L'Ivrogne

Qu'ai-je fait ?

Entre deux mots, entre deux actes, entre deux pensées,

Mon âme se retrouve comme dans la salle des pas perdus du Tribunal de ma conscience.

Je n'aurai de cesse de regretter toutes ces infâmes choses qui eussent pu te conquérir

é déesse de mes jours, de mes nuits, de mes songes.

Qu'ai-je fait ?

Lis mes mots s'il te plaît, mais ne les interprète point, oublie-les, Je t'aime.

In Tenebris, un corps gît sur la Terre fumante, c'est peut-être celui de mon Ennemi ;

Ou bien le Tien, ou plutôt le nôtre car ces âmes passant sur le Pont qui fait comme une arche

Ne m' épargnent aucun remords de n'avoir point été ensemble sous la lune étiolée.

Qu'ai-je fait ?

Non ce fleuve sombre éclairé artificiellement par les lampes de la ville n'est point notre cercueil,

Je n'ai commis aucun crime, les cris de mes désirs, de mes envies, se taisent en pleine journée.

Comme des scènes coupées au montage d'un film au colossal budget inégalable par des sucreries.

Mon esprit se meurt au coeur de la solitude établie par quelque fil invisible tissant les destinées.

Qu'ai-je fait ?

Pour mériter ces rayons solaires consumant au matin mes yeux embrumés des songes de hier.

Oui les complaintes des klaxons hypnotisent mes tympans, les gens marchent au ralenti ;

Unis sous la voûte de nuages scandaleux les platanes et moi comme des cousins germains,

Formons une drôle de traîne mariée au bitume, aux devantures des magasins, aux porches.

Une Idée surgit ; Elizabeth aux contours graciles, femme splendide couvant ma voix intérieure ;

Comme une ombre de Paradis, les vertus de mon enfance enrôlées par la bise matinale,

Sylvie bras dessus bras dessous, s'en alla avec ma Muse le coeur léger servir au bistrot.

dommage que je puisse pas voter moi aussi, m'enfin c'est le risque des sondages ça

Qu'ai-je fait ?

Entre deux mots, entre deux actes, entre deux pensées,

Mon âme se retrouve comme dans la salle des pas perdus du Tribunal de ma conscience.

Je n'aurai de cesse de regretter toutes ces infâmes choses qui eussent pu te conquérir

é déesse de mes jours, de mes nuits, de mes songes.

Qu'ai-je fait ?

Lis mes mots s'il te plaît, mais ne les interprète point, oublie-les, Je t'aime.

In Tenebris, un corps gît sur la Terre fumante, c'est peut-être celui de mon Ennemi ;

Ou bien le Tien, ou plutôt le nôtre car ces âmes passant sur le Pont qui fait comme une arche

Ne m' épargnent aucun remords de n'avoir point été ensemble sous la lune étiolée.

Qu'ai-je fait ?

Non ce fleuve sombre éclairé artificiellement par les lampes de la ville n'est point notre cercueil,

Je n'ai commis aucun crime, les cris de mes désirs, de mes envies, se taisent en pleine journée.

Comme des scènes coupées au montage d'un film au colossal budget inégalable par des sucreries.

Mon esprit se meurt au coeur de la solitude établie par quelque fil invisible tissant les destinées.

Qu'ai-je fait ?

Pour mériter ces rayons solaires consumant au matin mes yeux embrumés des songes de hier.

Oui les complaintes des klaxons hypnotisent mes tympans, les gens marchent au ralenti ;

Unis sous la voûte de nuages scandaleux les platanes et moi comme des cousins germains,

Formons une drôle de traîne mariée au bitume, aux devantures des magasins, aux porches.

Une Idée surgit ; Elizabeth aux contours graciles, femme splendide couvant ma voix intérieure ;

Comme une ombre de Paradis, les vertus de mon enfance enrôlées par la bise matinale,

Sylvie bras dessus bras dessous, s'en alla avec ma Muse le coeur léger servir au bistrot.

Et pourquoi au lieu d'écrire " des songes de hier", tu ne tenterais pas le geste fou d'écrire : " des songes d'hier" ?

