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La haine du parent envers l'enfant .

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bouddean

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Membre, Neo Derthal, Posté(e)
Lowy Membre 2 666 messages
Maitre des forums‚ Neo Derthal,
Posté(e)

@bouddean

La société à tendance à sacraliser le rôle de ''parent'' et de le monter sur un piédestal , comme si se perpétuer exantait , donnait une certaine impunité et culpabilisait ''la progéniture'' qui osait critiquer ses géniteurs.

Etre ''parent'' responsabilise , plus qu'elle ne donne des droits -à mon avis- c'est s'engager à construire un humain; du moment où on commence à le déconstruire, en lui enlevant ses droits humains , en le fragilisant par je ne sais quels moyens la filiation tombe. 

Les huis clos familiaux peuvent être des nids de toxicité . La possession aussi est un de ses travers . Croire que l'enfant engendré appartient à son géniteur. De même , la torture morale, aussi dangereuse que la maltraitante physique.

 

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Membre, 58ans Posté(e)
Témoudjine Membre 1 675 messages
Forumeur vétéran‚ 58ans‚
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Il y a 18 heures, bouddean a dit :

, j'aurais plutôt pensé que le " Besoin " de l'humain est d'aimer .

Le besoin de l’humain n’est pas « d’aimer ». Du moins au sens commun du terme. Il est de se reproduire et sa volonté personnelle n’y est pour rien. C’est dans ses gènes et son inconscient. L’amour, au sens habituel du mot, résulte en réalité d’accords inconscients de notre part entre les hormones sexuelles de deux partenaires de sexes opposés.

Le besoin de l’humain, inconscient mais indispensable à sa bonne santé mentale, qu’il s’agisse d’un mâle ou d’une femelle, est de copuler. Le reste n’est que « littérature », au mauvais sens du terme.

D’autant que l’amour tel que nous employons le terme, n’existe pas « naturellement » au-delà de la recherche du coït. Tous les sentiments que nous avons bâtis autour de l’amour habituel, sont de nature culturelle.

S’ils étaient d’origine « naturelle » en dehors du coït lui-même, ils seraient les mêmes pour tous les humains. Mais il n’en est rien. Tous les humains, quelle que soit la partie du monde dans laquelle ils vivent devraient être sensibles à la même forme « d’amour ». Mais il n’en est rien.

Et pas seulement entre personnes éprouvant  d’abord une pulsion sexuelle qui efface tout apport « naturel » et biologique, et qui inconsciemment régit nos comportements.   

Françoise Chandernagor, dans son remarquable ouvrage « L’Allée de Roi », (de mémoire, mais si c’est un autre de ses ouvrages ce n’est pas grave) explique parfaitement pourquoi l’amour maternel n’existe pas. Jusqu’à la fin du XVIII° siècle, et parfois au-delà, les mères n’élevaient pas leurs enfants. Dès la naissance ils étaient confiés à une nourrice, le plus souvent vivant en milieu rural et/ou agricole.

Et les enfants ne rejoignaient le foyer familial rural de leur mère, qu’une fois passée leur pré-adolescence. C’était vrai dans toute l’Europe de l’Ouest, tous milieux confondus. Que la mère soit ouvrière d’usine ou épouse d’un notable.

Où se situe l’amour maternel là-dedans ?  Et il en est de même pour toutes les formes d’amour. Au-delà de l’envie physiologique et inconsciente du rapport sexuel, tous les sentiments qui y concourent ne sont qu’habillages culturels.

 

La haine n’est pas un succédané ou un ersatz. Elle est un produit de remplacement. Elle est un sentiment relevant d’un trouble sous-jacent de la personnalité d’une personne dont l’inconscient a besoin de manifester une réaction psychique excessive. Et qui, sous cette haine, dissimule un mobile ignoré de l’individu mais qui en  cache un autre.

 

 

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Membre, 8ans Posté(e)
bouddean Membre 11 822 messages
Maitre des forums‚ 8ans‚
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Il y a 9 heures, de ghoul a dit :

Et vice-versa la haine de l'enfant pour son parent

Ben non, ça n'a rien à voir .

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Membre, 8ans Posté(e)
bouddean Membre 11 822 messages
Maitre des forums‚ 8ans‚
Posté(e)
Il y a 15 heures, Témoudjine a dit :

 

Le besoin de l’humain n’est pas « d’aimer ». Du moins au sens commun du terme. Il est de se reproduire et sa volonté personnelle n’y est pour rien. C’est dans ses gènes et son inconscient. L’amour, au sens habituel du mot, résulte en réalité d’accords inconscients de notre part entre les hormones sexuelles de deux partenaires de sexes opposés.

