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selon vous quel est le défaut caractéristique de la société actuelle ?

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camyounette

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Membre, Ad majorem Peterwaradin gloriam, 46ans Posté(e)
peterwaradin Membre 2 643 messages
46ans‚ Ad majorem Peterwaradin gloriam,
Posté(e)
Voilà ,

j'aimerai savoir selon vous quel est le défaut caractéristique de la société actuelle et pourquoi ?

Merci

c'est pour m'aider en même temps pour un devoir de français :cray:

Que la société en est arrivée à promouvoir des "artistes" genre Lady Gaga,signe de la déliquescence artistique.

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Membre, Posté(e)
calbo Membre 3 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

je résumerai le défaut caractéristique de la société actuelle par une erreur grammaticale que beaucoup font par:"moi,je.."c'est devenu culte et personne ne corrige car le "moi" est devenu le premier mot de toute nos phrases.

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Membre, le gollum d' une femme précieuse, Posté(e)
Forumeurdu60 Membre 10 190 messages
le gollum d' une femme précieuse,
Posté(e)

le manque d' amour, c' est sans doute une réponse simple,

voir utopique pour certains (nes), l' amour appelle aux partages,

je préfère le bracelet et l' amitié, l' alliance et le packs, l' anneau et le mariage,

que le crachat et le raçisme, le venin et la violence, la morssure et la mort.......

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Membre, Ad majorem Peterwaradin gloriam, 46ans Posté(e)
peterwaradin Membre 2 643 messages
46ans‚ Ad majorem Peterwaradin gloriam,
Posté(e)

l'amour peut aussi engendrer la jalousie,la haine et l'égoïsme...

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Membre, Ad majorem Peterwaradin gloriam, 46ans Posté(e)
peterwaradin Membre 2 643 messages
46ans‚ Ad majorem Peterwaradin gloriam,
Posté(e)

pas forcément.On peut avoir aimé quelqu'un et le haïr parce qu'il nous a trahit!On peut aimer (ou en tout cas s'en convaincre) tout en se montrant possessif et soupçonneux envers cette personne(coureur de jupons,ou de pantalon...)

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Membre, La main qui mord, 44ans Posté(e)
Ame errante Membre 11 839 messages
44ans‚ La main qui mord,
Posté(e)
pas forcément.On peut avoir aimé quelqu'un et le haïr parce qu'il nous a trahit!

Tout comme continuer à l'aimer tout en le haïssant également... l'Amour et ses paradoxes...

Modifié par Ame errante
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Membre, Posté(e)
Canonas Membre 900 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Le plus gros défaut, comme je l'ai dit mais qui n'a interpellé personne est bien l'égoïsme dans le sens de faire passer son plaisir, confort, bien être personnel¿ avant le respect des autres, des animaux, de l'environnement etc. etc. Notre égoïsme passe par une consommation d'une immoralité innommable, par un manque d'éthique dans ce que nous achetons, c'est bien là le signe du déclin de notre société¿ Il n'y a pas pire que de cautionner en achetant des produits sans éthique, le non respecter les droits de l'homme, l'épuisent les ressources terrestres, la maltraitance animale¿, le reste est bien secondaire à côté. A trop vouloir posséder¿ à se moquer de la manière dont ce que nous consommons est arrivé jusqu'à nous¿, nous allons droit dans le mur. Toutes les autres considérations que l'on met sur le dos des autres ¿ ne font pas le poids quand il est en notre pouvoir, par notre seule façon de consommer, de changer notre société. Autrement dit, le pire défaut c'est de ne pas profiter de notre liberté pour passer de la consommation irresponsable à une consommation responsable et soucieuse de l'éthique¿ c'est bien l'action humaine et réfléchie de chaque individu qui peut changer les choses et non pas l'attente de lois communes qui nous dicteraient la marche à suivre¿

