Est-ce nécessaire de n'avoir pas eu peur de mourir pour avoir vraiment vécu la vie ?

Il y a 6 heures, Nikaa a dit :

Quand tu fais à une perte de conscience prolongé, un malaise vagal, une syncope, un coma et que tu te réveilles ensuite... ou que tu survis à une situation de danger comme un accident de voiture brutal, tu ne seras pas motivé. Ou comme les autres opinions insouciantes que j’ai pu lire. L’angoisse sera la, forcement.

Des montagnes russes ou autre sensation forte où on se jette dans le vide ou d’etre pris pour cible ou de s’être fait tirer dessus, ok, peut être que l’habitude peut entraîner une résistance mental. En sachant par avance aussi que tout ira bien ça peut aider.

Bien sûr je pense qu’il doit être maitrisé. Quand on travail l’ascèse et le contrôle de soi, ça doit être une étape nécessaire.

La peur est difficile à arrêter seule. Peut-être avec des mots qu’on répète genre relax relax relax. Mais face à un danger, le corps se met en alerte automatiquement. Le rythme cardiaque et la pression artérielle augmentent. L'instinct de survie ou instinct de conservation est une impulsion innée chez tout les êtres vivants.

Ce qui dérange dans la mort , c'est les gens qu'on aiment et qu'on ne reverra plus dans cette vie.

A leurs actes manqués, à ce qu'ils ne verront pas , à ce qu'ils n'ont pas fait, à et qu'ils ne peuvent plus faire, à tout ce qu'on aurait voulu leur dire ou partager avec eux et que c'est impossible. 

Ce n'est pas quelque chose qui fait peur . C'est un fait incontournable.

Nous ''les vivants'' on a la vie pour tout faire, arranger , mieux agir etc...

il y a 25 minutes, Lowy a dit :

Ce qui dérange dans la mort , c'est les gens qu'on aiment et qu'on ne reverra plus dans cette vie.

A leurs actes manqués, à ce qu'ils ne verront pas , à ce qu'ils n'ont pas fait, à et qu'ils ne peuvent plus faire, à tout ce qu'on aurait voulu leur dire ou partager avec eux et que c'est impossible. 

Ce n'est pas quelque chose qui fait peur . C'est un fait incontournable.

Nous ''les vivants'' on a la vie pour tout faire, arranger , mieux agir etc...

à tout ce qu'on aurait voulu leur dire ou partager avec eux et que c'est impossible.

-------------C'est sur que si vous attendez de mourir...

Ca prouve qu'il faut vivre sa vie du mieux possible...et rien n'empêche de partager et faire avec les nôtres...famille et amis...quoi qu'il arrive! c'est très important!

Nous ''les vivants'' on a la vie pour tout faire, arranger , mieux agir etc...

-------------Ca on n'en sait rien...la vie peut-être courte...

Il y a 9 heures, Lowy a dit :

Ce qui dérange dans la mort , c'est les gens qu'on aiment et qu'on ne reverra plus dans cette vie.

A leurs actes manqués, à ce qu'ils ne verront pas , à ce qu'ils n'ont pas fait, à et qu'ils ne peuvent plus faire, à tout ce qu'on aurait voulu leur dire ou partager avec eux et que c'est impossible. 

Ce n'est pas quelque chose qui fait peur . C'est un fait incontournable.

Nous ''les vivants'' on a la vie pour tout faire, arranger , mieux agir etc...

C’est sûr. La chance d’être comblé d’amour. Je vais partir un peu à droite à gauche pour nuancer ce qui rend cet amour de nos amis, de notre famille si important et ce plaisir à être avec les autres... pour ça il faut que j’écris ce qui fait defaut. Ça va être long. Pour ceux qui ne veulent jamais lire ou ignore quand c’est long, c’est pas de votre faute je sais. La flemme de lire ça m’arrive aussi. Mais j’y reviens par après à cette chose funeste qui arrive quand on emprunte le miroir qu’est la vie.

