Que lisez-vous en ce moment ?

il y a 4 minutes, Gouderien a dit :

On sait que les écrivains sont souvent des gens étranges (), mais enfin j'admire Faustine Bollaert qui vit avec ce type. Lors d'une de leurs premières sorties ensemble, il l'a emmenée visiter un hôpital psychiatrique désaffecté.

C’est clair. 
Lui et JC Grangé font partie de ceux où je me dis heureusement qu’ils écrivent tout ce qui leur passe par la tête, parce qu’ils feraient de sacré criminel. 

il y a 2 minutes, Izanami a dit :

C’est clair. 
Lui et JC Grangé font partie de ceux où je me dis heureusement qu’ils écrivent tout ce qui leur passe par la tête, parce qu’ils feraient de sacré criminel. 

La différence entre un écrivain, même "gore", et un criminel, c'est que le premier contrôle ses pulsions (enfin, normalement), alors que le second est dominé par ses pulsions.

Bon du coup j'ai lu : 

Et puis je suis dans : 

il y a 5 minutes, January a dit :

Bon du coup j'ai lu : 

Et puis je suis dans : 

 

Alors le Dubois ?

J'en parle par là  : 

"Les salopes de l'Histoire" 

Intéressant.  Bien écrit.

je poursuis ma découverte des classiques historiques pour la jeunesse. 

Le 20/11/2019 à 14:25, Izanami a dit :

Les deux derniers épisodes de la saison 6 sont pour moi les meilleurs de toute la série!

En effet. On se doutait que Cersei était dingue, mais pas à ce degré...

J'ai mis longtemps à comprendre la passion déchaînée par cette série, mais là j'avoue que je suis vraiment conquis. La combinaison d'excellents acteurs (on chercherait en vain une erreur de casting) et des dernières prouesses des effets spéciaux numériques donne un résultat époustouflant. Par contre je regrette encore plus de ne pas pouvoir lire les derniers tomes du bouquin, même si, je n'en doute pas, ils doivent être très différents. Il me reste encore les saisons 7 et 8 à découvrir.

Je viens de terminer 

C'est intéressant et plutôt prenant, dommage qu'il n'y ait pas plus de profondeur sur le thème de la décorporation. La moitié du livre se retrouve plongé dans les horreurs de la seconde guerre, ce n'est pas vraiment ce qu'on en attend mais le tout reste une très bonne lecture. 

Sept jours d'idylle... Il aura suffi d'une semaine pour que s'inverse le cours de l'existence monotone de Sarah. Depuis qu'elle a rencontré Eddie sur une petite route de campagne anglaise, la jeune femme est certaine qu'un bonheur sans nuages les attend. Sa vie débute enfin.
Le jour où il lui annonce qu'il doit s'absenter pour un voyage prévu de longue date, Sarah n'a aucune inquiétude. Mais le temps passe et Eddie ne revient pas. La laisse sans nouvelles. Ne répond plus à ses messages. Rien. Alors que ses amis pensent qu'il n'est tout simplement pas intéressé, Sarah est persuadée qu'elle a manqué quelque chose. Que cache le silence d'Eddie ? Peu à peu, une explication se dessine. Mais Sarah est-elle prête à l'entendre ?

" Rosie Walsh réussit un trio gagnant, suspense-drame-amour ! " Pascale Frey – ELLE

" Ce récit vibrant et brillant va vous happer jusqu'au bout. Un livre idéal pour les vacances. " Maxi

un sacré pavé, mais tellement jouissif de lire la prospective, la société selon l'un des auteurs les plus en vue dans le milieu de la S-F française, un auteur brillant, qui commet un livre rarement, mais qui fait date. quelques longueurs, mais c'est plaisant à lire. un peu ardu parfois, de le suivre dans ses néologismes. le travail sur la typographie est original, on reconnaît la marque de fabrique de Alain Damasio. 

Lillie Bird a grandi avec ses parents dans un village australien, au sein d'une communauté religieuse très stricte. Un jour, un incendie a ravagé l'école et un homme a péri. Le pasteur a exigé que le coupable se dénonce ; Lillie, 13 ans, s'est avancée...

" Je ne me rappelle presque rien du jour où on m'a volé mon univers. Il faisait froid, ça oui, tellement froid que près de la maison un grosse pierre s'était fendue au cœur. Mais c'est à peu près tout. Nous préférons oublier certaines choses, d'autres nous sont arrachées. Ça s'est passé il y a une éternité et j'étais alors quelqu'un d'autre ; je ne portais mas le même nom et je ne vivais pas sous les mêmes cieux. "

Du jour où elle met le feu à son école, plus personne dans le petit village australien, ne prononce le nom de Lillie Bird. Condamnée à vivre en recluse à l'intérieur de sa propre maison pendant huit longues années, elle sera ensuite envoyée très loin, chez son grand-père, en Angleterre.

Lillie l'insoumise, la mystérieuse, raconte aujourd'hui son histoire à l'enfant qu'elle attend, l'exil sous les cieux gris de Londres, sa quête d'amour et d'identité dans le désert urbain...

Léonard, ado, retrouve un "ami" mort entortillé dans les cordes d'une balançoire, en pleine nuit dans un camping où il séjourne en vacances. Il va cacher cela à tout le monde, le livre est construit là dessus, sur l'incapacité de Léonard de parler, sur son malaise permanent. Deux jours de torture et d'autres choses, aussi..

Edit pour la critique : Pour un premier bouquin c'est pas mal. La dynamique est bonne, il n'y a aucune longueur. La fin reste en suspens, à la lecture je me suis dit : "mince" :-/   Et finalement "pourquoi pas".  Une réflexion plus péjorative m'est venue plus tard "quand même, tout ça pour ça..."

Ce matin j'ai commencé par ça :

J'avais acheté les trois d'un coup au festival de BD, mais maintenant va falloir que j'attende la sortie du quatrième...

Bon, poursuivons la journée avec un peu de cuisine ce matin (n'empêche pas vraiment de lire mais bon), cet après-midi :

Les Farel forment un couple de pouvoir. Jean est un célèbre journaliste politique français ; son épouse Claire est connue pour ses engagements féministes. Ensemble, ils ont un fils, étudiant dans une prestigieuse université américaine. Tout semble leur réussir. Mais une accusation de viol va faire vaciller cette parfaite construction sociale.
 

je me relis un classique

Bonjour,

Actuellement je lis " le phare" de Françoise Azoulay

Bon Lundi et excellente semaine

Les dieux de la steppe.

Je recommande. Vraiment.

De la violence, de la misère, de la guerre, de la maladie. Mais avec une volonté de vivre et un espoir qui sont très communicatifs. Et quand l'auteur le souhaite, le roman déborde de poésie. Le passage final est extraordinaire.

S'lut.

Pour mon voyage au Japon, j'ai emporté le livre d'un paléo-anthropologue espagnol,   " Le collier du Néanderthal " de Juan-Luis Arsuaga.  Cpmme le titre l'indique, c'est un livre sur nos lointains ancêtres.  L'auteur, loin d'en faire un sujet poussièreux, arrive à nous communiquer sa passion.  Il est en plus philosophe et plein d'humour.  Je l'ai lu sur les quais des gares, dans les aéroports...De quoi meubler les longues attentes...