C'est à dire ouais en fait tu sais je suis plus à ça prés, (j'aime pas les trucs rouges qui apparaissent des fois sous les mots dans mon traitement de textes, ça m'évite pas mal de fautes d'ortho, et c'est vrai d'un autre côté ça m'en fait commettre d'autres) ; enfin bon c'est vrai que ça manque de mélodie, je le sais bien, et j'en suis capable de faire des trucs courts qui sonnent bien, le hic c'est que décidément, nan je laisse ça aux autres, ou alors j'attends la fin de la brume dans ma tête consécutive à la bière -je bois peu d'alcool en général, donc c'est pour ça que l'effet est boeuf ; pis y a aussi mes autres posts, tous ces "ma foé" et autres "enfin bon", voila quoi.....

C'est dommage que des commentaires se contentent de suggérer une apostrophe ¿ mais bon, à chacun la poésie qu'il veut bien voir.

La forme surprend ; il y a des choses qui dénotent, comme parler du budget colossal d'un film ¿ mais ce n'est pas mauvais que quelque chose dénote ; à la relecture, même, l'on se dit finalement que tout est à sa place, qu'il y a une atmosphère générale qui se dégage de ce style, quelque chose que l'on pourrait appeler le style château. Et en fait, c'est cela l'essentiel ; en écrivant toujours plus, des images récurrentes reviennent, des façons de contraster les mots également, et cela construit ton identité de plume. Pour cette raison, même si je bute à un terme comme "lune étiolée" (et j'aurais également buté à "lune étoilée"), ce n'est qu'une affaire de ma sensibilité, et point de ton univers. ¿ Récurrente également cette élizabeth...

Voilà : en fait j'aurais surtout envie de t'encourager à écrire toujours, et toujours plus. Parce qu'il apparaît clairement que tes différences nourrissent des perceptions du monde différentes de celles de l'homme vulgaire (au sens étymologique), et que c'est un excellent moyen et une excellente raison d'écrire, et que cela peut construire des choses. é l'¿uvre, maçon!

Il pleuvine des mots sur notre visage...

Il coule de nos narines des perles...

Il règne sur votre front des fils d'Or...

Il se contemple en votre sein de la Vie...

Elles surfent sur les contrées des paysages ;

Elles transpirent des lanternes réelles ;

Elles fusent folles des étoiles célestes ;

Elles saisissent dans l'océan leur bagage ;

Il existe sur mon nombril des trésors...

Il naît de ma peau des recueils...

Il dort en mon coeur un écureuil...

Il se peut des soupirs sous ma langue...

Elles recherche mes songes lorsqu'il fait Nuit ;

Elles volent la féérie des contes ;

Elles réclament à leur démiurge une onde ;

Elles décomptent les secondes d'un Puits ;

Il se calfeutre sur la banquise des Inuits...

Ils claquettent le Bois des oublis...

Ils longent des murets fantomatiques...

Il sont ignorants des trésors de leur destinée...

Elle ravage le coeur du Soleil

Elle languit au-dessus des nuages

Elle fabrique des sarcophages

Elle pêche des coffrets Ephémères ;

Il décortiquait ses maux au réveil...

Elle tourmentait des misérables...

Il ratissait des choses enfouies...

Elle l'aimait de loin, son Amour...

arf, le souci c'est que j'ai vraiment trop de choses dans la tête, tantôt je pense à l'une, tantôt à l'autre, pis alors pareil pour les chansons, entre toutes ces musiques nom de diou enfin bon

(j'espère qu'il a un sens -un mythe, une légende, un truc pour lui donner un sens, ce fichu poème)

T'es entrainé par la machine

go head

hi hi nan je crois pas, c'est la bière qui se digère dans mon estomac, j'ai écouté une musique en plus de "la chanson des vieux amants" de Jacques Brel, celle ci :

et donc voilou voilou ouais bon ça vaut ce que ça vaut, pis je trouvais que mes images étaient bien, mais en cours d'écriture le machin a pris une forme inattendue, en fait jvoulais que ça dure plus longtemps, l'écriture, j'aurais fait une sorte de "roman" , enfin pas vraiment un roman, plutôt une sorte de danse avec des hauts et des bas et ça aurait continué longtemps, m'enfin j'en ai eu marre on peut dire -pas assez de matériau ma foé

C'est dommage que des commentaires se contentent de suggérer une apostrophe ¿ mais bon, à chacun la poésie qu'il veut bien voir.

