(c'est un lancement d'une  discussion afin d'encourager la création)

C’est vraiment une chose tout à fait plus qu'inutile que de forcer les serrures des portes ouvertes.

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Professeur Hippolyte Hartclupp (Mes Rencontres avec la lune)

Il y a 21 heures, BadKarma a dit :

Ça fait rêver de finir tel ce poète maudit rongé par ses propres vers ...

surtout si ces vers ont douze pieds ! et peuvent parfois sonnet les gens !

il y a 23 minutes, Spleen nostalgique a dit :

 

C’est vraiment une chose tout à fait plus qu'inutile que de forcer les serrures des portes ouvertes.

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Professeur Hippolyte Hartclupp (Mes Rencontres avec la lune)

surtout si ces vers ont douze pieds ! et peuvent parfois sonnet les gens !

Nous regrettons ce temps béni où certains commentateurs à cause de leurs poèmes étaient condamnés soit au bagne soit à la pendaison ! 

( Etude des moeurs sur les réseaux sociaux  par Stephan Poylhagraté)

Les amis de la poésie alcooliques estiment rien de plus naturel qu'ils soient sonnets tant savent-ils qu'au bout de leur ivresse goûteront-ils l'amère ciguë jusqu'à l'avoir dans le Haïku ...

il y a une heure, BadKarma a dit :

Les amis de la poésie alcooliques estiment rien de plus naturel qu'ils soient sonnets tant savent-ils qu'au bout de leur ivresse goûteront-ils l'amère ciguë jusqu'à l'avoir dans le Haïku ...

La marche oblique ne doit pas être assimilé à une quelconque marche de canards.

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Professeur Hippolyte Hartclupp (étude sur l'air de temps)

Il y a 1 heure, Spleen nostalgique a dit :

Il ne faut pas toujours ne voir que drames ou tragédies dans ce qui n'est que comédie ! 

Stephan Poylhagraté (Mes nuits sans lumière)

Nous avons cette faculté de rire d'une glissade sur une peau de banane sans redouter la fracture du crâne

J'ai le sentiment qu'à un même fait 2 possibilités

Un peu comme l'arbre qui tombe sans faire de bruit si personne ne l'écoute ou comme la réalité d'une couleur qui n'existe que dans notre cerveau

Il y a le fait et l'expérience inter subjective puis subjective du fait : le constructivisme

Une bonne comédie est un art quand une mauvaise tragédie est une facilité 

Mais une bonne tragédie, la, ça devient tout de suite plus difficile d'en rigoler quand elle est avérée

La comédie est l'antidote de la tragédie facile

Il y a 3 heures, zenalpha a dit :

Nous avons cette faculté de rire d'une glissade sur une peau de banane sans redouter la fracture du crâne

J'ai le sentiment qu'à un même fait 2 possibilités

Un peu comme l'arbre qui tombe sans faire de bruit si personne ne l'écoute ou comme la réalité d'une couleur qui n'existe que dans notre cerveau

Il y a le fait et l'expérience inter subjective puis subjective du fait : le constructivisme

Une bonne comédie est un art quand une mauvaise tragédie est une facilité 

Mais une bonne tragédie, la, ça devient tout de suite plus difficile d'en rigoler quand elle est avérée

La comédie est l'antidote de la tragédie facile

Ainsi vous êtes du genre à vous laisser mourir de chagrin si la soupe est trop froide ?
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Citation de la réplique dans "Une saison d'automne encombrante " (chapitre 494)    d'Antoine de Rivebasse
 

il y a 19 minutes, Spleen nostalgique a dit :

Ainsi vous êtes du genre à vous laisser mourir de chagrin si la soupe est trop froide ?
<
Citation de la réplique dans "Une saison d'automne encombrante " (chapitre 494)    d'Antoine de Rivebasse
 

En fin de compte...

il y a 7 minutes, zenalpha a dit :

En fin de compte...

 

Depuis bien longtemps j’ai pu enfin me rendre compte que les pires des intégristes : ce sont ceux qui les harcèlent !
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Citation tirée du livre du professeur Hippolyte Hartclupp (Mes années d’errance sur les réseaux sociaux)
 

il y a 8 minutes, Spleen nostalgique a dit :

Depuis bien longtemps j’ai pu enfin me rendre compte que les pires des intégristes : ce sont ceux qui les harcèlent !
<
Citation tirée du livre du professeur Hippolyte Hartclupp (Mes années d’errance sur les réseaux sociaux)
 

Et les victimes ne sont pas toujours celles qu'on croit

Bâillonne ton voisin ne crois pas qu'il se tait derrière ton masque

C'est du Zenalpha 

il y a 57 minutes, zenalpha a dit :

Et les victimes ne sont pas toujours celles qu'on croit

Bâillonne ton voisin ne crois pas qu'il se tait derrière ton masque

C'est du Zenalpha 

En effet, les victimes ne sont pas toujours celles qu'on croit ! tenez par exemple : le problème c'est que l'on n' a pas vraiment réellement conscience de la présence d'une victime Suisse, parce qu'ils sont tellement si effacé ces braves gens !

ainsi ce midi en allant manger une pizza sur le vieux-port ,

nous nous sommes assis, à la terrasse d'un restaurant, sur les genoux d'un couple de touristes Suisse

et ce n'est seulement qu' au bout de dix minutes que nous nous sommes apercus de leur presence !

et ce n'est qu'aprés plus d'un quart de heure qu'ils ont proteste du bout des lèvres !

(comme quoi une victime Suisse au moins elle ne proteste pas et on n'a pas besoin de la bâillonner)

il y a 37 minutes, Spleen nostalgique a dit :

Le problème c'est que l'on n' a pas vraiment réellement conscience de la présence d'un Suisse, parce qu'ils sont tellement si effacé ces braves gens !

ainsi ce midi en allant manger une pizza sur le vieux-port ,

nous nous sommes assis, à la terrasse d'un restaurant, sur les genoux d'un couple de touristes Suisse

et ce n'est seulement qu' au bout de dix minutes que nous nous sommes apercus de leur presence !

et ce n'est qu'au bout de plus d'un quart de heure qu'ils ont proteste du bout des lèvres !

(comme quoi une victime Suisse au moins ne elle proteste pas et on n'a pas besoin de la bâillonner !

)

Je respecte les choix des suisses comme je respecte les muets.

Chacun fait ce qui lui plaît et ce qu'il peut.

Vois-tu mon grand père était berger dans les abruzzes près de l'Aquila au campo imperatore dans les abruzzes...

Ce n'est pas la Suisse...

Un jeune garçon de 8 ans le regarde une dernière fois, sa trachéotomie bruyante transpercait la chambre, ses yeux bleus flamboyants laissaient miroiter la dernière flamme 

Depuis ce moment, j'ai appris à forger les mêmes petites histoires que mon grand père quand de sa voie rauque et inaudible, il avait ce même pouvoir de nous captiver nous les minots et si personne ne protestait... tout le monde l'écoutait religieusement 

Tu en verras des histoires de ma part sur ce forum ici et là.

En voici une

Pietro le berger méditait sur les chèvres de son troupeau...

Être une chèvre, cela aurait pu être une excellente chose....

Manger l'herbe des prés, suivre le troupeau, manger à sa faim, être en famille et avec ses amis

Une chèvre semblait pourtant avoir fort caractère et ne supportait plus... l'odeur du bouc

Pietro l'imaginait prendre sa place pour devenir berger.

Pouvait on être chèvre et berger en même temps ?

La nature du bouc etait elle d'être le bouc émissaire ?

Pietro médita...

Juge et partie c'est contre nature...

Non. il devait y avoir un ordre naturel des choses.

Être dans un troupeau de chèvres et pâturer ou être berger et surveiller, cela changeait radicalement la perspective 

La sienne était sa famille 

Il préférait les pâturages aux mines du Nord et pourtant sa perspective devenait aussi claire que son regard

Il y laissa sa vie

Mais il vécu.

Le 17/11/2025 à 19:55, zenalpha a dit :

Personnellement j'ai le vers solitaire 

Un tour de vis innocent, un doux libertinage

Comme un coup de vent défroqué qui s'éclaire

Des feux intimes d'un monde offert en apanage

 

Mon innocence est un Apollon apologique

Du crime exquis qui pare le supplice

Je suis la rose au cachot qui logique

Du noir jardinier en complice se glisse

 

Ô vertu martyrisée ô vers qui te retourner

Dans mes écueils aux pages mal famées

Ta chute est un sonnet ta lune un astre fané

Quel libertinage d'idées sans jamais consommer

 

Ainsi mon vers orphelin et sans grâce

S'acharne à peindre un tunnel toujours plus sombre

Il est le Sade d'un temps sad qui lasse

Faisant de l'ombre le chef d'œuvre de la vertu

O Justine, O Justine  tant et tant de malheurs

S'acharnent encor et puis encor sur votre coeur

La poésie en personne  n'a aucune vertu

Lorsqu'elle ne fait que  tourner autour du trou d'un c...

il y a 11 minutes, querida13 a dit :

O Justine, O Justine  tant et tant de malheurs

S'acharnent encore et puis encore sur votre coeur

La poésie en personne  n'a aucune vertu

Lorsqu'elle ne fait que  tourner autour du trou d'un c...

 

Justine n'est pas la philosophie du trou du cul ni par un trou du cul

C'est la philosophie du naturalisme radical ou la vertu inébranlable (en un mot donc non innée branlable) de l'héroïne ne conduit qu'à des souffrances et des abus répétés suggérant que dans un monde corrompu, elle ne mène qu'à des tourments...

Tu devrais le faire lire aux néo féministes en cadeau de Noël 

Ça fait toujours plaisir un peu de philosophie 

il y a 19 minutes, zenalpha a dit :

Justine n'est pas la philosophie du trou du cul ni par un trou du cul

C'est la philosophie du naturalisme radical ou la vertu inébranlable (en un mot donc non innée branlable) de l'héroïne ne conduit qu'à des souffrances et des abus répétés suggérant que dans un monde corrompu, elle ne mène qu'à des tourments...

Tu devrais le faire lire aux néo féministes en cadeau de Noël 

Ça fait toujours plaisir un peu de philosophie 

...Dans le boudoir...

Et pourtant le sujet existe et fonctionnait bien ! 

il y a 8 minutes, querida13 a dit :

...Dans le boudoir...

Faut pas bouder son plaisir..Justine ce sont les malheurs de la vertu

La philosophie dans le boudoir, c'est le vice qui devient la vertu et la vertu qui devient le vice

Un vice qui constate que le bien ou le mal n'existent pas dans la nature

Et la vertu qui tend a rendre l'individu docile et passif

Tu as Karl Jung qui reprend cette idée du développement de sa face sombre et évidemment le Taoïsme pour qui tout est affaire d'équilibre

Pour Camus, le vice du vertueux est de se transformer en justicier plus terrifiant que les méfaits qu'il châtie 

C'est très difficile pour certains individus de dissocier l'ego de leur pouvoir et la justice de leur décision 

Ne pas rester baillonné derrière le boudoir de l'autre, c'est mon vice

Mais pour qui me lit ce sera vertueux