Et pour en revenir à ce que je disais mais qui est un sujet tabou et que les gens ne veulent surtout pas considérer, dans cette consommation irresponsable, l'ennemie N°1 c'est bien notre consommation de viande compte tenu du fait qu'environ 90% de la viande consommée en France est d'origine industrielle. Industrie veut dire : se référer au brillant livre que je vous conseille : Faut-il manger les animaux de Jonathan Safran Foer dont voici un résumé ci-dessous. (Il est également question de notre santé puisque les grippes sont issues de l'élevage industriel et selon les scientifiques une pandémie est à redouter dans peu de temps, ça n'a pas été la grippe H1 N1 mais il y en aura d'autres et des millions de morts sont à craindre¿)

« C'est l'un des best-sellers américains de l'hiver et il repose la grande question du végétarisme. Dans « Faut-il manger les animaux ? », le romancier Jonathan Safran Foer constate les ravages et l'absurdité de l'élevage industriel, de la poule pondeuse à la crevette. Des abattoirs aux fermes idéales, cette enquête dans les bas-fonds provoque à coup sûr l'intoxication animalière¿

« FAUT-IL MANGER LES ANIMAUX ? », DE JONATHAN SAFRAN FOER

Il est vert et compte un peu plus de 300 pages dérangeantes : c'est le livre qui vous fera peut-être arrêter la viande. L'essai polémique du romancier américain Jonathan Safran Foer, best-seller en son pays, s'ouvre sur les considérations gastronomiques d'une grand-mère ukrainienne qui a connu la guerre et la persécution nazie : « C'est ma grand-mère qui m'a appris qu'un seul sachet de thé suffit quel que soit le nombre de convives ». Deux cents pages plus loin, les poulets se font ébouillanter vivants dans une cuve polluée d'excréments : « Du fait que la fiente dont sont maculées la peau et les ailes se retrouve dans les bains bouillants, les oiseaux en ressortent infectés d'agents pathogènes qu'ils ont inhalé ou absorbé à travers leur peau (l'eau chaude des bains provoque l'ouverture des pores). » Du poulet à la carotte de sa grand-mère aux 50 milliards de volailles élevées et tuées chaque année dans le monde ¿ soit environ dix fois plus que le nombre d'êtres humains sur terre-, l'enquêteur raconte l'histoire de notre alimentation. Ou comment la politique de la viande pour tous et à moindre coût a transformé l'élevage en une industrie qui met des verrous au moindre hangar pour que personne ne voie...

FAUT-IL FAIRE SOUFFRIR LES ANIMAUX ?

Voir quoi ? La souffrance animale. Jonathan Safran Foer va mettre le nez là où personne n'a envie d'aller, là où les odeurs, les gestes et les images, même si, « ce ne sont que des animaux », choquent et révoltent. Franck Reese, petit éleveur de volailles attaché aux méthodes traditionnelles a cette phrase étonnante : « je n'ai jamais rencontré personne dans le milieu de l'élevage ¿ qu'il soit directeur, vétérinaire, employé, n'importe quoi- qui doute que les animaux ressentent la douleur. » Percutante aussi, la question posée par C., militante pour la cause animale : « pourquoi le goût, qui est le plus grossier de nos sens, est-il exempté des règles éthiques qui gouvernent nos autres sens ? (¿) comment jugerais-tu un artiste qui mutilerait des animaux dans une galerie sous prétexte que c'est visuellement captivant ? » La vraie question s'impose alors au lecteur : est-ce que le fait que des animaux souffrent pour satisfaire mon appétit me dérange ? Suis-je touché par l'agonie du poussin écrasé, du porc stressé, de la poule enfermée dans une cage de la taille d'une feuille A4, de la dinde élevée « en plein air » qui ne peut vivre que 40 jours, génétiquement modifiée pour ne pas pouvoir voler ni se reproduire ? Loin de métamorphoser le carnivore sceptique en ami et défenseur de la vache et de la dinde, la triste litanie du calvaire des animaux que nous mangeons éclaire sur au moins un point crucial : les êtres vivants créés, élevés, et abattus pour notre consommation ne sont plus vraiment des animaux. Ils ne sortent pas, ne se reproduisent pas et beaucoup doivent leur survie de mutants aux antibiotiques dont on les gave.

MAINTENANT VOUS SAVEZ !

