Oui oh, je ne sais pas si on peut bien se fier aux téléphones portables.

D'ailleurs quand on veut virer quelqu'un on ne le fait pas par SMS mais par mains propres.

Un licenciement doit obligatoirement être signifié par lettre recommandée avec accusé de recepions, sans cela le licenciement ne saurait être accepté.

Et conbvocation à un entretien aussi je crois..

bref le sms ne vaut absolument rien...

Vous ne connaissez pas l'éducation Nationale... En plus d'après ce que j'ai lu ce SMS n'était que pour qu'elle ne prenne pas la peine de se déplacer le lendemain car un mail (voire autre sûrement) a suivi...

Mais bon dans tous les cas prévenir la veille pour le lendemain déjà je trouve ça n'importe quoi, surtout qu'eux devaient savoir avant ce SMS pour trouver quelqu'un d'autre, donc abusé...

La directrice ne l'aimait pas, voilà la conséquence malheureusement (même si elle dit le contraire...)

ca n'empeche pas que ce sms ne vaut absolument rien ...

Kerem-Menahem école publique ?

Aucune valeur juridique mais qui dit qu une lettre n a pas suivie?..

T viré pck Sarko économe A+

Ps : vite fé bien fé...

virer par sms, ils sont gonflés quand même à l'éducation nationale

:D

T viré pck Sarko économe A+

Ps : vite fé bien fé...

Mais oui, une lettre a dû suivre c'est obligé :D

De plus avant tout licenciement il aurai dû avoir un entretien préalable, puis ensuite une lettre Recommandée.

Une enseignante licenciée par SMS Jeudi 16 septembre - 19:57 C'est la mésaventure vécue par Betty Attal, professeur des écoles dans le privé sous contrat, qui a reçu, la veille de la prérentrée, sa mise en congé d'office par SMS

« J'ai été virée par texto ! Par un SMS envoyé par la directrice de l'école Kerem-Menahem, que j'ai reçu sur mon téléphone portable le 31 août à 16 h 28. Alors que le lendemain à 9 heures, je devais effectuer ma prérentrée à l'école. »

Professeur des écoles depuis douze ans, dont quatre passés à Nice dans cette école privée confessionnelle sous contrat d'association avec l'état, Betty Attal est sous le choc. Sonnée par ce SMS plutôt expéditif qui se résume à un « nous avons reçu l'arrêté de votre mise en congé d'office que nous transférons sur votre mail. » Point final.

Suite de l'article...

Source: Nice Matin

Heu...

Avant d'être trop expéditif dans leurs conclusion, certains feraient mieux de relire l'article...

Premièrement, dans les faits cette enseignante n'a pas été licenciée, mais fait l'objet d'une mesure de suspension avec maintien de son salaire...

Deuxièmement, le titre de l'article donc est abusif, puisqu'il ne s'agit pas d'un licenciement par SMS...

Troisièmement, c'est l'enseignante elle-même qui se dit "virée", elle ne semble pas comprendre le français, il s'agit d'une mesure de suspension avec salaire, autrement dit elle sera toujours payée en attendant une décision ultérieure la concernant, elle aura tout loisir de défendre sa place lorsque la procédure suivra son court, avant de la licencier son cas sera examiné par l'éducation nationale.

Quatrièmement, l'origine du SMS n'étant pas connu, celui-ci ne constitue pas une notification valable de quoi que ce soit, cette enseignante aurait dû se présenter à son travail, or elle ne l'a pas fait, pourquoi ne s'est-elle pas présentée à la pré-rentrée...?

De plus je doute que ce soit le seul et unique moyen que l'éducation nationale( qui ne semble pas être l'auteur du SMS...) ai pris pour informer cette dernière, bref ce que l'on sait de cette affaire ne suffit pas à en tirer des conclusions, si ce n'est que l'article source joue sur le flou pour attirer le lecteur et que l'enseignante sait très bien que ce SMS ne lui indiquait pas qu'elle était virée, quand on se sent atteint par une injustice pour se défendre on ne commence pas par travestir la vérité.

Cela ressemble quand même à de la discrimination anti-handicapée.

De la discrimination anti-handicapée............... tu m'en a l'air toi

Le motif de la suspension est médical.

Ah mais de la a "discrimination anti-handicapée" d'ailleurs "anti-handicapée" c'est quoi

Heu...

Avant d'être trop expéditif dans leurs conclusion, certains feraient mieux de relire l'article...

Premièrement, dans les faits cette enseignante n'a pas été licenciée, mais fait l'objet d'une mesure de suspension avec maintien de son salaire...

Deuxièmement, le titre de l'article donc est abusif, puisqu'il ne s'agit pas d'un licenciement par SMS...

Troisièmement, c'est l'enseignante elle-même qui se dit "virée", elle ne semble pas comprendre le français, il s'agit d'une mesure de suspension avec salaire, autrement dit elle sera toujours payée en attendant une décision ultérieure la concernant, elle aura tout loisir de défendre sa place lorsque la procédure suivra son court, avant de la licencier son cas sera examiné par l'éducation nationale.

Quatrièmement, l'origine du SMS n'étant pas connu, celui-ci ne constitue pas une notification valable de quoi que ce soit, cette enseignante aurait dû se présenter à son travail, or elle ne l'a pas fait, pourquoi ne s'est-elle pas présentée à la pré-rentrée...?

De plus je doute que ce soit le seul et unique moyen que l'éducation nationale( qui ne semble pas être l'auteur du SMS...) ai pris pour informer cette dernière, bref ce que l'on sait de cette affaire ne suffit pas à en tirer des conclusions, si ce n'est que l'article source joue sur le flou pour attirer le lecteur et que l'enseignante sait très bien que ce SMS ne lui indiquait pas qu'elle était virée, quand on se sent atteint par une injustice pour se défendre on ne commence pas par travestir la vérité.

Pas grave qu'elle bave des conneries ........... pour les syndicalistes tout pain est bon à manger.......... par ailleurs ça commence à se savoir