un jour = une histoire

Mon égo te remercie

M'enfin, si tout le monde me pense en train de sauter d'un pont, ça va pas l'faire pour moi quoi.

Oui ça c'est évident, suffit de mettre en fin de texte quelque chose de moins ......tuant :D

Bah, quand t'es dans ton texte, tu l'habites presque, tu me mets à la place du mec, et tu te laisses emporter quoi! J'y peux rien moi :D

GG ! continue

Oui, Jedino, continue! tu peux, maintenant, on ne te croiras plus...

Il n'y a pas qu'evasive et cosette qui soient sensible au poids des mots ! j'en fait également parti

Bon, faut que je me lise au moins les 20 dernières pages de ce topic :)

(vu que je n'ai rien a dire pour le moment... :)

Si ce n'est que j'affectionne tout particulièrement cette section du forum ! :)

(mais je vous l'ai déjà dis je crois :p)

Tu peux le répéter autant de fois que tu le veux, personne ne s'en lasse....

Je ne dis pas qu'il ne faut pas le croire. Je dis simplement qu'ici, ce n'était pas le cas.

Mais, j'ai du quelque part mal exprimer ce que j'entendais réellement par là.

Le chemin est long qui mène au désespoir. Mais une fois épuisé, il fait place à la paix intérieure. Comme une feuille tu flottes au gré du vent. Est-ce que le soleil se lève encore, les oiseaux continuent-ils de chanter ? Quelle joie quand tu te réveilles au son de la télé du voisin obèse. La voix stridente de la maman des gamins de l'étage du dessus chatouille ton cerveau comme un prostituée de Moscou. Quel plaisir de vivre. Le chemin est long qui mène au désepoir.

Le chemin est long, tu crois?

Moi, je trouve que, parfois, il est court!

Il suffit de si peu de chose pour tout faire basculer...

Une présence en moins, une souffrance en plus!

Il faut peut-être, relativiser...

Savoir conserver le meilleur et rejeter le pire...

Chercher ailleurs ce qui nous échappe aujourd'hui!

Le bonheur joue à cache-cache!

Il se dissimule trop bien à nos yeux qui ne savent plus voir,

Le sourire d'un ami et sa main tendue...

Ici commence le voyage.

Avant d'en profiter au mieux, il y a tous les préparatifs : les bagages, et leurs poids parfois lourds à porter, les adieux éphémères en quittant ses personnes pour en rencontrer d'autres, et puis l'excitation que prodigue l'inconnu à ne plus pouvoir attendre. C'est un bref moment qui parait si long.

Viens alors l'arrivée à notre destination. Tout y est beau à en oublier parfois les endroits moins plaisants qui entourent chaque paysage les plus magiques. On en profite, on s'amuse, on oublie le temps, et ses effets. Bref, on se sent vivre, revivre, même, on partage, et on reçoit en échange. C'est surement à ça qu'on songe le plus par après, et c'est cet instant du voyage qui marque le plus notre esprit nostalgique.

Car enfin, une fois que le voyage touche à sa fin, il y a le retour à la réalité, notre réalité. On regrette un peu, on se remémore quelques événements marquants. Et on continue à affronter notre quotidien malgré tout, à l'attente d'un second voyage, bien qu'il soit rare que l'on ait droit à une deuxième fois. Mais il est toujours d'en rêver, de s'en triturer les méninges, de se prendre la tête en vain.

Le poids des mots

C'est l'histoire d'un mec dans la nuit profonde, au milieu de la forêt, qui criait sans cesse à tue-tête : Au loup ! Au loup ! Bien sûr, aucun humain ne l'entendait, ni par une oreille, ni par l'autre, puisqu'il était au milieu de la forêt. Par contre, souvent, en réponse, il entendait les hurlements des vrais loups qui se situaient dans l'horizon, pas assez loin de lui mais trop pour que même une personne attentive puisse déterminer si les hurlements précédaient ou suivaient ses appels. Cela se déroulait comme ça chaque soir que le bon dieu faisait et l'orchestre des loups ne cessait pas, et les esprits de la forêt avaient trouvé leur maestro. Indifférent aux cycles lunaires, un rêve, ou plutôt un cauchemar éveillé faisait de lui un somnambule comme ça jusque vers deux ou trois heures du matin, c'est entre ces deux heures que la fatigue l'achevait et qu'il se roulait en boule par terre pour parachever sa nuit en dehors de sa cabane d'ermite.

Et puis un jour un loup quitta l'horizon, un vieux loup solitaire claudiquant qui avait été chef de meute en son temps, mais chez les loups comme vous le savez, on n'élit pas le remplaçant, c'est la loi de la jungle, du plus fort. Attiré d'abord par l'odeur de la nourriture émanant de la cabane de l'ermite, il attendit la nuit pour pénétrer dans le périmètre humain. Puis alors qu'il s'apprêtait à lacérer la porte en bois pour pouvoir faire son larcin, ses oreilles pointues captèrent : "au loup ! au loup !" ; alors apeuré il s'enfuit. Dans la direction opposée, mais le loup ignorait quelle était la configuration des lieux par delà la cabane, alors il emprunta un chemin qui lui en fit faire le tour. Pour se retrouver campé sur ses deux pattes arrières, face à lui l'ermite humain criant "au loup !" sous les hurlements de la meute située en haut de la colline au loin, en surplomb. Vous devinez la suite :)

(Je m'invite sur votre sujet, j'aime bien moi aussi lire et faire les histoires, des fois, histoire de me divertir l'esprit, sans créer d'histoires si vous ne désirez pas de moi bien sûr)

Aucun souci de ce côté là! Lâche-toi

Rassures-toi Morphée, nous ne crierons pas "au loup"...bien au contraire, nous tenons à t'apprivoiser!