A ce moment le livre opère un virage pour aborder l'homme et sa santé. Un chapitre égrène les virus et pandémies imputables à notre façon d'élever les volailles, un autre alerte sur la pollution des sols et des cours d'eaux, causée par les mares d'excréments de porcs pouvant atteindre plus de 11 000 mètres carrés : difficile de sortir indemne de cette accumulation de preuves accablantes. Devenir végétarien ou décider que la cause animale et écologique ne nous intéresse pas : quelle que soit la réponse choisie, elle ne mettra jamais fin à une industrie qui a déjà converti la Chine et s'installe durablement en Inde. La terrible conclusion de l'essai de Jonathan Safran Foer se cache dans la phrase de Wendell Berry, citée dans le chapitre intitulé « Tranches de paradis/Tas de merde » : « Chaque fois que vous prenez une décision concernant votre alimentation, vous pratiquez l'élevage par procuration. » Le lire c'est savoir, et ça change tout. »

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Membre, Posté(e)
Canonas Membre 900 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Et pour ceux qui s'interrogent sur l'amour, voici ce qu'est l'amour selon Jiddhu Krishnamurti. Tout y est, bonne lecture ! Je vous recommande également ce livre qui est une référence...

"L'amour"

(...) Avez-vous jamais trouvé une certitude dans vos rapports humains ?(¿) Nous désirons cet apaisement lorsque nous aimons et que nous voulons qu'on nous aime en retour ; mais deux personnes peuvent-elles s'aimer lorsque chacune d'elles est à la recherche de sa propre sécurité, selon sa voie particulière ? On ne nous aime pas, parce que nous ne savons pas aimer.

Qu'est-ce que l'amour ? Ce mot est si galvaudé et corrompu, que je n'ose à peine le prononcer (¿) L'amour pourrait bien être l'ultime solution à toutes les difficultés des hommes entre eux, à leurs problèmes, à leur peine, mais comment nous y prendre pour savoir ce que c'est ? En le définissant ? L'Eglise le définit d'une façon, la société d'une autre, et il y a, en outre, toutes sortes de déviations et de perversions : adorer quelqu'un, coucher avec quelqu'un, échanger des émotions, vivre en compagnie, est-ce cela que nous appelons l'amour ? Mais oui, c'est bien cela, et ces émotions sont, malheureusement si personnelles, si sensuelles, si limitées, que les religions se croient tenues de proclamer l'existence d'un amour transcendantal.

En ce qu'elles appellent l'amour humain, elles constatent du plaisir, de la jalousie, un désir de s'affirmer, de posséder, de capter, de dominer, d'intervenir dans la pensée d'autrui, et voyant toute cette complexité, elles affirment qu'existe un autre amour, divin, sublime, infrangible, impollué.

Des hommes saints partout dans le monde soutiennent que regarder une femme est mal ; qu'il est impossible de se rapprocher de Dieu si l'on prend plaisir à des rapports sexuels ; et, ce faisant, ils refoulent leurs désirs qui les dévorent. En niant la sexualité, ils se bouchent les yeux et s'arrachent la langue, car ils nient toute la beauté de la terre. Ils ont affamé leur c¿ur et leur esprit (¿)

Peut-on diviser l'amour en amour sacré et profane, divin et humain, ou est-il indivisible ?(¿) Lorsque l'on dit : « Je t'aime », est-ce que cela exclue l'amour pour d'autres ? L'amour est-il personnel ou impersonnel ? Moral ou immoral ? Est-il réservé à la famille ? Et si l'on aime l'humanité, peut-on aimer une personne ? Est-ce un sentiment ? Une émotion ? Un plaisir ? Un désir ?

