Affaire Tristane Banon

Oui et bien cela a permis de mettre en lumière, la violence faite aux femmes par certains hommes, qui nient leur réalité, non désir à leur égard, en voulant les forcer à avoir un rapport sexuel avec eux.

La honte doit changer de camp, car lors d'un viol, le faible c'est l'agresseur, car il ne sait canaliser ses pulsions de possession destructrices.

Maintenant je conçois que l'agressivité verbale est aussi une faiblesse...du non respect de l'intégrité psychique de l'autre...

La société actuelle est violente car malade...

inégalitaire...

QUAND DSK "DÎNAIT" AUX CHANDELLES, UN CLUB ÉCHANGISTE

DSK et les rumeurs autour de sa sexualité, c'est une veille histoire.

Si on remonte un peu plus dans le temps, on trouve aussi les récits de ces soirées dans une boite échangiste dans Sexus politicus, le livre de Christophe Deloire et Christophe Dubois paru en août 2006. Un chapitre entier était consacré à DSK. Il y est question de notes de RG sur des éléments de vie privée "indécents" : "Le député de Sarcelles présente le profil type de Sexus politicus. Son art de la séduction, qui confine chez lui à l'obsession, n'a d'égal que son habileté intellectuelle. Ce qui en fait une cible de choix pour ses adversaires. En 2003, tout juste nommé ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy reçoit de curieux "blancs" relevant du sordide et comportant des éléments de vie privée indécents. Il est en fait particulièrement ému par une note qui vise Dominique Strauss-Kahn. (...) «La note sur DSK a rendu Sarko furieux», confie un des proches du président de l'UMP. L'ancien ministre de l'Economie et des finances de Lionel Jospin aurait de quoi se plaindre. Car les RG ne sont pas les seuls à écrire sur lui.

A peu près à la même époque, d'autres policiers s'intéressent à ses allées et venues ; en l'occurrence, des fonctionnaires du "groupe cabarets" de la brigade de répression du proxénétisme. Des informateurs leur susurrent depuis quelque temps que DSK va parfois boire un verre aux chandelles, une boîte libertine située dans le Ier arrondissement de Paris (...) c'est là que le candidat à la présidentielle vient parfois dîner. Un jour, un fonctionnaire du "groupe cabarets" décide d'aller vérifier de ses propres yeux. Ce soir-là, Strauss-Kahn dîne en effet à la table d'à côté. Rentré au bureau, le policier rédigera un rapport, qu'il transmettra à sa hiérarchie de la préfecture de police".

Des rapports existent donc... mais les auteurs de Sexus politicus ont savamment choisi leur mot. DSK ne partouze pas dans la boite échangiste, il "dîne". Par ailleurs, DSK apparaîtrait à d'autres moments dans le livre, sans être cité nommément. Lorsque les auteurs évoquent une scène dans un avion transportant un Premier ministre et un ministre, il s'agit en fait de Jospin et DSK. Ce dernier serait allé aux toilettes en charmante compagnie.

Autre affaire, autre support. Le livre raconte également comment un article du Nouvel Observateur, publié en 2003, aurait suscité la colère de DSK. En juillet 2003, le magazine a publié un encadré dans un dossier consacré à l'échangisme, intitulé "Le ministre est là". D'après Sexus politicus, "le journaliste Hubert Prolongeau y raconte la visite d'un ministre, «un vrai ministre», à une soirée privée libertine. Avant son arrivée, les convives sont impatients. A chaque coup de sonnette, les convives espèrent le voir, fébriles. L'hôte se précipite. Il tarde. Et finalement, le voilà. C'est bien lui, un léger frémissement parcourt les troupes. Deux femmes l'accompagnent, jeunes, grandes et minces. «Il fait plus gros qu'à la télé, tu trouves pas ?» Son sourire est presque électoral. Il entre dans le salon, serre quelques mains, l'habitude sans doute. Le ministre ne s'attarde guère en civilités avant de passer à l'action. Aussitôt, c'est la ruée. Les énergies trop longtemps prisonnières se libèrent, et ces dames se précipitent. La République va-t-elle être en deuil par étouffement ? Mais non. Le malheureux, un temps débordé, maîtrise vite la situation. Sent-il le poids des regards qui convergent vers lui ? Il le cache bien en tout cas. «Tu crois qu'il peut vraiment devenir président ?», murmure une des spectatrices à sa voisine."