La forme surprend ; il y a des choses qui dénotent, comme parler du budget colossal d'un film ¿ mais ce n'est pas mauvais que quelque chose dénote ; à la relecture, même, l'on se dit finalement que tout est à sa place, qu'il y a une atmosphère générale qui se dégage de ce style, quelque chose que l'on pourrait appeler le style château. Et en fait, c'est cela l'essentiel ; en écrivant toujours plus, des images récurrentes reviennent, des façons de contraster les mots également, et cela construit ton identité de plume. Pour cette raison, même si je bute à un terme comme "lune étiolée" (et j'aurais également buté à "lune étoilée"), ce n'est qu'une affaire de ma sensibilité, et point de ton univers. ¿ Récurrente également cette élizabeth...

Voilà : en fait j'aurais surtout envie de t'encourager à écrire toujours, et toujours plus. Parce qu'il apparaît clairement que tes différences nourrissent des perceptions du monde différentes de celles de l'homme vulgaire (au sens étymologique), et que c'est un excellent moyen et une excellente raison d'écrire, et que cela peut construire des choses. é l'¿uvre, maçon!

J'avais pas compris, moé, quy yavait ici une police des commentaires. J'avais pas compris, moé, quici cétait la dictature des pets de lego.

Très bien, je viendrais pu ici.

C'est bien que vous souligniez en rouge cette phrase, ainsi l'on y relit clairement que je me contente d'exprimer le fait que je trouve dommage qu'un commentaire d'un texte se contente de suggérer une apostrophe ; sans pour autant condamner la démarche, ni même dire que je ne suis pas d'accord avec elle ni avec ce qu'elle suggère. ¿ Ainsi, c'est avec étonnement que je vois les mots "police", "dictature", ou encore "pets de lego" et votre intention manifestement très adulte de "ne plus venir ici". Je dirais même qu'il plane ici une douce odeur d'ironie. Je vous souhaite un bon dimanche, avec sincérité.

é part ça, château a bu.

C'est bien que vous souligniez en rouge cette phrase, ainsi l'on y relit clairement que je me contente d'exprimer le fait que je trouve dommage qu'un commentaire d'un texte se contente de suggérer une apostrophe ; sans pour autant condamner la démarche, ni même dire que je ne suis pas d'accord avec elle ni avec ce qu'elle suggère. ¿ Ainsi, c'est avec étonnement que je vois les mots "police", "dictature", ou encore "pets de lego" et votre intention manifestement très adulte de "ne plus venir ici". Je dirais même qu'il plane ici une douce odeur d'ironie. Je vous souhaite un bon dimanche, avec sincérité.

é part ça, château a bu.

Faudrait voir à pas confondre commentaire et commentaire d'un texte, il y a là une très fine nuance, si tellement fine qu'elle a pu t'échapper, poil au nez. De sorte que le commentaire internetteux diffère somme toute sensiblement du commentaire éducationnationnaleux.

Quant à l'adulterie, elle ne se trouve pas toujours là où on l'attend, et ne s'entend pas comme vieillerie, qui se trouve parfois chez de jeunes personnes de moins de 30 ans, j'ai déjà vu ça.

Poil au bras.

Je parlais d'un commentaire, pas d'un commentaire de texte ; c'est même pour cette raison que j'ai écrit commentaire d'un texte, même si cette forme prête encore à confusion, je l'admets tout à fait. Remplace donc cela par "un post". Sinon, il est joli d'en conclure que l'âge n'a rien à voir dans l'affaire ; c'est même beau. ¿ écoutez, j'espère bien que vous avez au moins réalisé que je n'avais pas l'intention de vous faire sur-réagir. Mon but n'est pas d'avoir le dernier mot, mais que vous passiez un meilleur dimanche ; prenez donc un thé avec moi.

