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La taxe CO2 pour le gouvernement mondial fin 2009


existence

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Membre, Posté(e)
existence Membre 5 823 messages
Forumeur activiste‚
Posté(e)

Les principaux candidats aux élections présidentielles sont préchoisis par les cercles de réflexions comme le groupe Bilderberg ou la French American Foundation. Il s'agit d'une apparence de démocratie. Nous assistons en ce moment à une transition vers une forme plus ouverte de domination. Les Etats-Unis en faillite sont progressivement mis en tutelle par le FMI qui assure surtout les intérêts de créanciers au détriment des populations. Il y a ce faisant un transfert de pouvoir vers les mains des économistes internationalistes. Ces derniers parlent aujourd'hui ouvertement de gouvernance mondiale.

On a suscité l'aversion de l'entreprise, avec libéralisme sans limites qui est une parodie du libéralisme étant donné que la propriété des uns quand elle n'est pas limitée devient une prison pour les autres. Les internationalistes qui affirment savoir mieux que nous ce qu'il faut faire quand il s'agit de l'économie. Ils affirment plus ou moins ouvertement que la planète doit être dirigé par une élite de banquiers et d'intellectuels grâce à l'aide d'un système plus "intégré" via des surensembles toujours plus grand, que ce soit l'Europe déjà en place, ou bien l'union Nord-Américaine qui a déjà été signée, mais pas concrètement mis en oeuvre, et qui consiste à la suppression des frontières entres les Etats-Unis, le Canada et le Mexique.

En décembre 2009 à Copenhague (Danemark), les pays ont prévu de signer un traité pour instaurer une taxe international sur le carbone et des moyens pour obliger à mettre en application, pendant le "sommet international sur le climat". Selon Pat Buchanan, cela va entrainer un transfert de richesse vers le gouvernement mondial naissant (il est déjà plus ou moins là), et va appauvrir les classes moyennes et les classes populaires. Selon les scientifiques non alignés, le climat a toujours varié et ses variations à court terme sont probablement dues aux variations de l'actvité solaire et à long terme aux paramètres de Milankovic (position de la planète par rapport au soleil, théorie vérifiée en 1976 par Hays, Imbrie et Shackleton).

Ressources :

Pat Buchanan qui parle du la taxe carbone pour financer le gouvernement mondial, au passage cela va appauvrir les classes moyenne et les classes populaires :

http://mediamatters.org/mmtv/200906270002

Il était pourtant de ceux qui ne croyaient pas du tout au projet de gouvernement mondial quand en 1983 dans son émission télévisée, Lary MacDonald lui révéla le projet en question.

http://www.dailymotion.com/video/x5tw12_la...w-world-or_news

D'après Christopher Monckton, à la conférence de Copenhague en décembre 2009, sera signé les bases d'un gouvernement mondial, un transfert de richesse vers les pays pauvres pour payer une "dette environnementale", avec la taxe carbone, et un système pour imposer les obligations en question. Pour lui c'est la fin de la souverainté des Etats-Unis et il ne sera pas possible de revenir en arrière (en tout cas légalement) :

http://www.youtube.com/watch?v=ddQvhdCyhe4&hl=fr

L'activisme de réseau est utilisé pour "activer" la taxe carbone mondiale :

http://www.avaaz.org/fr/sept21_toolkit/

Le dollar s'écroule depuis un moment, à présent le FMI commence à prendre le contrôle des Etats-Unis. Sous prétexte de régulation, une partie du pouvoir est transféré au économistes internationaux qui ne sont pas élus :

http://www.youtube.com/watch?v=xbTCmSdHvrk..._embedded#at=24

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Membre, Posté(e)
onemoredrink Membre 26 messages
Baby Forumeur‚
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vive le gouvernement mondial le groupe bilderberg et le cfr! merci a la droite républicaine au centriste et bien entendu ases bouffons de socio démocrates qui mérite de ce faire couper les couilles car il en ont pas au derniere nouvelle. on est la derniere génération de mec libre bordel réveillait vous les prolétaires.

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  • 2 semaines après...
Membre, 37ans Posté(e)
Bref425 Membre 428 messages
Baby Forumeur‚ 37ans‚
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:blush: Hi ! :coeur:

<H1 class=h1>Auteur dit G-20 Rencontre en Ecosse cette semaine au sujet du dumping US Dollar </H1>Best-seller Daniel auteur Estulin que la question clé qui sera débattu cette semaine à des ministres des Finances du G20 et les gouverneurs des banques centrales de réunion, qui se tiendra à St. Andrews, en Ecosse, est de savoir comment faire tomber le système mondial actuel financiers par l'intermédiaire de dumping aux états-Unis dollar.

