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L'ennemi c'est moi-même !


Invité EnergetikFix76

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Invité steph.t
Invités, Posté(e)
Invité steph.t
Invité steph.t Invités 0 message
Posté(e)

incontestablement !!! et de l'admettre, c'est libérateur !!!

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Membre, forumeur alchimiste/Honey, Posté(e)
Nightwish Membre 10 322 messages
forumeur alchimiste/Honey,
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et le début d'un long chemin,

c'est la chance, l'opportunité que nous avons, chacun

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)

@ Quasi-Modo

En somme, il y a la spiritualité et la réalité. Pour toi ce sont deux choses distinctes ou ,disons, qui ne se rejoignent pas vraiment.

Il faut trouver un équilibre entre action et méditation. Les principaux maîtres spirituels étaient toujours entourés de gens qui prenaient soin d'eux, ce qui leur permettait de s'adonner à la méditation et délaisser l'action.

Il n'est pas possible d'agir sur le réel dans un facteur d'efficacité avec une telle conception, puisque comme le disait Nightwish, je ne le considérerai alors jamais que comme mon réel, ma réalité, et ce qui ne m'y conviendrait pas ne dépendrait uniquement que de moi. Soit je change le réel et j'agis, soit je me change moi, et je n'ai pas besoin d'agir.

Pousser la logique jusqu'au bout devrait tous nous mener à une vie comme Diogène de Sinoppe.

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Invité EnergetikFix76
Invités, Posté(e)
Invité EnergetikFix76
Invité EnergetikFix76 Invités 0 message
Posté(e)

@ Quasi Modo

Mais à quoi sert ce que tu appelles le réel si il n'est pas nourrit par une dimension spirituelle ? Et de même, à quoi sert la spiritualité si elle n'est pas applicable au jour le jour, dans les actions du quotidien ?

Je ne crois pas que la spiritualité se limite à quelques quart d'heure de masturbation intellectuelle, bien vite mis au placard car en dehors de toute réalité justement, pour laisser place au monde bien concret et bien rigide.

Je ne dit pas que la méditation, les instants passés le regard dans le vide ou bien noyé dans la contemplation, ne sont pas des instants particuliers, instants dans lesquels l'action n'est que purement intellectuelle. Il est vrai que le corps a aussi besoin de nourriture matérielle et d'un certain confort qui demande de se bouger la couenne.

Mais pourquoi diviser le monde ainsi ? Tout n'est il pas lié d'une certaine manière ? Et quand j'émets l'idée que "l'ennemi c'est moi-même", ce n'est pas juste pour passer du temps à bavarder de nos états d'âmes en mal de réponses existentielles, mais bien pour vivre plus heureux avec notre entourage qui nous aime du plus qu'il le peut et auquel nous ne rendons pas une juste reconnaissance. Pour faire les bons choix dans la vie; ceux qui nous rapprochent de la personne que nous sommes et qui nous permettent de vivre plus zeureux !

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)

Je ne pense pas diviser le réel et le spirituel. Pour moi, "l'ennemi c'est moi-même" est un outil méditatif, comme un entraînement mental à la torture. Là où je te suis c'est que ce réel est nourri par une dimension spirituelle.Je ne sais pas si c'est moi mais j'ai l'impression que dans le fond nous sommes d'accord.

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Membre, 58ans Posté(e)
noureddine2 Membre 4 036 messages
Forumeur activiste‚ 58ans‚
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je pense que l'optimisme est un ami .

je pense que le pessimisme est un ennemi .

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Invité steph.t
Invités, Posté(e)
Invité steph.t
Invité steph.t Invités 0 message
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je pense que la frontière entre les deux est très limite !!!

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Membre, Con de Sysiphe, 49ans Posté(e)
Aaltar Membre 11 523 messages
49ans‚ Con de Sysiphe,
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Je pense que vous ne devriez pas "penser".

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Invité Caminde
Invités, Posté(e)
Invité Caminde
Invité Caminde Invités 0 message
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Je pense qu'on a du mal à s'empêcher de penser :unknw:

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Membre, Posté(e)
Fyreval Membre 53 messages
Baby Forumeur‚
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Penser qu'on est responsable de nos malheurs n'empêche pas d'agir sur le monde réel, je dirais même au contraire.

Si je reporte la faute sur des facteurs externes, sachant qu'il est très difficile de changer autrui ou de changer le monde, je risque de me poser en victime, celle qui n'a pas de chance. Après la révolte je me résigne ou me lamente. J'en connais plein des comme ca

Alors que si je suis convaincu que le problème vient de moi, et dans le sens non pas de ma faute mais de ma façon d'interprêter les évenements, enfin je peux ouvrir les yeux et arriver à comprendre, puis à accepter, je ne souffre plus et j'agirais plus efficacement

Le fait de modifier ma vision modifie du même coup mes sentiments (en positif ou en négatif)

Cela oblige à une vision plus globale de la situation, à chercher comment voir les choses autrement, on ne trouve pas toujours... mais quand ça arrive (parfois avec de l'aide exterieure) c'est une révélation, et un soulagement !