en fait le popoème était inspiré plus ou moins d'une nuit dont j'ai souvenance sous le pont de Granges lès valence, je regardais le rhône et jme disais que j'aurais très bien pu tuer quelqu'un, ma solitude n'aurait pas été moins grande, mais comme j'ai un coeur d'Or et que ma foé lorsqu'on me fait une crasse j'essaye toujours plutôt que me venger, eh bais "entrer dans la tête" de l'autre essayer voir si jtrouve pas quelque chose qui m'aurait échappé, eh bais voila quoi...... un corps imaginaire..... pour la lune étiolée, c'est parce que chuis maudit quoi, c'est le cas de le dire, nan mais franchement faut le faire quand même, une solitude pareille, appelez ça timidité ou égocentrisme ou ce que vous voulez n'empêche c'est réel quoi...... et puis donc la scène de film c'est exactement ça, je fantasme appartenir à un monde qui non seulement ne m'appartient pas, mais auquel je n'appartiens point non plus, et je vis ça au quotidien, pis par contre j'aurais pu étoffer, par exemple un poème de l'ami baudelaire, la pièce numéro 8 sur le fait que tout homme est double et que l'un tue l'autre en permanence, sa propre Ombre, sa Part de Ténèbres..... fin voila quoi, je sais que je suis pas seul à ressentir ça, je meurs en permanence, chaque seconde qui passe c'est autant de futurs possibles qui m'échappent, et même ça j'ose pas y croire -enfin si là pour le coup des scénariis un peu égocentriques pour moi elles naissent bien dans ma tête, mais ça...... hi hi hi ouais voila ; c'est pour ça qu'en bonne intelligence, enfin j'espère, j'imagine, j'ai mis un espoir éternel au-dessus du poème, un bistrot tout en dessous et même ça pas pour moi, éternel spectateur de la vie..... enfin bon ; le truc des sucreries c'est parce que vous savez le coeur d'un Homme, comme disait le bougre de stephen king dans "simetierre" c'est un roc....... c'est très amer, et les sucreries c'est celles de l'enfance, une pointe de nostalgie donc.......

ouais ouais ouais bon alors après par contre j'ai l'impression que le coeur d'une fille c'est pas tellement différent, mais bon comme je disais dans le truc en prose (cf : pot pourri) eh bais ce sont des phénix, elles rendent la vie, c'est pas elles la vie, c'est nous la vie quoi, la force, toussa toussa (la petite dannya l'a très bien compris ; cf sa signature) ; par contre le jardin secret des filles c'est aux antipodes de celui des garçons, à de rares exceptions prés les poupées, c'est plutôt un truc de filles, les petits soldats c'est plutôt un truc de garçon ; mais quand une fille ou un garçon pénètre à l'intérieur du jardin secret de l'autre, c'est quelque chose, c'est beau à voir quand même (mon observation par rapport à Pocahontas et Kégé -ça fait un peu beaucoup songer au "Salon Satin" de je sais plus quel auteur..... ) ; quand je dis jardin secret, ça veut dire essentiellement rêve, j'ai mis du temps à le comprendre, mais je l'ai bien exprimé je trouve dans mon texte intitulé "amor"..... dans un des paragraphes ; alors par contre on obtient le même effet en lisant un livre, on redevient enfant, enfin ça dépend des livres bien entendu...... et du genre d'enfant qu'on était aussi... m'enfin...... En bref mes textes c'est un peu trop intello quoi, mais j'ai aussi écrit un roman (cf mon blog) bien qu'en fait au niveau des dialogues et des descriptions c'était pas ça, j'étais pas vieux non plus quand je l'ai écrit, ceci peut expliquer cela, mais j'aime bien les images, et chez moi les mots (comme j'ai pu m'observer, ça vient avant les choses elles-mêmes, un mot peut me venir à l'esprit et être tout à fait approprié, mais sans que j'en sache la signification sur le moment.... ça m'a toujours fait ça en fait, depuis tout gosse, les adultes des fois pensaient que j'étais bien malin ou que je lisais dans les pensées hi hi hi ; malheureusement ça marchait pas avec les gens de mon âge, essentiellement en raison de la rivalité je pense ; pis aussi un complexe, j'arrivais pas à "concilier" la vision du monde que j'avais à la maison, et celle que la maîtresse nous faisait rentrer dans le crâne ; pour ça que mes blagues étaient pourries et que j'ai cultivé par la suite, une espèce d'ironie qui n'en est pas vraiment, de l'humour plutôt, enfin disons une manière de montrer que ouais je sais parfaitement que c'est des écrits et pas forcément des actes, une manière de dominer quoi.... pas agréable quand même de savoir qu'il existe des gens en ce bas monde qui vous sont supérieurs sur bien des plans, mais l'humilité ça se travaille, là voyez j'en suis loin m'enfin c'est pas que je vous aime pas, loin de là, mais au fond je me sens pas l'âme d'un écrivain, finalement, c'était mon rêve quand j'étais petit, mais je pense à cause de mauvaises raisons...... mais des fois j'écris des ptites choses intéressantes, enfin je crois quand même, et à l'occasion je continuerai d'en poster, des ptits textes, en tâchant de vraiment camper des personnages, m'enfin c'est pas simple ça se travaille..... merci à vous de m'encourager, ça me fait plaisir même si je sais au fond de moi qu'en fait..... ouais bah un jour peut-être vous épaterai-je