 

Le besoin de l’humain, inconscient mais indispensable à sa bonne santé mentale, qu’il s’agisse d’un mâle ou d’une femelle, est de copuler. Le reste n’est que « littérature », au mauvais sens du terme.

 

D’autant que l’amour tel que nous employons le terme, n’existe pas « naturellement » au-delà de la recherche du coït. Tous les sentiments que nous avons bâtis autour de l’amour habituel, sont de nature culturelle.

 

S’ils étaient d’origine « naturelle » en dehors du coït lui-même, ils seraient les mêmes pour tous les humains. Mais il n’en est rien. Tous les humains, quelle que soit la partie du monde dans laquelle ils vivent devraient être sensibles à la même forme « d’amour ». Mais il n’en est rien.

 

Et pas seulement entre personnes éprouvant  d’abord une pulsion sexuelle qui efface tout apport « naturel » et biologique, et qui inconsciemment régit nos comportements.   

 

Françoise Chandernagor, dans son remarquable ouvrage « L’Allée de Roi », (de mémoire, mais si c’est un autre de ses ouvrages ce n’est pas grave) explique parfaitement pourquoi l’amour maternel n’existe pas. Jusqu’à la fin du XVIII° siècle, et parfois au-delà, les mères n’élevaient pas leurs enfants. Dès la naissance ils étaient confiés à une nourrice, le plus souvent vivant en milieu rural et/ou agricole.

 

Et les enfants ne rejoignaient le foyer familial rural de leur mère, qu’une fois passée leur pré-adolescence. C’était vrai dans toute l’Europe de l’Ouest, tous milieux confondus. Que la mère soit ouvrière d’usine ou épouse d’un notable.

 

Où se situe l’amour maternel là-dedans ?  Et il en est de même pour toutes les formes d’amour. Au-delà de l’envie physiologique et inconsciente du rapport sexuel, tous les sentiments qui y concourent ne sont qu’habillages culturels.

 

 

 

La haine n’est pas un succédané ou un ersatz. Elle est un produit de remplacement. Elle est un sentiment relevant d’un trouble sous-jacent de la personnalité d’une personne dont l’inconscient a besoin de manifester une réaction psychique excessive. Et qui, sous cette haine, dissimule un mobile ignoré de l’individu mais qui en  cache un autre.

 

 

 

 

 

Alors, moi je ne vois pas du tout les choses comme ça , je n'ai pas du tout la même analyse .

Déjà, peut on dire : l'amour, c'est ceci ou c'est cela ? 

Prenons la colère ou la frustration par exemple , est ce que tout le monde réagi de la même façon à la colère ou à la frustration ? Pourquoi cela ne serait il pas pareil pour l'amour ? 

Nous entrons dans une discussion ou nous parlons de notre croyance , je ne peux pas dire autrement, je ne peux pas dire autre chose que ce qu'est l'amour pour moi , je n'ai aucune idée de ce qu'il est pour toi .

Et pour moi, l'amour est un état et il est l'état dans lequel l'être humain ( je ) fonctionne de manière optimum , physiologiquement pour commencer .

Comme un moteur , l'amour est l'état dans lequel le moteur est le mieux réglé , il consomme un minimum pour des capacités maximums .

Oui , dans la colère ou dans la haine , les forces vont être décuplées, mais pas longtemps , pas dans le calme , pas dans la paix .

Le problème est que cet état , et ben on dirait bien que peu de gens savent le gérer ,( moi le premier )  et ça, oui, c'est culturel , c'est un problème social, quand on a été élevé par des parents qui ne nous ont pas appris à aimer ni à être aimé , il faut se débrouiller tout seul .

Et sociétal , dans une société organisée sur le commerce , l'amour n'est pas le bienvenu , il est beaucoup plus intéressant de vendre plus d'essence, de l'huile et plein de pièces détachées que 3 fois rien à des moteurs qui tournent bien .

Alors après , psychologiquement, l'amour , tout le monde cours après , pourquoi ? Il y a bien une raison pour que tout le monde veuille être dans cet état .

Si comme je le crois, l'amour est l'état de fonctionnement normal de l'être humain, cela veut dire que lorsqu'il n'est pas dans cet état , il n'est pas dans son état normal , et là, il peut y avoir différent degrés .

Dès lors qu'on est pas dans l'état d'amour, nous sommes dans la souffrance , et ça va de l'égratignure qu'on supporte, on vit avec sans que ce soit trop gênant , jusqu'à la fracture , il y a des choses qui ont été rompues, et là, les choses deviennent compliquées, très compliquées à gérer .

Alors, je n'essaye pas de te convaincre, de te persuader , c'est mon analyse par rapport à mon vécu .

