Je ne veux pas mourir

Bin oui, quand on est malade on n'intéresse plus, on nous laisse bien crever.

Et ceux qui s'intéressent à vous ne comprennent pas pourquoi on ne peut plus avoir une vie normale avec eux et ils finissent par en avoir marre.

Bin oui, quand on est malade on n'intéresse plus, on nous laisse bien crever.

Et ceux qui s'intéressent à vous ne comprennent pas pourquoi on ne peut plus avoir une vie normale avec eux et ils finissent par en avoir marre.

tant que tu donnes no soucis, on t'aime - mais dans la douleur tu te rends compte que tes amis sincères sont rares - après avoir secoué le saladier, il ne reste pas grand chose au fond !!!! tu subis la maladie et en plus la terrible désillusion de la part de tes "amis" amitiés

Les autres sont-ils responsable de vos drames ?

Ras-le-bol de soulager vos larmes

Mais pour vous ne suis personne

Quelqu'un a-t-il remarqué

Avez-vous pour autant le droit de m'abandonner[

Ne serais-ce pas plus juste de m'accompagner

De votre bêtise et manque d'humilité

Et encore un "poème"-mendiant, recroquevillé sur lui-même, qui voudrait nous faire pleurer et nous rendre coupables... Sans pour autant s'astreindre aux règles de grammaire et d'orthographe, et sans pour autant utiliser une logique quelconque... Et pourtant, alors même que vraiment, j'en ai moi-même ras-le-bol de ces textes sans intérêt, je m'arrête pour vous faire quelques critiques quant au sens de ce qiue vous avez écrit.

J'ai cru à une question rhétorique induisant une réponse par la négative, en lisant le deuxième vers (que je cite ici en position initiale). Cela dit, au regard de la suite, il semblerait que la réponse induite par le poème soit : "oui, les autres sont bel et bien responsables de vos drames". Par ailleurs, vous y mêlez deux paramètres qui, à la façon de l'eau et de l'huile, présentent une certaine incompatibilité... Vous parlez d'une part de justice ("responsables", "le droit", "plus juste") et d'autre part vous parlez d'affect et de malaise... Parce que vous manquez d'amour en somme, vous réclamez la justice. C'est un paradoxe typique des poètes romantiques, qui consiste à brandir la justice par dépit et laisse donc deviner que sans accablement, cette justice elle-même n'aurait à vos yeux aucun égard. Je trouve cela assez laid mais ce n'est qu'une parenthèse, peu importe mon avis en fait.

Je voudrais juste vous signaler qu'à vous lire, il semblerait que vous ayez besoin d'amour plus que de justice. Pour votre gouverne, la justice est l'exact contraire de l'amour... Changez de méthode, au final, vous ne trouverez sur cette voie que plus de solitude et de nuit. Le jour se fait là où brille l'amour, et c'est juste cette chaleur qui semble vous intéresser.

Au cas où ce poème aurait eu une fonction persuasive plus qu'une fonction expressive ou lyrique, eh bien je vous dirais plus simplement que le programme moral que vous proposez ici est de courte vue et assez stérile.

Donc je n'aime pas, et je vous souhaite de trouver des gens à qui vous plairez plus qu'à moi.

tant que tu donnes no soucis, on t'aime - mais dans la douleur tu te rends compte que tes amis sincères sont rares - après avoir secoué le saladier, il ne reste pas grand chose au fond !!!! tu subis la maladie et en plus la terrible désillusion de la part de tes "amis" amitiés

Et vous-même, vous attendez pourtant que l'on vous donne... de la chaleur. Alors oui, il faut donner de la chaleur pour en recevoir, c'est un échange et c'est très sain comme ça... Même si ce n'est pas saint. ^^ C'est à cette fin qu'on a créé des associations type "SOS amitié" ; y avoir recours est humiliant dans la mesure oùc'est se faire l'aveu que l'on n'a plus rien à donner aux autres. Attention donc à ce que la maladie physique ne gagne pas la sensibilité, qui n'est pas directement liée au corps...

Et encore un "poème"-mendiant, recroquevillé sur lui-même, qui voudrait nous faire pleurer et nous rendre coupables...

Vous devriez avoir honte de répondre celà à une femme malade... mais connaissant votre grand coeur, celà ne m'étonne point ! :blush:

Quand les boomerangs de ce que vous avez semé reviendront, vous ne vs étonnerez pas !

Vous devriez avoir honte de répondre celà à une femme malade... mais connaissant votre grand coeur, cela ne m'étonne point ! :blush:

Quand les boomerangs de ce que vous avez semés reviendront, vous ne vs étonnerez pas !

Visiblement, non, vous ne connaissez pas mon c¿ur. En revanche, je me représente assez bien votre esprit, que j'avais pu jauger déjà il y a un certain temps à propos d'une video montrant un jeune homme se faisant agresser par des banlieusards. Quand je vois votre avatar et que je me figure votre intellect, c'est instantanément l'image d'une ruelle étriquée qui m'apparaît, dont les murs trop hauts ne laissent guère entrer de lumière, et en guise d'air, une vapeur épaisse et nauséuse en provenance des caves...

Je fais des critiques de textes, puisque ce texte est posté en rubrique poésie, et mes critiques sont constructives, elles, ne se cantonnant pas à la commisération la plus accablante qu'étire votre "propre" réponse. Ce n'est pas en flattant l'ego des uns et des autres qu'on leur permet d'évoluer, mais en reformulant. Quant aux boomerangs, je vous laisse les imaginer et en jouïr de votre côté, puisque cela semble vous rassurer quant à votre propre attitude. ^^

quand tu donne ya toujours des gens qui ce font passer pour tes amis mais une fois que tu est malade que tu ne peu plu donner comme avant ben d'un coup ya plus personne c'est comme sa qu'on connai c'est vrai amis malheureusement