre.

Par contre où je suis d'accord avec toi, c'est qu'il y a des hommes qui se sentent mieux en présence d'autres hommes, mais qui freinent leurs désirs, ou envie de former un couple avec un autre homme, car la société tend à normaliser l'hétérosexualité et à dénigrer l'homosexualité.

Certains hommes se mettent en ménage avec une femme, pour rentrer dans le moule, pour faire comme le plus grand nombre, mais en fait trahissent leur réalité.

Et là il y aura souffrance au bout du compte, et incompréhensions mutuelles.

...

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Invité VirGiniie_B
Invités, Posté(e)
Invité VirGiniie_B
Invité VirGiniie_B Invités 0 message
Posté(e)

Les mecs qui battent leurs femmes, sans la pression de l'église et la pression sociale, auraient plus d'affinités avec d'autres mecs, ils devraient se toucher entre hommes mais ça "ne se fait pas".

--

essayeur

Parce que "ça se fait" de tabasser une "harpie parce qu'elle t'emmerde", hein ! smile.gif

Parce que l'homo refoulée, ça autorise à cracher la haine des femmes en levant la main sur elles ?

vomi.gif

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VIP, Agent trouble, 46ans Posté(e)
Adras VIP 14 642 messages
46ans‚ Agent trouble,
Posté(e)

C'est pour ça que j'avais déserté Ffr... pour ses débats qui n'ont pas lieu d'être et les dérapages inutiles :sleep:

Je veux dire...Un débat qui est bonnard à la base.. tourne en deux page en un truc... compréhensible que pour le posteur...

Ca vire en tout points.

Même l'auteur du topic nous parle de sa vie privée :hu: même si c'est tout à son honneur.... c'est le cirque quoi.......

Dommage.

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Membre, Dazzling blue², 52ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
52ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)

Tu sembles réagir de manière excessive le Lapinkiller,

perso, je pense que lorsqu'il y a violence verbale ou physique systématique dans un couple que ce soit de la part d'un homme ou d'une femme, il faut partir, quitter la personne violente, à moins que la personne violente accepte de se faire soigner, et qu'il soit possible qu'elle guérisse.

Ma mère était très violente avec toute la famille, surtout verbalement (après une opération de la thyroïde mal soignée), elle a vu des psychiatres, pris des traitements, et bien cela ne calmait pas sa violence, et mon père à bout a fini par nous laisser seules, ma soeur et moi avec elle (merci papa).

Il aurait du au contraire demander la garde et prendre une fille au pair pour s'occuper de nous (il travaillait beaucoup, m'enfin lui aussi pas très net sur certains points...j'ai eu deux parents bancals...faute à pas de chance).

Par contre d'envoyer ma mère en prison ne l'aurait pas guéri je pense, elle était malade, et la médecine est encore démunie face à certaines pathologies.

Je te donne tout à fati raisons mais encore aurais-il fallut que ton père obtienne la garde non ?

Et d'autre part certaines femmes non pas besoin d'être malade pour poussé un homme à bout, maintenant je sais pas si la violence psychologique est vraiment reconnu par un tribunal ?

Tout à fait, effectivement dénoncer la violence verbale, psychologique, l' harcèlement moral, de son conjoint c'est pas facile à prouver, vu que ce sont des mots, et que des mots même violents ne laissent pas de trace sur le physique, mais par contre peuvent être destructeurs moralement.C'est très insidueux.

Par contre l'entourage, peut témoigner si il a assisté à des scènes violentes, entendus des cris, ou bien si la personne reçoit des textos insultants répétitifs, mails dénigrants, de son partenaire, pour prouver sa bonne foi, et des agressions continuelles dont il est victime, ça peut être des pièces à charges.

C'est pour ça que j'avais déserté Ffr... pour ses débats qui n'ont pas lieu d'être et les dérapages inutiles :sleep:

Je veux dire...Un débat qui est bonnard à la base.. tourne en deux page en un truc... compréhensible que pour le posteur...

Ca vire en tout points.

Même l'auteur du topic nous parle de sa vie privée :hu: même si c'est tout à son honneur.... c'est le cirque quoi.......

Dommage.

Et bien parler de son histoire, c'est du vécu, du réel, bien souvent on fait avancer les choses aussi en témoignant, il faut travailler avec du factuel, je suis d'autant plus amène de parler du sujet, que c'est arrivé dans ma famille.

Et encore je t'assure j'édulcore, à vivre en vrai ça n'a rien à voir avec les mots écrits.

De toute manière j'ai l'habitude que tu me critiques, quoique je fasse...je dise, tu me critiques...bah fais toi plaisir...

Tu n'as pas lu vipère au poing de Bazin, lui aussi parle de sa mère maltraitante, lui aussi c'était inintéressant qu'il parle de son vécu?