Au moment de la publication de l'article en 2003, l'encadré du Nouvel Obs fait jaser. On se demande quel est ce ministre du gouvernement Raffarin. En fait, selon le livre Sexus politicus, "la scène a eu lieu près de deux ans auparavant". Certes, en 2001, DSK n'était plus ministre en raison de sa démission du gouvernement Jospin suite à l'affaire de la MNEF. Mais tout le monde pense à lui et il est "furieux", écrivent les auteurs, "car il sait que son nom est souvent cité en ville, où l'on veut faire croire que c'est de lui qu'il s'agit". Après la publication de cet encadré, DSK aurait eu une conversation musclée avec l'un des patrons du Nouvel Obs.

http://www.arretsurimages.net/contenu.php?id=4025

Oui enfin, faudrait veiller à pas trop tomber dans une attitude moraliste et intrusive non plus. Ce qu'il fait de sa vie privée et dans la mesure où c'est légal ne nous regarde en rien.

C'est quoi cette brigade des moeurs improvisée au juste ? C'est interdit d'aller dans les boites à touz (je précise en passant ne pas y mettre les pieds, ni rien d'autre du reste). Il pourrait bien se masturber dans une peluche d'Hello Kitty (je précise en passant ne rien faire de la sorte) que ça ne nous regarderait pas.

Je trouve ça particulièrement puant de pister tout et n'importe quoi pour achalander ça comme pseudo argument moraliste et, tu m'excuseras, très mal placé. Chacun fait bien ce qu'il veut de son cul (dans la mesure du respect de la loi), es tu si immaculée pour te permettre ce regard inquisiteur et moraliste ?

Autant je veux bien lui piétiner la gueule pour ces histoires d'abus ou de viol, autant je ne trouve pas la brigade de moralité si reluisante à suivre.

QUAND DSK "DÎNAIT" AUX CHANDELLES, UN CLUB ÉCHANGISTE

bla...bla....

et puis?

tu essaies de démonter quoi, au juste?

que dsk serait un violeur parce qu'il fréquente des clubs échangistes qui, au demeurant, n'ont rien d'illégaux?

d'après toi, il est le seul à sortir le soir dans des boîtes un peu olé olé?

et puis, ça regarde qui? c'est sa vie privée, non?

sinon...on pourrait rigoler un moment avec les tofs de mademoiselle Banon en train de se faire tripoter par des journalistes...kess t'en penses? peut-être que c'est une habitude, chez elle....va savoir....ou qu'elle avait bu.....hein?

Oui enfin, faudrait veiller à pas trop tomber dans une attitude moraliste et intrusive non plus. Ce qu'il fait de sa vie privée et dans la mesure où c'est légal ne nous regarde en rien.

C'est quoi cette brigade des moeurs improvisée au juste ? C'est interdit d'aller dans les boites à touz (je précise en passant ne pas y mettre les pieds, ni rien d'autre du reste). Il pourrait bien se masturber dans une peluche d'Hello Kitty (je précise en passant ne rien faire de la sorte) que ça ne nous regarderait pas.

Je trouve ça particulièrement puant de pister tout et n'importe quoi pour achalander ça comme pseudo argument moraliste et, tu m'excuseras, très mal placé. Chacun fait bien ce qu'il veut de son cul (dans la mesure du respect de la loi), es tu si immaculée pour te permettre ce regard inquisiteur et moraliste ?

Autant je veux bien lui piétiner la gueule pour ces histoires d'abus ou de viol, autant je ne trouve pas la brigade de moralité si reluisante à suivre.

:smile2: Pourquoi tant de précision sur ce que tu ne fais pas, aurais tu peur d'être soupçonné? (je plaisante)

Quand au fait que M. DSK ou tout autre personne aille dans des clubs échangistes je ne vois pas en quoi cela nous concerne à partir du moment que cela ce passe entre adultes consentants et assumant cela.

