Alcoolo, et que faire ?

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courage &va.

Cette saloperie d'alcool est un fleau

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S il veut sen sortir, il faut que ce fasse aider, il sen sortiras pas tout seul. Forcement quil boira, il faut quil soit entourer 24 h sur 24 pour quon lempeche de boire, personnellement je ne suis pas tres optimiste pour lui, a moins quil decide de plus vivre seul.

Soit il vit entoure tout le temps soit il decide de faire une veritable cure et qu il soit dans un environnement ou il ne peut boire, limite enfermer, c est triste mais c est comme ca.

Courage maeva! je sais combien il est difficile de voir les siens se laisser mourir et de ne rien pouvoir faire.

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Diffiçile d'aider celui qui ne désire pas être aidé...

Courage à toute la famille de cet homme.

&va, avec toi et ta famille de tout mon coeur...

Ne culpabilisez pas, vous avez fait le maximum, il a même failli être sauvé la première fois... Peut-être aura-t-il encore un déclic, peut-être se sauvera-t-il lui-même encore ? Soyez là au cas où il a besoin de vous, mais ne vous épuisez pas pour tenter de le guérir, couler avec quelqu'un ne lui évite pas la noyade.

Je t'embrasse fort.

La maladie alcoolique a cela de particulier que comme beaucoup d'addiction seul le malade peut prendre la "decision" de l'abstinence ou du controle (si c'est réalisable).

Néanmoins l'entourage joue un role trés important pour le soutient et la déculpabilisation du malade.

C'est un destruction sociale et affective.

Bref, courage Eva ! je te transmet tout mon courage !

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Bon courage à toi eva; je n'ai pas eu ton courage et j'ai divorcé de mon mari au bout de 13 années.

Je crois que pour un père on a encore plus de patience et de dévouement que pour un époux.

Sinon, rien d'autre à dire que ce qu'a dit Chapacha. Vous avez fait tout ce qui était humainement possible et serez présents encore mais ne t'épuise pas moralement et physiquement s'il ne souhaite pas au final en sortir.

La vie elle est devant toi, pour toi, ne la gâche pas.

je t'envoies plein de courage et de bisou calinou mon ange de moi

&va, ! Moi tu sais je suis arrivée sur ce forum j'étais encore bien dedans, un vrai de la même trempe! Quand on est dedans c'est... Très difficile, on à beau avoir honte, savoir que les gens autour sont malheureux de notre propre malheur, de notre existence et situation si grise que c'en est triste!

Parfois on redresse un peu la tête, au dessus des nuages, on ressent enfin à nouveau la simple chaleur du soleil, les courants d'émotions des gens, ce petit peps et ce splin qui est en chacun de nous. Puis il est si simple de retrouvrer l'ombre, le tourment et l'envi rapide d'oublier, les souffrances, les problèmes, le devoir de justifier, de ressentir une douleur de devoir presque expliquer pourquoi l'on respire! La vie peut paraitre agaçante, monotone, si prévisible qu'on n'à plus qu'une envi, c'est de noyer ces secondes inutiles qui défilent, devenir amnésique du temps qui passe.

J'ai réussi à m'en éloigner, un jour, à force d'essayer, de vouloir et de persévérence! Quand je me cassai la gueule et retombais, souvent je mettai un bon bout de temps à me redresser à nouveau, peut être parce que je me demandais si ça valait vraiment le coup de suer pour ça! C'était pas si mal par terre!

Mais tout comme un enfant qui apprend à marcher, au bout d'un temps on se rend parfois, pour certains, à l'évidence que marcher c'est quand même bien plus pratique et agréable que de ramper. En plus ça fait mal aux genoux à force! ^^.