Par contre , je ne partage pas du tout l'idée que l'humain ait besoin de sexe , pour moi , le sexe est une illusion , parce que oui, quand deux personnes s'aiment , il y a un accouplement  (et donc des enfants ) et dans nos esprits , c'est devenu sexe = amour .

Nous confondons le rêve et l'illusion .

Dans une société de commercialisation, on te dis qu'on te vend du rêve, mais ce n'est pas du rêve qu'on te vend, c'est de l'illusion , on nous  fait croire que nous existons  ( et j'ai été le premier ) parce que nous avons , parce que nous possédons , une voiture, un fusil, une maison , et il me parait logique que l'amour ne soit pas le bienvenu la dedans , l'amour ne s'achète pas .

Ceci dit, on ne peut blâmer personne , enfin, en tout cas, plus personne , les responsables de la prise de cette mauvaise direction sont morts depuis longtemps et en plus, ils étaient sûrement ignorants . Nous connaissons ce que nous avons, nous ne connaissons pas ce que nous n'avons pas .

De plus .

Je dirais que pour vivre l'amour,   il faut du courage  ( entre autre ) .

Je te donne un exemple : Deux personnes sont en couple et une se rend compte qu'elle s'ennui , et là , il faut rompre , et pour rompre, il faut faire du mal à l'autre , surtout si il est amoureux , et là, il faut beaucoup de courage , c'est très dur de faire du mal à une personne qui a des sentiments pour nous .

Et là, je ne dirais pas que c'est de la lâcheté , je dirais que c'est de l'ignorance , parce que à ce moment là, si les gens avaient su  à quel point ils allaient en baver en ne rompant pas , tu peux être sûr qu'ils auraient rompu . Et tu vois, aujourd'hui, de plus en plus de gens le savent , ceux qui ont vu leur parents en baver toute leur vie disent  : Non désolé , je ne veux pas avoir une vie de merde comme ça , la vérité n'est pas là .

 

 

 

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Membre, Posté(e)
de ghoul Membre 454 messages
Forumeur accro‚
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Il y a 7 heures, bouddean a dit :

Ben non, ça n'a rien à voir .

Quand un homme n'aime pas son enfant, il lui mène une vie de misère. Il le rabaisse devant les gend quelques fois, le frappe d'autres fois, lui répète qu'il est un bon à rien. Il est tout derrière lui. Et là l'enfant ne pourrait que haïr son père qui devient un géniteur non un paternel.

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Membre, 8ans Posté(e)
bouddean Membre 11 822 messages
Maitre des forums‚ 8ans‚
Posté(e)
il y a 8 minutes, de ghoul a dit :

Quand un homme n'aime pas son enfant, il lui mène une vie de misère. Il le rabaisse devant les gend quelques fois, le frappe d'autres fois, lui répète qu'il est un bon à rien. Il est tout derrière lui. Et là l'enfant ne pourrait que haïr son père qui devient un géniteur non un paternel.

Oui , Mais quand je dis qu'elle n'a rien à voir, je veux dire que le père est bien responsable de la haine que l'enfant a pour lui , alors que l'enfant lui n'y est pour rien dans la haine que le parent à pour lui .

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Membre, Posté(e)
de ghoul Membre 454 messages
Forumeur accro‚
Posté(e)
à l’instant, bouddean a dit :

Oui , Mais quand je dis qu'elle n'a rien à voir, je veux dire que le père est bien responsable de la haine que l'enfant a pour lui , alors que l'enfant lui n'y est pour rien dans la haine que le parent à pour lui .

C vrai, 

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Membre, 58ans Posté(e)
Témoudjine Membre 1 675 messages
Forumeur vétéran‚ 58ans‚
Posté(e)
Il y a 7 heures, bouddean a dit :

pour moi , le sexe est une illusion ,

Ton Raisonnement, parfaitement fouillé et qui fait bien le tour de la question, du moins dans le cadre que tu as choisi de l’évoquer, confond en réalité différentes notions qui n’ont rien à faire ensemble.

Il conviendrait d’abord de déterminer ce que signifie le mot « amour ». Le plus souvent, en langage vernaculaire, il concerne un attachement très fort auquel se mêle une imprégnation sexuelle. Mais pas que, et c’est là qu’est le problème.  

 

Tu écris :

-         «  est ce que tout le monde réagi de la même façon à la colère ou à la frustration ? Pourquoi cela ne serait-il pas pareil pour l'amour ?

Pour une raison très simple. L’on pourrait réagir à un fait de manière semblable, si ce mot « amour » avait la même signification pour tout le monde. Si les mêmes causes généraient les mêmes conséquences chez tous les individus. Les mêmes effets, de la même intensité. Ce qui évidemment, n’est pas le cas.