Le problème qu'il y aurait à avoir un président qui pratiquerait cela; c'est que les mœurs et la morale à travers le monde sont assez rigoureux dans l'ensemble (en tout cas dans les paroles tout du moins peut être pas dans les faits) et que le sérieux et le respect lui étant dû ne lui serait peut être pas appliqué.

Et ce Président étant sensé représenter son pays et ses citoyens je comprends aussi que beaucoup de ses citoyens puissent être choqués par son comportement si celui ci va à l'encontre des croyances et de la morale des citoyens dans leur majorité.

Actuellement c'est accepté par un près tout le monde qu'un président trompe sa femme, ça en fait même rire certains.

Pourtant si on y regarde de plus près ça n'est ni plus ni moins que quelqu'un qui ne respecte pas le contrat qu'il à signé et pour lequel il s'est engagé. Peut on dans ce cas là lui faire encore confiance? Ca c'est à chaque électeur de se prononcer.

Merci.

Le problème qu'il y aurait à avoir un président qui pratiquerait cela; c'est que les mœurs et la morale à travers le monde sont assez rigoureux dans l'ensemble (en tout cas dans les paroles tout du moins peut être pas dans les faits) et que le sérieux et le respect lui étant dû ne lui serait peut être pas appliqué.

Merci.

salut, Violette!

à part les culs-bénis, qu'un homme s'offre des extras ne choque plus personne aujourd'hui

...après tout, si sa femme est d'accord et le soutient....

le vrai problème, d'après moi, ce n'est pas la morale mais qu'il s'exposerait à des chantages

d'autre part, je ne vois pas pourquoi on ne ferait pas confiance à un homme politiquement parce qu'il trompe sa femme....ça ne me parait pas pire qu'un homme fidèle qui trompe les électeurs

QUAND DSK "DÎNAIT" AUX CHANDELLES, UN CLUB ÉCHANGISTE

DSK et les rumeurs autour de sa sexualité, c'est une veille histoire.

Si on remonte un peu plus dans le temps, on trouve aussi les récits de ces soirées dans une boite échangiste dans Sexus politicus, le livre de Christophe Deloire et Christophe Dubois paru en août 2006. Un chapitre entier était consacré à DSK. Il y est question de notes de RG sur des éléments de vie privée "indécents" : "Le député de Sarcelles présente le profil type de Sexus politicus. Son art de la séduction, qui confine chez lui à l'obsession, n'a d'égal que son habileté intellectuelle. Ce qui en fait une cible de choix pour ses adversaires. En 2003, tout juste nommé ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy reçoit de curieux "blancs" relevant du sordide et comportant des éléments de vie privée indécents. Il est en fait particulièrement ému par une note qui vise Dominique Strauss-Kahn. (...) «La note sur DSK a rendu Sarko furieux», confie un des proches du président de l'UMP. L'ancien ministre de l'Economie et des finances de Lionel Jospin aurait de quoi se plaindre. Car les RG ne sont pas les seuls à écrire sur lui.

A peu près à la même époque, d'autres policiers s'intéressent à ses allées et venues ; en l'occurrence, des fonctionnaires du "groupe cabarets" de la brigade de répression du proxénétisme. Des informateurs leur susurrent depuis quelque temps que DSK va parfois boire un verre aux chandelles, une boîte libertine située dans le Ier arrondissement de Paris (...) c'est là que le candidat à la présidentielle vient parfois dîner. Un jour, un fonctionnaire du "groupe cabarets" décide d'aller vérifier de ses propres yeux. Ce soir-là, Strauss-Kahn dîne en effet à la table d'à côté. Rentré au bureau, le policier rédigera un rapport, qu'il transmettra à sa hiérarchie de la préfecture de police".

Des rapports existent donc... mais les auteurs de Sexus politicus ont savamment choisi leur mot. DSK ne partouze pas dans la boite échangiste, il "dîne". Par ailleurs, DSK apparaîtrait à d'autres moments dans le livre, sans être cité nommément. Lorsque les auteurs évoquent une scène dans un avion transportant un Premier ministre et un ministre, il s'agit en fait de Jospin et DSK. Ce dernier serait allé aux toilettes en charmante compagnie.

