Poésie libre...

Spéciale dédicace en ce jour particulier pour .. il se reconnaîtra

Just for you honey :

Mon c¿ur est un instrument

Que tes mots font chanter

J'en perds le la

Je ne touche plus le sol

Soupir

Silence

Corde après corde

Tu me fais vibrer

La mélodie de ton âme

Note après note

Tu l'as écrite pour moi

J'en apprivoise la partition

J'en souligne les variations

Toutes les nuances

Accord parfait

Harmoniques

Qui tintent, cristallines

J'entre en résonance

Ecoute

Mon c¿ur

Qui bat

A cent à l'heure.

Bonjour. Je ne sais pas si ce sujet est ouvert à tous, je me permets donc d'y mettre une note, si cela devait déranger, je n'hésiterai pas à le supprimer

La pensée du jour.

Douce et triste jouvencelle

Qui te crois libre, comme l'hirondelle

Sache que ton passé peu glorieux

Ne te laissera voler vers les cieux.

Non, tu es la bienvenue

Et très jolie

Ce pessimisme n'est malheureusement pas le fruit d'une invention, mais bien un réel état d'esprit durant les jours les moins heureux.

Mais merci du compliment et de l'attention de ton message

Hi !

Ce soir, j'hésite entre poster un poème ou me suicider au Nutella..

Allez, va pour le poème.

Je respire l'odeur de ton corps si souvent désiré

Tu m'embrasses Dans mon âme, un feu ardent s'est allumé

Sur mon visage, une douce lumière

Celle que m'offre tes yeux d'or clair

J'aime voir ton être frémir avec ton âme

Quand contre le mien ton corps s'enflamme

Et boire ton souffle comme on prend une vie

Nos corps et nos c¿urs enfin réunis

Puis, quand le jour qui revient apportant le soleil

Te laissera endormi et tout à ton bonheur

J'effleurerai ta bouche aux attraits sans pareils

Car vers toi mes désirs partent sans peur

Gentil

Faut-il à ce point chanter la vie

Pour pouvoir se sentir ainsi vivre?

Ne pouvons-nous pas jouir de la douleur

Pour se satisfaire de nos jours?

La réponse est non.

Un non sec, affirmatif, convaincant.

Car à trop voir le noir on oublie le blanc.

Mais la lumière n'éblouit-elle pas

Ceux qui la regardent d'un peu trop prêt?

Je ne sais pas.

Merci Jedino

Bonjour et pour la pensée du jour,

Timide aux pensées romanesques,

Tu animes ma plume et ses fresques,

Arpentant mon âme en finesse,

D'un chant d'une ineffable tendresse.

Mon péché fut de te doter,

De cette pureté trop éthérée.

Met délicieux de mon orgueil

Je n'en ferai point ton linceul

Dépose donc aux creux de mes mains,

Ce triste et lancinant refrain,

Fuis cette éternelle ritournelle,

D'une vie autrefois si belle.

Oublie toutes ces douces sensations,

Menées par d'infirmes passions,

Chagrins abreuvés par le temps,

Je les ferai taire lentement.

Caressantes, mes mains panseront,

Les blessures qu'ils t'infligeront,

Rendant le supplice plus doux,

En les brûlant de mon courroux.

Fais revivre ce feu dévorant,

Apaise à jamais ces tourments,

Quitte à déplaire à Lucifer,

Joues toi à nouveau de l'enfer.

Discrète fleur dépourvue d'épines,

Ton jardin j'en ferai mon hymne,

Créerai une fontaine de mes pleurs,

Promesse d'une vie sans douleur.

j'aime bien l'acrostiche final qui donne "dtc" (dans ton cul en langage geek) ; voulu ou pas ?

super tout vos poèmes .... j'espère que mon inspiration poétique va me revenir .. là elle me fait défaut

un réchauffé mais c'est la première fois que je le poste sur ffr :

Dans l'entrelacs de tes sourcils

Mille moineaux ont fait leur nid

Cent oeufs ont éclos délicatement

De tes pupilles félines et sans âge

Maintenant de fines gouttes de pluie

Sillonnent la ligne septentrionale de

Mon âme en quête du souffle violacé

Des profondeurs de ton sein offert

Ceint du balcon de chasteté des

Dards de ta guêpière serrée

j'aime bien l'acrostiche final qui donne "dtc" (dans ton cul en langage geek) ; voulu ou pas ?

Non du tout, sinon je l'aurai mis en évidence

Pour m inspirer de l'écrit,

Mon épouse ma shakti,

Dans ses yeux de nuit,

Moi je puise la vie...

Non du tout, sinon je l'aurai mis en évidence

Ttttt... Un "s" à je "l'aurais" ...

Sinon, pensée du jour, bonjour ^_^

Dans ce doux rêve mué en cauchemar

Présage à la fois funeste et rare,

Je n'attendais d'être mise en garde

Contre celle que je disais veinarde.