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Manifeste pour une algérie nouvelle


echoo

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Membre, 111ans Posté(e)
echoo Membre 990 messages
Baby Forumeur‚ 111ans‚
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Alger : une marche sous haute surveillance

Plusieurs centaines de personnes ont participé à la manifestation à Alger ce samedi. Ces Algériens ont bravé l'important dispositif de sécurité déployé dans la ville. Reportage avec notre envoyé spécial.

http://www.bfmtv.com/video-infos-actualite...illance-959267/

Des jeunes ont été engagé par certains dirigeants, pour casser le mouvement, mais perso j'ai l'impression que les manifestants prennent de l'assurance

La marche a été contenue par un imposant dispositif de sécurité,beaucoup plus nombreux que les manifestants. Il n' y a pas eu de grabuge (un député blessé) malgré la présence d'un groupe de jeunes payés pour troubler.Un groupe d'islamistes s'est joint pour faire entendre ses revendications au changement.Le peuple ne veut pas de casse et attend plutôt des changements initiés à l'intérieur du pouvoir sans contraintes violentes.Wait and see, aprés la levée de l'état d'urgence et ses mesures d'accompagnement

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Membre, Dazzling blue², 51ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
51ans‚ Dazzling blue²,
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Un député grièvement blessé à la manifestation d'Alger

Il a reçu des coups au ventre et au visage alors qu'il se rendait à une manifestation réprimée par les forces de l'ordre.

Tahar Besbes a été "agressé par au moins deux policiers", selon le chef du groupe parlementaire du RCD. "Il s'est retrouvé entouré par des policiers. L'un d'eux lui a donné un coup de pied au ventre et un autre au visage. Il s'est écroulé à terre et sa tête a heurté le sol". Ce député du Rassemblement pour la Culture et la Démocratie (RCD - opposition) a été grièvement blessé samedi lors de la tentative de marche, réprimée par d'importantes forces de l'ordre, contre le régime dans le centre d'Alger.

Selon le Dr Rafik Hassani qui se trouvait à ses côtés à l'hôpital Mustapha tout proche, Tahar Besbes "souffre d'un traumatisme crânien avec perte de connaissance, d'un polytraumatisme très probablement de plusieurs membres". "Il a repris connaissance et somnole", a-t-il ajouté.

Selon une source officielle, "neuf unités de police avaient été mobilisées sur la place, une unité comprenant entre 90 et 120 éléments" pour cette manifestation, interdite, comme elles le sont toutes dans Alger depuis 2001. Au-dessus, tournoyait un hélicoptère.

Tahar Besbes faisait partie des manifestants qui avaient tenté d'atteindre la Place du 1er mai pour participer à une marche à l'appel de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) qui devait les mener jusqu'à la Place des Martyrs, à quelque 4 km de là.

Deux autres manifestants, le secrétaire général du Snapap (Syndicat national autonome du personnel d'administration publique), Rachid Malaoui, et un sexagénaire s'étaient auparavant évanouis sous la pression exercée contre eux par l'important cordon policier. Ils ont été évacués par les pompiers.

Certains, brandissant des cartons rouges contre le régime, se sont "retrouvés saucissonnés de manière scientifique" selon l'expression du Dr Hassani, par les forces de l'ordre dans les rues adjacentes.

Car d'importantes forces de sécurité et des dizaines de véhicules blindés étaient présentes depuis les toutes premières heures de la matinée et bloquaient tous les accès au lieu de rendez-vous.

Les policiers, casqués et dotés de matraques et de boucliers, ont réussi à repousser de petits groupes de jeunes qui criaient "Algérie libre et démocratique", "pouvoir assassin", "le peuple veut la chute du régime". A un moment donné, alors qu'ils se tournaient pour marcher -faute de mieux-, dans une autre direction, un groupe de policiers a chargé, selon des témoins.