Il n’y a pas d’échelle universelle permettant de déterminer l’intensité de l’amour qu’éprouve un individu pour un autre. Et le mot a des connotations très différentes selon les individus. Ce n’est pas à la même aune que l’on doit apprécier « j’aime les bébés phoques », et « j’aime ma voisine de palier ».

 

Tu écris :

-                     «  …/…  dans une société organisée sur le commerce, l'amour n'est pas le bienvenu , il est beaucoup plus intéressant de vendre plus d'essence, de l'huile et plein de pièces détachées que 3 fois rien à des moteurs qui tournent bien ».

C’est certainement vrai, mais où est le rapport avec le sujet en cause et avec l‘amour ?

 

Tu dis :

-         «  Nous entrons dans une discussion ou nous parlons de notre croyance ».

Qu’est ce que l’amour, du moins au sens vernaculaire, a à voir avec une croyance ? À moins de ne fréquenter pour ses galipettes que des compagnes ou compagnons de plumard d’une religion déterminée. Mais perdre des occasions de se rouler dans l’herbe tendre ou dans le foin pour des raisons de cette nature serait une connerie. Si les dames peuvent avoir une religion, leurs vagins n’en a pas. Ou ils se cachent bien. Mais dans ce cas, c’est que l’on a mal cherché. Recommence !

L’amour que l’on peut porter à un D.ieu peut-il être comparable à celui que l’on éprouve pour un être humain ? Dans certaines situations, par exemple pour des religieuses ne rencontrant jamais d’hommes, elles peuvent se prétendre, et sincèrement de leur part, amoureuse de leur D.ieu. Ou de son fils, ce qui est plus logique Mais c’est seulement parce que les femmes, au contraire des hommes,  n’ont pas besoin d’hommes pour parvenir à une satisfaction sexuelle quasiment totale. Le transfert de l’objet de leur amour, homme / christ, leur est facilité grâce à un organe spécifique qui leur a été donné par l’évolution et l’adaptation, à la suite d’une anomalie génétique. Et pour vérifier l’affirmation que la nécessité créait l’organe. Tant que l’arthrose de l’articulation des phalanges ne les touchera pas trop, elles pourront sans problème continuer à aimer leur D.ieu.  Ou se mettre en quête de piles électriques.

Mais chez ces religieuses qui sont convaincues de leur amour sincère, évanescent ou non,  pour un D.ieu que personnalise pour elles un crucifix, elles peuvent parfaitement être très heureuses comme cela.

 

Tu dis :

-         «   Si comme je le crois, l'amour est l'état de fonctionnement normal de l'être humain … ».

Irréaliste ! Cela voudrait dire qu’il n’y a plus de vice, de méchanceté et de malheurs sur cette terre. de Cela voudrait dire que dans la majorité des cas nos contemporains ne seraient qu’amour pour leurs semblables. Si l’on considère l’état de nos sociétés, il ne semble pas que ce soit vraiment le cas.

 

Tu écris :

-         «  Dès lors qu'on est pas dans l'état d'amour, nous sommes dans la souffrance ».

Dans leur très grande majorité nos contemporains ne vivent pas dans « l’état d’amour ». Pour de multiples raisons. Donc que la plupart des gens, dis-tu,  vivent en souffrant de l’absence d’amour dans leur vie.

Mais des quantités de gens vivent cela sans souffrance. Heureux de leur statut social, par exemple de célibataires heureux de l’être. L’attachement spécifique à une personne que l’on « aime » n’est pas une condition obligatoire pour  vivre une vie heureuse.

 

Tu dis :

-         « … pour moi, le sexe est une illusion ».

Pourquoi pas ! Tout dépend de ce qu’est le sexe pour l’individu. Mais le sexe n’est pas une constatation philosophique. L’activité sexuelle nous est non seulement donnée, mais imposée pour de simples raisons de reproduction de l’espèce. Depuis les bébés jusqu’aux personnes très âgées, le sexe fait partie des activités physiques et cérébrales inconscientes, mais indispensables à l’individu. Et si, quel que soit son âge, l’on ne demeure pas inconsciemment lié à cette notion, alors cela relève du trouble de la personnalité et de l’inconscient. Il faut consulter.

Nous ne sommes que des primates tropicaux qui ont eu la chance, grâce à quelques mutations génétiques successives, de devenir ce que nous sommes aujourd’hui. Mais pour l’essentiel nous gardons dans nos gènes les caractéristiques de nos lointains ancêtres. Et du bébé au vieillard, notre inconscient reste imprégné de ce qui touche au sexe.  