Ne jamais oublier qu'"il y a toujours deux façons de voir les choses", la bonne est parfois en 3ème position. Il faut de l'imagination :D

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)
Penser qu'on est responsable de nos malheurs n'empêche pas d'agir sur le monde réel, je dirais même au contraire

Cette position devrait, dans l'absolu, faire de nous tous des bouddhas, libérés de toute souffrance. Ce que je veux dire c'est que ce n'est pas une philosophie qui puisse se vivre dans tous les aspects de la vie quotidienne. Ce n'est qu'à postériori que je peux, lorsque cela me chante (en fait surtout lorsque j'en souffre), faire mon introspection, mais sur le moment ma souffrance est bien là.

Si je reporte la faute sur des facteurs externes, sachant qu'il est très difficile de changer autrui ou de changer le monde, je risque de me poser en victime, celle qui n'a pas de chance. Après la révolte je me résigne ou me lamente. J'en connais plein des comme ca

Oui enfin avoir un moment où on va moins bien suite à une série d'échecs me paraît logique, que l'on soit Quasi-Modo ou Fyreval. Je ne crois pas que de tels instants de découragement empêchent véritablement d'agir. Au contraire, ils témoignent d'une frustration qui poussera tôt ou tard à l'action.

Alors que si je suis convaincu que le problème vient de moi, et dans le sens non pas de ma faute mais de ma façon d'interprêter les évenements, enfin je peux ouvrir les yeux et arriver à comprendre, puis à accepter, je ne souffre plus et j'agirais plus efficacement

Agir plus efficacement d'accord, mais en vertu de quel désir si ce n'est un manque? Et s'il y a manque, n'est-ce pas que le monde extérieur me limite (faim, soif, etc..)?

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Membre, Posté(e)
Fyreval Membre 53 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Penser qu'on est responsable de nos malheurs n'empêche pas d'agir sur le monde réel, je dirais même au contraire

Cette position devrait, dans l'absolu, faire de nous tous des bouddhas, libérés de toute souffrance. Ce que je veux dire c'est que ce n'est pas une philosophie qui puisse se vivre dans tous les aspects de la vie quotidienne. Ce n'est qu'à postériori que je peux, lorsque cela me chante (en fait surtout lorsque j'en souffre), faire mon introspection, mais sur le moment ma souffrance est bien là.

C’est une prise de conscience qui ouvre l’esprit. Ca n’empêche pas les souffrances mais évite souvent de souffrir pour rien, de voir des trahisons là où il y a là où il n’y en aucunement par exemple. Et c’est un travail à postériori on est d’accord quand l’intensité des émotions s’apaise et nous laisse réfléchir :snif:

Si je reporte la faute sur des facteurs externes, sachant qu'il est très difficile de changer autrui ou de changer le monde, je risque de me poser en victime, celle qui n'a pas de chance. Après la révolte je me résigne ou me lamente. J'en connais plein des comme ca

Oui enfin avoir un moment où on va moins bien suite à une série d'échecs me paraît logique, que l'on soit Quasi-Modo ou Fyreval. Je ne crois pas que de tels instants de découragement empêchent véritablement d'agir. Au contraire, ils témoignent d'une frustration qui poussera tôt ou tard à l'action.

Oui mais quelle action ? Pas forcément la plus adapté à la situation puisqu’on n’essayera pas d’atteindre la bonne cible, nous ;) !

Alors que si je suis convaincu que le problème vient de moi, et dans le sens non pas de ma faute mais de ma façon d'interprêter les évenements, enfin je peux ouvrir les yeux et arriver à comprendre, puis à accepter, je ne souffre plus et j'agirais plus efficacement

Agir plus efficacement d'accord, mais en vertu de quel désir si ce n'est un manque? Et s'il y a manque, n'est-ce pas que le monde extérieur me limite (faim, soif, etc..)?

Si je n’ai pas assez pour me nourrir ce n’est pas que l’on ne me donne pas assez d’argent mais je n’en gagne pas assez. Si j’ai soif ce n’est pas à cause de la chaleur mais parce que je ne me suis pas suffisamment hydratée, si je me fais accuser injustement ce n’est pas qu’ils m’en veulent personnellement mais qu’ils se trompent ou sont jaloux, si on m’agresse c’est pour décharger une souffrance… et mes actes ne seront pas de voler ou de me serrer la ceinture mais de trouver une source de revenu, de me plaindre du temps mais de boire et me doucher, de comprendre la ou les causes de l’accusation ou de la souffrance plutôt que de m’offenser, etc

On ne fais pas abstraction des manques mais on y remédie de façon plus adaptée..