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Invité VirGiniie_B
Invités, Posté(e)
Invité VirGiniie_B
Invité VirGiniie_B Invités 0 message
Posté(e)

Un débat qui est bonnard à la base..

La violence conjugale, un sujet "bonnard"... huh7re.gif

On n'a pas tous la même perception du truc alors.

Question de ressenti, ou de vécu tout simplement. shrunkface.gif

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VIP, Agent trouble, 46ans Posté(e)
Adras VIP 14 642 messages
46ans‚ Agent trouble,
Posté(e)

Tu sembles réagir de manière excessive le Lapinkiller,

perso, je pense que lorsqu'il y a violence verbale ou physique systématique dans un couple que ce soit de la part d'un homme ou d'une femme, il faut partir, quitter la personne violente, à moins que la personne violente accepte de se faire soigner, et qu'il soit possible qu'elle guérisse.

Ma mère était très violente avec toute la famille, surtout verbalement (après une opération de la thyroïde mal soignée), elle a vu des psychiatres, pris des traitements, et bien cela ne calmait pas sa violence, et mon père à bout a fini par nous laisser seules, ma soeur et moi avec elle (merci papa).

Il aurait du au contraire demander la garde et prendre une fille au pair pour s'occuper de nous (il travaillait beaucoup, m'enfin lui aussi pas très net sur certains points...j'ai eu deux parents bancals...faute à pas de chance).

Par contre d'envoyer ma mère en prison ne l'aurait pas guéri je pense, elle était malade, et la médecine est encore démunie face à certaines pathologies.

Je te donne tout à fati raisons mais encore aurais-il fallut que ton père obtienne la garde non ?

Et d'autre part certaines femmes non pas besoin d'être malade pour poussé un homme à bout, maintenant je sais pas si la violence psychologique est vraiment reconnu par un tribunal ?

Tout à fait, effectivement dénoncer la violence verbale, psychologique, l' harcèlement moral, de son conjoint c'est pas facile à prouver, vu que ce sont des mots, et que des mots même violents ne laissent pas de trace sur le physique, mais par contre peuvent être destructeurs moralement.C'est très insidueux.

Par contre l'entourage, peut témoigner si il a assisté à des scènes violentes, entendus des cris, ou bien si la personne reçoit des textos insultants répétitifs, mails dénigrants, de son partenaire, pour prouver sa bonne foi, et des agressions continuelles dont il est victime, ça peut être des pièces à charges.

C'est pour ça que j'avais déserté Ffr... pour ses débats qui n'ont pas lieu d'être et les dérapages inutiles :sleep:

Je veux dire...Un débat qui est bonnard à la base.. tourne en deux page en un truc... compréhensible que pour le posteur...

Ca vire en tout points.

Même l'auteur du topic nous parle de sa vie privée :hu: même si c'est tout à son honneur.... c'est le cirque quoi.......

Dommage.

Et bien parler de son histoire, c'est du vécu, du réel, bien souvent on fait avancer les choses aussi en témoignant, il faut travailler avec du factuel, je suis d'autant plus amène de parler du sujet, que ça m'est arrivé dans ma famille.

Et encore je t'assure j'édulcore, à vivre en vrai ça n'a rien à voir avec les mots écrits.

De toute manière j'ai l'habitude que tu me critiques, quoique je fasse...je dise, tu me critiques...bah fais toi plaisir...

Ce n'était pas un critique.. je ne te connais pas et t'avoue n'avoir pas lue ton récit par pudeur.. crois le ou non.

Je pense d'ailleurs ne jamais t'avoir critiqué personnellement . Sans doute quelques écrits...

Tu fais ce que tu veux évidement... j'ai la sale expérience de la confession "internet"..... simplement.

Bref tu peux édulcorer tout ce que tu veux sur la toile... la poudre ne passe pas à travers l'écran. Je parle souvent au second degrés, je pense que tu le sais. (édulcorant.... poudre...).

Bref.

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Membre, Dazzling blue², 52ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
52ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)

Et bien perso j'ai appris pleins de chose sur les forums, chacun retient ce qu'il veut, et lit ce qu'il a envie.

Bien entendu il ne faut pas s'enfermer dans le virtuel non plus, on est bien d'accord.

m'enfin le réel m'a apporté aussi beaucoup de désillusions...bref :sleep:

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Membre, 113ans Posté(e)
cpt Nemo Membre 2 messages
Baby Forumeur‚ 113ans‚
Posté(e)

... sans parler des violences sexuelles. Quoi que, peut etre moins présent dans le cas où c'est l'homme qui est battu.

