un jour = une histoire

Je crois que la souffrance n'est pas vraiment un mal. Bien sûr, cela n'est pas une situation agréable, et c'est pour cela qu'on cherche à le faire évoluer pour s'en sortir. Mais, ce n'est pas ça, la souffrance, la vraie. En fait, elle n'est qu'un signal d'alarme, une dernière muraille face au véritable problème qui est tout autre. Ce qu'on cherche à éviter ainsi est un état bien pire, bien plus profond. C'est un démon qui pénètre notre âme et la corromps à nous en transformer complètement. Dès lors, on ne souffre plus, on trouve ça presque normal. Notre fatigue, notre lassitude, notre ennui, notre tristesse, toutes ces choses si anxiogènes auparavant ne deviennent qu'une normalité. Oui, le pire qui puisse vous arriver dans votre existence, ce n'est pas d'éprouver une douleur, mais de ne plus la ressentir. Là, effectivement, vous serez dans une merde incommensurable.

Il était une fois une fée née de la larme d'un guerrier fatigué de faire couler le sang,

Elle essuya le sang, fit disparaitre les larmes et les cauchemards et pris soin du guerrier,

Elle l'aimait si fort qu'elle lui offrit sa magie,

Le guerrier retrouva sa force et son courage,

Jour après jour, nuit après nuit,

Il oublia peu à peu la petite fée,

Qui disparue à jamais......

Demain c'est Noël....

Et je pense à tous ces enfants qui vont mettre leurs chaussons

Devant leur sapin avec un peu d'appréhension!

Il y a ceux qui ont été sages!

Et ceux qui, parfois de rage,

Ont piqué des colères

En jetant tout par terre!

Mais il y a ceux aussi

Qui n'ont pas ces soucis!

Ceux qui n'ont pas de sapin,

Et surtout pas de pain...

Surtout si vous avez

Quelque chose à donner...

C'est le jour le plus beau

Pour offrir un cadeau...

C'est un jour particulier

faut surtout pas en oublier

son ptit soulier,

pensez à le déposer

au pied de la cheminée..

Tendre sera le présent,

prenez le temps d'y mettre

un petit ruban,

heureux en sera l'acquéreur,

quand délicatement il viendra

l'ôter avec empressement ..

JOYEUX NOEL ....

Joyeux Noël.

Ces mots suffisent à eux-mêmes.

Et ce soir à Vous je vais penser

Particulièrement amis épistoliers!

Tous ces jours à se retrouver mes amis

Me donnent l'envie

De vous remercier pour vos cadeaux :

Vos écrits les plus beaux!

Nous vivons des moments

Qui sont de vrais présents!!

Et je ne souhaite qu'une chose,

Lire encore votre prose...

Bon Noël, Bonne fête,

Et les baisers de Cosette...

Nous penserons aussi à toi, Cosette,

Bien que ce soir, ce sera la fête,

Avec ses lumières et ses paillettes,

Ses rires et ses belles recettes,

Et puis, ces larmes isolées

D'un bonheur non partagé.

Mais, pour une fois, soyons rassuré :

Il ne faut pas se gâcher ce genre de journées.

Dureté

L'habit blanc des parois

Ne cache point la peine

De ces montagnes où règnent

Le silence et la peur....

Et ces parures d'hiver

Dissimulent à peine

Le froid de leurs cascades

La plaie de leurs à-pics.

Ainsi vont sur la mer

Planer les goélands

Qui reviennent sur terre

Se protéger du vent

La chemise de soie

Où nos yeux nous entrainent

Peut cacher cette teigne

Aux plis de sa tiédeur....

Et survient la misère

D'une clarté bien vaine

Attirant comme jade

Les espoirs utopiques

Ainsi vont sur la terre

Nicher les cormorans

Qui retournent en mer

Pour demeurer vivants.

A.V.

(Merci à vous pour tout ce que vous m'avez appris...

Merci à vous pour avoir essayé.)

Je ne sais pas pourquoi, j'ai d'abord pensé à l'albatros de Baudelaire.