Il était très difficile de déterminer le nombre de manifestants. En tout, ont noté des journalistes, ils devaient être quelque 3.000 personnes, manifestants, badauds et policiers confondus, avant de se disperser petit à petit.

http://www.lexpress.fr/actualite/un-depute...ger_964273.html

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Invité David Web
Invités, Posté(e)
Invité David Web
Invité David Web Invités 0 message
Posté(e)

Petit passage par ici, beaucoup de choses ont été dites et je regarde ce qui se passe autant dans ce pays qu'ailleurs et je souhaite qu'ils obtiennent une avancée vers une meilleure condition sociale et démocratique.

Mais voilà ce qui me fait poster ici :

La version du vol du passeport a été démentie par une source proche de l'ambassade d'Algérie en France, précisant qu'«aucune déclaration de vol de passeport appartenant au président du RCD, Saïd Sadi, n'a été enregistrée». «Si monsieur Saïd Sadi s'était présenté à nos services pour déclarer la perte ou le vol de son passeport et qu'il voulait rentrer en Algérie, nous aurions pris en charge sa doléance et le problème aurait été vite résolu, d'autant plus qu'il s'agit d'un chef de parti politique.

sources....

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Membre, 111ans Posté(e)
echoo Membre 990 messages
Baby Forumeur‚ 111ans‚
Posté(e)

La présence de Said Sadi au sein de la CNCD dessert plus qu'elle ne sert ce mouvement et ce ,pour differentes raisons :

- seul et unique parti d'obedience laique qui s'est opposé farouchement à la mouvence islamiste dans les années 90.

- premier parti à mettre en place les groupes de patriotes de légitime défense en kabylie pour combattre les GIA (groupes islamistes armés).

- auteur d'un livre "brulot" qu'il vient de sortir sur la mort du colonel Amirouche au combat (dans des conditions suspectes qui soulevent beaucoup d'interrogations mettant pointant du doigt certains éléments du MALG ).Ce qui a soulevé une grande polémique avec les figures du pouvoir.

-Parti (RCD) taxé de régionaliste en raison des origines kabyles de Said Sadi et de son passé dans le combat pour la cause berbere algérienne,sa reconnaissance officielle et sa promotion.Cette langue étant interdite d'expression sous les différents régimes totalitaires y compris celui de Bouteflika qui a réprimé dans le sang les revendications pacifiques berberes (127 morts et plusieurs centaines de blessés par balles réelles).

Said sadi ( RCD ) fait de la politique et ne représente qu'une partie limitée des facettes variées du CNCD qui integre en son sein différentes associations civiles,des droits de l'homme,des chomeurs, des syndicats libres,des personnalités et même des islamistes...

Said Sadi représente t'il un clan du pouvoir ? possible.

La présence du RCD constitue un genre d'abcés de fixation pour discréditer le mouvement,surtout que l'opposition est divisée.Certains parti comme le PT Toskiste (sic) est contre la CNCD et s'aligne avec le pouvoir.

Il est difficile de faire une lecture précise pour donner un pronostique exacte sur l'avenir à court et moyen termes de ce qui se va se passer .

Renverser un dictateur ne veut absolument pas dire que l'affaire est terminée quand on connait le poids que représente l'armée dans ces régimes. La lutte ne fait que commencer et le processus doit passer par la "constituante" et le réferendum sous controle international,pour éviter les déviations. La situation risque de tourner au vinaigre d'un jour à l'autre à cause des manipulations de toutes sortes.

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Membre, Dazzling blue², 51ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
51ans‚ Dazzling blue²,
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En Algérie, le pouvoir sait aussi manier la carotte. Mardi, la présidence algérienne a annoncé la levée prochaine de l'état d'urgence instauré en février 1992. «Ce projet d'ordonnance entrera en vigueur dès sa publication imminente au Journal officiel», affirme un communiqué publié à l'issue d'un Conseil des ministres. Le communiqué ne donne en revanche ni date ni détails sur le contenu du décret. Le 2 février, un groupe de 21 députés avait déposé auprès du bureau de l'Assemblée une proposition de loi pour la levée de l'état d'urgence. Imposé au lendemain de la victoire il y a dix-neuf ans maintenant, l'état d'urgence était l'un des grands symboles sur lequel se focalisait l'opposition algérienne. Pourtant, aujourd'hui, c'est le scepticisme qui prédomine au sein de la Coordination nationale pour la démocratie et le changement (CNCD), représentée dans les principales villes d'Algérie.