(Vocus/PRWEB ) Novembre 3, 2009 - Best-selling author Daniel Estulin indique que la question clé qui sera débattu cette semaine à des ministres des Finances du G20 et les gouverneurs des banques centrales de réunion, qui se tiendra à St. Andrews, en Ecosse, est de savoir comment faire tomber le système mondial actuel financiers par l'intermédiaire de dumping au dollar américain. Estulin abord rendu compte de cette initiative, actuellement en débat à la réunion Bilderberg plus récente lieu en Grèce en Mai 2009. Estulin affirme que le succès ou l'échec de cette charnières plan cynique sur la capacité des Etats-Unis et les représentants du Royaume-Uni pour convaincre les Russes, les Chinois et d'autres gouvernements nationaux à se rallier à leur régime.

Estulin soutient que, si les co-conspirateurs réussir, la dévaluation soudaine, telle du dollar américain entraînerait le naufrage de l'économie mondiale à travers une chaîne-collapse réaction du système financier mondial tout entier. Comme indiqué lors de back super le Groupe de Bilderberg conclave secret en Mai, cette ventilation serait alors utilisé comme une excuse pour lancer un monde nouveau système monétaire. Les dirigeants du G20 sont conscients que ceux qui gèrent les marchés monétaires, le système monétaire, le contrôle du monde. C'est pourquoi, aujourd'hui, le monde est dirigé par une dominante en devises du système monétaire et non par des systèmes de crédits nationaux.

Une crise panne sévère aurait une incidence sur tous les coins du monde et être un prélude à l'instabilité, les guerres et l'hostilité générale le long de lignes financières, géographiques et géopolitiques, qui touchent non seulement particulier les pays mais aussi des sociétés, des cultures et des continents entiers. Une telle répartition pourrait se traduire par une consolidation du système monétaire du monde.

Estulin déclare que la création de la nouvelle devise mondiale est le vrai sens de la mondialisation, qui n'est rien mais un empire. Il est l'élimination de l'état-nation, la dégradation des libertés individuelles, nationales et la déprédation des droits civiques.

L'effondrement du dollar américain, tout d'abord, est une atteinte à la structure des états-Unis

économie vers la création d'une compagnie du monde ».« Ce concept, les Etats Estulin, a d'abord été discuté lors de la avril 1968 Groupe Bilderberg réunion, tenue au Canada à Mont Trembland, par George Ball, un haut Lehman banquier Frères et ancien sous-secrétaire chargé des affaires économiques pour les présidents John Kennedy et Lyndon Johnson.

Le but de cette société mondiale, comme l'a expliqué M. Ball a été "d'éliminer la structure politique archaïque de l'état-nation» en faveur des plus "modernes" structure d'entreprise.

Ball a également appelé à plus grande intégration politique en Europe, puis dans le reste du monde, comme une condition préalable à l'expansion de la puissance d'une compagnie du monde, mettant ainsi les financiers sur les mêmes niveaux que les gouvernements.

Cette initiative, la délaissant le dollar américain comme monnaie mondiale, est la véritable intention de la réunion du G20 Novembre 6-7 à Saint-Andrews en écosse, le site de la conférence Bilderberg 1998, Estulin affirme.

http://www.prweb.com/releases/G-20/US_Dollar/prweb3150584.htm

:bo: Thank Maria !

http://blogs.myspace.com/index.cfm?fuseact...logId=517001233

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Membre, Posté(e)
existence Membre 5 823 messages
Forumeur activiste‚
Posté(e)

Voilà une petite traduction des pages 71 à 75 du rapport The First Global Revolution du Club de Rome. Le livre est disponible en ligne ici.

La démocratie n'est pas une panacée. Elle ne peut pas tout organiser et n'est pas consciente de ses propres limites. Nous devons regarder les choses en face, honnêtement, aussi sacrilège que cela puisse paraître. Dans sa forme actuelle, la démocratie n'est plus adaptée pour les tâches à venir. La complexité et la nature technique de beaucoup de problèmes d'aujourd'hui ne permet pas toujours d'élire des représentants pour prendre des décisions compétentes au bon moment. Peu de politiciens au pouvoir sont suffisamment conscients de la nature globale des problèmes qu'ils ont en face d'eux, et ont peu, voire aucune, conscience de l'interaction entre les problèmes. En général, les discussions averties sur les principales questions politiques, économiques et sociales ont lieu à la radio ou à la télévision plutôt qu'au parlement, à leur détriment. Les activités des partis politiques sont tellement concentrées sur les échéances électorales et les rivalités de parti qu'ils finissent par affaiblir la démocratie qu'ils sont supposé servir. L'approche controntationnelle donne l'impression que l'intérêt du parti prime sur l'intérêt national. Les stratégies et les tactiques semblent plus importantes que les objectifs et souvent une circonscription électorale est négligée dès qu'elles acquise. Avec le mode opérationnel présent, les démocraties occidentales voient leur rôle formel décliner et l'opinion publique se dispersant et s'éloignant de leurs représentants élus. Cependant, la crise du système démocratique contemporain ne doit pas être utilisé comme une excuse pour rejeter la démocratie.

Dans les pays qui s'ouvrent à présent à la liberté, la démocratie est introduite dans une situation qui demande des grand changements d'attitudes et de modèles de comportement de la part des citoyens. Ces problèmes inévitables de fusionner avec la démocratie sont difficiles à résoudre. Mais il y a un autre problème, encore plus sérieux. La démocratie ne construit pas nécessairement le pont entre une économie coloniale ou néo-coloniale ou une économie bureaucratique centralisée, et une économie de marché basée sur la concurrence et capable de produire de la croissance. Les attitudes, les relations de marché et les styles de management n'existent tout simplement pas dans un pays expérimentant une situation de transition comme aujourd'hui, qui du fait de changements soudains et imprévus, n'a été ni plannifiée ni préparée avec les structures nécessaires. Si on permet à une telle situation de durer trop longtemps, il est probable que la démocratie se verra attribuer la responsabilité d'une économie à la traine, les pénuries et les incertitudes. Le concept même de démocratie pourrait alors être questionné et permettre la saisie du pouvoir par des extrémistes d'une sorte ou d'une autre.

Winston Churchill avait raison quand il déclara malicieusement que la démocratie est le pire des systèmes, à l'exception de tous les autres. Cependant, nous devons être conscient de son érosion, de sa fragilité et de ses limitations. Quand quelqu'un dit il est évident ce qu'il faut faire pour améliorer la situation, alors certains demandent pourquoi est-ce que cela n'est pas fait ? Et si effectivement ils demandent, ils auront à répondre que c'est parce que nous manquons de volonté politique ou alors c'est à cause de nos habitudes, ou bien de notre manque de vue à long terme, ou à cause des politicens etc. Notre incapacité à indiquer comment surmonter ces sources d'inertie et de résistance démontre qu'il est clair que nous ne sommes pas sûr du tout de ce qu'il faut faire. Ne regardons de haut (psychologiquement parlant, nous sommes dans le déni) notre ignorance et à la place, nous disons que nous manquons de pouvoir politique. Le besoin essentiel est de revitaliser la démocratie et de donner une large perspective qui permettra d'affronter la situation globale en évolution.

La vraie question est, est-ce que le nouveau monde que nous trouvons est gouvernable ? La réponse est : avec les structures et les attitudes existantes, probablement pas. Avons-nous rassemblé les moyens nécessaires et la sagesse de prendre des décisions à l'échelle requise pour la problématique mondiale, en prenant en compte les exigences temporelles ? Il y a une contradiction croissante manifeste entre l'urgence de prendre des décisions et les processus démocratiques fondés sur les procédures comme le débat parlementaire, le débat public, les négociations avec les syndicats ou les organisations professionnelles. L'avantage évident de ces procédures est la réalisation d'un consensus ; le désavantage se trouve dans le temps qu'elles prennent, en particulier à un niveau international. Car, en effet, la difficulté est non seulement dans la prise des décisions, mais aussi dans son implémentation et son expertise. Le temps dans ces sujets a acquis une valeur éthique profonde. Les coûts des délais sont énormes en termes de vie humaine et de privation, aussi bien qu'en gaspillage de ressources. La lenteur de la prise de décision dans un système démocratique est particulièrement dommagable au niveau international. Quand les dictateurs attaquent et qu'un maintien de l'ordre international est requis, les délais dans la prise de décision peut affecter mortellement des milliers de personnes.