Toutes ces questions indiquent, n'est-ce pas, que nous avons des idées au sujet de l'amour, des idées sur ce qu'il devrait être ou ne pas être (¿)

Je me dis : « Commence par te vider de cette confusion ; alors peut-être découvriras-tu ce qu'est l'amour par le truchement de ce qu'il n'est pas. »

L'Etat nous dit d'aller tuer par amour de la patrie. Est-ce cela l'amour ? La religion nous dit de renoncer à notre sexualité par amour pour Dieu. Est-ce cela l'amour ? (¿)

Vous prétendez aimer votre femme (¿) Vous avez besoin de cette femme qui vous a donné son corps, ses émotions, ses encouragements, un certain sens de sécurité et de bien-être. Puis, elle se détourne de vous, par ennui, ou pour partir avec quelqu'un, et tout votre équilibre est détruit. Ce désagrément, vous l'appelez jalousie ; il comporte une souffrance, une inquiétude, de la haine, de la violence. Ce qu'en réalité vous dites à votre femme c'est : « Quand vous m'appartenez je vous aime, dès l'instant que vous ne m'appartenez plus je vous hais. Tant que je peux compter sur vous pour satisfaire mes exigences, sexuelles et autres, je vous aime ; dès que vous cessez de me fournir ce que je demande, vous me déplaisez. » Voici crées en vous deux antagonismes et un sens de séparation qui excluent l'amour. Si, cependant, vous pouvez vivre avec votre femme sans que la pensée crée ces états contradictoires, sans entretenir en vous-mêmes ces perpétuelles querelles, alors peut-être, peut-être, saurez-vous ce qu'est l'amour, et vous serez libre, et elle le sera aussi, car nous sommes esclaves de la personne dont dépendent nos plaisirs. Ainsi lorsqu'on aime, il faut être libre, non seulement de l'autre personne, mais par rapport à soi (...)

Ne savez-vous pas ce que veut dire aimer réellement une personne, sans haine, ni jalousie, ni colère, sans vouloir vous mêler de ce qu'elle fait ou pense, sans condamnation ni comparaison ? (¿) Lorsqu'on aime, compare-t-on ? Lorsqu'on aime de tout son c¿ur, de tout son corps, de son être entier, compare-t-on ? (¿)

Lorsque les parents éduquent leurs enfants en vue de les adapter à la société, ils perpétuent les conflits, les guerres, la brutalité. Est-ce cela que vous appelez protection et amour ? Protéger l'enfance avec amour, c'est se comporter à la façon du jardinier qui soigne ses plantes, les arrose, étudie avec douceur et tendresse leurs besoins, le sol qui leur convient le mieux (¿)

Lorsqu'on perd un être aimé, on verse des larmes. Sont-elles pour vous, ou pour la personne qui vient de mourir ? (¿) Pleurer sur soi, est-ce de l'amour ?

(¿) Vous verrez que la peur n'est pas l'amour, que la jalousie n'est pas l'amour, que la possession et la domination ne sont pas l'amour, que la responsabilité et le devoir ne sont pas l'amour, que se prendre en pitié n'est pas l'amour, que la grande souffrance de ne pas être aimé n'est pas l'amour. L'amour n'est pas plus l'opposé de la haine que l'humilité n'est l'opposé de la vanité. Si donc vous pouvez éliminer toutes choses, non par la force mais en les faisant disparaître à la façon dont la pluie lave les feuilles chargées de la poussière de nombreuses journées, peut-être rencontrerez-vous cette étrange fleur à laquelle, toujours, les hommes aspirent.

Tant que vous n'aurez pas d'amour, non en petite dose mais en grande abondance, tant que vous n'en serez pas remplis, le monde ira vers des désastres. Vous savez cérébralement que l'unité de l'homme est essentielle et que l'amour est la seule voie. Mais qui vous apprendra à aimer ? Est-ce qu'aucune autorité, aucune méthode, aucun système vous diront comment aimer ? Si qui que ce soit vous le dit, ce n'est pas l'amour (¿)

Peut-on entrer en contact avec l'amour sans discipline, ni impositions, ni livres sacrés, ni le secours de guides spirituels, et même sans l'intervention de la pensée ? Le rencontrer en somme, à la façon dont on aperçoit soudain un beau coucher de soleil ? Une chose me semble-t-il est nécessaire à ce sujet : une passion sans motif, une passion non engagée, et qui ne soit pas d'ordre sensuel. Ne pas connaître cette qualité de passion c'est ne pas savoir ce qu'est l'amour, car l'amour ne peut prendre naissance que dans un total abandon de soi. Rencontrer l'amour sans l'avoir cherché est la seule façon de le trouver : le rencontrer sans s'y attendre (¿)