Autre affaire, autre support. Le livre raconte également comment un article du Nouvel Observateur, publié en 2003, aurait suscité la colère de DSK. En juillet 2003, le magazine a publié un encadré dans un dossier consacré à l'échangisme, intitulé "Le ministre est là". D'après Sexus politicus, "le journaliste Hubert Prolongeau y raconte la visite d'un ministre, «un vrai ministre», à une soirée privée libertine. Avant son arrivée, les convives sont impatients. A chaque coup de sonnette, les convives espèrent le voir, fébriles. L'hôte se précipite. Il tarde. Et finalement, le voilà. C'est bien lui, un léger frémissement parcourt les troupes. Deux femmes l'accompagnent, jeunes, grandes et minces. «Il fait plus gros qu'à la télé, tu trouves pas ?» Son sourire est presque électoral. Il entre dans le salon, serre quelques mains, l'habitude sans doute. Le ministre ne s'attarde guère en civilités avant de passer à l'action. Aussitôt, c'est la ruée. Les énergies trop longtemps prisonnières se libèrent, et ces dames se précipitent. La République va-t-elle être en deuil par étouffement ? Mais non. Le malheureux, un temps débordé, maîtrise vite la situation. Sent-il le poids des regards qui convergent vers lui ? Il le cache bien en tout cas. «Tu crois qu'il peut vraiment devenir président ?», murmure une des spectatrices à sa voisine."

Au moment de la publication de l'article en 2003, l'encadré du Nouvel Obs fait jaser. On se demande quel est ce ministre du gouvernement Raffarin. En fait, selon le livre Sexus politicus, "la scène a eu lieu près de deux ans auparavant". Certes, en 2001, DSK n'était plus ministre en raison de sa démission du gouvernement Jospin suite à l'affaire de la MNEF. Mais tout le monde pense à lui et il est "furieux", écrivent les auteurs, "car il sait que son nom est souvent cité en ville, où l'on veut faire croire que c'est de lui qu'il s'agit". Après la publication de cet encadré, DSK aurait eu une conversation musclée avec l'un des patrons du Nouvel Obs.

http://www.arretsuri...enu.php?id=4025

Oui et ?

Je ne peux que souscrire vivement aux propos d'Aaltar, Alcina et Pyrenne.

Aller dans des boîtes échangistes, pratiquer le libertinage n'a jamais conduit au viol. Cela m'agace un peu ces raccourcis fallacieux puisque c'est exactement les mêmes raisonnements simplistes qui conduisent à amalgamer homosexualité et pédophilie.

De plus, il me semble, mais mes connaissances en histoire ne sont pas sures, que le libertinage est une sexualité que l'on pourrait nommer "d'élitiste" dans le sens où, Il me semble bien que, de tous temps, nos élites ont apprécié cette sexualité festive et conviviale :D .

Oui enfin, faudrait veiller à pas trop tomber dans une attitude moraliste et intrusive non plus. Ce qu'il fait de sa vie privée et dans la mesure où c'est légal ne nous regarde en rien.

C'est quoi cette brigade des moeurs improvisée au juste ? C'est interdit d'aller dans les boites à touz (je précise en passant ne pas y mettre les pieds, ni rien d'autre du reste). Il pourrait bien se masturber dans une peluche d'Hello Kitty (je précise en passant ne rien faire de la sorte) que ça ne nous regarderait pas.

Je trouve ça particulièrement puant de pister tout et n'importe quoi pour achalander ça comme pseudo argument moraliste et, tu m'excuseras, très mal placé. Chacun fait bien ce qu'il veut de son cul (dans la mesure du respect de la loi), es tu si immaculée pour te permettre ce regard inquisiteur et moraliste ?

Autant je veux bien lui piétiner la gueule pour ces histoires d'abus ou de viol, autant je ne trouve pas la brigade de moralité si reluisante à suivre.

ce qu'il fait de ses fesses ne regarde personne, en tous les cas pas nous citoyens.

on est en train de fouiller sa vie privée et d'étaler le vrai et le pas vrai mais si on fouillait la vie privée de tous nos dirigeants,(droite - gauche, passés, présents et à venir) nous aurions certainement des surprises également.