Un renouveau qui nous enchante serait satisfaisant dans les relations. Découvrir tous ensemble par la parole de chacun, même si nous sommes bien entouré avec des amis ou de la famille au quotidien, les mots font vivre un voyager dans les esprits. Le fait est que nous n’avons pas de direction commune, ou une vision simple commune qui donne du sens et qui pourrait égailler par des activités nouvelles ou autres. Faut parfois quelqu’un qui organise et réunit les assemblés.

Il y a toujours du bon dans nos relations mais j’essaie de dire aussi ce qui pourrait nous aider à y voir clair.

Par exemple notre humeur n’est pas toujours au beau fixe quand on rumine le passé. Accepter les choses totalement et sincèrement de bon cœur nous aide à aller mieux. Nos états d’âmes dépendent de nos psychés. Les autres peuvent aider à cela à donner de la joie. Ou au contraire rumine aussi ou accentue et donc l’esprit est emporté par du négatif. L’état d’esprit influt donc sur notre appreciation de ces moments avec les autres. Après on peut partager des moments sans trop parler mais le positif compte comme on compte l’un pour l’autre. La conversation dépend de ce qu’on pense et le fait d’apprecier les autres aussi en dépend.

Les gens qui sont seuls veulent l’être mais c’est peut être un mauvais tour de l’esprit qui a engendré la critique... qui fait que par cause à effet ils ne voient plus personne. Ou c’est leur choix simplement ou une fatalité et ils n’osent pas rencontrer. Beaucoup sont fatalement influencé par les jugements des autres et peur de ne pas être apprécié ils restent seul.

Nous avons pas vraiment appris à vouloir être. Être simplement agréable aux autres quoi. On apprend sans se rendre compte, l’éducation des parents est faillible et incomplète à 90%.. tout doit être fait avec envie bien sûr. Même le fait d’écrire ces lignes ou de les lire est une envie. Je ne dis pas que tout doit etre beau tout ou tout rose, tout polit tout gentil, c’est pas ça, juste qu’on peut donner de la joie ou des choses utiles sans critique constante ou d’impression negative.

La sympathie est un choix personnel. Le fait d’apprecier l’un ou un autre. Même quand c’est fait inconsciemment ou spontanément, ça reste un choix. Parfois on se bloque et on se replit puis c’est difficile de sortir de sa carapace. Ça peut durer. Ça viendra de nous même avec le temps ou ça aurait pu se faire plus vite.

Oser s’exprimer n’était pas facile aussi. Ou que dire à l’autre. L’esprit est plus clair à des moments plus qu’à d’autres moments. L’esprit grisaille et nous sommes insatisfait. Le rendre clair son esprit n’est pas simple et n’est pas indiqué par personne. C’était la base pour mieux discerner. Sinon un esprit embrouillé par la grisaille qui juge en mal, ou qui se moque ou se plaint, ou qui critique les autres, aura une vision aveuglé. L’esprit clair qui s’efforce à positiver a réussit à mettre à distance ou à ignorer ce qui obstruait sa réflexion. Mais l’autre verra moins d’aspect ou ressentira moins. Et par le negatif faussera son analyse ou il aura une paresse de comprendre et d’aller plus loin.

Bref, on ne pense pas non plus à se voir souvent. Ou même si c’est quotidien ça devient banal. Même si l’entourage est partout, avoir le morale ça joue dans les relations. C’est là que le bonheur et la satisfaction des proches nous émerveille et qu’on aime leur présebce.

Il y aussi cette habitude qu’on a tous eu à un moment en grandissant. Être tendu par les regards, ou le notre qui croit cerner des raisonnements logique avec les yeux sur ceux qui les entourent. Et donc de ceder à des jugements negatif à partir de rien. C’est par cela aussi qu’on ne serait pas alaise au premier abord. Qu’on se penserait guetté par les yeux d’autrui au lieu d’y être détaché comme les enfants le sont. Quand nous étions plus jeune on se disait pas ça, car on pouvait presque tout faire, même tourner sur nous mêmes sans que personne n’aurait vu ça bizarre. Ce qui nous rendait alaise et plus vrai que nature.

Nous voulons être apprécié en grandissant forcement, dans une norme... mais ça produit un état conforme et pas vraiment un esprit libre.

Après je ne dis pas que tout le monde a ça. Mais on y est souvent dedans même si ça paraît normal. Les yeux sont habitués à voir des gestes insignifiant et à penser ce qui n’existe pas. Après faut oser regarder et sourire aux proches. Ça donne du baume au cœur un sourire. Une bonne action, même si elle n’est pas obligatoire est louable. On est tout aussi vrai dans cette action que quand on se bouge pour autre chose. Cette fausse impression d’être observé, que tout le monde ou presque a, a alors que tout le monde s’en fout, ne doit pas aider à se detacher et avoir cette sponaïté qui calcule rien par le regard. 

Parfois bien au contraire on est alaise car ce sont des proches de longue date. Et il nous aime donc nous pardonne et on se bien. Mais chacun son developpement personnel et ces humeurs du moment. Chacun a sa part de mystère qu’on découvre ou pas. Nous même on peut faire preuve d’attention bienveillante à parler et réagir d’entamer la conversation en faisant le premier pas. Je dis ça mais j’oublie souvent voir je ne le fais pas, comme prendre des nouvelles de mes amis ou de la famille. Tout le monde dit pense et des bêtises ou négativise est frustré ou a la haine à des moments de sa vie et ça revient peut être encore et encore. Mais était ce nous ?  Dans ces quelques instants éphémère ? Ou ce que l’on devient comme toute chose ? Se reprendre, admettre et se corriger, c’est aussi vous alors. Personne n’est un état d’esprit qui passe ou repasse. Des enfants cruels par bêtise enfantine ont bien évolué par la suite. Mais on s efforce à être et tendre vers. On se laisse aller facilement à en l’espace d’un moment.

C’est humain et normal. Le but c’est d’apaiser positivement l’esprit de ces choses passagère.

Pour résumé ce que je veux dire, c’est que c’est bien la joie qu’on éprouve qui est le moteur de toute ambiance et de toute relation qui perdure au fil du temps. C’est parce qu’on aime parler et être avec eux. Moi je me perdais dans une ou des impressions de mes yeux sans aucune logique ou j’osais pas m’exprimer... et je déprimais de façon passagère jamais vraiment longtemps. Du coup je m’isolais parce que la joie d’être ensemble n’est plus. Je trouvais satisfaction à faire des trucs solo. Comme des jeux vidéos h24 j’aimais le moment d’évasion que j’avais par rapport au reste... ça me semblait mieux. Apprendre à aimer et positiver aurait fait qu’ensuite je veux ce que j’avais plus vraiment. Puis apres les études on doit travailler, et toujours sortir les week end ou en soirée. Famille et ami, on se retire seul dans nos esprits, nos logements, nos chambres. L’amitié est là mais j’y trouve pas une constante philosophique. Ou rarement. Il est pas facile à s’exprimer sur des sujets bien précis. Ou c’est moi qui me fait croire ça. L’amitié ou les connaissances qui existent de façon passagère. Même chose pour la famille. J’y met du cœur je donne de ma personne, mais ce n’est pas vraiment réciproque.. même si je les aime tous... chacun son ego, ces expériences, son évolution.

Beaucoup n’en font pas quelque chose de plus grand de l’amitié ou de la famille. Au fond notre esprit est seul et pas facile de le partager à un groupe. On est tous plus ou moins individuel et on part seul de ce monde et sans rien d’autres que notre conscience. Ou irons nous ? Allons nous nous retrouver ? Ou il y aura une séparation entre nous tous et nous seront chacun seul ? Ou on existera plus ? Mais j’aimerais croire qu’un autre monde est possible où on peut revenir... Avec nos esprits, voir notre corps.

Mais il y a beaucoup aussi qui n’ont pas ce luxe de ressentir l’amour et l’amitié et même quand ils essayent, ils repartent déçu car nous sommes comme le ciel, on change. Nous pouvons être gris nuageux, ou pleins d’orage et de la pluie ou le beau temps. Et puis celui qui en dis peu quand il parle on l’écoute. Celui qui veut s’exprimer beaucoup avec son grand cœur est rejeté voir on le haït pour rien. C’est le monde à l’envers dans notre esprit même les gouvernements et la société sont bizarre.

Des vieux au pouvoir qui n’améliore jamais l’enseignement et les écoles. Les enfants sont limite dans des écoles-prison ça n’évolue jamais. Pas de pouvoir d’achat pour des étudiants. Université payante. Diplome après 16 à 18 ans d,étude voir plus. C’est la folie ou le monde à l’envers. Majorité de pauvre emprisonné et on fait croire par là que c’est les étrangés les méchants. Le racisme est les extrémiste sont legal en politique et peuvent communiquer ouvertement leurs idées à la télé ou dans les journaux et écrire des livres et les publiés qu’on ne censure pas. Et ils ont des fan club et communique sont sur internet.

On fait une guerre pour du pétrole en Irak en disant un mensonge devant le monde entier. Des tueurs tuent des femmes des enfants se font arrêté et vont en prison et peuvent écrire et oublier des livres de leurs idées. C’est autorisé publié et pas censuré. Nos dirigeants politiques de tous les partis recrutent au plus jeûne âge dans tout les millieux, font du trafic d’influence... controle tout les medias, les riches hommes d’entreprise, et de beaucoup de pays sont dans un club même pas secret ou se connaissent... sont financé par des banques privés. https://fr.m.wikipedia.org/wiki/French-American_Foundation-France mêmê leur école privé pour l’élite à 50000 euros l’année sont une arnaque on dirait un truc de oauvre. Ça vaut pas le prix.

Et le salaire moyen de la majorité sur mondiale des gens qui vivent sur cette planète est entre 1 200 $ et 5 000 $ par an. 

Ici on peut parler chacun notre tour, et se lire à notre aise ou quand on veut. Là on doit savoir écouter un avis. Ça doit pas être long non plus comme ce texte  qui n’en finit pas. Pour que l’autre puisse réagir aussi.

De l’amour qu’on éprouve de sa famille à ces amis. Certains en ont d’autres pas. Pour certains la famille est un peu délaissé et les amis compte plus. D’autres l’inverse. 

Si des membres de ma famille décède je ne veux pas y penser. Ni me remémorer la famille proche qui est morte ou les amis. Ceux avec qui on a énormément de souvenir. Penser positif, accepter, continuer notre route et d’autre s’en iront ou moi avant. C’est la triste règle de nos existences.

Et voilà pour la question de la mort de nos proches, j’y viens enfin...je veux croire qu’un jour on va tous se revoir. Je rêve que nos père et mère et nos enfants puisse se retrouver et avec leurs amis dans un grand banuet ou ils s’appeleront et se rejoindrons simplement. On pourra peut-être les revoir dans un monde magique et magnifique. Avant ça si on doit escalader une montagne tout seul dans un jour plus long que cette vie pour aller vers le créateur de la vie. Ça va être un jour facile ou difficile ? Au moins on nous laisse à tous une seconde chance plus ou moins. J’aimerais tant en tout cas qu’on puisse tous revivre dans une éternité sans douleur voir qu’on soit modifié pour être heureux sensiblement émerveillé comme si on était ivre d’amour et excité de joie mais de façon naturel. Ce nouveau monde imaginaire plein d’inconnu et de découverte, ce rêve d’une nouvelle vie réssuscité et paradisiaque, serait une formidable aventure.