Poésie libre...

Cesses, six, jolie, ment, faut , remue-les, j'aime, beau, cou, mer, six, Acaciatha.

hihi ! moi je me permet juste de copier collé le poème de mon profil que j'avais fait je ne sais plus quand ! :)

Les 4 saisons de l'amour

La rupture,

C'est comme l'hiver...

Avec ce froid dans nos cœur,

Cœur brisé par la douleur

D'avoir perdu un être chers...

Être seul et célibataire,

c'est comme l'automne...

C'est un paysage triste mais avec de superbe lumière.

Ou notre cœur qui chaque instant déconne

Cherche une source de bonheur...

Le début d'une histoire,

C'est comme le printemps...

L’éclosion de ses sentiments

Pour une personne rencontrée

Lors d'une soirée...

L'amour fou,

C'est comme l'été...

Une journée belle et ensoleillée...

Il ya une passion flamboyante emplie de bonheur...

Une caresse, un sourire puis un baisé,

Qui nous réchauffe le cœur et repousse toute nos peurs.

Et moi qui croyais

Dans ma naïveté

Que la haine existait

Seulement dans l'exception!

Je la vois, autour de moi

Qui enfle et qui gonfle,

Ballon en baudruche

Qui éclate enfin

Dans un rire satanique

Résonnant au loin

Jusque dans l'Atlantique...

Eclaboussant, Cosette. Merci !

Eclaboussant, Cosette. Merci !

C'est laid et vulgaire tes photos montages.

En fait, c'est triste que tu en arrives là pour te "créer" une personnalité numérique.

Sois toi même

Rien ne vaut la simplicité.

Et moi qui croyais

Dans ma naïveté

Que la haine existait

Seulement dans l'exception!

Je la vois, autour de moi

Qui enfle et qui gonfle,

Ballon en baudruche

Qui éclate enfin

Dans un rire satanique

Résonnant au loin

Jusque dans l'Atlantique...

Haine

Réponse malsaine

A nos infinies tortures.

Slkpax

Inspiré de l'excellent poème "Le Revenant", issu des "Fleurs du Mal" de Charles Baudelaire, j'ai quelque peu modifié les mots pour écrire un poème en l'honneur de mon cyber-détracteur islamophile isréalophobe Harry Tuttle.

LE MÉCRÉANT

Comme les kouffarà l’œil fauve,

À la mosquée, lieu de beauf

Je t’enlèverai, dans la nuit

Au fanatisme qui t’avilit ;

Et je t’affranchirai,ma brune,

De ta soumission importune

Et des bourreaux intolérants

Très loin te tiendrai fermement.

Quand l’imam, derage livide,

Verra l’acte jugé perfide,

L’infidèle et son bon roi,

Le mécréant et samaîtresse,

Sans relâche, c’est une promesse,

Il traquera pour Dieu et sa foi.

"Les Pleurs de l'islam", de Harry-Charles Bubbleaire

La grande fresque déborde de la caverne et rejoint les traces de mains sur la paroi, au dehors, sur le flanc qui est chatouillé par les raillons du soleil qui s'apprête à se coucher dans son giron. Toute nue, je me promènes, dans les méandres du ruisseau qui fuit, excité, la cavité du fond de ma cachète, vers ces rochers en forme d'énormes verges. Le vent transforme comme par envoûtement mes larmes en une sorte d'euphorie, qui me donne l'impression de flotter dans les bras du temps... Devant moi à l'horizon, je vois une falaise qui semble vouloir me rejoindre instamment. Elle me sourit béatement, et moi je la contemples d'un regard amoureux.

Eclaboussant, Cosette. Merci !

C'est laid et vulgaire tes photos montages.

En fait, c'est triste que tu en arrives là pour te "créer" une personnalité numérique.

Sois toi même

Rien ne vaut la simplicité.

Et moi qui croyais

Dans ma naïveté

Que la haine existait

Seulement dans l'exception!

Je la vois, autour de moi

Qui enfle et qui gonfle,

Ballon en baudruche

Qui éclate enfin

Dans un rire satanique

Résonnant au loin

Jusque dans l'Atlantique...

Haine

Réponse malsaine

A nos infinies tortures.

Slkpax

Je n'ai pas besoin de ton avis sur ma personnalité et sur ce que je désires faire. Et encore moins d'un oeil qui juge, ni de toi ni de mon mec qui commence aussi à me gonfler à passer après moi sur la toile. Je suis qui je suis, et je n'ai rien à simuler. Les images que j'ai utilisée dans mes messages ne sont pas de mon insu, et je ne fais que les choisir sur le web, se elles ne te plaisent pas c'est le même tarif alors lâche moi à présent.

Inspiré de l'excellent poème "Le Revenant", issu des "Fleurs du Mal" de Charles Baudelaire, j'ai quelque peu modifié les mots pour écrire un poème en l'honneur de mon cyber-détracteur islamophile isréalophobe Harry Tuttle.

LE MÉCRÉANT

Comme les kouffarà l’œil fauve,

À la mosquée, lieu de beauf

Je t’enlèverai, dans la nuit

Au fanatisme qui t’avilit ;

Même dans les sujets sur la poésie tu trouve le moyen de tout ramener à l'Islam. :mef2: :mef2: :mef2:

Même dans les sujets sur la poésie tu trouve le moyen de tout ramener à l'Islam.

J'étais surpris de te voir participer dans ce style de sujet... Mais je comprends mieux maintenant :D

Ce soir, pas d'inspiration,

Pas non plus de motivation.

Alors, je laisse à l'abandon

Ce désir, cette dérision.

Quand j'entends le son de ta voix

C'est comme un prélude qui berce l’ouïe

Des notes entremêlées dansantes sur une échelle

Ta beauté est semblable à un panorama sommital

Sous un ciel écarlate, au couleur du crépuscule

De pas de marches majestueux tu t'approches de moi

Je me dis qu'elle est belle et curieusement accablée

Quelle -est donc l'arcane de ma déesse ?

Douceur de miel mâtinée de rosserie

Entre les deux juste un signe de ponctuation

Passage précipité du premier au second

Ton cœur est meurtri par les souffrances de jadis

Ce qui n'a pas empêché que tu éclore et t'épanouisses

Des yeux mélancolique j'en ai déjà vu

Mais semblables aux tiens j’admets n'en avoir jamais aperçu

Ta tendreté est si palpable

Mais n'en fait point de toi vulnérable

Muse de poète ou œuvre de bohème

Telle est l'alternative que marque celle que j'aime.