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Membre, 33ans Posté(e)
Niouki Membre 195 messages
Baby Forumeur‚ 33ans‚
Posté(e)

Disons que ce qu'on est est le produit d'influences diverses. Le tempérament qui nous serait intrinsèque, et le caractère, qui s'acquiert.

On ne peut alors pas tout attribuer aux autres, mais pas non plus tout s'attribuer.

Mais une chose reste vraie, c'est que la personne sur laquelle on a le plus d'influence, c'est nous. A mon sens en tout cas. Alors plutôt que de tenter de rejeter les fautes sur les autres, il s'agit d'agir dans le sens qu'on veut donner à sa vie, soi-même. Par notre exemple, les autres peuvent changer également, mais ce n'est qu'une conséquence, secondaire. Ce que je veux dire par là, c'est qu'évidemment, les causes seraient à chercher en soi, mais aussi ailleurs. Mais au fond, la seule chose qu'on puisse faire, c'est bouger avant tout, et puis espérer que les autres bougent dans le sens qu'on croit bon. Vivant dans une communauté, un tout, dont on fait partie en tant qu'individu singulier, on ne peut considérer les évènements comme venant d'une source seulement.

Il arrive que notre environnement fasse obstacle à nos ambitions. Dans ce cas, il ne tient qu'à nous de changer d'ambitions, aussi désagréable puisse être le changement.

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)
Si je n’ai pas assez pour me nourrir ce n’est pas que l’on ne me donne pas assez d’argent mais je n’en gagne pas assez. Si j’ai soif ce n’est pas à cause de la chaleur mais parce que je ne me suis pas suffisamment hydratée, si je me fais accuser injustement ce n’est pas qu’ils m’en veulent personnellement mais qu’ils se trompent ou sont jaloux, si on m’agresse c’est pour décharger une souffrance… et mes actes ne seront pas de voler ou de me serrer la ceinture mais de trouver une source de revenu, de me plaindre du temps mais de boire et me doucher, de comprendre la ou les causes de l’accusation ou de la souffrance plutôt que de m’offenser, etc

On ne fais pas abstraction des manques mais on y remédie de façon plus adaptée.

Je ne comprends pas en quoi mes propos devaient justifier une attitude différente. Mais si je te suis bien, nous aurions tous exactement ce que nous méritons. Pourquoi dans ce cas construire une institution judiciaire? Ne crois-tu pas que les humains peuvent être malveillants et que par conséquent on ne peut réduire systématiquement ces impressions, par exemple de trahison, à une interprétation? Il est clair qu'il arrive que les autres me limitent ou me nuisent volontairement.

Qu'en est-il de l'imprévisible qui peut m'être un obstacle dans la réalisation de mes actions? Aurait-on dû le savoir? Mais nos connaissances ne sont-elles pas toujours partielles? Il est clair qu'il arrive que mon environnement me limite de façon inopinée. Finalement, ce que tu suggères, c'est de considérer que je souffre parce que je n'ai pas su être parfait. Ne faut-il pas un peu de masochisme pour considérer que quoi que je fasse, quoi qu'il m'arrive, j'en suis le seul responsable?

En bref, il y a des fautes, mais il y a aussi des erreurs, de l'inévitable, de l'imprévisible, de l'irréversible, de l'injustice et du nécessaire : tous ces mots, si ils ont un sens, témoignent que je ne suis pas seul responsable de ce qui m'arrive.

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Invité EnergetikFix76
Invités, Posté(e)
Invité EnergetikFix76
Invité EnergetikFix76 Invités 0 message
Posté(e)

@ Quasi Modo

Bien sûr. En suivant ton raisonnement, il est démontré que nous ne sommes en effet pas responsable de tous les évènements de notre vie. En poussant la démonstration, certain pourront aussi convaincre que nous sommes en permanences influencés par notre environnement (par les autres) et qu'au fond nous ne faisons même pas nos choix par nous même.

Bon, il est vrai que l'agression vient de l'extérieur.

Voilà.

Mais le point n'est pas là. Il s'agit en fait d'intervenir sur le processus de notre vie. Ne pas être passif. Faire comme les autres, suivre le troupeau, réagir par réflexes et de manière conditionné est une forme de passivité.

Dire que l'ennemi est au centre de ma personne c'est en réalité éviter de reporter la faute sur l'autre. Et oui, cela semble amusant à dire, mais si c'est toujours la faute à l'autre, c'est la faute à qui en réalité ?

Agir, changer le monde (parce que c'est bien ça que nous faisons, n'est-ce pas?) se fait par l'intermédiaire d'un processus de la pensée qui vise à s'accaparer la responsabilité des choses qui ne vont pas dans notre vie.