Mais au sens sémantique, et comme tu le dis, si le sexe est une illusion, alors toutes les filles demeurent vierges tout au long de leur existence. L’on ne pratique pas le coït avec une illusion.  Et toutes les dames tapineuses travaillent gratuitement dans les bobinards. Dans les maisons de tolérance, ainsi que l’on disait jadis.

Mais je crains que le premier de nos contemporains qui dira à une « dame de petite vertu », l’amour n’est qu’une illusion et l’on ne peut pas payer pour une illusion, donc qui par définition n’existe pas davantage », ait quelques problèmes avec le « protecteur » de la dame ou la gérante du bobinard.

Ce n’est pas dans ce sens que tu évoques cette illusion ? Évidemment ! Mais reprenons au commencement. Que signifie « amour » et pour quel type d’individus, et quels types d’amour ?

Il y a 7 heures, bouddean a dit :

 

 

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Membre, 8ans Posté(e)
bouddean Membre 11 822 messages
Maitre des forums‚ 8ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, Témoudjine a dit :

Ton Raisonnement, parfaitement fouillé et qui fait bien le tour de la question, du moins dans le cadre que tu as choisi de l’évoquer, confond en réalité différentes notions qui n’ont rien à faire ensemble.

 

Il conviendrait d’abord de déterminer ce que signifie le mot « amour ». Le plus souvent, en langage vernaculaire, il concerne un attachement très fort auquel se mêle une imprégnation sexuelle. Mais pas que, et c’est là qu’est le problème.  

 

 

 

Tu écris :

 

-         «  est ce que tout le monde réagi de la même façon à la colère ou à la frustration ? Pourquoi cela ne serait-il pas pareil pour l'amour ?

 

Pour une raison très simple. L’on pourrait réagir à un fait de manière semblable, si ce mot « amour » avait la même signification pour tout le monde. Si les mêmes causes généraient les mêmes conséquences chez tous les individus. Les mêmes effets, de la même intensité. Ce qui évidemment, n’est pas le cas.

 

Il n’y a pas d’échelle universelle permettant de déterminer l’intensité de l’amour qu’éprouve un individu pour un autre. Et le mot a des connotations très différentes selon les individus. Ce n’est pas à la même aune que l’on doit apprécier « j’aime les bébés phoques », et « j’aime ma voisine de palier ».

 

 

 

Tu écris :

 

-                     «  …/…  dans une société organisée sur le commerce, l'amour n'est pas le bienvenu , il est beaucoup plus intéressant de vendre plus d'essence, de l'huile et plein de pièces détachées que 3 fois rien à des moteurs qui tournent bien ».

 

C’est certainement vrai, mais où est le rapport avec le sujet en cause et avec l‘amour ?

 

 

 

Tu dis :

 

-         «  Nous entrons dans une discussion ou nous parlons de notre croyance ».

 

Qu’est ce que l’amour, du moins au sens vernaculaire, a à voir avec une croyance ? À moins de ne fréquenter pour ses galipettes que des compagnes ou compagnons de plumard d’une religion déterminée. Mais perdre des occasions de se rouler dans l’herbe tendre ou dans le foin pour des raisons de cette nature serait une connerie. Si les dames peuvent avoir une religion, leurs vagins n’en a pas. Ou ils se cachent bien. Mais dans ce cas, c’est que l’on a mal cherché. Recommence !

 

L’amour que l’on peut porter à un D.ieu peut-il être comparable à celui que l’on éprouve pour un être humain ? Dans certaines situations, par exemple pour des religieuses ne rencontrant jamais d’hommes, elles peuvent se prétendre, et sincèrement de leur part, amoureuse de leur D.ieu. Ou de son fils, ce qui est plus logique Mais c’est seulement parce que les femmes, au contraire des hommes,  n’ont pas besoin d’hommes pour parvenir à une satisfaction sexuelle quasiment totale. Le transfert de l’objet de leur amour, homme / christ, leur est facilité grâce à un organe spécifique qui leur a été donné par l’évolution et l’adaptation, à la suite d’une anomalie génétique. Et pour vérifier l’affirmation que la nécessité créait l’organe. Tant que l’arthrose de l’articulation des phalanges ne les touchera pas trop, elles pourront sans problème continuer à aimer leur D.ieu.  Ou se mettre en quête de piles électriques.

 

Mais chez ces religieuses qui sont convaincues de leur amour sincère, évanescent ou non,  pour un D.ieu que personnalise pour elles un crucifix, elles peuvent parfaitement être très heureuses comme cela.

 

 

 

Tu dis :

 

-         «   Si comme je le crois, l'amour est l'état de fonctionnement normal de l'être humain … ».