Sinon, j'aime beaucoup

Exactement la même impression que j'ai eue, Jedino!

Et, c'est un de mes poèmes favoris...je vous le remets ici...pour savourer!

Ce poème est extrait de "Spleen et idéal", la deuxième partie du recueil "Les Fleurs du mal".

Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage

Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,

Qui suivent, indolents compagnons de voyage,

Le navire glissant sur les gouffres amers.

A peine les ont-ils déposés sur les planches,

Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,

Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches

Comme des avirons traîner à côté d'eux.

Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule!

Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid!

L'un agace son bec avec un brûle-gueule,

L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait!

Le Poète est semblable au prince des nuées

Qui hante la tempête et se rit de l'archer;

Exilé sur le sol au milieu des huées,

Ses ailes de géant l'empêchent de marcher.

A trop me laisser aller, je risque d'en perdre l'habitude. Certes, cela ne se fait pas du jour au lendemain, fort heureusement. Mais, tout de même. Je trouverais dommage de sacrifier l'aisance partielle que j'ai acquise dans la formation et l'enchaînement de mes phrases. Je pourrais me dire que c'est sans véritable importance, et pourtant, trouver ces mots avec facilité, c'est un atout considérable lors d'un exercice écrit, qu'il soit scolaire ou non. Et puis, abandonner lâchement maintenant serait délaisser les trois dernières années d'efforts à tenter d'y parvenir. Bien sûr, je n'ai pas atteint un maximum. Comment pourrais-je le prétendre? Ce serait une vantardise inutile et infondée. Aucun style, aussi caractéristique soit-il, ne se ressemble. Je ne suis pas même sûr que chacun ait une réelle habitude particulière d'un texte à l'autre. Parce que finalement, ils sont tous plus ou moins uniques, car toujours écrit à un moment autre, où nos ressentis sont différents, et nos idées peut-être changées. En tout cas, personnellement, j'éprouve une énorme difficulté à poursuivre ce que j'ai inachevé hier. Evidemment, je n'ai pas pu m'empêcher de réfléchir au pourquoi. Apparemment, je réfléchis trop. Il ne faut pas y faire défaut, à cette rumeur-là. L'explication est, somme toute, plutôt candide : ce n'est que la simple impression d'être un peu quelqu'un d'autre l'instant à venir. Si on y songe rapidement, on pourrait le justifier aisément, sans pouvoir vraimen le prouver : je suis moi-même car je n'ai pas changé du tout au tout par rapport à la minute qui vient de passer, mais je suis, dans un sens, une autre personne également car j'aurais une émotion, une parole, ou un événement, qui viendra se greffer à ce que j'ai déjà stocké en moi pour constituer ma personnalité.

Autrement dit, et c'est histoire de résumer un peu mon bric à brac de délire, pour moi, nous ne sommes rien de plus qu'un ensemble complexe d'émotions, de moments heureux et malheureux, bref, de petits détails parfois insignifiants, et ce sont ces constituants qui font, dans notre langage, le constitué qu'est l'être, unique de part son vécu.

Vous remarquerez, je l'espère en tout cas, la progression de ma pensée. Au départ, je n'avais aucunement le désir de trouver une de mes croyances vis-à-vis de l'être humain. Seulement, le texte, c'est finalement une courte vie : on avance et on progresse, sans toujours savoir vers où nous allons, et on y déterre ce qu'il y a à déterrer, tout en ignorant s'il est bon, ou non, de le faire.

C'est vrai, de quelle ambiguïté

Sommes nous donc faits!

Il suffit de si peu

Pour que nous soyons heureux!

Et de si peu également

Pour opérer un changement!

Un sourire, un mot doux!

Et nos rêves deviennent fous!

Un regard de travers

Quelques mots pervers,

Et nous sommes amers!

Dur parfois de se relever

Et faire face à la réalité!

L'être humain se déplace avec peine

A travers les embûches qui traînent!

Il suffirait pourtant d'un rien

Pour que tout aille bien...