Oui et ?

Je ne peux que souscrire vivement aux propos d'Aaltar.

Aller dans des boîtes échangistes, pratiquer le libertinage n'a jamais conduit au viol. Cela m'agace un peu ces raccourcis fallacieux puisque c'est exactement les mêmes raisonnements simplistes qui conduisent à amalgamer homosexualité et pédophilie.

QUAND DSK "DÎNAIT" AUX CHANDELLES, UN CLUB ÉCHANGISTE

bla...bla....

et puis?

tu essaies de démonter quoi, au juste?

que dsk serait un violeur parce qu'il fréquente des clubs échangistes qui, au demeurant, n'ont rien d'illégaux?

d'après toi, il est le seul à sortir le soir dans des boîtes un peu olé olé?

et puis, ça regarde qui? c'est sa vie privée, non?

sinon...on pourrait rigoler un moment avec les tofs de mademoiselle Banon en train de se faire tripoter par des journalistes...kess t'en penses? peut-être que c'est une habitude, chez elle....va savoir....ou qu'elle avait bu.....hein?

Mademoiselle Banon n'aura pas aimer à se faire tripoter ( pour reprendre vos propos on ne peut plus méprisants qui sont une offense pour la gent féminine et envers toutes les femmes qui ont subit ces outrages) par monsieur X qui tentait de la violer.

J'espère qu'elle obtiendra gain de cause. Quant à la vie privée d'une personnalité politique, je pense pour ma part, qu'il n'y a pas droit car il représente l'exemplarité et s'il fait abstraction de sa vie privée et bien nous ne connaissons plus rien de cette personne à laquelle nous confions les affaires de notre pays.. Un proxénète pourrait tout autant prétendre à sa vie privée. Quand c'est pour se faire valoir nos politiciens ne font pas secret de leur vie privée et aiment à faire montre de leur rang, de leur diplômes, et de leur passé glorieux.

QUAND DSK "DÎNAIT" AUX CHANDELLES, UN CLUB ÉCHANGISTE

DSK et les rumeurs autour de sa sexualité, c'est une veille histoire.

Si on remonte un peu plus dans le temps, on trouve aussi les récits de ces soirées dans une boite échangiste dans Sexus politicus, le livre de Christophe Deloire et Christophe Dubois paru en août 2006. Un chapitre entier était consacré à DSK. Il y est question de notes de RG sur des éléments de vie privée "indécents" : "Le député de Sarcelles présente le profil type de Sexus politicus. Son art de la séduction, qui confine chez lui à l'obsession, n'a d'égal que son habileté intellectuelle. Ce qui en fait une cible de choix pour ses adversaires. En 2003, tout juste nommé ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy reçoit de curieux "blancs" relevant du sordide et comportant des éléments de vie privée indécents. Il est en fait particulièrement ému par une note qui vise Dominique Strauss-Kahn. (...) «La note sur DSK a rendu Sarko furieux», confie un des proches du président de l'UMP. L'ancien ministre de l'Economie et des finances de Lionel Jospin aurait de quoi se plaindre. Car les RG ne sont pas les seuls à écrire sur lui.

A peu près à la même époque, d'autres policiers s'intéressent à ses allées et venues ; en l'occurrence, des fonctionnaires du "groupe cabarets" de la brigade de répression du proxénétisme. Des informateurs leur susurrent depuis quelque temps que DSK va parfois boire un verre aux chandelles, une boîte libertine située dans le Ier arrondissement de Paris (...) c'est là que le candidat à la présidentielle vient parfois dîner. Un jour, un fonctionnaire du "groupe cabarets" décide d'aller vérifier de ses propres yeux. Ce soir-là, Strauss-Kahn dîne en effet à la table d'à côté. Rentré au bureau, le policier rédigera un rapport, qu'il transmettra à sa hiérarchie de la préfecture de police".

Des rapports existent donc... mais les auteurs de Sexus politicus ont savamment choisi leur mot. DSK ne partouze pas dans la boite échangiste, il "dîne". Par ailleurs, DSK apparaîtrait à d'autres moments dans le livre, sans être cité nommément. Lorsque les auteurs évoquent une scène dans un avion transportant un Premier ministre et un ministre, il s'agit en fait de Jospin et DSK. Ce dernier serait allé aux toilettes en charmante compagnie.