L'amour est toujours neuf, frais, vivant. Il n'a pas d'hier et pas de lendemain. Il est au delà des mêlées qu'engendre la pensée. Seul l'esprit innocent sait ce qu'est l'amour (¿)

Aller au delà de la pensée et du temps, c'est se rendre compte qu'il existe une autre dimension qui s'appelle l'amour. Ne sachant pas comment atteindre cette source extraordinaire, que faites-vous ? Rien, n'est-ce pas ? Absolument rien. Dans ce cas, vous voilà intérieurement complètement silencieux. Comprenez-vous ce que cela veut dire ? Cela veut dire que vous ne cherchez plus, que vous ne désirez plus, que vous ne poursuivez plus rien, bref, qu'il n'y a plus de centre du tout. Alors l'amour est là.

Tiré du livre ¿Se libérer du connu¿ de Jiddhu Krishnamurti

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Invité laeticiasonia
Invités, Posté(e)
Invité laeticiasonia
Invité laeticiasonia Invités 0 message
Posté(e)

Oui, tu as raison et c'est très bien de parler de la maltraitance sur les animaux dont beaucoup de gens ne tienne pas compte.

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Membre, 34ans Posté(e)
Ved Membre 3 967 messages
Baby Forumeur‚ 34ans‚
Posté(e)
Tiré du livre ¿Se libérer du connu¿ de Jiddhu Krishnamurti

Je suis justement en train de le lire :cray:

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Membre, 32ans Posté(e)
camyounette Membre 64 messages
Baby Forumeur‚ 32ans‚
Posté(e)
J'avais envie de dire plusieurs défauts mais le sujet est au singulier.

Sa soif de consommation au sens large: elle n'en a jamais assez. De rien. pas assez de chose, pas assez d'amour, pas assez de bonheur, pâs assez de sous, pas assez de perfection, pas assez de paix, pas assez de profit, pas assez de ci, de ca...

:o Merci !!! :cray:

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Membre, Posté(e)
finkbrau Membre 32 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
:cray: pour moi le plus gros défaut de la société actuel et la nature de l'homme nous voyons tellement de chose horrible ces derniers temps qu'il faut se poser des questions. Qui sommes-nous vraiment ? je regarde rien que pour le permis de conduire, qui peux se permettre de mettre 1000¿ pour dire tiens tu peux conduire, notre société et basé sur le jugement et non sur l'égalité. Tout nos faits et gestes sont jugés en gros nous sommes des mulots qui faisons avancer la roue mais bon c'est juste mon avis
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Membre, 32ans Posté(e)
camyounette Membre 64 messages
Baby Forumeur‚ 32ans‚
Posté(e)

merci à tous pour vos réponses , je prendrais le temps de tous vous lire plus tard sans soucis

encore merci

Camyounette

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Membre, 114ans Posté(e)
Tatiana00001 Membre 1 947 messages
Forumeur survitaminé‚ 114ans‚
Posté(e)
:cray: pour moi le plus gros défaut de la société actuel et la nature de l'homme nous voyons tellement de chose horrible ces derniers temps qu'il faut se poser des questions. Qui sommes-nous vraiment ? je regarde rien que pour le permis de conduire, qui peux se permettre de mettre 1000¿ pour dire tiens tu peux conduire, notre société et basé sur le jugement et non sur l'égalité. Tout nos faits et gestes sont jugés en gros nous sommes des mulots qui faisons avancer la roue mais bon c'est juste mon avis

que veux tu dire par la nature de l'homme?

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Membre, Posté(e)
finkbrau Membre 32 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Tout simplement que la suffisance ne lui suffit pas il faut toujours plus être de doter de l'intelligence n'est peut être pas la meilleure chose qui soit arriver, a vouloir trop on se désuni tous

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Membre, Au coeur de la Cité des Papes, Posté(e)
PUNCHETTE Membre 34 166 messages
Au coeur de la Cité des Papes,
Posté(e)

Problème majeur : les pauvres. je développerais plus tard, suis crevée.

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