Les chiffres sont assez étonnant :|

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Membre, Dazzling blue², 52ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
52ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)

Un témoignage trouvé sur le net

« Je n’avais pas une minute de répit ». Fabiano Citroni. Le matin on line, 28 août 2006

[Dans le domaine des violences, nous publions peu de témoignages individuels, et nous privilégions les études générales, qui donnent une idée d’ensemble des problèmes. Nous le faisons ici car le harcèlement sexuel féminin contre les hommes est l’une des violences (avec la violence conjugale féminine, ou le viol féminin) que l’opinion se représente concrètement le moins, et dont elle met en doute la possibilité. Le témoignage qui suit (qui n’a pas été recueilli par nous) devrait l’aider à changer d’avis.]

« Je n’avais pas une minute de répit »

HARCÈLEMENT SEXUEL. Viré pour avoir repoussé les avances de sa patronne, il gagne en justice. Michel* a été harcelé sexuellement pendant près de six mois par sa cheffe. Il n’a jamais cédé et a fini par être licencié. Il raconte son calvaire.

Fabiano Citroni. 28 août 2006

Michel*, 49 ans, marié, père de deux enfants, a appris la nouvelle hier en ouvrant le journal : près de trois ans après l’avoir licencié, son ancien employeur a été condamné pour licenciement abusif. Quant à son ancienne patronne, elle a été reconnue coupable de harcèlement sexuel.

Michel*, vous avez découvert la décision de la Chambre d’appel de la juridiction des Prud’hommes en lisant la Tribune de Genève. Votre première réaction ?

- J’ai ramassé la claque. Je me trouvais dans la salle d’attente de mon psychanalyste. J’ai pleuré pendant trente minutes dans son cabinet. Je ne sais pas si c’était de joie ou de tristesse. Trois ans après les faits, cette histoire m’atteint encore.

- Reprenons. Pendant vingt ans, vous avez travaillé dans une grande entreprise de courrier rapide. En mars 2003, vous êtes approché par une société concurrente, que vous rejoignez en juillet. Que se passe-t-il alors ?

- Je devais occuper le poste de responsable pour la Suisse. La patronne, environ 40 ans, comptait se marier et réduire son temps de travail. Mais sa relation s’est terminée et elle a décidé de garder le job. Je ne pouvais rien faire car elle était la numéro un de la société. Assez rapidement, elle m’a parlé de ses problèmes de couple et de sa vie sexuelle. Je voyais qu’elle était mal dans sa peau et lui ai prêté mon aide à sa demande.

- Quand a-t-elle commencé à vous harceler ?

- Le 13 août 2003, lors d’un apéritif. Nous étions au travail pour fêter le départ d’un employé. Elle m’envoie un SMS : « J’ai à te parler ». Puis elle quitte la pièce. Je la suis, elle me plaque contre le mur. Elle dit : « Embrasse-moi ! », puis elle m’empoigne et me griffe à travers ma chemise. Je lui montre mon alliance. Elle répond : « Aucune importance ! ». Ce jour-là, le monde s’est écroulé pour moi.

- La suite ?

- Elle m’envoyait des SMS jour et nuit. Elle me demandait par exemple si je l’aimais. Plusieurs fois, elle m’a sauté dessus.

- Sur le lieu de travail ?

- Partout. Au sous-sol, dans la voiture lorsque nous allions rendre visite à des clients, au restaurant. Je n’avais pas une minute de répit.

- Comment s’est terminée l’histoire ?

- Fin octobre, un soir, nous étions seuls au bureau. Elle le ferme à clefs et se montre très insistante. Je la repousse sans équivoque. Depuis ce jour, elle ne m’a plus adressé la parole. Fin novembre, j’ai été licencié.

- Qui était au courant de l’histoire ?

- A l’interne, je n’en parlais pas car il est interdit de critiquer un supérieur. J’ai demandé conseil à deux connaissances travaillant dans les ressources humaines et je me suis confié à un ami.

- Après six mois dans cette entreprise, comment avez-vous vécu le licenciement ?

- J’ai fait une dépression grave. Avec ma femme et mes enfants, nous avons vécu un calvaire.

- Comment votre épouse a-t-elle géré la situation ?

- Je ne lui avais rien dit sur le moment car je pensais régler le problème en discutant avec ma patronne. Quand j’ai été licencié, je lui ai tout raconté, mais j’ai perdu sa confiance.

- Aujourd’hui, elle vous croit ?

- Je pense que oui. Nous sommes mariés depuis onze ans, mais je ne sais pas si nous pourrons nous débarrasser du poids de cette souffrance.

- Vous venez de retrouver du travail et vous avez obtenu gain de cause devant la justice. C’est un nouveau départ...

- Je renais à la vie. Mais ce n’est pas une victoire. C’est un pansement sur une plaie ouverte. Quand je revois mon passé, j’ai honte. Pendant deux ans, j’ai été un père et un mari indigne. Je traînais dans la maison comme un zombie. Les souffrances sont terribles. Je ne sais pas du tout ce qui va se passer demain.

* prénom d’emprunt

Le Matin on line

http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article62

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