Autre affaire, autre support. Le livre raconte également comment un article du Nouvel Observateur, publié en 2003, aurait suscité la colère de DSK. En juillet 2003, le magazine a publié un encadré dans un dossier consacré à l'échangisme, intitulé "Le ministre est là". D'après Sexus politicus, "le journaliste Hubert Prolongeau y raconte la visite d'un ministre, «un vrai ministre», à une soirée privée libertine. Avant son arrivée, les convives sont impatients. A chaque coup de sonnette, les convives espèrent le voir, fébriles. L'hôte se précipite. Il tarde. Et finalement, le voilà. C'est bien lui, un léger frémissement parcourt les troupes. Deux femmes l'accompagnent, jeunes, grandes et minces. «Il fait plus gros qu'à la télé, tu trouves pas ?» Son sourire est presque électoral. Il entre dans le salon, serre quelques mains, l'habitude sans doute. Le ministre ne s'attarde guère en civilités avant de passer à l'action. Aussitôt, c'est la ruée. Les énergies trop longtemps prisonnières se libèrent, et ces dames se précipitent. La République va-t-elle être en deuil par étouffement ? Mais non. Le malheureux, un temps débordé, maîtrise vite la situation. Sent-il le poids des regards qui convergent vers lui ? Il le cache bien en tout cas. «Tu crois qu'il peut vraiment devenir président ?», murmure une des spectatrices à sa voisine."

Au moment de la publication de l'article en 2003, l'encadré du Nouvel Obs fait jaser. On se demande quel est ce ministre du gouvernement Raffarin. En fait, selon le livre Sexus politicus, "la scène a eu lieu près de deux ans auparavant". Certes, en 2001, DSK n'était plus ministre en raison de sa démission du gouvernement Jospin suite à l'affaire de la MNEF. Mais tout le monde pense à lui et il est "furieux", écrivent les auteurs, "car il sait que son nom est souvent cité en ville, où l'on veut faire croire que c'est de lui qu'il s'agit". Après la publication de cet encadré, DSK aurait eu une conversation musclée avec l'un des patrons du Nouvel Obs.

http://www.arretsuri...enu.php?id=4025

http://www.fluctuat.net/3668-Sexus-Politicus

heuuuu sexus-politicus est-il vraiment fiable ???

Mademoiselle Banon n'aura pas aimer à se faire tripoter ( pour reprendre vos propos on ne peut plus méprisants qui sont une offense pour la gent féminine et envers toutes les femmes qui ont subit ces outrages) par monsieur X qui tentait de la violer.

J'espère qu'elle obtiendra gain de cause. Quant à la vie privée d'une personnalité politique, je pense pour ma part, qu'il n'y a pas droit car il représente l'exemplarité et s'il fait abstraction de sa vie privée et bien nous ne connaissons plus rien de cette personne à laquelle nous confions les affaires de notre pays.. Un proxénète pourrait tout autant prétendre à sa vie privée. Quand c'est pour se faire valoir nos politiciens ne font pas secret de leur vie privée et aiment à faire montre de leur rang, de leur diplômes, et de leur passé glorieux.

peu m'importe que tu trouves le terme "tripoter" méprisant, il se trouve que c'est le seul qui convienne

cela dit, ma réflexion était délibérément provocatrice

Eklipse se permet d'accuser sans preuves et s'érige en moraliste

tu fais de même en disant que tu espères que Banon aura gain de cause, ce qui présuppose que dsk, d'après toi, est coupable

je revendique le droit d'être aussi lamentable que vous en fouillant dans les poubelles, y'a pas de raison que ce soit réservé aux défenseurs de la vierge effarouchée!

Quant à la vie privée d'une personnalité politique, je pense pour ma part, qu'il n'y a pas droit car il représente l'exemplarité et s'il fait abstraction de sa vie privée et bien nous ne connaissons plus rien de cette personne à laquelle nous confions les affaires de notre pays

Mais vous me faites rire certains, la pauvre Diallo, les enquêteurs ils ont pas fouillé dans sa vie privée????