Aujourd'hui, ça va bien mieux, même si je fais attention et que quand il y a de l'alcool à table ou quelque part devant mon champs de vision, je cogite, ça fait pas parti du décort comme pour une personne normal, c'est toujours un truc qui à les yeux sur toi, qui te tend la main avec un gros putain de sourire, un peu comme un clown! (j'aime pas les clowns, d'ailleurs ils sont pas fait pour être droles et quand on les connait ils font plus flipper qu'autre chose, ce sont des masques d'épouvantes). Et je voulais t'écrire ce petit mot pour que tu le fasses lire voir lui faire une petite lettre si tu veux, car maintenant, là ou je suis, avec qui je suis, et bien, j'ai l'impression de me regarder, comme un étranger et j'ai même parfois envi de me faire une bise, de me serrer très fort, car je suis fier de moi... J'ai envi de donner un peu de cette chance et de mon plaisir à me voir aujourd'hui à ton père, aux gens dans cette situation et souhaite à cette personne qu'il est à un moment ou un autre à nouveau le plaisir de vivre pour son bonheur et l'immense joie de ceux qui l'entourent et qui par peurs, par amour, on du mal à être heureux pour lui à sa propre pensée.

Je lui souhaite un grand courage, et une volonté sincère, ainsi qu'à toi et ton entourage beaucoup de réconfort et de patience.

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Merci, je te rassure, c'est jamais facile mais c'est en même temps toujours un plaisir de le donner quand c'est important! Puis c'est ton topic, je voulais juste par ce petit mot te faire comprendre combien je comprenais votre situation et au combien j'étais de tout coeur avec toi dans ce combat qui semble perdu d'avance chaque jour, te souhaiter bonne chance.

Mais pour revenir à ton topic, il vit donc seul aujourd'hui ?

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6 mois plus tard, tout va au mieux, le médecin s'étonne de cette convalescence, l'homme alors demande au toubib " est- ce que je peux me permettre de temps en temps de boire un pti apéro, un verre de vin...etc. Le toubib lui répond " Que ce soit 10 verres ou 1, c'est poison pour vous, mais dans tous les cas, je veux que vous veniez me voir 1x pas mois, je ne suis pas là pour vous blâmer, mais pour vous soutenir".

Première Occasion, premier verre, deux, trois......il ne va plus voir son toubib, ça sert à rien, il va bien.....

Actuellement, cet homme a son teint de couleur orange, le fond de ses yeux pareil, transporte un ventre de femme enceinte, se plaint de douleurs à l'estomac et j'en passe.....

Retour à l'hosto demain....Nouveaux examens, attendre ce qu'on sait tous, mais que l'on refoule.

Il va le cracher son foie, é oui cher père, tu le cracheras !

Le problème vient de là, il s'est senti mieux (trop vite) et s'est dit... ok, je gère, si ça ne va pas, je referais attention et ça ira mieux.

Lorsqu'on re-plonge on va plus bas qu'avant.

Je suis de tout coeur avec toi tite ~&va~ car je connais cette situation.

Fin 1992, après le taff je repassais au bar de la caserne, prix des boissons nettement moins chère que dans le civil, ce qui permettait aux alcoolo comme moi, de pouvoir boire 3 fois plus pour le même prix. :D

Après 2 ans il me fallait 6 bouteilles de porto par jour !!!

J'ai décidé de me reprendre en main, du jour au lendemain, plus une goutte d'alcool, rien pendant 2 ans, je ne sais où mais j'ai trouvé la force et le caractère de refuser lorsqu'on me proposait un verre.

Maintenant il m'arrive de prendre de temps en temps un petit apéro, mais j'en reste là.

Si tu n'as pas le caractère et que tu ne vois pas toi même que tu as un problème tu n'arriveras jamais à arrèter.

C'est très dur de sortir de l'alcool, ne soyez par trop dur avec lui, il souffre aussi de ne pas savoir stopper.

C'est très dur de sortir de l'alcool, ne soyez par trop dur avec lui, il souffre aussi de ne pas savoir stopper.

D'autant plus que socialement l'alcool est trés bien accepté. Si tu prend pas la coupe de champagne t'es le rabas joie, si tu veux pas gouter le bon pinard aussi.. Bref.

Addiction de merde, difficile et en plus on te prend pas au sérieux.

Moi pour te dire meme mes parents n'ont pas accepté que j'ai un probléme addictif avec l'alcool. Du gout meme ma mére veut me faire boire un verre de temps en temps.

Et putain ca c'est super lourd!

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