«Qu'est-ce que ça va changer ? s'interroge Rachid Malaoui, président du syndicat autonome Snapap, en pointe dans les nombreuses luttes qui se succèdent en Algérie depuis 2008. Les marches vont continuer d'être interdites, comme les meetings. En Algérie, ce n'est pas la loi qui compte, ce sont les hommes et le pouvoir, qui agissent comme bon leur semble. Cette annonce n'est rien de plus qu'un recul tactique. Et puis, rappelez-vous : en Tunisie, il n'y avait pas d'état d'urgence, ça ne les a pas empêchés de réprimer comme on sait. L'Algérie, c'est un copié-collé de la stratégie des derniers jours de Ben Ali, les moyens en plus.»

L'annonce de la levée de l'état d'urgence semble s'inscrire dans une stratégie de la présidence algérienne de concéder quelques avancées aux manifestants pour éviter une généralisation de la contestation à l'ensemble des secteurs d'activité. Depuis le 5 janvier, au lendemain des émeutes qui avaient secoué le pays, la présidence a multiplié les différentes annonces concernant de nouvelles mesures sociales, qui constitueraient à terme un plan global estimé à 11,6 milliards d'euros. Des fonds débloqués du jour au lendemain, majoritairement en faveur des jeunes, comme la facilitation de l'accès au logement et à l'emploi (en accordant des prêts à des taux préférentiels), et la réévaluation du contrat d'insertion pour les jeunes diplômés (CID), qui passera de 12.000 dinars (120 euros) mensuels à au moins 15.000 dinars (150 euros), l'équivalent du salaire national minimum garanti (SNMG). «Le pouvoir saupoudre la rente pétrolière algérienne pour espérer calmer la grogne sociale et les jeunes, juge le politologue algérien Rachid Tlemcani, qui enseigne à l'université d'Alger. Mais je doute que cela marche. Le mouvement, même s'il est très mal relayé dans les médias, est trop large maintenant pour qu'il s'éteigne après quelques mesures mal coordonnées.»

Dans l'ombre des révolutions tunisienne et égyptienne, du chaos libyen, des luttes au Yémen ou à Bahreïn, des grèves se sont peu à peu mises en place dans les 48 wilayas (préfectures) d'Algérie, qui gagnent en intensité depuis la marche du 12 février. Ce n'est pas encore la grève générale, mais beaucoup de secteurs sont touchés : ce sont les employés communaux, qui ont marché mardi à Bejaia; les infirmiers algériens, qui ont cessé le travail cette semaine; les greffiers qui paralysent l'appareil judiciaire depuis ce lundi; les étudiants, matraqués par la police à Oran ou Alger, et qui manifestent en masse; les chômeurs; qui ont aussi marché cette semaine à Constantine, Annaba, Alger...

«Une lutte des classes»

é l'échelon national pourtant, l'alchimie des luttes tarde à se faire. En cause : la dichotomie politique entre les partisans du départ de Bouteflika, et ceux qui estiment que cela ne suffira pas. Mardi, le désaccord a trouvé son expression politique, avec la scission de la coordination nationale. Les partis, comme le RCD de Saïd Sadi, iront désormais de leur côté, et la société civile, de l'autre.