Quant taux boîtes échangistes, effectivement c'est entre personnes consentantes du moins j'espère pour elles.

En tout ce DSK a une addiction à la sexualité, et bien souvent les excès peuvent être source de maux.

Et dire que les boîtes échangistes, c'est de l'élitisme.....:smile2::smile2:, perso, je trouve crade, j'ai droit d'avoir mon propre opinion quant à cette pratique sexuelle, que certains trouve cela le summum du bon goût ...grand bien leur fasse, ce n'est pas ma vision des choses.

Et dire que parce qu'un homme va dans ce genre d'endroit il est un homme incapable de violer....aucun rapport...un libertin, peut tout à fait agresser une femme, perdre le contrôle.

pas de règle...

Je pense qu'il faut juste veiller à ne pas tomber dans le "tout inquisiteur".

De plus, sa présence ou non dans des boites échangistes n'a rien à voir directement avec l'affaire dont il est question présentement.

Pas besoin d'aller sur les terrains de la morale ou de la considération personnelle, le droit suffit amplement à marquer le limites admissibles.

D'ailleurs certains me reprochent de prendre parti pour mlle Banon, de la croire, et bien c'est mon droit, j'ai le droit de croire en ce que raconte une personne, c'est mon ressenti, et la lecture de toute cette affaire qui me fait penser qu'elle dit vrai.

Imaginons votre enfant vient vous dire, papa, maman, une personne m'a agressé, a tenté de me violer, vous allez lui dire" et la présomption d'innocence!"...vous allez lui dire, nous préférons rester neutre et ne pas prendre parti, saisir la justice, et une fois que le procès aura eu lieu, et que la véracité de ce que tu dis aura été prouvé, là enfin nous pourrons croire en ton agression...super les parents...

Ils peuvent aussi devant l'émotivité de leur enfant et son récit, le croire et ne pas mettre en doute sa parole, et bien mon ressenti face à Mlle Banon, et son récit, font que moi je la crois.

Imaginons votre enfant vient vous dire, papa, maman, une personne m'a agressé, a tenté de me violer, vous allez lui dire et la présomption d'innocence...vous allez lui dire, nous préférons resté neutre ne pas prendre parti, saisir la justice, et une fois que le procès aura eu lieu, et que la véracité de ce que tu dis aura été prouvé, là enfin nous pourront croire en ton agression...super les parents...

Ils peuvent aussi devant l'émotivité de leur enfant et son récit, le croire et ne pas mettre en doute sa parole, et bien mon ressenti face à Mlle Banon, et son récit, font que moi je la crois.

ou éventuellement, lui dire "ferme-la", tu vas me ruiner ma carrière

Imaginons votre enfant vient vous dire, papa, maman, une personne m'a agressé, a tenté de me violer, vous allez lui dire et la présomption d'innocence...vous allez lui dire, nous préférons resté neutre ne pas prendre parti, saisir la justice, et une fois que le procès aura eu lieu, et que la véracité de ce que tu dis aura été prouvé, là enfin nous pourront croire en ton agression...super les parents...

Ils peuvent aussi devant l'émotivité de leur enfant et son récit, le croire et ne pas mettre en doute sa parole, et bien mon ressenti face à Mlle Banon, et son récit, font que moi je la crois.

ou éventuellement, lui dire "ferme-la", tu vas me ruiner ma carrière

oh la vilaine !! :smile2: :smile2:

D'ailleurs certains me reprochent de prendre parti pour mlle Banon, de la croire, et bien c'est mon droit, j'ai le droit de croire en ce que raconte une personne, c'est mon ressenti, et la lecture de toute cette affaire qui me fait penser qu'elle dit vrai.

J'aurai tendance à penser la même chose, même si je m'efforcerai de ne rien affirmer.

Par contre Banon est très opportuniste et c'est en soit toujours dérangeant.

Mademoiselle Banon n'aura pas aimer à se faire tripoter ( pour reprendre vos propos on ne peut plus méprisants qui sont une offense pour la gent féminine et envers toutes les femmes qui ont subit ces outrages) par monsieur X qui tentait de la violer.

