Ne pas pensser.

Bonjour a tous,

Une foix de plus la déscription décrit bien le sujet.

Comment savoir que l'on pensse ?

Si on ne pense pas a une chose, comment peut on s'en rapeler plus tard puisqu'on y pense pas ? Et pourquoi s'en rapel t'on plus tard, alors que c'est a un moment T qu'on aurait due ?

Comment être conssiant que l'ont pense a des choses dont on ne pense pas ?

Je m'explique sur se dernier point : j'ai penser tout a l'heure a un bigorneau. Pouquoi je n'en sait rien !

Toujour est il que j'y ait penser et le je me dit "pourquoi j'ai penser a sa ?" Vous vous penser au bigorneau ? A l'eir qui vous entour ? Au milliers de virus qu'il y a sur vos claviers sans que vous ne soyez malade a cause d'eux ?

Je supose que non, donc comment peut on y penser puisqu'on y pense pas ?

Penser, avec un S :blush:

Desoler je suis nul en orthographe (c'est bien écrit la ?) vous avez d'ailleur pue vous en rendre compte.

Waouh !?!!

T'as pris quoi ? :blush:

Desoler je suis nul en orthographe (c'est bien écrit la ?) vous avez d'ailleur pue vous en rendre compte.

Oui :blush: ....Mais si tu veux que l'on prenne plus au sérieux ton sujet, fais un effort, juste pour moi , enlève un S à pensser, c'est penser merciiiiiiiiiiiiiiiiiiii

MDR trop fort le topic ! :blush:

Eh mais le plus flippant, c'est que je vois trop ce que tu veux dire ! Moi aussi je peux partir loin comme ça, en réfléchissant un peu trop...

certains ressentis n'ont pas besoin d'être exprimés en mots pour exister, et pourtant ils sont présents.....

C'est plutôt dans science que dans philo que ça devrais se trouver, je pense.

En neuroscience (qui n'a pas grand chose d'une science, du point de vu du sérieux de ses analyse, mais qui propose des hypothèses intéressante) on considère que le cerveau enregistre tout ce qui se passe autours de toi, et fait des liens avec ce qu'il a déjà enregistré.

Mettons que tu ne sache rien du tout (t'es un tout petit bébé qui découvre le monde)

Arrive un évènement : tu te pique à une rose :

Le cerveau enregistre la totalité de ce que tu perçois : la piqûre, la fleur que tu vois, les vêtements que tu sens autours de toi, la musique que tu entends, le ciel les oiseaux que tu vois, et même ce à quoi tu étais entrain de penser. Donc toutes tes sensations sont enregistrées. Tu ne sais pas ce que c'est qu'une rose, ni une piqure, et tu n'as rien qui te permet de savoir ce qui a provoqué cette sensation.

Plus tard, si tu re-vis un évènement semblable, le cerveau va essayer, en plus de l'enregistrement de ce qu'il t'arrive, de tisser des liens avec les évènements précédent, déjà enregistré. Il se souvient de la piqure, que tu as déjà ressenti, et associe donc le souvenir de la piqure ancienne (la totalité de tout ce que tu avais enregistré) avec tout ce que tu viens de vivre à l'instant (la totalité de ce que tu ressens maintenant).

Cependant, il y a des éléments qui se retrouvent identiques et des évènements qui ne se retrouvent pas. Par exemple, les oiseaux ne sont plus là, la rose que tu vois est toujours là. C'est pas exactement la même, mais ça a la même couleur, et surtout il y a toujours exactement la même forme bizarre : l'épine.

La musique (ou l'ambiance sonore) n'est pas la même, le ciel à changé de couleur, tu ne porte pas les mêmes vêtements, tu ne pensais pas à la même chose etc... Donc un lien va se crée particulièrement entre la sensations de piqure et la couleur de la fleur, et la forme de l'épine....

é force de lien entre les expériences vécus, on peut ainsi associer des choses. C'est comme ça que se crée les concepts. par exemple le concept de "rose", car aucune rose que tu as vu n'est semblable à une autre... mais les liens très forts entre tous ces sensations plus ou moins semblables vont créer comme un "nœud" : c'est le concept. Des liens très très fortements associés entre la sonorité ou la vision du mot "rose", la couleur, les épines (souvent mais pas toujours) etc...