 

Irréaliste ! Cela voudrait dire qu’il n’y a plus de vice, de méchanceté et de malheurs sur cette terre. de Cela voudrait dire que dans la majorité des cas nos contemporains ne seraient qu’amour pour leurs semblables. Si l’on considère l’état de nos sociétés, il ne semble pas que ce soit vraiment le cas.

 

 

 

Tu écris :

 

-         «  Dès lors qu'on est pas dans l'état d'amour, nous sommes dans la souffrance ».

 

Dans leur très grande majorité nos contemporains ne vivent pas dans « l’état d’amour ». Pour de multiples raisons. Donc que la plupart des gens, dis-tu,  vivent en souffrant de l’absence d’amour dans leur vie.

 

Mais des quantités de gens vivent cela sans souffrance. Heureux de leur statut social, par exemple de célibataires heureux de l’être. L’attachement spécifique à une personne que l’on « aime » n’est pas une condition obligatoire pour  vivre une vie heureuse.

 

 

 

Tu dis :

 

-         « … pour moi, le sexe est une illusion ».

 

Pourquoi pas ! Tout dépend de ce qu’est le sexe pour l’individu. Mais le sexe n’est pas une constatation philosophique. L’activité sexuelle nous est non seulement donnée, mais imposée pour de simples raisons de reproduction de l’espèce. Depuis les bébés jusqu’aux personnes très âgées, le sexe fait partie des activités physiques et cérébrales inconscientes, mais indispensables à l’individu. Et si, quel que soit son âge, l’on ne demeure pas inconsciemment lié à cette notion, alors cela relève du trouble de la personnalité et de l’inconscient. Il faut consulter.

 

Nous ne sommes que des primates tropicaux qui ont eu la chance, grâce à quelques mutations génétiques successives, de devenir ce que nous sommes aujourd’hui. Mais pour l’essentiel nous gardons dans nos gènes les caractéristiques de nos lointains ancêtres. Et du bébé au vieillard, notre inconscient reste imprégné de ce qui touche au sexe.  

 

Mais au sens sémantique, et comme tu le dis, si le sexe est une illusion, alors toutes les filles demeurent vierges tout au long de leur existence. L’on ne pratique pas le coït avec une illusion.  Et toutes les dames tapineuses travaillent gratuitement dans les bobinards. Dans les maisons de tolérance, ainsi que l’on disait jadis.

 

Mais je crains que le premier de nos contemporains qui dira à une « dame de petite vertu », l’amour n’est qu’une illusion et l’on ne peut pas payer pour une illusion, donc qui par définition n’existe pas davantage », ait quelques problèmes avec le « protecteur » de la dame ou la gérante du bobinard.

 

Ce n’est pas dans ce sens que tu évoques cette illusion ? Évidemment ! Mais reprenons au commencement. Que signifie « amour » et pour quel type d’individus, et quels types d’amour ?

 

 

Mouaich , alors, je pense que je vais te répondre en plusieurs fois , il y a beaucoup de choses là .

En premier , la croyance n'est pas pour moi spécialement religieuse , perso , j'oppose croyance à connaissance, mais ok, gardons le mot " croyance pour parler de ce qui est religieux , et à ce moment là, remplace le mot "croyance dans ce que je t'ai écrit par le mot " hypothèse " 

Quand nous parlons d'amour, nous sommes dans l'hypothèse , et non pas dans la connaissance , je n'avais pas encore abordé la question sous l'angle religieux . Comme tu le dis toi même :

Il y a 3 heures, Témoudjine a dit :

Il n’y a pas d’échelle universelle permettant de déterminer l’intensité de l’amour qu’éprouve un individu pour un autre. Et le mot a des connotations très différentes selon les individus. Ce n’est pas à la même aune que l’on doit apprécier « j’aime les bébés phoques », et « j’aime ma voisine de palier ».

Voila pourquoi nous ne pouvons être que dans l'hypothèse , l'observation, l'analyse , mais pas la connaissance .

Il y a 3 heures, Témoudjine a dit :

Il conviendrait d’abord de déterminer ce que signifie le mot « amour ». Le plus souvent, en langage vernaculaire, il concerne un attachement très fort auquel se mêle une imprégnation sexuelle. Mais pas que, et c’est là qu’est le problème.  

 

 

 

Tu écris :

 

-         «  est ce que tout le monde réagi de la même façon à la colère ou à la frustration ? Pourquoi cela ne serait-il pas pareil pour l'amour ?

 

Pour une raison très simple. L’on pourrait réagir à un fait de manière semblable, si ce mot « amour » avait la même signification pour tout le monde. Si les mêmes causes généraient les mêmes conséquences chez tous les individus. Les mêmes effets, de la même intensité. Ce qui évidemment, n’est pas le cas.

