La valeur de nos actions

Effectivement si on était pas au bout de la chaine alimentaire et qu'on servait de bouffe à des animaux, vu notre nombre nous serions d'un rendement considérable! Faut faire un choix aussi!

Complètement d'accord.. je pense en effet que la societé au départ a disposé le système d'échange par la monnaie dans la mesure ou elle pensait accorder au hommes ce dont ils méritaient.. ensuite je crois que ce symbole n'est petit a petit plus adapté et contient des failles .. la solidarité tente d'y palier mais la culture et les mentalites obtiennent a elles seules le pouvoir de gerer .. soit la puissance aux nantis et la misère a ceux a qui on accorde aucune reconnaissance d'existence..(pas compétitifs ou pas assez productifs )

L'homme a un faible rendement pense tu tiwi par rapport aux animaux ? c'est difficile a comparer ca? mais l'homme en plus avec son son raisonnement suffit a s'adapter tu crois pas ?.. donc ici c'est pire..dans les règles de notre societé il y a un facteur de cruauté qui intervient.. accumuler et ne pas partager.. apparaître et disposer.. gagner et mépriser.. faire semblant et régner.. dans l'hypocrisie et dans la domination .. simplement par ce que c'est le seul moyen d'exister maintenant aprés des millénaires de questionnement! (là je suis mélancolique devant mon post de déprimée!!!pardon..) tu vas me dire la cruauté existe chez les animaux également.. mais sans le raisonnement .. !? comment juger cela de cruauté?

L'homme par nature est fourbe et destructeur. C'est pour cela qu'il est dominant (du moins dans la définitions qu'il donne au mot "dominer")

L'homme est réfléchi sur ses actes barbares et calculateur! La ou un animal va aller directement sur la carotide de sa proie pour être efficace et protégé par nature, l'homme va trouver une reflexion abusive sur une faille potentiel et arriver à ses fins, même par la douleur.

Oui!! exact,"arriver a ses fins"... pour etre compétitif et productif..? pour gagner assez et accumuler? ...il ignore l'existence ou tout au moins la valeur de l'existence de l'autre et ne reconnaît que la sienne... c'est le point négatif, l'erreur et la faille du "penseur" .. qui y perd jusqu'a son mérite pour n'imaginer qu'un honneur!.... arriver a ses fins, et perdre le bonheur.

Oui mais on peu faire deuil de ça en reconnaissant sa nature humaine sans pour autant ne pas oublier d'offrir des sourires, de la joie et de donner plaisir à un enfant en lui montrant un lapin dans les nuages! Moi je veux que la vie sois belle, donc par force je me protège du mieux que je peux des cons!

Parfois sur certains sacrifices mais j'y gagne beaucoup plus en reconnaissance et en luxe de vie (rapports)

Je vous lis et ça me parle bien, sauf que contrairement à Blablateur je dirais, à la manière de Rousseau (là chuis un peu plus sûr de la référence), que c'est la société qui a corrompu l'Homme bon à l'état de nature sinon...... ainsi la société a été créée à la base, non sur le fondement de la peur par rapport aux forces de la nature (d'ailleurs nos ancêtres s'en sortaient très bien, il me semble), mais par rapport à une sorte de virus de cruauté qui par la suite, grâce à la société, a pu contaminer tout le monde.......

cette cruauté ne serait-elle point la conscience elle-même, mais dans ce cas peut-on parler de valeurs au sens noble du terme puisque celles-ci sont justement des produits de la conscience ?

Sans doute vrai hélas.. Le virus de cruauté qui a contaminé nos consciences n'est ce pas la faculté de pouvoir anticiper et de vouloir faire face a ce que l'on en pense?... ou .. la dérive de notre pensée, lorsque la" perfection de s'imaginer "ou tout au moins la pure conscience butte sur la fonctionnalité ? l'esprit de l'honnête homme dérape sur la nécessité de choisir et de sacrifier.?

la perfection de s'imaginer ? ou d'imaginer la fantaisie ? un peu comme les enfants dont la capacité créative est supérieure à celle des adultes car ils ont moins de repères.... avoir besoin de repères car on est si peu conscients que nous sommes vivants, donc libres d'évoluer dans un monde aux dimensions infinies.... l'enfant, d'après des choses que j'ai pu lire, avant le "stade du miroir" comme apparemment on appelle cela, formant une espèce d'unité avec son environnement, sa conscience étant partout, un peu comme le voile d'espace-temps d'Einstein, les choses surgissant ensuite de manière spontanée, totalement libres de le surprendre.... si j'en crois ces théories, alors la distinction moi/les autres est la première chose qu'on apprend peu après notre venue au monde..... la cruauté serait donc une sorte d'immaturité de notre conscience ramenée au "moi" ; nous n'aurions jamais encore pour l'instant quitté la phase de vie qu'on appelle innocence...... est ce que la sortie de cette phase signifie atteindre la sagesse ? le sage peut-il imaginer vraiment un monde meilleur que celui qui attirait sa curiosité lorsqu'il était môme ? doit-on faire le deuil de quelque chose ou au contraire s'efforcer de retrouver un état d'être, mais même à ce moment-là il restera néanmoins la peur de la mort que seule l'idée transcendante de retrouver ses origines pourrait peut-être atténuer..... dans ce cas on parlerait plutôt d'une excitation face à la mort..... sans chercher à faire bien ou mal, mais en ayant une confiance absolue vis à vis des lois de l'univers......

(je peux partager mon joint si vous voulez)

OUi merci.. je crois que j'ai pris le meme (joint) .. faut qu'on arrete de penser là!!

Bon en fait niveau enfance c'est joliment expliqué.. la conscience de l'enfant donne une limite de nous meme donc tu dis , moins etroite.. & les reperes semblent s'étriquer petit a petit lorsqu'on s'éveille .. mais l'influence de notre societé restant l'outil majeur pour les délimiter au final.. selon sa culture et son état d'etre tu as alors une perception adaptée a tes" possibles actions" a mener..???..

En demeure la faculté de rever qui nous laisse entrevoir l'espoir.. de s'ameliorer..?