Noël est passé

Voici venir Janvier...

Une nouvelle année!

Que va-t-elle apporter?

Les mêmes lots

De mauvais et de beau!

Il faudra faire le tri

Et puis se dire aussi,

Que la vie est faite pour nous

D'un mélange de tout!

L'espoir d'en profiter

Nous permettra d'aller,

Les cheveux dans le vent,

En quête d'un moment

De plénitude infinie

Pour savourer la VIE...

Je n'ose me projeter à Février...

La fève et le lévrier...

N'est qu'une métaphore !

Dont nous goûterons l'amère vérité !

Allons soyons forts....

En ce temple de bonnes pensées..

Déposons ce qui n'est qu'à nous !

Douceur joie et tendresse peu pressées...

Peurs et colères empressées... à genoux !

Tressons une couronne de vers...

Et non des lauriers éphémères....

Comme lyres et muses de la poésie...

Nous l'ont enseigné !

Trinquons à la façon des Dieux !

Au destin des gens heureux !

En attendant les jours heureux.....

Je passe ici déposer un coucou à mes amis de mots. Le net a raison de moi, je me mets en pose en peinture, juste un moment, le temps d'évacuer le trop plein d'émotions... Les congés ont été pris et les bienvenus pour cela , le temps de se ressourcer... Bisous à tous :)

Je pense, pour ma part, que je vous dois une explication, parce que j'ai une sainte horreur des sous-entendus, dont certaines personnes sont tellement friandes! La modération m'accuse d'avoir deux comptes! Une méprise due au fait que quelqu'un de ma famille s'est inscrit, depuis mon PC, mais avec son adresse IP, je précise!!! de ce fait, je ne sais pas si je vais rester ou vous quitter....je vais voir la suite à donner! En tout cas, je déplore vivement l'atmosphère déplorable qui pollue ce forum, alors qu'il y a des personnes formidables qui savent cohabiter!

A ceux que j'ai croisés ici, je souhaite une bonne continuation, au cas où...et également que 2012 soit la plus belle de leur Vie...

Je ne m'y connais pas en truc IP , est -ce bien le sien Cosette ? Sinon, pour bafouer tous mal entendus, demande à l'autre membre de se réinscrire depuis chez lui parce que cela crée des conflits non ? Enfin, je dis ça , je dis rien hein, c'était juste une idée, parce que je trouve bête de se méprendre comme ça et partir ...

cosette : fatoche tu passes par un proxy ; quatre vingt dix neuf pour cent du forum procède ainsi, 0, 9 pour cent sont des MEMBRES + (maudits membres +), et 0,1 % c'est euh.... moi donc.....

évasive tu te partages entre deux forums que je parcours de temps en temps, du regard hein s'agissant de l'autre auquel je songe, et ma foi je trouve cela sain, de pas s'enfermer dans un unique microcosme....

bises...

Cosette, c'est ennuyeux, en effet. J'avais connu des problèmes similaires sur des jeux en ligne avec mes frères. Mais, il suffit de prouver, normalement, qu'il y a bien existence de deux personnes distinctes. J'ignore si c'est possible ici, ni comment. Cela fait un moment, à vrai dire.

Mais, au plaisir de te revoir ici, oui

Ne laisse pas des sous entendus venir

souiller ton intégrité,

n'oublies pas que tes mots,

tes phrases, tes poèmes

nous bercent inlassablement

et animent nos esprits.

Ils nous apaisent et nous motivent

pour que nous, petits écrivains

du dimanche soyons inspirés

et que nous fassions don

de quelques mots parfois

mal employés.

Prends du recul

mais n'oublies pas

qu'ici c'est toi qui règne

et que nous sans notre

reine, nous deviendrons

de la mauvaise graine ...

Evasive repose toi .. l'éloignement permet de se retrouver ..

Cosette .. reste car tu n'as pas de compte à leur rendre .. qu'ils pensent

ce qu'ils veulent tant que tu sais que tu es intègre ..