 

Il n’y a pas d’échelle universelle permettant de déterminer l’intensité de l’amour qu’éprouve un individu pour un autre. Et le mot a des connotations très différentes selon les individus. Ce n’est pas à la même aune que l’on doit apprécier « j’aime les bébés phoques », et « j’aime ma voisine de palier ».

Comme je te l'ai dit, pour moi , l'amour est un état , et je fais la différence entre l'amour et aimer .

Mais , gardons " aimer " dans le sens ou tu l'entends, et là, je me pose la question : Pourquoi j'aime les bébés phoques ou ma voisine de pallier ? Est ce que je les aime pour eux ou est ce que je les aime pour moi ? 

On peut aimer les choses pour ce qu'elles nous apportent et on peut aimer les choses pour ce qu'elles sont ,  Quand tu aimes les choses pour ce qu'elles te rapportent, tu peux les remplacer facilement, quand tu aimes les choses pour ce qu'elles sont, elles sont irremplaçables .

Il y a 3 heures, Témoudjine a dit :

L’amour que l’on peut porter à un D.ieu peut-il être comparable à celui que l’on éprouve pour un être humain ? Dans certaines situations, par exemple pour des religieuses ne rencontrant jamais d’hommes, elles peuvent se prétendre, et sincèrement de leur part, amoureuse de leur D.ieu. Ou de son fils, ce qui est plus logique Mais c’est seulement parce que les femmes, au contraire des hommes,  n’ont pas besoin d’hommes pour parvenir à une satisfaction sexuelle quasiment totale. Le transfert de l’objet de leur amour, homme / christ, leur est facilité grâce à un organe spécifique qui leur a été donné par l’évolution et l’adaptation, à la suite d’une anomalie génétique. Et pour vérifier l’affirmation que la nécessité créait l’organe. Tant que l’arthrose de l’articulation des phalanges ne les touchera pas trop, elles pourront sans problème continuer à aimer leur D.ieu.  Ou se mettre en quête de piles électriques.

 

Mais chez ces religieuses qui sont convaincues de leur amour sincère, évanescent ou non,  pour un D.ieu que personnalise pour elles un crucifix, elles peuvent parfaitement être très heureuses comme cela.

De la même manière que l'enfant n'est jamais responsable de la haine que son parent éprouve pour lui , la femme n'est jamais responsable de la haine que l'homme éprouve pour elle . Ils et elles sont toujours les boucs émissaires .

Ce n'est pas à la femme de se cacher, c'est à moi d'élever mon regard , là oui , on est proche de la croyance religieuse .

 

Modifié par bouddean
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Membre, 58ans Posté(e)
Témoudjine Membre 1 675 messages
Forumeur vétéran‚ 58ans‚
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Il y a 17 heures, bouddean a dit :

la femme n'est jamais responsable de la haine que l'homme éprouve pour elle . Ils et elles sont toujours les boucs émissaires .

Tu écris :

-         « Quand nous parlons d'amour, nous sommes dans l'hypothèse , et non pas dans la connaissance » ,

Qu’est-ce que cela signifie ? Si amour il y a, il s’exprime de différentes manières selon les cas, mais il correspond toujours à l’attirance forte entre deux personnes. Dire : « j’éprouve un véritable amour pour le clafoutis », c’est un dévoiement du sens du mot, du moins de son sens habituel.

 

Et de toute manière dire à ce sujet à propos du mot « amour », quand nous l’utilisons :

-         « nous sommes dans l'hypothèse , et non pas dans la connaissance »,

est une erreur à la fois de sémantique et de syntaxe.

L’amour, quel qu’en soit l’objet et de quelque nature qu’il soit, ne peut pas être une hypothèse. Il est ou il n’est pas.

 

Tu écris à propos de l’amour :

-                     «  nous ne pouvons être que dans l'hypothèse , l'observation, l'analyse , mais pas la connaissance »

Ce qui signifie alors que celui qui croit aimer est dans l’expectative et qu’il ne sait pas s’il aime ou pas. Dis cela aux gens amoureux.

 

Tu dis :

-         «  … l'amour est un état , et je fais la différence entre l'amour et aimer ».

Problème de sémantique. L’amour est un état qui fait que celui qui l’éprouve est amoureux. Celui qui éprouve de l’amour aime. L’un ne peut pas aller sans l’autre.

 

Tu écris :

-         «  Est ce que je les aime pour eux ou est ce que je les aime pour moi ? »

Excellente question. Si l’on part du principe, dont aucun spécialiste ne doute, qu’il n’y a pas d’acte gratuit, la réponse est forcément pour les deux. Mais l’on déborde largement la signification du verbe aimer tel qu’il est discuté là.

