Le Joueur d'échecs

Cette nouvelle nous raconte comment l'un des narrateur est parvenu à fuir les tortures psychologiques des nazis grâce aux échecs, à moins que ce ne soit le contraire et que cela l'ait mené à la folie.

il paraît que les contraires s'attirent ^^

non je pense que si j'ai les moyens (pas demain), je commanderai ce bouquin à la librairie, j'aime bien toute cette littérature moderne qui s'inspire des Nazis, je parle pas seulement du roman de Chattam dont il y a certes déjà un bout de temps vous me reprochiez de révéler la fin aux forumeurs, il y a aussi l'Echiquier du mal de Dan Simmons, par exemple -enfin bon on dirait donc que Hitler a "enculé" l'imagination de beaucoup de gens, on s'étonne après du nombre de collabos à l'époque ^^ :smile2:

Bonjour chat_ooo, je pense plutôt que vous parlez du roman de Grangé, Miserere .

:smile2:Eh bais madame Chirona votre mémoire c'est quelque chose, moi-même j'avais oublié le titre ; je vous l'avoue aisément, je ne sais pas jouer aux échecs, ouais j'ai bien essayé de mémoriser les règles du jeu à une époque, mais impossible de mettre en pratique pour gagner la moindre partie, même contre des programmes débutant, enfin bon par contre j'ai un bon niveau aux dames ainsi qu'à othello, dit aussi "reversi" où là par contre je ne crains de croiser le fer......

une excellente nouvelle, une de celles que je préfère de Zweig

en laissant un peu de côté le discours psychologique - on est en vacances, hein?:D - je recommande, c'est un bon moment avec un écrivain de génie

j'ai commencé par ce bouquin (le joueur d'échec) avant de lire plusieurs de ses bouquins dans la foulée , il en a écrit un paquet

Le joueur d'échec est très intéressant au niveau psychologique...Et Zweig a écrit pleins d'autres nouvelles dans ce genre-là, avec des personnages torturés.

J'ai lu. Je l'ai finis très vite. C'est en effet entraînant

Je l'ai lu il y a quelques années, et vous me donnez envie de le relire, tellement j'avais adoré =D C'est une nouvelle assez difficile, montrant un personnage tourmenté, et même, disons-le franchement, fou à la fin du récit, mais l'évolution psychologique du personnage se fait de façon tellement continue, progressive, que la fin arrive comme un coup de tonnerre (enfin, selon moi). Un chef-d’œuvre !