C'est comme ça qu'on identifie des objets dans des catégories.

Bon, après, il y a d'autre mécanismes, comme la réflexion, qui permettent par l'imagination de se placer dans un "autre monde" et d'en tirer des expériences qui ne se sont pas réellement passée. C'est à dire à l'aide de lien qu'on a déjà établis entre des choses, on simule des évènements et on associe ensemble d'autres éléments qui pouvait ne pas être très liée ensemble au début. A était lié à B, B était lié à C -> avec notre réflexion on lie petit à petit A à C. C'est comme ça par exemple qu'on peut associer un danger à un panneau, sans avoir jamais vécu le danger proprement dit : par notre imagination qui a travaillé un temps sur ce qu'il pourrait se passer de désagréable, quand on apprenait la signification du panneau.

La réflexion travaille dans la conscience, mais travaille aussi fortement dans les rêves, où les "test des liens" se déroulent un peu au hasard, simulant tout ce qui pourrait se simuler, pour fortifier notre réseau de lien.

Plus un lien est utilisé, plus il se renforce. Moins il est utilisé plus il s'affaiblit.

Cependant, les liens ne se créent pas toujours de manière logique. Et la très très grande majorité du temps de manière inconsciente.

Si tu écoute toujours une musique en te piquant à une rose, tu va aussi associer la musique à la piqure. Et si tu te pique toujours au même moment de la musique, tu va associé ce moment précis à une piqure.

Le lien créé peut être tellement fort après de très nombreuses expériences de ce genre, que si on te passe la musique, tu vas ressentir la piqure au moment exact décidé. Parce que le lien aura été activé. C'est ce phénomène qui est utilisé dans les bourrages de crâne, ou les lavage de cerveau.

Pas besoin d'y croire, pas besoin d'un lien logique : on t'assène en continue deux sensations, ou deux idées, et elles finiront pas s'associer dans ta tête sans que tu puisse rien y faire. Et l'appel à l'une appellera automatiquement l'autre. (exemple l'"immigration" et "la croissance du chômage en France".)

Mais quand on laisse sont esprit se balader (quand on "rêve" éveillé, par exemple) on test des liens qui ne sont pas aussi fort.

Pour répondre à ton exemple du bigorneau, il y a donc deux possibilités : soit c'est un élément de ta perception directe qui est lié à l'idée du bigorneau. L'activation du premier élément a activé le lien et tu t'es retrouvé avec l'idée du bigorneau.

Sois c'est ton cerveau qui "rêve" et test ces liens entre les différentes choses (donc les liens très faibles, ou déambule d'idée en idée en suivant les liens) et est finalement arrivé à l'image du bigorneau.

Ceci de manière inconsciente.

Ensuite, la conscience test par la logique ou un ensemble de critère chacun des liens exploré par l'inconscient, et quand il tombe sur "un truc important" (une idée de lien intéressant, une sensation assez forte...) la conscience s'attele au travail. C'est le moment où l'idée est "découverte". Le moment où elle devient consciente.

Et là, tu te met à réfléchir au bigorneau, pour ajouter au travail "hasardeux" de ton inconscient le travail plus précis et plus insistant de ta conscience.

:blush:

J'en enfin prit le temps de supreimer les "s" en trop.

Pour repondre a yotisofoy j'ai rien prit (c'est d'ailleur la que sa fait peur).

Et j'ai bien aimer l'hsitoires des liens de l'inconscient qui "donne" au concient un travail en vraque et que se dérnier remet tout en place.

Mais se qui est chiant avec l'inconcient c'est que justement on ne sait pas se qu'il pense.

Y'aurait pas une chose a faire, un chemin, une manniére de remonter dans sont inconscient pour voir d'ou provient cette pensé ?

l'hypnose thérapeutique

http://www.hypnose.fr/hypnthe_app_hypnoanalyse.htm

Pour repondre a yotisofoy j'ai rien prit (c'est d'ailleur la que sa fait peur).

T'inquiète, j'apprécie ceux qui sont capables de délirer sans avoir rien pris :blush:

Mdr heureusement (mais c'est mon cerveau qui me pose des colles defoit) :blush: