Un citoyen responsable du malheur d'un autre?

Je me suis rendu compte meme parmi mes proches qu'il y avait une forte majorité qui se laissait dicter leurs vies par la télé ou les modes en voguent(le type qui fonce aux soldes quand on lui dit,celui qui s'inscrit(ou ses enfants) au rugby parce qu'on lui dit que c'est la coupe du monde donc il faut le faire,celui qui se laisse persuader qu'il manque de calcium et qui va se gaver de yaourt...) et qui donc encourage la surconsomation et l'impose à l'entourage par la loi du nombre.

Donc je voudrais savoir si certains se reconnaissent dans ce citoyen qui decide de tout par la majorité ou si d'autres aussi on ces droles de personnes autour d'eux??

sa s'appelle la masse populaire, la pensée unique prédomine sur les pensées personnelle

et sa fait 4000 ans que sa marche comme sa

Comme disait l'ami Aristote, l'Homme est un animal social. Pour le rester, il suit le groupe .. en général, et bien souvent inconsciemment. Sinon, il risque de devenir marginal (ce qui ne déplait pas à tout le monde pour autant )

Quoi que répondront ceux qui ne se disent pas concernés, je ne les croirait pas car la médiatisation est partout dans notre vie, à part d'aller vivre dans l'himalaya, et encore, peut-être, renconctreront-ils le yiéti qui leur communiquera peut être les dernières infos. Donc je crois que nous sommes influencés par les médias, notre cercle familial et amical, de travail, que ce soit sur le plan de l'ouïe, de la vue, des émotions et sensations diverses.

Le poids du groupe oui... mais il y a des limites.

On est aussi complices de se laisser dicter des comportements, même s'ils sont rituels comme Noël ou la Saint-Valentin. On le fait parce qu'on le veut bien.

Volonté non pas soumise mais interdépendante des groupes sociaux auquel on appartient (familles, amis, travail, club,...).

Bref, nous influençons les médias par nos comportments, les médias nous influencent en retour, etc...

La plupart des déterminismes sont inconscients mais les médias augmentent le pouvoir "d'orientation de la pensée des masses". C'est pour ça que beaucoup de non-événements en deviennent, par de simple buzz ! (et internet est fort pour relayer ça)

Penser avec recul dans un monde qui fait tout pour ne pas nous le permettre (plus vite, plus fort, plus mieux, plus gros, plus grand, ne lève pas le nez vers les étoiles, plus cool, plus branché,...) avec sa surenchère et ses "coups marketing".

Info, publicités, nouveaux besoins. Tout ça, c'est pour le fric.