Le problème alors est d'inventer des instruments de gouvernance capable d'affronter le changement sans racourir à la violence et maintenir la sorte de paix qui fourni la sécurité, la justice et la réalisation de la croissance pour les individus tout comme pour les sociétés. Non seulement nous devons trouver de meilleur moyens de gouverner aux niveaux nationaux et internationaux, mais aussi nous devons déterminer les caractéristiques de la capacité de gouverner. La 'gouvernance' mondiale dans notre vocabulaire n'implique pas un 'gouvernement' mondial, mais plutôt des institutions mises en place pour la coopération, la coordination, et les actions courantes entre des Etats souverains durables. La bonne et, pour nos objectifs, encourageante nouvelle est que :

- les peuples et les nations commencent à être d'accord à prendre les 'prochaines mesures' ensembles. (Cependant, ils font attention d'éviter d'être d'accord sur le pourquoi ils sont d'accord.) ;

- ils atteignent un consensus par des procédures pratiques plutôt que par des votes formels des représentants gouvernementaux ;

- beaucoup de fonctions internationales, en particulier celles nécessitant le plus de prévoyance et de flexibilité opérationnelle, peuvent être réalisées à travers de arrangements non gouvernementaux ;

- dans beaucoup de domaines, les gouvernements ont finalement réalisé que le déploiement du droit qu'ils chérissent le plus, leur souveraineté, requiert qu'elle soit mise en commun avec la souveraineté des autres nations, afin de faire des choses qu'aucun d'eux ne pourrait seul. En ce sens, le coopération ne signifie pas de renoncer à la souveraineté, mais plutôt de l'exercer à travers l'action collective (plutôt que de la perdre ou simplement de ne pas l'utiliser).

Que ce soit à un niveau international, national, ou au niveau des entreprises, le problème de la gouvernance se présente dans des termes nouveaux. La complexité croissante du monde et de ses problèmes rend nécessaire d'avoir une complète maitrise sur l'énorme quantité d'information avant d'arriver à une décision. Cela pose immédiatement la question de la qualité de l'information, elle est en danger constant d'obsolescence rapide et d'inexactitude possible, ou d'être utilisée pour une propagande ostensible. Un second obstacle à la gouvernance est causée par la taille croissante et l'intertie des grandes bureaucraties qui étendent leurs tentacules autour des centres de pouvoir et ralentissent ou paralysent à la fois la prise de décision et son implémentation. D'autres obstacles cruciaux consistent en un manque d'éducation pour avoir des citoyens compétents et une compréhension intergénérationnelle inadéquate.

Cependant, une autre difficulté vient du manque de coopération à l'intérieur de l'administration et de ses structures en plusieurs domaines. Si les différents centres de pouvoir n'apprennent pas à coopérer, et à la place insistent pour agir dans l'ignorance de ou en opposition avec les autres, l'apathie administrative résultante peut entrainer des délais que peuvent amener à l'inefficacité, de mauvaises décisions et la confrontation.

Pour le moment, la gouvernance a opéré en traitant les problèmes séparément and selon un mode vertical, c'est-à-dire secteur par secteur. Aujourd'hui l'interaction entre les problèmes est le monopole des gouvernements et de leurs domaines, travaillant à vide. Il y a besoin d'amener de nombreux partenaires dans le processus (les organisations dans les affaires et industrielles, les institutions de recherche, les scientifiques, les organisations non gouvernementales et les organisations privées) de manière à ce que l'expérience et les compétences les plus larges possibles soient rendues disponibles. Et, bien sûr, un soutien public éclairé, où le public est conscient des nouveaux besoins et des conséquences possibles des décisions, serait essentiel. Un monde dynamique nécessite un système nerveux efficace au niveau de la base, non seulement pour s'assurer d'une large gamme d'entrées, mais aussi pour rendre possible l'identification de chaque citoyen avec le processus commun de gouvernance.

Dans la situation présente, dans le monde, le manque d'identification des gens avec le processus de prise de décision est exprimé sous la forme de l'indifférence, le scepticisme, le rejet ostensible des gouvernements et des partis politiques, qui sont vu comme ayant peu de contrôle sur les problèmes de nos jours. Ces attitudes sont clairement indiquées par une baisse du taux de participation aux élections.

En cherchant un ennemi commun contre qui nous pouvons nous unir, nous sommes arrivé à l'idée que la pollution, la menance du réchauffement climatique, les pénuries d'eau, la famine et autres, ont les qualités requises. Dans leur totalité et leurs interactions ces phénomènes constituent effectivement une menace commune à laquelle on doit se confronter, tous ensemble. Mais en désignant ces dangers comme ennemi, nous tombons dans le piège, dont nous avons déjà prévenu les lecteurs, à savoir de prendre les symptomes pour des causes. Tous ces dangers sont causés par l'intervention humaine dans les processus naturels, et ce n'est qu'à travers des changements d'attitudes et de comportement que nous pouvons les surmonter. L'ennemi réel est alors l'humanité elle-même.

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