«Dans la coordination, il y avait ceux qui souhaitaient le départ de Bouteflika. éa, ce sont les partis, explique le politologue Rachid Tlemcani. Et il y a ceux pour lesquels ce n'est pas suffisant, qui demandent la chute du système algérien, de ce président mais aussi de ceux à qui il sert de paravent, le Département renseignement sécurité, c'est-à-dire la police politique, la sécurité militaire. éa, ce sont les associations, les syndicats, des personnalités engagées à titre individuel, des avocats... Pourquoi cette dichotomie ? Parce qu'il y a aujourd'hui un scénario tout à fait probable: les élites, les partis comme le RCD, qui ont joué un temps le jeu du pouvoir avant de passer dans l'opposition, espèrent maintenant récupérer le rôle que tient Bouteflika, et assurer la transition politique. Derrière, il y a la société civile, les grévistes, qui ne veulent pas de ce scénario, de ce simple changement de façade. En fait, c'est vraiment une lutte des classes qui est en train de se jouer en Algérie.» Une analyse formellement démentie par le RCD, qui «n'a jamais voulu imposer ses vues ni dominer la coordination», comme le député Rafik Hassani l'expliquait à Mediapart vendredi dernier, la veille de la marche du 19 février à Alger.

En face, que se passe-t-il ? Contrairement à l'analyse que l'on pouvait faire à l'automne 2010, quand sa maladie revenait au centre des toutes les conversations, le président Bouteflika est bien présent sur le devant de la scène, et il préside de nouveau les conseils de ministres. Combien de temps tiendra-t-il ? Les grévistes finiront-ils par le convaincre de passer la main ? Des rumeurs insistantes, relayées par plusieurs quotidiens algériens, font état d'une démission avant la fin de son mandat, en 2014. Mais pour quelle solution de transition? Autant de questions importantes pour l'avenir du mouvement social général qui a embrasé le monde arabe depuis la fin 2010. Car avec sa rente pétrolière annuelle de 80 milliards de dollars et son potentiel économique, l'Algérie demeure le chaînon manquant qui pourrait faire basculer le Maghreb dans une nouvelle ère.

http://www.mediapart.fr/journal/internatio...?page_article=2

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Membre, 111ans Posté(e)
echoo Membre 990 messages
Baby Forumeur‚ 111ans‚
Posté(e)
En Algerie :-L'état d'urgence en vigueur depuis 19 ans a été levé!

http://www.la-croix.com/En-Algerie-levee-d...le/2456750/4077

Demain il fera jour disent les vivants et les survivants optimistes.Personne ne peut prédire l'avenir à court ou moyen terme.La course au fauteuil est déjà ouverte avant l'heure.

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  • 1 mois après...
Membre, Dazzling blue², 51ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
51ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)

Algérie: blocage musclé d'une manifestation d'agents de l'éducation à Alger

(AFP)

ALGER — Les forces de l'ordre ont bloqué à coups de matraque samedi une manifestation de plusieurs centaines d'employés de l'éducation devant l'Assemblée populaire nationale (APN) à Alger en faveur notamment d'un nouveau statut, ont affirmé les organisateurs.

Pratiquement au même moment, une tentative de manifestation organisée par la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD), tendance partis politiques, était également bloquée par la police à environ deux kilomètres de là.

"La police a empêché notre rassemblement devant l'APN. Des manifestants ont reçu des coups de matraques", a déclaré à l'AFP Mourad Fertaki, coordinateur national des surveillants des collèges et lycées. Mais il n'y a "pas eu de blessé", a-t-il précisé

Un témoin a indiqué à l'AFP avoir vu "des policiers en train de bastonner des manifestants" au nombre selon lui "de plusieurs centaines".

Selon M. Fertaki "entre 2.500 et 3.000 personnes ont participé à cette manifestation" initialement prévue devant la Présidence de la République, sur les hauteurs d'Alger, mais dont l'accès était bloqué par la police.

Ces employés, environ 50.000 salariés, réclament le statut de conseillers d'éducation et une revalorisation de leurs salaires.

