Poésie

Sujet original pour le second ^^ Très amusant

Vos poésies sont géniales ! Continuez à nous bleuffer !!!

Le Baiser

Vous souvenez-vous de votre premier baiser ?

Avez-vous été angoissé, au moment de rencontrer,

celui ou celle à qui vous le donneriez ?

Je me souviens, après l'école, de mon premier baiser.

Un rendez-vous obtenu grâce à l'entremise d'un confident.

Nous nous sommes retrouvés dans une cage d'escalier,

dans la pénombre et le silence, craignant qu'un intrus ne vienne le rompre.

A présent intimes.

Après des regards échangés entre nous, jeunes amoureux,

je me souviens avoir fermé les yeux. J'ai senti ses lèvres contre les miennes.

L'espace d'un instant, j'ai réalisé un voyage et ressenti de vives émotions.

Je m'inquiétais de la méthode. C'était bien stupide.

Mon c¿ur battait.

Je me souviens, âme d'homme, d'une chose accomplie,

une étape dans ma vie. J'étais rassuré et serein.

J'ai laissé ma muse, lui ai promis de recommencer.

Elle me le promettait.

Je l'ai quitté sifflotant.

Acrostiche nominal composite en alexandrins. La composition était une sorte d'épreuve de flux tendu avec pour clés le "rire" avec sa touche de spleen.

Modifié le 19 mai 2009 par Dianevitalic

J'aime beaucoup Diane :smile2:

Merci ^^ Heureuse qu'il te plaise ! Scolairement, ce poème est important ^^

oups de la technique je vois diane :smile2:

Je peinds aujourd'hui

comme l'on peindrait un objet

ma dernière flamme de vie

mon ultime bougie,

je laisse immortelle,

une image visuelle,

Je ne craint pas la mort,

elle qui m'excite, m'enivre, m'emporte,

j'assume tout mes torts,

et laisses ma vie a la porte,

hiver glaciale, ma promise,

c'est a moi que tu es soumise,

sous tes airs frigides,

tu as en faite un coté humide,

et si un jour tu me quittes,

je te promets,

je te rejoindrais bien vite.

ps: ne vous inquiétez pas je vais pas me suicider :smile2: (dommage ) c'est juste un poême.

Modifié le 17 novembre 2008 par Blackmesa

La sombre valse des rires

Depuis le commencement, tempérant nos esprits

Ils sont signes de joie pour l'enfant qui s'étonne

Apportant le bonheur au rythme de la vie

Nombreux sont tous ces rires, à chacun, à personne

Excessif pour le fou disant sourire de tout

Dont la grande ironie dénature l'existence

Embusqué pour l'amant dont le rival trop doux

Voudrait le soupçonner, mais croit à son silence

Imperceptible, franc, délicat et timide

Le rire encore naïf de la jeune amoureuse

Laquelle ne sachant point que l'autre c¿ur est vide

A défaut de pleurer, continue d'être heureuse

Rire accablant et froid pour l'homme aux m¿urs cyniques

Rugissant vers autrui ses conseils eugéniques

Echappés d'une pensée que saisit sans attendre,

Attiré par un rire qu'il entend sans comprendre,

L'adolescent troublé aux rêves fantastiques

Diane :smile2:

Acrostiche nominale composite en alexandrins. La composition était une sorte d'épreuve de flux tendu avec pour clés le "rire" avec sa touche de spleen.

F-O-R-M-I-D-A-B-L-E!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! :D

Merci tommy et michaelaro ^^

J'avoue, j'étais polisson

Dans mes goûts, dans mes actions,

Quand je me laissai à ma passion.

Mais je n'était qu'un petit garçon.

Un garçon aux yeux qui brillent

D'un regard que rien ne maquille,

Dès lors que ses pupilles

Voyaient sous les jupes des filles.

Oui, j'étais mécréant

Dans mes propos, mes agissements,

Quand je m'adonnai à mon passe temps.

Mais je n'étais qu'adolescent.

Adolescent aux goûts pluriels

Mais préférant la bagatelle,

Aimant tellement se faire la belle

Pour observer les demoiselles.

Mais aujourd'hui je suis adulte

Et de mon âge, il résulte

Que si j'observe et que j'exulte

Ce sera désormais une insulte.

Car c'est malsain pour un homme

D'observer le corps des dames.

Alors j'arrête, oui, je me calme

Même si parfois, mes yeux s'enflamment.

:smile2:

pas mal :smile2:

:smile2:

Toutes ressemblances avec des faits réels ou des personnes existant ou ayant existé est totalement fortuite.

oui oui :smile2:

non ca te ressembles pas du tout ()

Ces derniers mois,

Il n'y a eu que des larmes

Qui ont enfoncé son émoi

Et détérioré son coeur.

Elle était tombée dans une abîme,

Sa vie ressemblait au vide,

Elle s'en est échappée,

Mais son coeur est toujours aussi peiné.

Elle se disait que rien n'était pire que l'amour,

Son coeur est rempli d'amertume,

Elle peut être solide,

Mais l'amour lui a joué un tour.

Elle pourrait toujours écrire des poèmes,

Pour exprimer son mal être,

Si elle ne se prend pas en main,

Elle ne pourra pas contrôler son destin.

A.G

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L'âme lointaine est blessée par la chute

D'un empire où son sang coulait vivement.

De minuscules gouttes pleuvent sur la statue,

Le sang recouvre les fleurs fânées

Qui autrefois jouissaient de luminosité.

Comme une feuille brutalisée par le courant d'une rivière,

Qui se heurte contre un rocher et tombe dans l'oubli

En se noyant, elle ne voit que sa sépulture.

Alice, 6/01/09

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Puisque les dépressives, âmes meurtries,

Savent faire basculer l'esprit;

Quand elles ne veulent point aimer,

Il faut alors se sacrifier.

A.G

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PAIX A MON éME

étre inconscient, ignorant,

Dans un monde peu savant

Rempli de vertues interdites,

Aux Hommes dont la vie est déjà dite.

étre vulgaire, provoquant,

Dans un monde si obsédant

Où avoir le vertige

Est synonyme de jouir.

Tout est opposé,

Pourtant ces faits se sont rencontrés,

A chaque homme son malheur,

C'est ce qui fait mon bonheur !

Alice G;

Lundi 15 décembre 2008

Réveil

Je voulais mettre fin à mes jours

Plutôt que d'errer pour toujours

Alors que je pleurais

En ouvrant les yeux je compris

Ce à quoi je rêvais

était d'avoir enfin une vie

Parce que les garçons ne pleurent pas, mais savent faire couler plus de larmes que l'on en aura jamais…

Départ

Je pleure aujourd'hui toutes les souffrances,

Par lesquelles mes joies j'ai su apprécier.

Je pleure aujourd'hui d'amis la clémence

Et la confiance par mille fois brisée.

Je pleure aujourd'hui une vie non vécue,

Dont le temps écoulé doit être rattrapé.

Je pleure aujourd'hui des larmes retenues

Depuis bien trop longtemps et qu'il me faut verser.

Pour que demain matin ma vie puisse débuter.

Que je comprenne enfin tout ce dont j'ai besoin,

Qu'il me soit accordé de sortir de la nuit.

Qu'à dater de ce jour sur moi puisse briller

Le soleil, essayer de le garder non loin

Pour cette vie commencer, je pleure aujourd'hui

NB: a défaut d'être un sonnet élisabéthain (c'en est certes pas loin) en alexandrins, j'ai fait mon possible pour ne pas utiliser une forme "libre" comme à mon habitude