tu peux continuer, moi j'aime bien aussi..

vagues à l'âme..

vagues de fond...

vagues formes....

vagues êtres.....

vagues sentiments...

vagues sensations....

vague bien-être

vague orgueil

vague douce

douce vague

son petit nom c'est Christine, et j'ignore complètement qui elle est ; si même c'est un homme ou une femme, ou un personnage..... elle m'aime bien, c'est l'essentiel

bonne nuit vais dodoter

j'espère que t'as bien dormi..

Le Calme régnait sur la Terre ;

le jour d'avant j'en avais rêvé, comme je rêve souvent ; l'Humour poussait du terreau du Bois des Trinitaires sous la forme de l'herbe, des cailloux, des clapotis du ruisseau ; je me sentais vivant, rafraîchi, comme l'Ancre d'un navire. Comme un oeuf poché reposant sur le lit des nuages, un Soleil encore jaune se tenait à l'écart des Ondes du paysage, j'en avais rêvé je l'ai fait ; tel un Poète dédaigné de sa Muse je marchais tranquillement avec au fond du coeur ce sentiment des choses extraordinaires, j'étais devenu l'Ami du vent, du bruissement des feuillages, Gulliver se promenant au pays des lilliputiens, l'oreille attendrie par le son d'un harmonica non loin, tissant les notes d'une douce symphonie personnifiées sous la forme de cette dame âgée que je croisai, la douceur de son parfum combinée à cet alliage charnel qui ressemble à la maturité, un corps immortalisé au coeur des Ames sensibles, l'esprit nostalgique de la jeunesse, de l'Air des temps anciens... les enfants, en ce jour férié des écoles, au milieu des affres de mes activités de recherche d'emploi, transformaient ce Bois des Trinitaires en un beau navire, la beauté d'un sou neuf diraient les fétichistes, tanguant au-dessus de l'amoncellement de l'univers écartelé à la suite d'une Partouze d'émotions, l'Energie originelle du Big Bang animant encore chaque chose. Puis se retourna sur moi une femme jolie, une douceur souriante en dépit ou plutôt grâce à son pull sobre ainsi que sa fine écharpe rose, que les adolescents, tentant de faire démarrer leur scooter à quelque distance, eussent pu admirer. En ce milieu d'après-midi nous partageâmes ce sourire, un souvenir, puis je poursuivis ma route, vers le Champ de Mars, plus haut, le mercure du thermomètre très bas en ce pâle après-midi d'automne, tout était grisâtre :

la pollution (sonore et odorifère)

la hausse des prix

l'insécurité

le travail à temps partiel

(etc, etc, ça peut rimer nan ? -Sachant que comme Baudelaire disait hein, l'Ennui c'est un monstre délicat que tout le monde connaît)

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file (ou plutôt écris) comme le vent chateau , tu es animal qui ne suporte pas d'avoir la bride au cou ^^