J'espère qu'elle obtiendra gain de cause. Quant à la vie privée d'une personnalité politique, je pense pour ma part, qu'il n'y a pas droit car il représente l'exemplarité et s'il fait abstraction de sa vie privée et bien nous ne connaissons plus rien de cette personne à laquelle nous confions les affaires de notre pays.. Un proxénète pourrait tout autant prétendre à sa vie privée. Quand c'est pour se faire valoir nos politiciens ne font pas secret de leur vie privée et aiment à faire montre de leur rang, de leur diplômes, et de leur passé glorieux.

Arrêtez de vous ériger en moraliste !! quelle hypocrisie...

Tous les hommes politiques conjugent pouvoir et sexe... : bcp + d'opportunités et des relations qui peuvent leur assurer l'impunité....car comme on dit : qui se ressemble s'assemble...

ils le font plus ou moins visiblement et plus au moins adroitement, et dans le cas de DSK on est dans le moins plutôt que dans le plus... la nature humaine est ainsi faite et le nier serait très hypocrite !

ça serait hypocrisie aussi de penser que toutes les femmes sont exemptées de désirs de puissance et de richesse, via utilisation du sexe !!! arme fatale à leur disposition...

on en voit tous les jours, de ces "femelles" saintes nitouches qui papillonnent autour des hommes puissants et/ou riches... Hypocrisie que de croire qu'elles fréquentent ces hommes pour leur "beauté" ou leur "belle âme"... ben voyons !

Que certaines de ces femmes y brûlent leurs ailes de temps en temps n'a rien de choquant !!! bien sur qu'une vraie victime de viol doit être défendue et son agresseur condamné... immédiatement lorsqu'il est clairement identifié.. Pas 8 ans après !

mais dans le cas de melle banon, pardonnez moi ! mais elle n'a pas un profil de "victime" elle a plutôt un profil d'opportuniste... Elle baignait dans ce milieu depuis son enfance et savait à quoi s'en tenir sur les hommes politiques puissants et riches tels que DSK, qui de plus, avait depuis des décennies une réputation "d"homme à femmes"... sa mère pouvait/devait l'informer sur les moeurs de nos grands hommes politiques !

!!! bien sur qu'une vraie victime de viol doit être défendue et son agresseur condamné... immédiatement lorsqu'il est clairement identifié.. Pas 8 ans après !

ah oui?

et que fais-tu des enfants trop jeunes pour comprendre ce qui leur ait arrivé?

ou qui ont besoin de temps pour se libérer de tutelles familiales?

tu fais ce que tu condamnes chez les autres, tu tiens un discours de certitudes et tu généralises sans réfléchir

!!! bien sur qu'une vraie victime de viol doit être défendue et son agresseur condamné... immédiatement lorsqu'il est clairement identifié.. Pas 8 ans après !

ah oui?

et que fais-tu des enfants trop jeunes pour comprendre ce qui leur ait arrivé?

ou qui ont besoin de temps pour se libérer de tutelles familiales?

tu fais ce que tu condamnes chez les autres, tu tiens un discours de certitudes et tu généralises sans réfléchir

les enfants sont sous la responsabilité de leurs parents qui doivent les représenter. De plus, s'attaquer à un enfant est monstrueux et un crime passible de la cours d'assise...

Mais là, on ne parle pas d'enfants ?

Melle BANON n'était pas une enfant lorsqu'elle dit avoir été "Presque violée" par DSK, c'était une journaliste adulte et parisienne, bien au fait du milieu qu'elle fréquentait et issue d'une famille politicienne...

Mon discours ne fait état d'aucune certitude et je réfléchis toujours avant de faire quoique ce soit ! je donne mon avis comme ce forum m'en donne le droit mais je ne prétends pas que ce que je dis est "gravé dans le marbre". Seulement les "bons sentiments" et l'hypocrisie m'agacent au plus haut point ! d'ou mes mots d'humeur... Excuse moi !

J'espère bien évidemment qu'il existe certainement des hommes politiques heureux en ménage, qui ne ressentent pas le désir de céder aux tentations de chaque jour...