En fait, cela revient à dire que nous sommes libres (libres de faire ce que bon nous sembles, aller où nous voudrions aller, choisir la vie que nous désirons) mais que, et bien, libre nous ne le sommes pas ( ou ne l'avons pas été) lorsque nous subissons un évènement contrariant.

Placer l'ennemi en nous c'est changer le monde (notre monde) sans pour autant engager une lutte contre autrui en essayant de le changer lui afin qui corresponde mieux à ce que nous voudrions qu'il soit. Lutte vaine quoi qu'il en soit. Lutte malsaine selon moi.

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Membre, Posté(e)
Fyreval Membre 53 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

@ Quasi Modo

Je ne voulais pas dire qu’on a que ce qu’on mérite, pas du tout. Je voulais juste dire que notre façon d’interpréter fait toute la différence sur notre ressenti et donc nos souffrances.

On peut avoir l’impression d’avoir été trahi alors qu’il n’en est rien et que la personne qui nous a blessé ne l’a pas obligatoirement fait contre nous. S’ouvrir à un fonctionnement différent du notre peut nous permettre de le comprendre, pas forcément de l’accepter, mais comprendre peut atténuer notre souffrance.

L’imprévisible ne peut pas être considéré comme un ennemi, si c’est considéré avec ouverture d’esprit et optimisme, il peut s’avérer bénéfique.

Nos connaissances sont très souvent partielles en effet, on ne peut pas toujours connaitre les véritables intentions d’une personne, et considérer comme malveillantes certaines actions peuvent être une interprétation subjective de notre part. Ce n’est pas du masochisme ou un signe d’imperfection que de se dire « y a-t-il une autre façon de voir les choses ? » « Est-ce qu’il n’y a pas une leçon à tirer de cette expérience ? » « Comment pourrais-je retourner la situation ? » etc. Cela permet de faire le tour de la question, de prendre du recul et de tirer un trait sans ressasser toujours les mêmes idées qui peuvent devenir obsédantes justement par leur caractère injuste (à nos yeux) ou irréversible etc.

Et bien sûr que l’on n’est pas responsable de tout de qui nous arrive mais la vision négative qui s’en dégage, elle, vient bien de notre perception des choses.

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Membre, 44ans Posté(e)
L-Oskar Membre 575 messages
Baby Forumeur‚ 44ans‚
Posté(e)

"L'ennemi c'est moi-même" et pas les autres ou le monde extérieur. Je suis le seul responsable de mes malheurs. Je les interprète comme des malheurs seulement parce que je considère qu'ils viennent de l'extérieur alors qu'en réalité ils proviennent de moi et seulement de moi et de ma manière des les percevoir. L'ennemi c'est moi, moi et toujours moi !

Que pensez vous de cette idée ?

Comment vous fait elle réagir ?

D'accord sur l'idée; la formulation croche par contre. "je les interprète comme des malheurs" suffit. A la limite parce que ma morale, le sens de l'éthique et du juste que l'on m'a inculqué oriente ma pensée de façon à le percevoir comme mauvais.

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

Tu me donnes l'impression d'avoir, pour seule envie, celle de te flageller! Il est impensable de se victimiser ainsi et de croire que tu es seul responsable de tes malheurs! Dans cette société individualiste, égoïste, où plus rien ne compte hormis sa petite personne, comment ne pas penser qu'une part de nos malheurs incombent justement à ceux qui nous entourent? Si nous vivions dans un monde où la fraternité, la solidarité seraient à l'honneur, pourrions-nous laisser crever les gens comme des chiens galeux? Je ne trouve pas logique, non plus, à l'inverse, de rejeter toute faute sur les autres! Chacun, je crois, a sa part de responsabilité, mais, ne faut-il pas montrer un peu plus d'objectivité?

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Invité EnergetikFix76
Invités, Posté(e)
Invité EnergetikFix76
Invité EnergetikFix76 Invités 0 message
Posté(e)

Oui, si tu veux, il s'agit d'une forme de mortification. Mais bien loin de la flagellation car fort utile puisque cette idée permet de transformer les pensées négatives. Pensées négatives qui agissent comme un gouffre d'énergie pour toi. Pour les autres.

Enrayer le cercle vicieux de la haine.

Mais il ne s'agit que d'idée, de théorie. Les idées sont stériles et ne font rien. Seule la pratique produit.

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Membre, Posté(e)
heavns gate Membre 24 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

tout a fait d'accord ,je me dit tous les jours que dieu fait que personne n'est aussi fort pour connaitre exactement comment me faire du tord hormis moi... je suis la personne qui me connait le mieux et ce qui fait de moi l'ennemi numéro un de MOI

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