Un voyage...

C'est vrai qu'un voyage commence par la difficile tâche de faire ses valises! d'emporter avec soi, l'utile (surtout!) mais aussi l'agréable! ça implique également le doute de savoir s'il faudra prévoir des lainages ou seulement de très légers vêtements!

après, il faut savoir gérer la place! pas facile non plus de tout caser...si bien que parfois, on met n'importe quoi et, arrivés à destination, il nous manque toujours quelque chose! Pour ma part, ce qui m'a souvent manqué le plus, c'est un parapluie! j'en ai rapporté de partout, parce que je ne pense jamais à m'en munir! et c'est bien rare que, même dans des pays réputés pour leur ensoleillement, nous n'essuyions pas quelques gouttes d'eau, voire même des orages!

Mais, quelle importance tout ça? le principal, c'est bien de changer d'air, d'environnement, de faire un petit break dans notre vie! et quel plaisir d'avoir des souvenirs dans sa tête, de belles photos à regarder plus tard et de pouvoir se dire " quel beau voyage c'était!"...

Mince, je crois qu'on a pas compris ce que je sous-entendais dans mon texte!

Pas grave, au pire!

Cosette, oui, c'est frustrant, je trouve, de se dire qu'on a forcément oublié un truc, avec tout ce qu'on se doit d'emmener

les mots doux

Qui vous font rajeunir lorsque vous êtes chez vous, et nous paraissent un peu artificiels (euphémisme) lorsque nous atteignons la destination d'un voyage ; les commerçants itinérants vous proposent même de payer dans votre propre monnaie, comme si vous aviez voyagé jusqu'à eux en ligne droite, d'une seule traite, sans autres préparatifs, mais on se sent alors chez soi, même dans un pays étranger.... avec le recul je me dis que les soldats américains, avec les vietnamiennes, devaient éprouver un peu cela.....

merci, je posterai d'autres histoires, dans ce cas

Voici l'histoire de monsieur Charle, un être antisocial qui voulait devenir médecin. Mais monsieur Charles avait finalement tranché pour devenir vétérinaire... Métier qu'il exerça jusqu'à ses derniers jours, oû il rejoint le Seigneur. Le serpent de madame Vandeput était de mauvais poil ce matin-là. Monsieur Charles attendit un moment de distraction de sa cliente pour lui pincer la queue très fortement et le serpent le mordit naturellement dans une douleur abominable. le vieux vétérinire nongénaire se précipita très vite et transpirant il sortit deux sereingues et deux capsules. Pour emplir la première sereingue avec la première capsule et piquer le serpent, qui se tortilla très violament et creva dans une très lente et longue agonie. Entre-temps, les mains tremblantes il brisa le pénis en verre de la seconde capsule pour y puiser l'anti-venin, il était devenu preque aussi pâle que mademoiselle Joséphine, cette jeune végétarienne que le vieux vétérinaire détaistant jusque dans ses boyaux. Il fit tomber la sereinge en sueurs et ses crampes l'empéchaient de s'abaisser la ramasser. Madame Vandeput encore sous le choc des événements avait perdu tous ses moyens. Voilà que le vieux vétérinaire se mit à se tortiller très violement, il rappelait son serpent à Madame Vndeput qui contemplat la scène impuissante et dans une sorte de crise épileptique d'une violence prodigieuse, il attrapa la cheville dénudée de la dame propriétaire du serpent et la fit basculer brutalement. Voyant qu'elle continuait de respirer il fit un effort surhumain pour attraper la barre en fer avec laquelle il torturait le chien de monieur Delachambre dont il détestait le regard méprisant, et se mit a essayer de frapper sur la tête de madame Vandeput pour l'achever, mais il ne trouvait pas assez de force pour y parvenir, et dans un rebond de souffrance moribonde attroce il mourut soudain. L'ange de la mort se présenta alors au vieux monsieur, il ne savait pas se retenir de grimacer étonné du spécimen....

les mots tendres....

L'ange de la mort se présenta alors au vieux monsieur, il ne savait pas se retenir de grimacer étonné du spécimen....

ce-dernier était un E T (extra-terrestre), d'un genre extraordinaire puisqu'il se trouvait sur la planète Terre sous ses yeux, en dépit que toute animosité en bandoulière il ne savait comment l'étrangler, ni lui rompre les membres, ni l'assommer, ni l'immobiliser dans l'espace face à lui, ni..... lui faire un bisou non plus puisqu'il ne possédait pas de bouche :)

les mots tendres....

L'ange de la mort se présenta alors au vieux monsieur, il ne savait pas se retenir de grimacer étonné du spécimen....

ce-dernier était un E T (extra-terrestre), d'un genre extraordinaire puisqu'il se trouvait sur la planète Terre sous ses yeux, en dépit que toute animosité en bandoulière il ne savait comment l'étrangler, ni lui rompre les membres, ni l'assommer, ni l'immobiliser dans l'espace face à lui, ni..... lui faire un bisou non plus puisqu'il ne possédait pas de bouche :)

Celui-ci utilisa donc en guise de bouche un orifice situé sous son aisselle tout dégoulinant, et profita pour bien serrer fermement la tête chauve et décharnue du viel homme dans le but de le massacrer. Mais il réalisa que c'était déjà chose faite quand il se resaisit...