 

Tu continues :

-         «  Quand tu aimes les choses pour ce qu'elles te rapportent, tu peux les remplacer facilement ».

Non. La majeure partie de ce qu’elles te rapportent est de l’ordre de l’inconscient. Pour les remplacer il faudrait d’abord déterminer pourquoi et comment je pense telle chose, et comment pourrais-je remplacer le désir correspondant et la manière de l’assouvir. Désir pour un succédané ? Peut-être mais pourquoi ?  Pulsion d’une nature indéterminée, mais qui ne pourra pas possiblement être assouvie sans retrouver au préalable le trauma initial ?

Dans ce cas il convient de débuter par un bon psychanalyste. Dans trois ans, il te dira, peut-être, si tu as trouvé la réponse à ta question.

 

Tu dis :

-         «  … la femme n'est jamais responsable de la haine que l'homme éprouve pour elle . Ils et elles sont toujours les boucs émissaires .

Où as-tu vu que la femme n’est jamais responsable de la haine qu’un homme éprouve pour elle ? Elle a autant de chances de l’être que l’homme envers la femme. Chaque cas est un cas particulier et il faut commencer par distinguer les raisons réelles qui expliquent cette haine.

Jusqu’à ces dernières décennies, et souvent encore de nos pours, le mode de vie occidental, l’homme au travail à l’extérieur et la femme au foyer, enchaînait souvent les femmes dans un rôle de dépendance financière.  Rôle qui pouvait les amener à haïr, parce qu’l finissait par leur peser. Mais dans lequel elles étaient souvent enfermées pour de simples raisons financières.

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Membre, 8ans Posté(e)
bouddean Membre 11 822 messages
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il y a 40 minutes, Témoudjine a dit :

Tu dis :

 

-         «  … la femme n'est jamais responsable de la haine que l'homme éprouve pour elle . Ils et elles sont toujours les boucs émissaires .

 

Où as-tu vu que la femme n’est jamais responsable de la haine qu’un homme éprouve pour elle ? Elle a autant de chances de l’être que l’homme envers la femme. Chaque cas est un cas particulier et il faut commencer par distinguer les raisons réelles qui expliquent cette haine.

 

Jusqu’à ces dernières décennies, et souvent encore de nos pours, le mode de vie occidental, l’homme au travail à l’extérieur et la femme au foyer, enchaînait souvent les femmes dans un rôle de dépendance financière.  Rôle qui pouvait les amener à haïr, parce qu’l finissait par leur peser. Mais dans lequel elles étaient souvent enfermées pour de simples raisons financières.

Ah ah, donc elles étaient prisonnières, et ce sont bien les hommes qui ont créé les lois.  Les femmes n'ont eu le droit d'avoir un compte en banque à leur nom et de faire des chèques sans l'autorisation de leur maris qu'en 1964 , c'est pas elles qui ont voté ça hein .

" Il n'y a pas plus grande liberté que celle de libérer les autres " 

Une chaine à 2 extrémités , à l'une , le prisonnier, à l'autre le gardien, tous les deux y sont enchainés , évidement, avec plus de confort pour le gardien, mais il ne bénéficie quand même pas de sa liberté  . Ce qui est favorable à la haine .

Il y a 21 heures, Témoudjine a dit :

 

 

-                     «  …/…  dans une société organisée sur le commerce, l'amour n'est pas le bienvenu , il est beaucoup plus intéressant de vendre plus d'essence, de l'huile et plein de pièces détachées que 3 fois rien à des moteurs qui tournent bien ».

 

C’est certainement vrai, mais où est le rapport avec le sujet en cause et avec l‘amour ?

 

 

 

Ah oui, je voulais revenir la dessus aussi, quand j'avais dis que l'amour est pour moi l'état dans lequel l'humain fonctionne de manière optimum, c'est à dire qu'il produit le maximum d'énergie pour un minimum de consommation , j'avais fais l'analogie avec un moteur bien réglé . L'amour serait le bon réglage de l'humain .

Un moteur bien réglé consomme moins , c'est pour ça que j'ai choisi cette analogie , dans une société de consommation, l'amour n'est pas bien vu parce que ,étant satisfait de leur état , les gens compensent moins , donc consomment moins . Je pensais que tu ferais le rapprochement .

il y a une heure, Témoudjine a dit :

Dis cela aux gens amoureux.

 J'ai déjà été amoureux , de deux femmes  différentes , alors, ça m'a fait réfléchir , si il est possible d'être amoureux de deux femmes différentes, pourquoi pas trois, pourquoi pas dix, pourquoi pas toutes ?

Bon, ça c'est une plaisanterie , c'est mon genre d'humour, faut me connaitre  :D 

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