Place du 1er Mai, la CNCD avait appelé pour la 11e fois et comme tous les samedis à marcher en faveur d'un "changement de régime". Une trentaine de manifestants, dont le président d'honneur de la Ligue algérienne des droits de l'homme, Ali Yahia Abdennour, se sont retrouvés encerclés par les forces de l'ordre.

Depuis les émeutes de début janvier contre la vie chère qui ont fait cinq morts et plus de 800 blessés, plusieurs cortèges de manifestants ont envahi la capitale.

Parmi eux, les étudiants ont plusieurs fois protesté contre une "dévalorisation" des diplômes. Mais leur dernière manifestation, le 12 avril, a été dispersée à coups de matraques par la police qui a fait des blessés.

Le rapporteur spécial de l'Onu sur la promotion et la protection du droit à la liberté d'opinion et d'expression, Frank La Rue, en visite d'une semaine en Algérie, avait appelé le 17 avril les autorités à bannir l'usage de la force contre les manifestations pacifiques.

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gGzPV9ACmdb_cRN4BVzv2ULThdSg?docId=CNG.fa6b866f89dba2bf27706b531f0c0ac8.91

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Invité pako
Invités, Posté(e)
Invité pako
Invité pako Invités 0 message
Posté(e)

merci pour toutes ces pages d infos ....

il risque d y avoir du changement en algérie aussi !

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Membre, 48ans Posté(e)
belzebut Membre 1 585 messages
Baby Forumeur‚ 48ans‚
Posté(e)

merci pour toutes ces pages d infos ....

il risque d y avoir du changement en algérie aussi !

salut;malheusement je ne pense que ce soit dans l'immédiat,la situation est tres complexe,l'algérie a subit une guerre terrible contre l'islamisme radicale pres de 200 000 morts .

a priori l'islamisme radicale n'est plus,le pouvoir entre les mains de l'armée génère cette peur du retour des islamistes.

l'algérie est un tres beau pays,riche en ressource naturelle,mais le grand soucis je pense c'est l'investissement dans l'économie.

ce pays importe 90 pour cent de ses besoins et exporte tres peu hormis les mannes pétrolieres et gazieres.

beaucoup de pays investissent,l'allemagne,la chine,le canada et l'italie,la france est a la traine du a certains differents avec le gouvernement de part et d'autre.

il ne faut pas oublier une chose,le maghreb et l'afrique seront l'asie de demain;la croissance y sera tres forte et nous en avaont besoin a l'avenir..

les seules femmes a etre descendant dans les rues en algérie,sont des kabyles,et on parle peu de la répression et des morts qui ont suivit ce printemps kabyle...

terre des hommes libre :plus:

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Membre, 45ans Posté(e)
nanouchka47 Membre 6 379 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)

Ces pays en revolution ont-ils le choix entre dictature ou colonisation ? Les peuples veulent la paix et la liberte mais pas dans un bain de sang est ce possible ?

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Membre, Posté(e)
Le martien Membre 1 727 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Le monde est en plein changement et les pays magrhébins et africains sont à la traine des mouvements universels qui impriment la dynamique à toute l'humanité pour accéder au progrés sans exclusion d'une partie des peuples.

Beaucoup de peuples n'arrivent pas à suivre le peloton mondial et se trouvent à la traine des progrés pour plusieurs causes,la principale étant leur liberté naturelle bridés par des régimes dictatoriaux corrompus.

Nous avons toujours dit et continuons à dire "basta",il est temps de mettre fin aux républiques bananiéres à travers le monde.

Une initiative parmi tant d'autres a été lancée par le Dr Benbitour pour susciter l'adhésion à un manifeste pour une algérie nouvelle.

Que vous soyez algérien ou pas, encouragez par un simple mot pour accompagner ce vent du changement d'une maniére pacifique pour prévenir l'arrivée de la grosse tempête qui s'annonce.

Dites tout simplement "BASTA". merci !

http://www.elwatan.com/actualite/un-manife...-109888_109.php

L'Algérie aux algériens, on a déja donné.

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